Appel d’offres décisif pour le projet d’amélioration de la route 337 à Terrebonne

– Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, et la ministre déléguée à l’Économie et députée de Les Plaines, Mme Lucie Lecours, annoncent que la publication de l’appel d’offres pour la réalisation de l’élargissement de la route 337 (chemin Gascon), entre les rues Rodrigue et Guillemette, à Terrebonne, aura lieu dans les prochaines semaines.

Les travaux préparatoires de ce projet très attendu débuteront à l’été 2022. Les travaux d’élargissement suivront et sont prévus pour une durée de deux ans. Cet important projet de 15,4 M$ permettra d’améliorer la mobilité et la fluidité de la circulation dans le secteur de La Plaine.

Dans les derniers mois, les équipes du ministère des Transports ont continué l’avancement du projet en obtenant les autorisations environnementales et en entreprenant les démarches d’acquisition pour les terrains concernés par le projet.

Citations

« L’amélioration de la mobilité dans la région métropolitaine de Montréal est une priorité pour notre gouvernement, et c’est pourquoi nous sommes fiers d’aller de l’avant avec ce projet. L’élargissement de la route 337 permettra d’améliorer la fluidité de la circulation lors des heures de pointe et, surtout, offrira une sécurité accrue aux usagers qui empruntent cette route. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les usagers qui empruntent quotidiennement cet important axe routier. Les investissements majeurs qui seront réalisés relativement à ce corridor de circulation iront de pair avec l’amélioration de la qualité de vie des citoyennes et citoyens. Dans une perspective de mobilité durable, l’implantation de voies réservées s’avère aujourd’hui une solution nécessaire pour favoriser un transport collectif viable. » 

Lucie Lecours, ministre déléguée à l’Économie et députée de Les Plaines

« Les résidentes et résidents du secteur de La Plaine réclament des améliorations depuis de nombreuses années, et je suis très heureux que ce projet se concrétise enfin. L’élargissement de la route 337 est essentiel pour la mobilité des citoyennes et citoyens de Terrebonne et permettra d’améliorer la fluidité sur cet axe routier. Je tiens à remercier le ministre des Transports, M. Bonnardel, ainsi que la ministre déléguée à l’Économie et députée de Les Plaines, Mme Lecours, qui ont permis de faire avancer ce dossier. »

Mathieu Traversy, maire de Terrebonne

Faits saillants

  • La route 337 (chemin Gascon) représente un important corridor de déplacements pour les citoyennes et citoyens de Terrebonne, principalement pour ceux en provenance ou à destination du secteur de La Plaine.
  • Environ 35 000 véhicules (2019) circulent en moyenne chaque jour sur le tronçon de route situé dans le secteur de La Plaine, dont 6 % de véhicules lourds.
  • Le projet comprend :
    • l’élargissement de la route 337, de la rue Rodrigue à la rue Guillemette, à Terrebonne (secteur de La Plaine);
    • l’ajout d’une voie de virage à droite sur une partie de la route;
    • le réaménagement des intersections;
    • l’ajout d’un îlot central;
    • le resurfaçage de la route 337;
    • le remplacement d’un ponceau.
  • Ce projet fait l’objet d’une entente de collaboration entre le ministère des Transports et la Ville de Terrebonne, qui assumera 330 000 $ dans le cadre dudit projet.
  • Il est inscrit à la Loi concernant l’accélération de certains projets d’infrastructure.

Collecte des déchets Bacs endommagés : la Ville convient d’une solution avec EBI

La Ville de Repentigny et EBI, l’entrepreneur mandaté pour la collecte des matières résiduelles, ont convenu d’une solution pour maintenir la cueillette des déchets sur tout le territoire, même si les contenants sont brisés ou endommagés. Cette entente débutera ce jeudi 23 juin et prendra fin le 30 novembre prochain.

Le 8 juin dernier, la Ville de Repentigny avait informé ses citoyennes et citoyens du fait que l’entrepreneur EBI ne viderait plus les bacs à déchets altérés, fissurés ou fendus. Cette décision de EBI visait à protéger son personnel, qui ne peut effectuer son travail en toute sécurité lorsqu’un bac présente des faiblesses. D’ici au 30 novembre, EBI procédera autrement pour assurer le respect des mesures et limiter les risques pour ses employés.

« Nous avons entendu nos citoyens. Notre administration a travaillé sans relâche depuis une semaine pour solutionner légalement la problématique de la collecte des déchets avec le fournisseur. Il s’agit d’un service essentiel pour la communauté et nous nous sommes assurés de son maintien, pour tous et toutes », a déclaré Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

Appel à la collaboration
La Ville fait toutefois appel à la collaboration de la population pour assurer la bonne marche de cet accord. Il sera désormais requis de déposer les contenants de déchets en bordure de rue la veille de la journée de collecte prévue dans le secteur, pour ne pas rater le passage du camion de collecte.

Rappelons qu’à compter du 1er décembre 2022, la collecte de déchets deviendra mécanisée à Repentigny, ce qui nécessitera que toutes les unités d’habitation et commerciale utilisent le même bac roulant, à prise européenne. Conséquemment, l’ensemble des propriétaires devront à ce moment avoir remplacé leur bac, endommagé ou non, par un bac conforme obligatoire.

Fête nationale- La vigilance est de mise avec les feux de joie et les feux d’artifice

À l’approche du long weekend de la Fête nationale, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) rappelle qu’il est important de célébrer en toute sécurité. Il faut notamment prendre certaines précautions au moment de faire un feu de camp ou lorsque l’on utilise des feux d’artifice. La SOPFEU rappelle que 30 % des incendies de forêt sont causés lors d’activités récréatives.

D’ailleurs, selon les statistiques compilées par la SOPFEU, chaque année, environ 60 feux de forêt trouvent leur origine dans un feu de camp dont on a perdu le contrôle ou ayant été mal éteint. Par ailleurs, les feux d’artifice sont responsables de cinq feux de forêt par année. C’est pourquoi, afin de prévenir l’éclosion de nouveaux brasiers, l’organisme de protection tient à rappeler certaines règles de sécurité.

Pour un feu de camp sécuritaire, vous devez :
• Vérifier auprès de la SOPFEU et de votre municipalité si les feux à ciel ouvert sont permis;
• Éviter de faire un feu si le danger d’incendie varie d’Élevé à Extrême;
• Éviter de faire un feu si le vent souffle à plus de 20 km/h;
• Dégager le sol de toute matière combustible (herbe, brindilles, feuilles mortes) ;
• Allumer un feu d’une dimension maximale d’un mètre par un mètre;
• Effectuer une surveillance constante et vous assurer d’avoir une réserve d’eau à proximité;
• Éteindre le feu en l’arrosant abondamment et en mélangeant bien les braises;
• Recommencer jusqu’à ce qu’aucune source de chaleur ne subsiste;
• Rester sur les lieux jusqu’à ce que le feu soit complètement éteint.
Pour des feux d’artifice sans tracas, vous devez :
• Vérifier auprès de votre municipalité si les feux d’artifice sont permis;
• Éviter de faire des feux d’artifice si le danger d’incendie varie d’Élevé à Extrême;
• Éviter de faire des feux d’artifice si le vent souffle à plus de 20 km/h;
• Choisir un lieu éloigné des secteurs boisés;
• Dégager le lieu d’allumage de toute matière combustible;
• Inspecter le site après l’activité pour vous assurer qu’aucune combustion ne persiste.

Pour consulter le danger d’incendie, l’organisme de protection, invite la population à visiter son site web. Il est
également possible de télécharger l’application mobile de la SOPFEU, disponible sur IOS et Android, afin d’être
informé en temps réel.

Depuis le début du printemps, 260 incendies de végétation ont affecté 207,5 hectares de forêt, dont 98% sont
attribuables à l’activité humaine

Une famille de Lanaudière à la conquête de l’Amérique du Nord

Depuis juin 2021, qu’une dynamique famille de Lanaudière a vendu sa maison et tous ses biens pour vivre leur rêve! Ils ont attendu avec patience que la pandémie se calme un peu pour aller vivre cette aventure tant souhaitée et minutieusement préparée. Composée de Jérôme Paquet, Katryne Leblanc, Thomas et Lydia Paquet de charmants jumeaux âgés de 10 ans, cette famille a su faire une joyeuse équipe et découvrir le mode de vie nomade avec camion et roulotte tout en sillonnant les routes des Amériques au Canada, aux États-Unis et au Mexique.

Leurs motivations

« On ne voulait pas attendre à notre retraite pour voyager et nous voulions vivre cette expérience avec les enfants. Comme le temps passe, la santé peut se faner, on voulait vivre cela au top de notre énergie et surtout avec nos enfants pour qu’ils apprennent l’anglais et l’espagnol. Étant enseignante, je voulais consacrer le meilleur de moi-même et mon temps à mes enfants en les éduquant sur la route avec l’école de la vie.  » d’expliquer avec enthousiasme la maman Katryne Leblanc.

Peu d’embûches

La famille a somme toute eu peu d’embûches pendant cette année de découvertes à l’exception d’une majeure au tout début de leur voyage soit l’achat imprévu d’un tout nouveau camion au Yukon car leur moteur avait rendu l’âme. Et une autre mésaventure majeure récente le 10 juin dernier en Idaho. Réparations nécessaires sur la roulotte… avec un temps d’attente de… 8 jours! Rare moment d’impatience et de découragement dans tout ce voyage qui disparaitra avec le confort de quelques jours à l’hôtel et la découverte du Perrine Memorial Bridge sur lequel des gens pratiquent le base jumping, ce pont étant la seule construction humaine aux États-Unis où le Base Jumping serait autorisé sans avoir de permis pour sauter du pont. La famille est impressionnée de ces prouesses!

Leurs coups de coeur

Les coups de cœur du papa, Jérôme Pâquet sont sans contredit le parc de Tombstones au Yukon, les îles Haida Gwaii en Colombie-Britannique, Death Valley en California et apprendre à cuisiner avec des locaux au Mexique. Pour Thomas, les cavernes de Carlsbad au Nouveau-Mexique, la randonnée de The Narrows dans l’eau du canyon du parc de Zion et la pêche au saumon à Kitimat en Colombie-Britannique l’ont ravi. Lydia a adoré aller à l’école au village de Punta Perula au Mexique et a beaucoup apprécié la randonnée d’Angel’s Landing à Zion, la prison d’Alcatraz à San Francisco et Whites Sands au Nouveau-Mexique. La maman a adoré Yellowstone et Grand Teton national mais est surtout marquée par les rencontres précieuses et enrichissantes de nouveaux amis sur la route, a bien apprécié son expérience d’enseignement au Mexique et faire de la musique dans un mariage mexicain.

Le roadtrip sur Facebook

Le périple de cette aventure hors du commun tire à sa fin car cette belle famille lanaudoise sera de retour au bercail d’un jour à l’autre. Mais les souvenirs demeureront gravés dans leur mémoire à tout jamais! Pour en savoir plus sur leurs aventures, visitez leur page Facebook intitulée La famille Paquet en roadtrip.

Plus de 2,7 M$ pour améliorer l’offre d’infrastructures sportives et récréatives dans le milieu scolaire dans Joliette

La ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, a dévoilé aujourd’hui, au nom de la ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, que le projet d’aménagement d’un terrain synthétique à l’École secondaire Thérèse-Martin à Joliette a été retenu à la suite du premier appel de projets du nouveau Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur (PSISRSES).

Ce programme vise à accroître le nombre d’infrastructures sportives et récréatives scolaires et à mettre à niveau les infrastructures existantes afin d’assurer leur accessibilité à l’ensemble de la population. En effet, l’une des conditions d’admissibilité au programme est de rendre accessibles, dans un premier temps, les infrastructures à la clientèle des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur pour ensuite les mettre à la disposition des citoyennes et citoyens pendant les plages horaires qui ne sont pas utilisées par les établissements scolaires et d’enseignement supérieur.

À l’échelle nationale, le gouvernement du Québec investit près de 175 millions de dollars pour réaliser 81 projets dans 16 régions du Québec.

Citations :

« Il s’agit d’une magnifique nouvelle pour la population de Joliette. Il ne fait aucun doute que cette nouvelle infrastructure augmentera significativement la qualité de vie de toutes et de tous. Bouger est synonyme de bien-être et de plus en plus de personnes pourront avoir accès à des lieux propices pour le faire grâce aux efforts de notre gouvernement pour augmenter l’offre d’infrastructures récréatives et sportives partout au Québec. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent

« Depuis mon arrivée en poste, une de mes priorités est de favoriser l’accessibilité aux activités sportives et récréatives pour toute la population, et cela passe notamment par la présence d’infrastructures de qualité, à proximité. On sait que les besoins dans les écoles secondaires et les établissements d’enseignement supérieur sont grands. Ce programme a été créé pour répondre aux défis auxquels fait face le réseau scolaire et contribuera à pourvoir aux besoins d’une clientèle en forte croissance. Depuis mon arrivée en poste, près de 800 millions de dollars ont été investis pour construire ou rénover plus de 1 000 infrastructures de sport, de loisir ou de plein air. Ces 81 nouveaux projets permettront d’étendre encore plus l’offre de service, au bénéfice de la population. »

Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

Faits saillants :

  • Le Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur relève du Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique.
  • Ce programme est distinct du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives de petite envergure et du Programme de soutien aux installations sportives et récréatives. Il s’adresse expressément aux milieux scolaires et de l’enseignement supérieur et a pour objectif d’améliorer le réseau des infrastructures sportives scolaires.
  • Pour être admissibles, les infrastructures devaient notamment :
    • être un terrain sportif, un bâtiment ou un équipement non amovible nécessaires au déroulement d’activités physiques et sportives dans les sphères de l’initiation, de la récréation et de la compétition;
    • être destinées dans un premier temps à l’utilisation par la clientèle des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur et accessibles au public pendant certaines plages horaires.
  • Les travaux et interventions admissibles sont la rénovation, la mise aux normes, l’aménagement et la construction.
  • L’aide financière maximale pour un projet est de 5 millions de dollars.

Liens connexes :

La Société d’histoire de Mascouche arrive dans les parcs avec le projet Au fil du temps

La Société d’histoire de Mascouche est fière de dévoiler son projet « Au fil du temps », une installation ludique axée sur l’histoire locale, qui sera installée dans quatre parcs de Mascouche de juin à septembre 2022.

Deviner les dates des grands moments de l’histoire de Mascouche
Cet été, petits et grands sont invités à venir tester leurs connaissances sur les événements marquants de l’histoire de Mascouche grâce au projet « Au fil du temps », initié par la Société d’histoire de Mascouche. « Au fil du temps » est une installation éphémère extérieure et gratuite qui consiste en 18 visuels sur lesquels sont illustrés des moments
d’histoire mascouchoise. Les dates de ces moments d’histoire sont inscrites à l’endos de chaque visuel et le public doit les retourner pour les découvrir. Inspiré du jeu de société Timeline, ce projet vise la découverte de l’histoire locale auprès d’un public jeunesse. Le projet sera installé dans quatre parcs de Mascouche cet été afin de le faire
découvrir à un plus grand public; il débutera sa tournée au parc des Hauts-Bois en juin, au parc Memorial en juillet, au parc Gérard-Pesant en août et au parc Soleil-Levant en septembre.

18 moments historiques illustrés
Afin de réaliser ce projet, la Société d’histoire de Mascouche a mandaté l’illustrateur Carl Tétreault, Mascouchois
d’origine, pour immortaliser 18 moments historiques de notre ville. L’ouverture d’une première bibliothèque à Mascouche, les rénovations du manoir par Mme Colville ou l’installation des premières lampes électriques dans le village de Mascouche ne sont que quelques exemples des moments historiques locaux qui sont illustrés dans le cadre du projet.

Nous invitons donc les Mascouchois à venir en famille tester leurs connaissances historiques cet été! Notons que le
projet « Au fil du temps » est réalisé grâce à une contribution financière provenant de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications.

Renseignements
Le projet « Au fil du temps » sera installé au parc des Hauts-Bois en juin (105, avenue Napoléon), au parc Mémorial en
juillet (1633, rue Poplar), au parc Gérard-Pesant en août (835, rue Brien) et au parc Soleil-Levant en septembre 2022
(994, rue de Charlesbourg) durant les heures d’ouverture des parcs, soit de 7 h à 22 h. Pour plus de renseignements,
vous pouvez contacter la Société d’histoire de Mascouche au info@sodam.qc.ca ou 450 417-1277.

Sur un fond de ciel bleu -Une exposition de Diane Malo

Maison et jardins Antoine-Lacombe présente, du 29 juin au 24 juillet 2022, l’exposition intitulée Sur un fond de ciel bleu de Diane Malo. Le vernissage aura lieu dans les jardins, le samedi 2 juillet de 13 h à 17 h, allocutions à

13 h 30. En cas de pluie, l’événement sera reporté au dimanche 3 juillet. Bienvenue à tous, l’entrée est gratuite.

Cette exposition est composée d’œuvres alliant peinture à l’acrylique, collage et sculpture, issues de la série Sur un fond de ciel bleu. Diane Malo commence la création de ses œuvres en peignant un ciel, puis y ajoute un personnage, un décor, des textures et des petits collages. Son processus est instinctif, elle laisse son plaisir de créer guider la réalisation de l’œuvre. Elle aime inventer des lieux insolites. Elle y parle de la solitude, de la fragilité de la vie, de l’équilibre précaire du bonheur, de l’horizon tout bleu, du vent, des nuages, des oiseaux…

Native de Joliette, Diane Malo réside à Notre-Dame-des-Prairies. Après des études en sérigraphie et en lithographie à l’UQAM, elle obtient un diplôme en pédagogie artistique. Elle enseigne ensuite les arts plastiques au secondaire jusqu’à l’âge de la retraite. Entre 1995 et 2019, elle participe à plusieurs expositions au Québec. Elle est une des membres fondateurs du Collectif ∞ (infini), un collectif d’artistes fondé en 2003.

Laissez-vous émouvoir par les mises en scène de Diane Malo, ces petites histoires à compléter.

Le dimanche 10 juillet, Diane Malo sera sur place à la Maison Antoine-Lacombe de 13 h à 17 h pour tenir une activité d’échanges et d’écriture. Pour plus de détails, consultez le site Web de Maison et jardins Antoine-Lacombe : antoinelacombe.com.

MASCOUCHE ET TERREBONNE AGISSENT POUR UNE RÉDUCTION À LA SOURCE DES MATIÈRES RÉSIDUELLES SUR LE TERRITOIRE MOULINOIS

Tel qu’annoncé à l’occasion du Jour de la Terre le 22 avril dernier, Mascouche et Terrebonne font cet été un pas de plus vers un règlement concret qui régira la vente et la distribution d’objets à usage unique sur leur territoire
respectif. En vue de bien préparer le terrain, les deux municipalités ont mandaté des ressources de l’organisme Jour de la Terre pour aller à la rencontre des commerces, industries et institutions installés dans Les Moulins afin de les accompagner dans cette importante transition écologique.

Un règlement adopté dès cet automne
Dans le cadre de leur conseil municipal respectif, Mascouche et Terrebonne adopteront cet automne le même règlement régissant la vente et la distribution d’objets à usage unique.

Dès le 1er janvier 2023, la première phase du règlement bannira certains de ces articles. Sont notamment concernés par ce bannissement les fameuses pailles en plastique, les ustensiles en plastique ou en bois, les verres de plastique 6 et 7 ainsi que toute vaisselle jetable utilisée en salle à manger.

« Bannir certains objets, c’est le premier pas vers nos objectifs centraux de réduction à la source. Réduire à la source, c’est moins consommer oui, mais c’est aussi éviter d’envoyer certaines matières dans nos centres de tri et nos sites d’enfouissement qui débordent partout dans la province. Cela passe par chacun de nos petits gestes quotidiens! C’est d’ailleurs pourquoi nous avons choisi une liste d’objets plus élaborée que celle annoncée hier par le gouvernement fédéral », précise Mathieu Traversy, maire de Terrebonne. « Pour choisir les articles pertinents à bannir dans nos municipalités, nous avons fait nos devoirs et nous savons que pour tous les objets à usage unique qui seront bannis dès 2023, il existe des solutions de remplacement réalistes et accessibles pour le commerçant et pour le consommateur en bout de piste », poursuit-il. Rappelons que les objets à usage unique ne sont utilisés que quelques minutes et prennent ensuite des centaines d’années à se décomposer.

Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, ajoute pour sa part : « Nous sommes bien conscients que le nouveau règlement changera les façons de faire et viendra modifier certaines habitudes des citoyens et des commerçants, mais nous devons agir dès maintenant! Les gens embauchés pour aller sur le terrain seront à l’écoute des commerçants et ils ont pour objectif de les accompagner dans la transition en proposant des solutions concrètes et en sensibilisant les propriétaires à l’impact des actions mises en place. »

Aller plus loin que le bannissement
Les deux municipalités souhaitent par ailleurs aller plus loin que le simple bannissement d’objets et c’est ce qui démarque notre règlement du cadre adopté jusqu’ici ou en voie de l’être par les grandes villes du Québec.

« Bannir, ce n’est pas suffisant selon nous. À l’instar de la Ville de Prévost, nous souhaitons également changer plus en profondeur les habitudes, notamment en s’appuyant sur un incitatif économique. Nous voulons ainsi amorcer un profond virage vers la réduction à la source des objets à usage unique. Gardons-nous de changer une matière pour une autre alors que nous pouvons parfois simplement éviter complètement un produit en faisant un choix écoresponsable », évoque M. Tremblay.

Ainsi, en phase 2 de l’application du règlement sur les objets à usage unique, des écocontributions s’appliqueront à certains autres objets qui ne sont pas bannis, mais qui contribuent eux aussi à faire déborder nos bacs bleus et noirs. Cette phase 2 est prévue pour le printemps 2023. Cet été, les rencontres sur le terrain permettront d’ajuster la liste
des objets pour lesquels une écocontribution s’appliquera. M. Traversy explique :

« Une écocontribution s’appuie sur la vente d’un produit assujetti pour lequel le consommateur paie un petit surplus au commerçant. Soyons clairs : tous les objets qui seront soumis à l’écocontribution à Mascouche et à Terrebonne
constitueront des objets à usage unique dont le consommateur peut entièrement se passer dans son quotidien et pour lesquels des alternatives existent. À titre d’exemple, on peut choisir d’avoir avec soi une gourde réutilisable plutôt que d’acheter une bouteille d’eau de format individuel, alors une écocontribution serait appliquée lors de l’achat de
cette bouteille », poursuit-il.

D’autres informations suivront cet automne quant à cette deuxième phase du règlement
en développement

Les organismes sont invités à déposer des projets structurants dans la région de Lanaudière

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, invite les organismes et les promoteurs à déposer leurs initiatives dans le cadre du nouvel appel de projets du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité (FRR).

Une somme de 2,5 millions de dollars est rendue disponible afin d’appuyer des projets structurants répondant aux priorités déterminées par les élus et les partenaires liés au développement de la région. Les initiatives soumises devront notamment avoir des retombées sur le territoire de plus d’une municipalité régionale de comté (MRC).

Les organismes admissibles ont jusqu’au 23 septembre 2022 pour déposer leur demande d’aide financière sur le site Web du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH).

Citations :

« Ce volet du FRR est un outil indispensable qui permet aux régions de développer des projets mobilisateurs qui feront rayonner leur territoire et j’en suis fière. Une fois de plus, les organismes de Lanaudière ont l’occasion de soumettre des projets qui auront certainement des retombées positives sur toute la région. Je les invite à déposer leurs initiatives en grand nombre! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

« Je remercie la Table des préfets de Lanaudière, qui agit à titre de comité régional de sélection de projets, pour le travail d’analyse des demandes qu’il a fait et celui qu’il fera. D’ailleurs, l’année dernière, ce sont dix projets stimulants qui ont pu être mis en œuvre grâce à l’aide de près de 4,3 millions de dollars attribuée dans le cadre du volet Soutien au rayonnement des régions du FRR. Je suis convaincue que plusieurs nouvelles initiatives verront le jour dans Lanaudière. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« Nous sommes très heureux de rendre disponible un montant de 2,5 millions de dollars afin de soutenir des projets structurants pour la région. Nous sommes convaincus que la créativité des promoteurs nous permettra de recevoir des projets qui auront une incidence concrète sur le développement de Lanaudière et sur son rayonnement. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour remercier le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation pour sa collaboration et sa confiance envers la Table des préfets dans l’analyse et la sélection des projets dans le cadre de ce volet du Fonds régions et ruralité. »

Sébastien Nadeau, président de la Table des préfets de Lanaudière et président du comité régional de sélection de projets du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité

Fait saillant :

  • Les dix priorités de Lanaudière sont les suivantes :
  • Soutenir le développement économique par l’amélioration de la compétitivité, l’innovation et le soutien aux entreprises dans le virage numérique.
  • Assurer une réponse adéquate aux défis de la pénurie de main-d’œuvre.
  • Soutenir la relève d’entreprises.
  • Soutenir le développement de l’économie circulaire et de la saine gestion des matières résiduelles.
  • Soutenir la promotion de la consommation locale et responsable.
  • Soutenir le développement d’un plan d’action régional intégré visant le développement et la promotion du transport actif et du transport collectif ainsi que le développement d’une offre inter-MRC.
  • Soutenir le développement d’une offre éducationnelle innovante, branchée sur les besoins du milieu et favorisant le rehaussement de la diplomation des jeunes, de la qualification de la main-d’œuvre et du développement des compétences des entrepreneurs.
  • Soutenir des actions concertées visant le renforcement des déterminants en matière de réussite éducative.
  • Soutenir l’innovation dans le déploiement de services de proximité.
  • Soutenir et bonifier les produits d’appel et événements culturels et touristiques comme outil de rayonnement régional.

Faits saillants du conseil municipal de Repentigny du 14 juin 2022

Octrois de contrats pour des travaux d’infrastructures

Le 14 juin, en marge de son assemblée ordinaire, le conseil municipal de la Ville de Repentigny a octroyé divers contrats pour des travaux d’infrastructures, tel que prévu au Plan triennal d’immobilisations 2021-2022-2023.

Au terme d’appels d’offres publics, le conseil municipal a octroyé deux contrats à l’entreprise Construction Viatek inc., laquelle s’est présentée comme le plus bas soumissionnaire. Le premier mandat de 1 278 501 $ porte sur la réalisation des travaux de réfection de voirie et la construction d’une piste cyclable sur le boulevard Iberville, du côté nord, entre Beauchesne et Laurentien. Conformément au plan de transport actif, l’ajout de ce lien cyclable viendra favoriser des conditions de déplacements confortables et sécuritaires pour la communauté repentignoise. Notons que ces travaux constituent la deuxième phase du projet de renouvellement des infrastructures sur cette portion du boulevard, la première phase ayant été réalisée du côté sud en 2021. Le chantier débutera à la fin juin pour se terminer à la fin du mois de septembre.

Le second mandat, d’un montant de 716 455 $, consistera à effectuer les travaux de réfection du pavage des approches du pont Le Gardeur et du pont d’étagement Brien, afin d’améliorer le confort de roulement pour les usagers. Prévus de juin à août, ces travaux seront réalisés de nuit pour en minimiser l’impact sur la circulation.

Enfin, l’entreprise Construction G-Nesis inc. a obtenu un contrat de 5 195 789 $ pour la réalisation de travaux de réfection des infrastructures sur la rue Notre-Dame, entre les rues Bonaventure et Lévesque. Rappelons que ce projet bénéficiera d’une subvention de 775 000 $ provenant du Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec. Ces travaux, prévus à l’automne, incluront également la construction d’une piste cyclable hors-chaussée et le remplacement de l’éclairage et du poste de pompage. Ceux-ci s’inscrivent dans le grand chantier de renouvellement des infrastructures et d’embellissement de la rue Notre-Dame, qui se poursuit d’année en année depuis 2013.  

« Je tiens à remercier notre solide équipe du Service de la gestion des infrastructures, qui travaille sans relâche durant cette période de l’année pour améliorer notre réseau routier ainsi que le confort et la sécurité des piétons, cyclistes et automobilistes, partout sur le territoire », a souligné Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

Alors que la période des travaux routiers bat son plein, la Ville de Repentigny invite à la prudence et au respect de la signalisation près des chantiers afin d’assurer la sécurité des travailleurs et des usagers de la route.

Une première séance du conseil en plein air

Les élu.e.s invitent la population repentignoise à une toute première séance du conseil municipal en plein air. Celle-ci aura lieu le 9 août prochain, à 19 h, au parc Jean-Claude-Crevier (entrée rue Bertrand). Les citoyens sont invités à se présenter vers 18h30 pour pouvoir s’inscrire au registre des questions. En cas de pluie, la séance aura lieu au Centre communautaire Larent-Venne. Des chaises seront mises à la disposition des citoyen.ne.s, qui peuvent aussi apporter la leur.

Les personnes qui désirent soumettre des questions au conseil pourront également le faire par écrit à greffe@repentigny.ca. Les questions seront acceptées à compter du jeudi précédent la séance.