Thaïs présente « Taxi »

THAÏS SE RECUEILLE DANS UN « TAXI », UN EXTRAIT ANNONÇANT SON 2E ALBUM PERSONNE

Montréal, 31 janvier 2025thaïs poursuit le chemin d’affirmation de soi qui la mènera au dévoilement de son deuxième album – et cette fois-ci, c’est en taxi qu’elle avance. Quatrième extrait de Personne, « Taxi » est un morceau électro-pop à la fois contemplatif et vivifiant, une salve qui propulse loin des écueils et déjoue le spleen. « Taxi » est offert dès maintenant sur les plateformes d’écoute et de téléchargement, et l’album Personne peut être pré-sauvegardé, en amont de sa parution prévue pour le 4 avril sous Bravo.

En revenant de soirée
Devant moi
La ville illuminée
M’éblouissait
Et dans le taxi je pleurais

Fuir pour se réfugier dans le souvenir, le temps d’un trajet : sur « Taxi », thaïs utilise le moyen de transport éponyme à la fois comme levier de fuite, comme outil de connexions urbaines et comme endroit de recueillement. Au retour d’une soirée, dans l’habitacle d’un taxi, elle est rattrapée par les signes d’une relation passée – une chanson préférée, le creux d’un cou – qu’elle laisse voguer alors que les lumières de la ville s’atténuent. Faisant suite à « Personne pour écouter », « Désirs (avec BRÖ) » et « 52 hertz », « Taxi » est le quatrième extrait dévoilé de Personne, un deuxième album aux compositions tonifiantes à paraître ce printemps.

Le nouvel extrait s’accompagne d’un vidéoclip réalisé par Alexis Boudrias, qui illustre la trame narrative de l’album. On observe thaïs qui performe dans un non lieu puis se rend à une fête, avant de réaliser qu’elle ne s’y sent pas à sa place. Elle tente de partir, et revient toujours à ce non lieu où elle performe et où elle se sent bien.

Les deux années de la création de ce deuxième album ont été chargées pour thaïs, qui s’est notamment illustrée en première partie de KYO, M, Ariane Moffatt, Dumas et Suzane. Attendu pour le 4 avril 2025, Personne proposera de la « musique extravertie pour introverti·e·s » – des trames énergiques portant vers l’affirmation de soi, alors que thaïs nous invite dans davantage sa bulle. Personne est une co-réalisation de thaïs et de Blaise Borboën-Léonard (Lydia Képinski, BéLi, Simon Leoza) sur laquelle on retrouve des apports de Jay Essiambre (alias La Faune, multi-instrumentiste et collaborateur de première heure) et d’Émile Farley (basse).

Un budget prudent et responsable pour Saint-Alphonse-Rodriguez

UN BUDGET 2025 PRUDENT ET RESPONSABLE – POUR SAINT-ALPHONSE-RODRIGUEZ

Saint-Alphonse-Rodriguez, le 3 février 2025 – La municipalité de Saint-Alphonse-Rodriguez a procédé à la présentation ainsi qu’à l’adoption de son budget pour l’année 2025 lors de la séance extraordinaire du conseil municipal du 10 décembre dernier. Ce budget s’inscrit dans une vision de continuité et de précaution : le taux de la taxe foncière demeure stable, soit 0,0052 pour 100 $ d’évaluation. Cela représente une augmentation de 0,9 % pour une maison unifamiliale moyenne à Saint-Alphonse-Rodriguez (valeur de 291 610 $).

« Cette année, le conseil a opté pour un budget prudent et responsable », mentionne Isabelle Perreault, mairesse de Saint-Alphonse-Rodriguez. « Nous anticipons des turbulences économiques et la révision du rôle d’évaluation municipale en 2026, deux éléments qui peuvent potentiellement impacter à la hausse le fardeau financier de nos contribuables. C’est pourquoi nous avons pris la décision de consolider nos projets et nos opérations afin de permettre à nos citoyens de garder la tête hors de l’eau si ces événements se produisaient », poursuit-elle.

Les faits saillants du budget 2025 à Saint-Alphonse-Rodriguez

  • Possibilité de quatre versements, plutôt que trois, pour alléger les paiements.
  • Légère augmentation projetée des revenus et faible hausse des dépenses.

Les orientations 2025

Lors de son exercice de planification stratégique et de développement durable, le conseil municipal a identifié six grands chantiers prioritaires qui orientent les actions de toute l’équipe municipale : communications, noyau villageois, environnement, santé des lacs, plein air, culture. Pour chacun de ces chantiers, des orientations sont données et des actions ont été ciblées afin de répondre le plus adéquatement possible aux besoins du milieu et des citoyens.

Parmi les orientations principales, nommons l’optimisation de la gestion des matières résiduelles, en collaboration avec plusieurs municipalités de la MRC de Matawinie. Du côté de la santé des lacs, plusieurs actions seront entreprises en 2025, en continuité avec celles réalisées dans les dernières années, pour informer les citoyens, mais également, maintenir ou améliorer la qualité des milieux humides du territoire. En matière de plein air, l’aménagement des sentiers et commodités entourant l’impressionnante paroi d’escalade extérieure fait partie des projets qui se concrétiseront en 2025. L’amélioration du noyau villageois (sécurité des piétons, aménagement de la plage et du parc Entramis, affichage directionnel, etc.) est un dossier qui occupera aussi l’équipe municipale au cours de la prochaine année.

Finalement, d’autres orientations tout aussi importantes seront également mises de l’avant concernant les travaux publics, l’urbanisme, le loisir et la vie communautaires ainsi que la sécurité publique pour 2025. La Municipalité invite la population à surveiller les outils de communication pour ne rien manquer et être aux premières loges quant à l’actualité municipale.

Zachary Richard – Album et extrait Handicap Bonheur

Montréal, 31 janvier 2025 – Zachary Richard présente un nouvel extrait intitulé Handicap Bonheur, tiré de l’album du même nom, disponible partout.

Handicap Bonheur est un projet d’amour de chansons co-écrites avec son petit fils, Émile Cullin. Émile est handicapé neuro-moteur, mais comme il le dit « un peu seulement ».

Avec ce projet, ils espèrent sensibiliser le grand public aux défis des handicapés et de les encourager dans leurs parcours. Zachary est très fier de collaborer avec le Centre Philou qui soutient les polyhandicapés ainsi que leurs familles depuis maintenant 20 ans.

Les redevances artistiques des chansons seront consacrées au Centre Philou.

Merci de nous aider à répandre le Handicap Bonheur

À propos

Francophone militant, écologiste engagé, auteur-compositeur, et poète , Zachary Richard est surtout connu comme chanteur. Avec 21 albums à son actif, dont plusieurs disques d’or et platine, sa carrière musicale est internationale.

 

Zachary Richard

Handicap bonheur

1. Handicap bonheur – EXTRAIT RADIO
2. J’aime voyager sur la RATP
3. La ballade de Fulgence Bienvenüe
4. Transport en commun
5. Ça fait chaud
6. La station fantôme
7. Un, deux
8. Funky dimanche

Maison de disque : RZ Records
Éditeur : Les Éditions du Marais Bouleur / Les Éditions Emrical
Distributeur : CD Baby
UPC : 198999571301
MAPL : MAPL

Brève nouvelle de la Ville de Terrebonne

Voici une brève nouvelle de la Ville de Terrebonne.

Nouveauté au parc des Vignobles

Découvrez le tout nouveau casier connecté et en libre-service du programme Circonflexe, situé au parc des Vignobles dans le secteur de Lachenaie. Offerte par Loisir et Sport Lanaudière, cette installation permet à la population d’accéder facilement à une variété d’équipements de sport et de loisirs. Téléchargez l’application mobile BoxUp pour emprunter des équipements, disponibles tout au long de l’année. En hiver, profitez de patins à quatre lames, d’une barre d’apprentissage pour patiner, de casques de protection et de tapis de glisse. En été, vous pourrez emprunter divers ballons, raquettes de pickleball et de tennis, frisbees, et bien plus encore. Venez bouger et vous amuser en toute simplicité !

Sur la photo, on reconnait le conseiller municipal du district 13 – Coteau-des-Vignobles, Robert Auger, et le président de la Commission des loisirs et du développement social et sportif et conseiller municipal, Michel Corbeil.

 

Guillaume Arsenault lance son nouvel EP

Montréal, le 31 janvier 2025 – L’auteur-compositeur-interprète Guillaume Arsenault présente son nouvel EP, Les plantes continuent de pousser même quand tu dors – Face B. Suite logique de la Face A lancée en mai dernier, ce mini-album lumineux vient clore le défi que l’artiste gaspésien s’était lancé en 2024, soit de lancer une chanson par mois tout au long de l’année.

Les plantes continuent de pousser même quand tu dors : ce titre, qui est venu à Guillaume lors d’un rêve, deviendra son mantra tout au long du projet. « Je me suis répété cette phrase pour me donner la patience et la confiance de trouver les idées, de les déployer et d’aboutir à des chansons en ayant des dates limites. De comprendre et d’accepter que même si je tire sur la fleur, elle ne poussera pas plus vite. Rien n’est pressé d’éclore, mais même quand on dort, les choses avancent », révèle-t-il.

Le maxi propose pas moins de sept pistes, cinq d’entre elles ayant été composées par Guillaume dans la deuxième moitié de l’année dernière. S’y ajoutent une reprise bluesy à souhait de Marie-Jo Thério (Matavenero) ainsi que Le beat de la béatitude, une chanson que l’artiste avait dévoilée en 2023.

Guitare acoustique, banjo, contrebasse et guitare à résonateur sont les principaux protagonistes de ce nouvel effort à forte saveur country-folk, rehaussé çà et là d’harmonies vocales, de percussions bien placées et d’envolées électro panoramiques. Si les fans de longue date seront en terrain connu, quelques chansons sortent toutefois des sentiers battus du genre choisi : sur Le beat de la béatitude, Guillaume rythme une poésie ferroviaire et vagabonde, tandis que Bill est un récit captivant aux allures de western spaghetti, alternant entre narration et chanson. Riches en histoires et généralement optimistes, les textes expriment avec candeur l’amour de Guillaume pour le voyage (Blague à tabac), la nature (Je n’étais qu’une roche) et sa tendre moitié (Au-delà du grand bleu).

Les plantes continuent de pousser même quand tu dors – Face B a été enregistré en grande partie dans le studio maison de Guillaume Arsenault à Saint-Siméon-de-Bonaventure, avec des prises de son additionnelles au Studio Tracadièche de Carleton-sur-Mer.

https://guillaumearsenault.bandzoogle.com/

https://found.ee/GA-Les-plantes-continuent-de-pousser-meme-quand-tu-dors-Face-B

À propos de Guillaume Arsenault

L’auteur-compositeur-interprète Guillaume Arsenault est né en Gaspésie, où il tient une shop à chansons depuis plus de 20 ans. Fort de six albums, maintes fois primé (Festival en chanson de Petite-Vallée, Révélation Radio-Canada Espace musique, Prix de la création au CALQ) et nommé (ADISQ, Prix de musique folk canadienne), il propose une œuvre sensible, poétique et profondément ancrée dans son vaste territoire.

Paroles et musique : Guillaume Arsenault, à l’exception de Matavenero, écrite et composée par Marie-Jo Thério

Maison de disques : Les Faux-Monnayeurs
Production : Les Productions de L’Arbre

Réalisation : Guillaume Arsenault
Prises de son : Guillaume Arsenault, Éric Dion, Vincent Carré et Jean-Guy Leblanc
Mixage et matriçage : Richard Dunn au Studio Tracadièche de Carleton-sur-Mer

Guillaume Arsenault : voix, guitares, banjo, piano, flutes, harmonica, clavier, programmation, percussions, accordéon, thérémine, violoncelle, violon, ukulélé
Jean-Guy Leblanc : contrebasse, chœurs
Richard Dunn : contrebasse
Éric Dion : guitare à résonateur, chœurs
Vincent Carré : percussions
Éric Proulx : batterie
Aelin Zachaël : violon
Pierre-André Bujold : voix de Bill
Steeve Ouellet : chœurs

Un média qui assure la défense de nos communautés

Victoriaville, 3 février 2025 – Les médias locaux se fragilisent et les ressources se raréfient. L’avenir de l’information de proximité est en péril, trop souvent sacrifié, ce qui représente une menace réelle pour la cohésion sociale. Les citoyens et citoyennes doivent impérativement se rendre compte que les télévisions communautaires autonomes (TCA) du Québec jouent un rôle essentiel dans le maintien du lien social, de l’identité régionale et de la démocratie locale.

Sans ces médias de proximité, les enjeux locaux sont occultés, la participation citoyenne diminue et le tissu social se désagrège. Qui portera la voix des régions si ces dernières sont oubliées ?

Malgré tout, plusieurs personnes se mobilisent pour sauvegarder et renforcer ces médias de proximité. Il est urgent que les décideurs reconnaissent leur valeur et adoptent des mesures concrètes pour garantir leur pérennité. Les gouvernements, les institutions et la société civile sont appelés à unir leurs forces pour assurer la continuité des TCA.

L’information locale est un bien commun qu’il faut protéger, car elle est au cœur de notre identité collective et de la vitalité démocratique de nos communautés.

Joins-toi à nous… Ose ta télé communautaire!

Bruits d’archives : mémoire des berges lavalloises

LE C.I.EAU DÉVOILE L’EXPOSITION BRUITS D’ARCHIVES : MÉMOIRE DES BERGES LAVALLOISES PAR DANIELLE RAYMOND

Une immersion poétique entre le passé et le présent pour célébrer et préserver les berges lavalloises.

Du 13 février au 25 mars 2025, le Centre d’interprétation de l’eau (C.I.EAU) accueille l’exposition temporaire Bruits d’archives : mémoire des berges lavalloises, une création immersive de l’artiste multidisciplinaire lavalloise Danielle Raymond. L’exposition sera présentée à la salle André-Perrault du musée du C.I.EAU du 13 février au 25 mars 2025, puis au Centre d’archives de Laval (CAL) plus tard ce printemps. Le projet est soutenu financièrement par le Conseil des arts et des lettres du Québec et la Ville de Laval.

À travers des photomontages subtils mêlant archives et paysages actuels, l’exposition invite à redécouvrir l’histoire récréotouristique des berges des rivières des Mille Îles et des Prairies, tout en sensibilisant à leur préservation.

En juxtaposant l’effervescence d’antan et la quiétude actuelle des berges, Danielle Raymond souligne l’importance de valoriser ces espaces naturels, accessibles aux Lavallois grâce aux récents aménagements. « Je souhaite que ces images inspirent une prise de conscience : ces lieux ne sont pas que des paysages, mais des témoins vivants de notre histoire », explique-t-elle.

Pour réaliser ce projet, Danielle Raymond a fait appel au C.I.EAU, dont la mission souligne l’importance de préserver la ressource eau et le milieu naturel de l’eau. Madame Raymond a également collaboré avec des partenaires clés : le Centre d’archives de Laval et la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus. Ces partenariats ont permis de marier le passé et le présent avec une profondeur historique et artistique remarquable.

EXPOSITION
Date : Du 13 février au 25 mars 2025
Horaire : Aux heures d’ouverture du C.I.EAU
Tarif : 5$ (gratuit avec l’entrée régulière au musée)
Lieu : Centre d’interprétation de l’eau – 12 Rue Hotte, Laval, QC H7L 2R3

VERNISSAGE
Le C.I.EAU invite les médias, partenaires et invités spéciaux à découvrir l’exposition « Bruits d’archives : mémoire des berges lavalloises » en avant-première lors d’un vernissage qui se tiendra le mercredi 12 février 2025 à 17h00 sous une formule conviviale 5 à 7.

Les participants pourront échanger avec l’artiste Danielle Raymond et admirer ses œuvres dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Une visite de l’exposition permanente du C.I.EAU sera également offerte aux invités, qui seront encouragés à partager leur expérience sur les réseaux sociaux. Cet événement reflète l’engagement du C.I.EAU à promouvoir la culture et la protection de l’eau.

  • Date : 12 février 2025
  • Horaire : 17h00 à 19h00
  • Tarif : 10$ par personne
  • Horaire :
    • 17h00 : Accueil
    • 17h15 : Mot d’ouverture

17h30 : Dévoilement de l’exposition dans la salle André-Perrault

À propos de l’artiste

Artiste multidisciplinaire originaire de Laval, Danielle Raymond explore depuis des années les liens entre mémoire collective, paysages et technologies. Spécialiste des photographies en mouvement, elle fusionne vidéo, son et archives pour créer des œuvres où le passé dialogue avec le présent. Ses installations, qualifiées de « poétiques », évoquent des souvenirs d’enfance — comme ses baignades à la plage Idéale ou Jacques-Cartier — et questionnent la manière dont les traces historiques habitent nos espaces contemporains.

En 2023, elle a présenté Saunascènes/Saunascapes en Finlande. Ses travaux ont également été diffusés lors d’événements internationaux, dont les Rendez-vous du cinéma québécois, le festival Montréal/Nouvelles Musiques, et des expositions en France et en Norvège. Elle a également produit des installations vidéo et sonores à Sainte-Rose en Blanc et à la Salle Alfred-Pellan. En 2015, son coffret La Route de l’art public a soutenu la Fondation lavalloise des lettres.

Pour en savoir plus sur ses créations contactez l’artiste

Courriel : raymonddanielle@yahoo.ca
Viméo : https://vimeo.com/user42623678
Fiche : https://signelaval.com/fr/repertoire-culturel/danielle-raymond 

À propos du Centre d’interprétation de l’eau
Le C.I.EAU est un lieu unique et incontournable dans le domaine de l’eau au Québec. Situé à l’intérieur même de la station d’eau potable Sainte-Rose à Laval, cet organisme de bienfaisance a pour mission de promouvoir la protection et l’utilisation responsable de l’eau. Il accomplit sa mission à l’aide de son exposition permanente, de son offre pédagogique en Lab’eau et de toutes ses autres activités. Le C.I.EAU s’adresse à un public curieux d’en apprendre plus sur la merveilleuse ressource qu’est l’eau.

À propos du Centre d’archives de Laval
Le Centre d’archives de Laval (CAL) est une institution dédiée à la préservation et à la diffusion du patrimoine archivistique lavallois. Depuis sa création en 2010, le CAL contribue à la sauvegarde de la mémoire collective de Laval.

À propos de la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus
Fondée en 1963, la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus (SHGIJ) préserve et diffuse le patrimoine historique et généalogique de Laval à travers expositions, conférences et ateliers. Elle conserve aussi des archives privées et objets anciens. Partageant le même site, la SHGIJ et le CAL unissent leurs efforts pour préserver et diffuser le patrimoine historique et archivistique de Laval.

Site web
C.I.EAU : https://www.cieau.org
SHGIJ-CAL : https://archives-histoire-laval.org/ 

 

 

La FQM propose des avenues pour permettre aux municipalités

La FQM propose des avenues pour permettre aux municipalités d’évincer les biens et services d’origine américaine

Imposition de tarifs douaniers par les États-Unis La FQM propose des avenues pour permettre aux municipalités d’évincer les biens et services d’origine américaine de leurs achats et appels d’offres

Québec, le 3 février 2025 — La Fédération québécoise des municipalités (FQM) dénonce fermement l’imposition unilatérale de tarifs douaniers de 25 % par le gouvernement américain, qui met en péril les entreprises et les régions du Québec.

Dans une lettre adressée à la présidente du Conseil du Trésor, Mme Sonia Lebel, et à la ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, la FQM réclame une intervention rapide pour permettre aux municipalités de participer pleinement à l’effort de solidarité proposé par les premiers ministres du Québec et du Canada, qui appellent à pénaliser les entreprises américaines faisant affaire avec l’État québécois. La lettre est disponible en cliquant ICI.

« Les tarifs imposés par les États-Unis sont inacceptables et nuisent gravement à nos régions. Le gouvernement du Québec doit permettre aux municipalités d’évincer les biens et services d’origine américaine de leurs appels d’offres », a déclaré Jacques Demers, président de la FQM, maire de Sainte-Catherine-de-Hatley et préfet de la MRC de Memphrémagog.

La FQM propose deux avenues :

  1. Le gouvernement peut adopter rapidement une modification règlementaire selon les articles 936.0.4 du Code municipal et 573.1.0.4 de la Loi des cités et villes afin de prévoir une majoration de l’appréciation du prix pour les biens et services d’origine américaine dans le cadre d’un tel appel d’offres. Cette majoration pourrait être de 25 % conformément à l’orientation suivie par le gouvernement pour ses propres appels d’offres;
  2. Le gouvernement peut élargir la portée des articles 936.0.4.1 du Code municipal et 573.1.0.4.1 de la Loi des cités et villes pour tout type de contrat, et ce, peu importe la limite de dépenses applicable, et permettre aux municipalités de déterminer un pointage excédant le seuil actuel de pondération maximal de 10 % de l’ensemble des critères prévus dans un appel d’offres en lien avec des biens et des services provenant des États-Unis.

« Nous invitons le gouvernement à agir promptement pour permettre aux municipalités de joindre pleinement le mouvement de solidarité pour défendre le Québec », a ajouté M. Demers.

À propos de la FQM

Depuis sa fondation en 1944, la Fédération québécoise des municipalités (FQM) fait entendre la voix des régions du Québec. Convaincue que la force du nombre peut faire la différence, la FQM réunit plus de 1 030 membres répartis sur l’ensemble du territoire québécois. Elle leur accorde une priorité absolue et défend avec détermination leurs intérêts politiques et économiques. Elle favorise l’autonomie municipale, travaille activement à accroître la vitalité des régions et offre un large éventail de services aux municipalités et MRC. Le dynamisme, la créativité, ainsi que l’esprit de concertation et d’innovation qui animent les élus·es municipaux inspirent ses réflexions et façonnent ses actions au quotidien.

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La SODECT devient La nouvelle société !

La Société de développement culturel de Terrebonne devient… La nouvelle société ! Un changement d’identité qui arrive à point !

TERREBONNE, LE 3 FÉVRIER 2025 – La Société de développement culturel de Terrebonne (SODECT) dévoile aujourd’hui sa nouvelle identité de marque : La nouvelle société.  Un nouveau nom, un nouveau logo et un nouveau site Internet qui reflèteront les nouvelles orientations stratégiques de l’organisation. Près de 40 ans après sa création, celle-ci souhaite réaffirmer ses ambitions par son dynamisme, sa modernité et renforcer son positionnement dans la région.

La SODECT prend un virage plus actuel en changeant son nom et son image de marque afin d’être mieux identifiée et reconnue par la communauté! Cette envie de renouveau s’inscrit dans le cadre d’un plan stratégique qui souhaite réaffirmer la place de l’organisation comme leader incontesté en culture au Québec. Un tout nouveau site Internet fait également l’objet de ce dévoilement.

Un processus créatif inspirant
Aidée de plusieurs collaborateurs, et suivant un processus rigoureux, l’équipe des communications a su relever le défi de moderniser le nom de l’organisation tout en conservant une trace du passé. « Ce nom nous donnera l’envie d’être toujours en action, tout en regardant vers l’avenir et d’être au meilleur de notre histoire, puisque nous jouissons d’un riche passé d’organisation », mentionne Mylène Houle, directrice marketing, communication et développement des affaires. Conçu par l’équipe de création du Studio Le Bungalo, situé à Terrebonne, le nouveau logo représente le mouvement et le travail acharné de l’équipe renouvelée et dévouée que forme désormais La nouvelle société. Sans oublier le clin d’œil au bâtiment légendaire du Moulin Neuf, qui à la manière du Stade olympique pour Montréal, représente si bien la Ville de Terrebonne.

Un site moderne et convivial
Le tout nouveau site Internet (lanouvellesociete.com) marque le début du déploiement de cette nouvelle image. Il remplace les quatre sites qu’administrait autrefois l’organisation soit celui de la SODECT, du Théâtre du Vieux-Terrebonne, de l’Île-des-Moulins et de la Maison Bélisle. Vibrant et invitant, il permettra aux utilisateurs de naviguer de manière plus intuitive en rassemblant toutes les activités de La nouvelle société au même endroit. L’agence Stéréo a su comprendre les enjeux des utilisateurs tout en étant cohérent avec l’évolution de la marque.

La nouvelle société tient à remercier l’ensemble des équipes et des collaborateurs qui ont participé à cette transition. Elle remercie également tous ses partenaires qui permettent à La nouvelle société de prendre une envolée spectaculaire pour 2025.
 

L’emprunt(e) de Prairie Comeau – Nouvel album le 14 février

L’emprunt(e) de Prairie Comeau – Nouvel album disponible le 14 février

Montréal, 3 février 2025) – Le nouvel album L’emprunt(e), disponible dès le 14 février, marque un virage musical pour le duo Prairie Comeau qui cherche à puiser de façon plus délibérée dans les couleurs de la musique traditionnelle, la musique de ses racines, ainsi que dans les influences folk americana.

Cette formation, composée d’Anique Granger et de Benoit Archambault, réarrange et interprète des extraits du livre La bonne chanson. Des reprises exécutées avec autant d’amour que de désinvolture par des artisans qui ont à cœur la transmission de la mémoire chansonnière.

Le EP L’emprunt(e) volume 1 a été lancé en mars dernier. Le duo dévoile maintenant l’album complet avec grand bonheur! Après cinq ans de travail à réarranger des chansons qui datent d’avant les années 1960, la démarche se précise. C’est le répertoire de La bonne chanson qui interpelle les artistes. Certaines de ces pièces sont si ancrées dans notre inconscient collectif que les possibilités de les réinterpréter (voire, carrément les transformer), sans perdre de vue leur essence et leur familiarité, sont immenses. Il existe aussi dans ces livres des pièces moins connues, plus obscures, et leur cheminement comporte son lot d’histoires. Pour Prairie Comeau, c’est non seulement un terrain de jeu naturel et inspirant, mais aussi une mine d’or à exploiter.

L’importance culturelle et patrimoniale de ces chansons ne peut être niée, mais le duo a aussi voulu explorer comment ces chansons pourraient être vécues aujourd’hui, comment elles ont traversé les époques. En résulte des jumelages de chansons, des nouvelles couleurs, parfois même des nouveaux couplets ou des nouvelles mélodies.

L’album L’emprunt(e), enregistré au studio Pantouf de Jeannot Bournival, a été réalisé par Nicolas Boulerice (Le Vent du Nord – vielle à roue, harmonium). Avec sa signature sonore – deux guitares acoustiques et deux voix en harmonie – le duo est aussi appuyé par Olivier Demers (Le Vent du Nord – mandoline et podorythmie), Elisabeth Giroux (violoncelle) et Rick Haworth (pedal steel).

Anique Granger, originaire de la Saskatchewan, est autrice-compositrice-interprète, guitariste et réalisatrice de balados. Benoit Archambault, aussi membre du groupe Mes Aieux, écrit des chansons et des livres pour le jeune public depuis plus de 20 ans.
Prairie Comeau en spectacle :

8 février – CRAPO, Saint-Félix de Valois
15 février – URLU, Sainte-Thérèse *lancement de l’album
17 février – Labo Trad, La Petite Marche, Montréal
16 mars – Fabul’art, Sorel-Tracy
4 avril – Prestation au Canadian Music Folk Awards

Billets : https://ciedunord.com/artistes/prairie-comeau/