Nomination de madame Stéphanie Laurier à la direction du Service de l’aménagement du territoire

La Ville de Mascouche annonce que madame Stéphanie Laurier a été nommée directrice du Service de l’aménagement du territoire. À l’emploi de la Ville depuis juillet 2022, Mme Laurier occupait auparavant le poste de chef de division au sein du même service.

Elle succède à Philippe Despins qui a été promu au poste de directeur associé à la direction générale – développement économique et stratégique.

« Je suis reconnaissante qu’on me confie de nouvelles responsabilités au sein de l’organisation. C’est avec plaisir que je continuerai de travailler avec les membres de l’équipe afin de contribuer au développement urbain harmonieux de Mascouche et offrir à ses citoyens un milieu de vie unique avec des services de proximité », mentionne Stéphanie Laurier.

Bachelière en urbanisme, Mme Laurier a œuvré au sein de plusieurs municipalités, notamment comme directrice d’un service de l’urbanisme, avant de se joindre à l’équipe de la Ville de Mascouche.

« Depuis son arrivée, Stéphanie a su démontrer sa capacité à gérer plusieurs dossiers complexes en simultané. Sa rigueur, ses connaissances techniques et légales ainsi que sa facilité à trouver des solutions innovantes en matière d’urbanisme ont fait d’elle un choix naturel pour assurer la relève de la direction du Service de l’aménagement du territoire. Je suis fier de voir progresser nos gens talentueux au sein de l’équipe municipale », mentionne André Pratte, directeur général.

Le maire Guillaume Tremblay conclut pour sa part en mentionnant « avoir confiance en la capacité de Stéphanie d’assurer une belle continuité en privilégiant des pratiques innovantes en matière d’urbanisme et de développement durable pour Mascouche. »

Mascouche : Nomination de monsieur Philippe Despins à titre de directeur associé – Développement économique et stratégique

La Ville de Mascouche annonce que monsieur Philippe Despins a été nommé directeur associé à la direction générale – Développement économique et stratégique. Il s’agit d’un nouveau poste stratégique crée au sein de l’équipe de la direction générale de la Ville.

Embauché en 2017 comme chef de division – Urbanisme, M. Despins fut promu directeur du Service de l’aménagement du territoire en 2022, fonction qu’il occupait jusqu’à tout récemment.

« Je suis privilégié de pouvoir contribuer autrement au développement de la municipalité grâce à ce nouveau rôle que j’endosse avec fierté et reconnaissance. Je compte poursuivre le travail entamé en collaborant étroitement avec mes collègues afin de poursuivre la mise en œuvre d’une planification stratégique novatrice qui s’appuie sur des principes de développement durable et de rentabilité économique », mentionne M. Despins.

Bachelier en urbanisme, Philippe Despins détient également une formation universitaire en administration publique ainsi que plus de 10 années d’expérience tant dans le domaine privé que public.

« Au fil des ans, Philippe a démontré qu’il possède une vision stratégique teintée par sa créativité et son intelligence vives. Parmi les réalisations notables à son actif, notons l’adoption d’un règlement sur les redevances des promoteurs et l’élaboration d’un outil d’aide à la décision en gestion de projets. J’ai confiance qu’il pourra mener à bien les mandats que nous lui confierons, dont la mise en place d’une gestion axée sur les résultats et l’évaluation de la rentabilité des investissements municipaux », mentionne André Pratte, directeur général

« Je suis heureux de constater l’évolution du parcours de Philippe au sein de la Ville de Mascouche. Nul doute qu’Il saura représenter les intérêts économiques et stratégiques de la municipalité tout en proposant des solutions innovantes qui respectent les principes du développement durable chers à Mascouche », conclut le maire Guillaume Tremblay.

Du 21 au 27 mai, c’est la Semaine québécoise intergénérationnelle 2023 !

L’édition 2023 de la Semaine québécoise intergénérationnelle (SQI) se déroulera du 21 au 27 mai. Cette campagne nationale, coordonnée par Intergénérations Québec, a pour but de souligner et valoriser les échanges intergénérationnels, tout en inspirant l’émergence de diverses initiatives à l’échelle du Québec.

En mai 2022, l’Assemblée nationale du Québec a d’ailleurs officiellement reconnu la troisième semaine du mois de mai comme étant la Semaine québécoise intergénérationnelle ! Mme Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, a souligné devant l’Assemblée l’objectif de sensibilisation et de lutte contre l’âgisme et l’isolement de cette campagne.

Des organismes et institutions des quatre coins du Québec organiseront des animations qui rapprochent les générations. Cette programmation est compilée sur le site Internet d’Intergénérations Québec.

Tous les citoyens sont invités à profiter de cette semaine pour questionner leurs préjugés et créer ou renforcer une relation avec une personne plus jeune ou plus âgée! Notre porte-parole, la comédienne Anna Beaupré-Moulounda, revient d’ailleurs sur la Semaine et ses évènements dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=15M1Xkp4U-Y

De son côté, Intergénérations Québec proposera deux événements :

– Le forum « Regards croisés entre générations et cultures » se déroulera à l’Hôtel de Ville de Longueuil le 24 mai. Il s’agit d’une journée de réflexion qui lie les approches intergénérationnelle et interculturelle afin de lutter contre les préjugés ! Au programme : conférence, table ronde de projets et ateliers pratiques.
Cette journée sera aussi l’occasion de célébrer les liens intergénérationnels avec le dévoilement des lauréats du concours de la SQI, qui remporteront chacun une bourse de 1000 $ grâce à la générosité de notre partenaire, la Fondation Luc Maurice.

– Un ciné-panel gratuit avec un espace réseautage sur l’intergénérationnel, le 25 mai en soirée à la Cinémathèque québécoise (Montréal). Ce sera la première montréalaise de notre documentaire ‘Nos générations’ qui met en lumière des projets novateurs de rapprochement intergénérationnel. La projection sera suivie d’une discussion avec des chercheurs sur les bienfaits de telles initiatives!

 

Retrouvez la #SQI2023 sur Facebook, LinkedIn et Instagram

Remblai sur les lots 3 022 789, 2 022 790 et 3 022 792 – La municipalité de Sainte-Marie-Salomé presse les instances responsables d’agir

Devant une situation qui perdure depuis près de deux ans et qui soulève de vives inquiétudes dans la communauté, le conseil municipal de Sainte-Marie-Salomé a adopté, lors de la séance régulière du 1er mai 2022, une résolution enjoignant les instances gouvernementales de faire respecter leurs lois et règlements dans le dossier du remblai sur l’ancienne sablière située sur le chemin Montcalm, près de la limite avec la Municipalité de Saint-Jacques.

En effet, plusieurs éléments sont de nature à inquiéter les saloméennes et saloméens, notamment le fait que des sanctions pécuniaires administratives ont été émises par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs suite à une inspection sur le site réalisée en 2022.

C’est en présence d’une cinquantaine de citoyennes et citoyens, et aux côtés du député de Rousseau, Monsieur Louis-Charles Thouin, que la mairesse et ses conseillers ont écouté les préoccupations citoyennes et adopté la résolution R 105-2023-05. Établissant clairement la position de la Municipalité, la résolution interpelle la Commission de la protection du territoire agricole et du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, chacun dans sa juridiction.

Par cette résolution, le conseil municipal demande aux autorités du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs d’agir dans le cadre du présent dossier non seulement en réclamant le paiement de sanctions administratives pécuniaires mais surtout en réclamant la cessation des opérations de remblai et l’enlèvement de tous matériaux impropres ou contaminés susceptibles d’avoir été utilisés dans le cadre de cette opération de remblai.

À la CPTAQ, le conseil municipal réclame formellement, qu’elle confirme à la Municipalité que les conditions et exigences prévues par celle-ci à même sa décision d’autoriser les activités de remblai afin de revégétaliser le site, datant du 10 septembre 2019, ont été dûment accomplies.

Les deux organismes publics font également l’objet d’une demande formelle d’accès à l’information afin que la Municipalité obtienne l’entièreté des dossiers afférents à ces activités de remblai.

La mairesse de Sainte-Marie-Salomé, Madame Véronique Venne, espère vivement que les instances agiront avec diligence dans ce dossier, alors que le Règlement sur les Carrières et sablières (Q-2, r.7.1) relève du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, et que la CPTAQ est responsable de veiller à l’application de ses décisions, prises en vertu de la Loi sur la protection du territoire agricole (P-41.1).

« En 2023, plus que jamais, nous avons une responsabilité collective envers notre territoire. Chaque citoyen a droit à un environnement sain et l’information dont nous disposons n’est, à l’heure actuelle, pas rassurante. Les citoyens, en plus de subir les désagréments d’un camionnage incessant depuis bientôt deux ans, sont inquiets de la qualité et de la quantité du remblai disposé sur le site. Nous avons été assez patients! Il est temps que toutes les instances concernées unissent leurs forces, chacun dans sa juridiction. Je remercie d’ailleurs le député de Rousseau qui s’est engagé auprès des saloméennes et saloméens à appuyer nos démarches auprès du Gouvernement du Québec », a exprimé Madame Venne.

La résolution adoptée par le conseil municipal est disponible au https://bit.ly/44RsAcG

Soyez Gris en mai pour le Mois de sensibilisation aux tumeurs cérébrales

Mai est le Mois de sensibilisation aux tumeurs cérébrales au Canada. Chaque jour, 27 Canadiens sont diagnostiqués avec une tumeur cérébrale. Les tumeurs cérébrales peuvent toucher n’importe qui, indépendamment de l’âge, du sexe ou de l’origine. Elles peuvent avoir un impact profond sur les individus, les familles et les communautés. Il n’existe pas de remède.

Le Mois de sensibilisation aux tumeurs cérébrales vise à sensibiliser la population, promouvoir la recherche et soutenir les personnes touchées par la maladie. C’est l’occasion de s’unir en tant que force collective, de faire entendre notre voix et de créer un changement positif. Cette campagne aspire à fournir de l’inspiration et encourager l’action des individus, de la communauté de soins de santé et des gouvernements pour améliorer la sensibilisation du public et l’accès aux diagnostics précoces.

Cette année, la Fondation canadienne des tumeurs cérébrales met en évidence la nécessité de sensibiliser la population aux signes et symptômes des tumeurs cérébrales pour augmenter la détection précoce et le diagnostic et améliorer les chances de survie des patients.

« On estime que 55 000 Canadiens vivent actuellement avec une tumeur cérébrale. Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès par cancer solide chez les enfants et les jeunes adultes de moins de 40 ans. Bien que chaque personne diagnostiquée avec une tumeur cérébrale aura des différences dans ses symptômes et son propre parcours, il est important de connaître et de faire attention aux signes et symptômes les plus courants. Si vous ou un être cher éprouvez ces symptômes, consultez votre médecin », explique Shannon LaHay, directrice générale de la Fondation canadienne des tumeurs cérébrales.

En savoir plus sur les signes et symptômes les plus courants d’une tumeur cérébrale sur www.tumeurscerebrales.ca/mai.

Il existe de nombreuses façons de s’impliquer et de montrer son soutien :

  1. Soyez Gris en mai : portez vos chemises, pantalons, chapeaux, vernis à ongles gris préférés, mettez à jour votre photo de profil sur les réseaux sociaux avec des images en nuances de gris et notre nouveau cadre de profil Facebook. Explorez la collection de graphiques du Mois de sensibilisation aux tumeurs cérébrales pour les médias sociaux et partagez-les sur vos réseaux en utilisant le mot-clic #GrisEnMai.
  2. Partagez votre histoire : Si vous-même ou quelqu’un que vous connaissez a été touché par une tumeur cérébrale, communiquez avec la Fondation canadienne des tumeurs cérébrales pour partager votre histoire ou partagez votre témoignage sur les réseaux sociaux ou dans votre communauté locale.
  3. Informez-vous : Éduquez-vous sur les tumeurs cérébrales en lisant des sources réputées, en participant à des webinaires et en discutant avec des professionnels de la santé.
  4. Faites un don ou collectez des fonds : Soutenez la recherche sur les tumeurs cérébrales et les programmes de soutien aux patients en faisant un don. Rejoignez l’effort de collecte de fonds et encouragez votre famille et vos amis à faire de même en créant une page de collecte de fonds ou en lançant une collecte de fonds sur Facebook. Inscrivez-vous à une marche locale des tumeurs cérébrales ou à la marche virtuelle nationale.
  5. Faites du bénévolat : Impliquez-vous dans des événements locaux, des collectes de fonds ou des campagnes de sensibilisation comme la Marche pour les tumeurs cérébrales.
  6. Militez pour le changement : Contactez vos représentants élus et urgez-les à accorder la priorité à la recherche sur les tumeurs cérébrales et aux programmes de soutien aux patients.

En savoir plus sur le Mois de sensibilisation aux tumeurs cérébrales sur www.tumeurscerebrales.ca/mai.

Distribution des tests rapides de dépistage de la COVID-19 dans nos installations

Les tests rapides de dépistage de la COVID-19 sont disponibles dans les cliniques de vaccination et les cliniques de dépistage gratuitement pour la population. Il est possible de se présenter dans l’un de ces points de distribution afin de se procurer une boîte de tests rapides.

Lieux et heures de distribution

  • Clinique de vaccination aux Galeries Joliette | 1075, boulevard Firestone à Joliette (accès par la porte 6, près du Pharmaprix)
    • Le lundi et le mardi de 10 h 30 à 17 h 30;
    • Le vendredi de 12 h 30 à 19 h 30;
    • Le samedi de 9 h 30 à 16 h 30.
  • Clinique de vaccination aux Galeries Rive Nord | 100, boulevard Brien à Repentigny (accès par la porte 1, près de la Banque Nationale)
    • Le lundi et le mardi de 10 h 30 à 17 h 30;
    • Le vendredi de 12 h 30 à 19 h 30;
    • Le samedi de 9 h 30 à 16 h 30.
  • Clinique de dépistage au Centre hospitalier De Lanaudière | 1000, boulevard Sainte-Anne à Saint-Charles-Borromée (gymnase)
    Du lundi au dimanche de 8 h à 16 h.
  • Clinique de dépistage à Mascouche | 300, rue Louis-Blériot à Mascouche
    Du lundi au dimanche de 8 h à 16 h.

Vous pouvez vous présenter pendant les heures d’ouverture dans chacun des sites mentionnés afin de recevoir une boîte de 5 unités de tests rapides.

Nous vous remercions de votre collaboration

Guillaume Tremblay élu vice-président de l’Union des municipalités du Québec

Le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, a été élu à première vice-présidence de l’Union des municipalités du Québec (UMQ), dont les membres représentent plus de 85 % de la population et du territoire du Québec. À noter qu’il occupait la deuxième vice-présidence depuis 2021.

Préalablement à cette nomination, il a également été réélu au sein du conseil exécutif de l’UMQ en tant que représentant de la Couronne Nord du caucus des municipalités de la métropole. Il s’agit d’un poste qu’il occupe depuis 2017.

« Je remercie mes collègues de partout au Québec pour leur confiance à mon égard. C’est une nomination que je partage avec l’ensemble de mes concitoyens puisque nous gagnons tous, collectivement, à disposer d’une voix forte dans le monde municipal et à l’échelle du Québec. Je compte contribuer à faire avancer les grands chantiers prioritaires en cours, dont l’habitation, les changements climatiques, la mobilité et la fiscalité municipale », mentionne M.Tremblay.

 

Le gouvernement du Québec présent en région : près de 344 M$ pour une mobilité plus efficace et sécuritaire à Laval

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, au nom de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, annonce un investissement de 343 850 000 $ pour les deux prochaines années dans les réseaux de transport routiers de la région de Laval.

Les sommes allouées visent la mise en œuvre de projets significatifs pour le milieu, tels que :

  • l’asphaltage de l’autoroute 13, en direction nord, entre les ponts Louis-Bisson et Vachon;
  • la construction d’une bretelle aérienne dans l’échangeur des autoroutes 440 et 15;
  • l’asphaltage de l’autoroute 440, entre la route 117 et l’avenue Francis-Hughes.

 

Ces derniers comptent parmi les 17 projets prévus dans la région.

 

Citations

 

« Ces investissements prouvent l’importance que nous accordons au maintien de nos actifs et à l’amélioration des infrastructures de mobilité sur notre immense et magnifique territoire. Ils incarnent notre engagement d’offrir aux Québécois une meilleure mobilité et une sécurité accrue sur nos réseaux. Ce faisant, nous renforçons nos chaînes logistiques et stimulons la vitalité de nos communautés, en soutenant leur développement socioéconomique et en favorisant la création d’emplois de qualité. »

 

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

 

« Le soutien annoncé va nous permettre de concrétiser plusieurs projets d’infrastructures attendus, et de réduire les déficits d’entretien de nos actifs routiers. Laval en sortira gagnante : de tels projets contribuent à la vitalité économique de la ville en plus de stimuler l’entrepreneuriat local et la création d’emplois de qualité. »

 

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

 

Faits saillants

 

  • Les sommes investies dans la région de Laval se répartissent comme suit :
    • 139 062 000 $ pour améliorer l’état des chaussées;
    • 51 562 000 $ pour améliorer l’état des structures;
    • 153 225 000 $ pour un réseau efficace et sécuritaire, notamment pour donner suite à des recommandations du Bureau du coroner.
  • En 2022, le projet suivant a été mené à terme :
    • la réparation et l’asphaltage du pont Gédéon-Ouimet de l’autoroute 15, au-dessus de la rivière des Mille Îles, à Laval et à Boisbriand.

Autoroute 640, à Terrebonne et à Mascouche – Reprise des travaux d’asphaltage en direction ouest dès le 14 mai

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable informe les usagers de la route de la reprise des travaux, à compter du 14 mai 2023, visant à l’asphaltage sur l’autoroute 640, en direction ouest, entre le chemin des Anglais à Mascouche et l’avenue Claude-Léveillée à Terrebonne.

Réalisés de nuit, afin de limiter les répercussions sur la circulation, ceux-ci permettront à terme d’améliorer le confort de roulement de la chaussée et la sécurité, en plus de remplacer un ponceau déficient sur l’autoroute.

Gestion de la circulation

  • Fermetures partielles de l’autoroute 640 dans les deux directions, entre l’autoroute 25 et la route 335 (boulevard Louis-Joseph-Papineau);
  • Fermeture complète de l’autoroute 640, en direction ouest, entre l’autoroute 25 et la route 335 (boulevard Louis-Joseph-Papineau). Durant cette période, les usagers de la route sont invités à suivre les chemins de détours balisés sur le réseau.

La limite de vitesse sera réduite à 70 km/h, dans les deux directions, dans la zone de travaux lors du maintien de la circulation à contresens.

En cas de contraintes opérationnelles ou de conditions météorologiques défavorables, le début de ces travaux pourrait être reporté.

Afin de planifier adéquatement vos déplacements, informez-vous sur les entraves en cours et à venir en consultant le Québec 511.

Le Ministère remercie les usagers de la route pour leur collaboration. Pour la sécurité des usagers de la route et celle des travailleurs, le respect de la signalisation en place est essentiel.

Construction durable d’immeubles : 1,2 m$ pour un nouveau regroupement de recherche – Des chercheurs veulent imprimer des maisons

Un consortium d’une douzaine de chercheurs qui proviennent de différents établissements d’enseignement post-secondaires ou de centres collégiaux de transferts de technologie (CCTT) du Québec, dont INÉDI, CCTT du Cégep de Lanaudière à Terrebonne, souhaite construire des bâtiments modulaires durables fabriqués par impression 3D. Ce projet, mené par un ingénieur et enseignant du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue est appuyé financièrement par le Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies (FRQNT), à hauteur de 900 000 dollars sur trois ans (liste des chercheurs et des partenaires à la fin du communiqué).

Selon une étude de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) publiée en juin 2022, il manquera environ 600 000 logements au Québec en 2030. Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre touchant plusieurs secteurs économiques, dont le milieu de la construction, la province devra donc accélérer le rythme de croissance de son parc immobilier, avec un effectif ouvrier similaire, voire moindre.

L’un des objectifs du tout nouveau Regroupement innovant pour l’impression d’immeubles durables (RI³D-FRQNT) est d’être en mesure, au terme des trois prochaines années, de construire des appartements avec moins de personnel et d’ériger des habitations plus abordables. Le prototype fonctionnel, un bâtiment modulaire imprimé au Québec, sera conçu et assemblé en 2025 pour Habitat pour l’humanité Québec.

« La fabrication additive évolue dans une multitude de domaines, dont celui de l’habitation, car il est possible d’explorer rapidement différentes formes et matériaux. Grâce aux expertises complémentaires réunies dans notre regroupement, nous aurons l’opportunité de faire progresser les connaissances dans l’impression de bâtiments adaptés à notre climat québécois, tout en ayant en tête d’utiliser des matériaux à plus faible empreinte environnementale », explique Elisabeth Laroche, chercheuse au CCTT INÉDI du Cégep de Lanaudière à Terrebonne, impliquée dans le projet.

« Nous proposons d’évaluer les gains potentiels d’une technologie émergente, soit l’impression 3D à grande échelle, et de l’utiliser pour imprimer des modules qui seront assemblés pour construire un bâtiment. L’impression en usine de modules permet l’édification de petits et de grands immeubles douze mois par année, en diminuant les coûts de production et en accélérant la cadence de construction, et ce, dans le but d’augmenter l’accès à la propriété des Québécoises et des Québécois », lance David Laliberté, enseignant au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et initiateur de la démarche

Cette technologie, qui est déjà utilisée ailleurs dans le monde, permet notamment de :

  • produire plus rapidement la partie structurelle d’un bâtiment comparativement aux pratiques traditionnelles;
  • nécessiter moins de main-d’œuvre par logement construit;
  • utiliser moins de matériaux en réduisant les pertes;
  • faire des formes arrondies, plus fortes structurellement.

 

Au Canada, plus précisément en Ontario, des bâtiments ont déjà été imprimés sur site en 2022. L’approche proposée par le RI³D-FRQNT est toutefois différente, puisqu’elle propose l’impression de modules en usine qui seront transportés et assemblés sur site ultérieurement.

« Cette méthode offre plusieurs avantages selon nos hypothèses, soit d’utiliser une plus petite imprimante, donc moins coûteuse, de ne pas déplacer l’imprimante, de permettre un gain de temps et de construire de grands bâtiments en multipliant les modules ce qui pourrait favoriser la densification du cadre bâti », soutient pour sa part le directeur du Service technique de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ), Marco Lasalle.

Le RI³D-FRQNT devra toutefois se pencher sur les matériaux utilisés par cette nouvelle technologie, puisque le béton est une matière avec un bilan carbone plutôt décevant. « Le regroupement vise faire des recherches sur des bétons plus verts, sur des matériaux imprimables alternatifs et sur l’efficacité énergétique des bâtiments imprimés », nuance cependant le professeur Ammar Yahia, qui est titulaire d’une chaire industrielle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) sur les bétons fluides à rhéologie adaptée.

Il s’agit d’un projet ambitieux et c’est pour cette raison qu’une vaste recherche scientifique sera entamée au cours des prochaines semaines par une équipe dotée d’une expertise pour le moins impressionnante incluant des compétences diverses et complémentaires en génie, en architecture, en matériaux cimentaires, en matériaux forestiers, en prototypage rapide, en logistique et manutention, en environnement, etc.

Les compétences de six cégeps, de deux universités et pas moins de six centres collégiaux de transfert de technologie sont mises à contribution.

Pour mener à bien ce projet, l’équipe de David Laliberté comptera donc sur un financement de 900 000 dollars du FRQNT, et à cela s’ajoutera une contribution financière et en nature estimée à 300 000 dollars sur trois ans venant de l’ensemble des partenaires, pour un total de 1,2 million de dollars.

« Nous sommes très heureux d’avoir pu obtenir le soutien financier du FRQNT, sans lui, on ne pourrait envisager ce projet », commente l’enseignant.

« Je suis très heureuse du soutien accordé par le FRQNT au professeur Laliberté pour la mise en place de RI³D-FRQNT, déclare la directrice scientifique du FRQNT, Janice Bailey. L’expertise scientifique que l’on retrouve dans nos regroupements de recherche, de même que l’excellence et la compétitivité dont ils font preuve, les placent à l’avant-garde de leur domaine. Je salue le fait que la recherche au sein de ce nouveau regroupement de recherche collégial sur les immeubles durables se fera de manière interordre, interdisciplinaire, et interregroupements de recherche, un moyen privilégié selon moi pour renforcir et développer l’écosystème de recherche québécois. »

 

LISTE DES PARTENAIRES DU MILIEU ADÉQUATION DES COMPÉTENCES DES MEMBRES DU RI³D-FRQNT

NOMFORCES ET COMPÉTENCESPARTENAIRE
David LalibertéPassive house; génie industriel, mécanique et structure; gestionCégep de l’Abitibi-Témiscamingue
Abdelmajid RakibUtilisation de rejets industriels pour améliorer le bétonCentre technologique des résidus industriels
Louis-Étienne RoseArchitecture et enveloppe

Conception de bâtiment

Cégep André-Laurendeau
Richard LangOptique, fabrication du verreOptech (Cégep de La Pocatière)
Othmane DayiGénie industriel, manutention et logistiqueInnovLOG 
Anas HarraqGénie civil, structure, bétonCégep de Lanaudière à Joliette
Elisabeth LarocheImpression 3D, prototypage rapideINEDI (Cégep de Lanaudière à Terrebonne)
Ammar YahiaImpression de béton, structure, civilUniversité de Sherbrooke
Dahai QiEnveloppe, maison passive, système incendie
David MyjaModification chimique et création de produits fibreuxInnofibre (Cégep de Trois-Rivières)
Franz Segovia AbantoDéveloppement de matériaux composites à base de boisSEREX (Cégep de Rimouski)
Ivanka IordanovaLean construction, BIMETS
Shirlane DayBesoin du clientHabitat pour l’humanité Québec
Marco LasalleExpert en enveloppe du bâtimentAssociation des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec
Annie LanguedocExperte en relation de travail liée à la construction

 

À propos d’INÉDI

INÉDI est un CCTT, intégré au Cégep de Lanaudière à Terrebonne, dont le domaine d’expertise est le design industriel. Le centre accompagne les entreprises dans la réalisation de projets comportant des risques et des incertitudes du point de vue technique, technologique et d’affaires. INÉDI souhaite améliorer la vie des gens en inspirant, en outillant et en appuyant les acteurs du changement, à cocréer des produits durables, inclusifs et répondant à leurs besoins, par ses expertises et équipements spécialisés au sein de ses trois laboratoires : HOLODEC-Desjardins, en cocréation et prototypage virtuel, KINÉDI, en interaction humain-objet et PROTODEC-Desjardins, en prototypage rapide et impression 3D.

 

À propos du Cégep de Lanaudière à Terrebonne

Depuis maintenant 25 ans, le Cégep de Lanaudière à Terrebonne se positionne comme un acteur d’importance dans la MRC Les Moulins. Comptant plus de 1775 étudiants à travers ses trois programmes préuniversitaires, ses cinq programmes techniques et son cheminement Tremplin DEC, il offre une riche vie étudiante et sportive. Il évolue sous le chapeau du Cégep de Lanaudière, comptant également le Cégep à Joliette et le Cégep à L’Assomption, pouvant ainsi collaborer et bénéficier d’un précieux partage d’expertise. Le Cégep de Lanaudière à Terrebonne a la chance d’avoir en ses murs un Centre collégial de transfert de technologie en design industriel, INÉDI.

Pour en savoir plus : https://www.cegep-lanaudiere.qc.ca/terrebonne

 

À propos du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue

Le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue s’engage et s’investit dans sa mission éducative, en accompagnant la population étudiante de toute provenance dans la réussite de son projet de vie. En ce début du 21e siècle, par ses activités de formation et de recherche qui lui permettent d’être un acteur du développement régional, le Cégep propose des approches novatrices et flexibles pour répondre aux besoins de sa population étudiante, du marché du travail, et de la société.

 

La mission du Cégep consiste à développer des compétences pour apprendre, innover et contribuer à la société, dans un environnement empreint d’ouverture et de proximité.