Projet de loi sur la main-d’œuvre indépendante – Il en faudra plus pour arrêter l’hémorragie

Alors que le gouvernement se donne les moyens pour encadrer le recours à la main-d’œuvre indépendante (MOI) dans le réseau de la santé et des services sociaux, l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) s’inquiète de l’ampleur toujours plus grande de ce phénomène.

« La solution durable pour mettre fin au recours aux agences de placement est d’investir pour améliorer les conditions de travail du personnel, qui tient à bout de bras les services publics. En ce moment, ces agences utilisent de l’argent consacré à la population pour augmenter leur marge de profit. Le gouvernement doit mettre fin à cette exploitation éhontée de l’argent public le plus rapidement possible », indique d’entrée de jeu Steve Garceau, Représentant National de l’APTS pour la région de Lanaudière.

En six ans, les sommes investies à la grandeur du Québec pour embaucher de la MOI dans la catégorie du personnel professionnel et technique (catégorie 4) ont été décuplées. Pour Le CISSS de Lanaudière, le coût total est passé de 13 117$ en 2015-2016 à 711 000$ en 2021-2022.

Dans ce contexte, l’APTS apprécie le fait que le gouvernement légifère pour limiter le recours aux agences de placement mais s’inquiète du contenu des règlements qui accompagneront le projet de loi no 10, Loi limitant le recours aux services d’une agence de placement de personnel et à de la main-d’œuvre indépendante dans le secteur de la santé et des services sociaux (PL 10). « Nous saluons les intentions du ministre Dubé de mieux encadrer et de limiter le recours aux agences de placement. Mais pour qu’elles se concrétisent, il faudra que ce projet de loi s’accompagne de mesures d’attraction et de rétention de la main-d’œuvre dans le secteur public. C’est la seule façon de convaincre le personnel qui a quitté le réseau public d’y revenir à long terme », prévient monsieur Garceau.

Pour certains établissements, le recours à la MOI a pris une telle ampleur qu’il provoque des déficits structurels de plus en plus grands. « La population en paye déjà le prix puisque le gouvernement doit augmenter la part du financement sans être en mesure d’offrir de meilleurs soins et services », déplore monsieur Garceau.

De plus, l’aspect temporaire et aléatoire du travail en agence représente un défi majeur pour maintenir la qualité de soins et services. « Pour les éducatrices, les travailleuses sociales et les agentes de relations humaines par exemple, la nature même du travail nécessite de créer des liens de confiance basés sur des relations stables et durables. Les établissements font pourtant très souvent appel aux agences pour combler ces postes », s’étonne monsieur Garceau.

L’APTS fera prochainement part de ses recommandations et de ses attentes sur le PL10 ainsi que sur les règlements qui en découleront.

 

À propos de l’APTS

L’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) regroupe et représente quelque 65 000 membres qui jouent un rôle indispensable au bon fonctionnement des établissements du réseau, dont 3300 dans la région de Lanaudière. Nos gens offrent une multitude de services en matière de diagnostic, de réadaptation, de nutrition, d’intervention psychosociale et de soutien clinique et de prévention, autant de services qui s’adressent à l’ensemble de la population.

Démantèlement d’un réseau de production de GHB – huit arrestations

Les policiers de l’escouade régionale mixte (ERM) Rive-Nord, en collaboration avec le Service de police de la Ville de Mascouche, le Service de police de la Ville de Terrebonne, la Régie intermunicipale de police Roussillon et le Service de police de l’agglomération de Longueuil, ont mené aujourd’hui la phase finale d’une enquête relative à de la production de GHB, dans les secteurs de Terrebonne, Prévost, Saint-Philippe et de Delson.

Les policiers ont procédé à l’arrestation de Sébastien Turcotte 43 ans, Éric Matte 42 ans et Jean-Philippe Robitaille 44 ans, en lien avec de la production de GHB. Ces derniers ont comparu aujourd’hui, ou comparaitront en soirée, par visioconférence au palais de justice de Saint-Jérôme pour répondre à des accusations de production de GHB, participation à une organisation criminelle, trafic de stupéfiants, possession en vue de trafic, complot, recel et recyclage de produits de la criminalité, selon les cas. De plus, Michel Dionne 63 ans et Richard Boisvert 52 ans ont été accusés d’avoir possédé et vendu des produits aux fins de production et trafic de stupéfiants, notamment. Tous ces suspects sont demeurés détenus.

Trois femmes de 33, 40 et 45 ans ont également été arrêtées. Elles ont été libérées et pourraient faire face à des accusations à une date ultérieure.

L’opération qui découle d’une enquête amorcée en mars 2022 et a mobilisé plus de 30 policiers de différentes unités d’enquête de la Sûreté du Québec et de ses partenaires

Les perquisitions effectuées en cours d’enquête ont permis la saisie de :

  • 340 000 $ en argent;
  • 77 litres de GHB;
  • 1389 litres de GBL;
  • 20 poches de soude caustique;
  • Une installation extérieure de 5 brûleurs et 5 cuves pour la production du GHB;
  • Une arme à feu prohibée de calibre 25;
  • Plusieurs documents datés de 2014 à 2022 pour l’achat de plus de 36 000 litres de GBL et de soude caustique, précurseur servant à la production de GHB.

Les ERM sont des partenariats entre services de police qui ont comme objectif une mise en commun des ressources pour mieux lutter contre le crime organisé, et ce, dans toutes les régions du Québec.

Toute personne qui détiendrait des informations en lien avec des activités liées au trafic de stupéfiants peut contactez la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

La stratégie CENTAURE a pour mandat d’assurer une pression constante sur le crime organisé et ainsi, lutter activement contre la violence armée au Québec. CENTAURE permet à tous les corps policiers partenaires de maximiser leurs efforts au niveau national, régional et local ciblant à la fois l’approvisionnement, l’importation, la distribution et la possession illégale d’armes à feu.

Toute information en lien avec la possession, le trafic ou l’utilisation d’armes à feu peut être communiquée à la ligne d’information CENTAURE au 1-833-888-ARME (2763).

Démantèlement d’un réseau de production de GHB

Les policiers de l’escouade régionale mixte (ERM) Rive-Nord, en collaboration avec le Service de police de la Ville de Mascouche, le Service de police de la Ville de Terrebonne, la Régie intermunicipale de police Roussillon et le Service de police de l’agglomération de Longueuil, mènent actuellement une opération relativement à de la production de GHB, dans les secteurs de Terrebonne, Prévost, Saint-Philippe et de Delson.

Plusieurs arrestations sont visées par cette opération. Celle-ci découle d’une enquête amorcée en mars 2022 et mobilise plus de 30 policiers de différentes unités d’enquête.

L’opération a pour but de mettre fin aux activités criminelles d’un groupe s’adonnant à la production de GHB à haut volume, en procédant à l’arrestation de huit personnes.

Les ERM sont des partenariats entre services de police qui ont comme objectif une mise en commun des ressources pour mieux lutter contre le crime organisé, et ce, dans toutes les régions du Québec.

Toute personne qui détiendrait des informations en lien avec des activités liées au trafic de stupéfiants peut contacter la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264

Pour sa part, la stratégie CENTAURE a pour mandat d’assurer une pression constante sur le crime organisé et ainsi, lutter activement contre le trafic d’armes à feu illégales au Québec. CENTAURE permet à la Sûreté du Québec ainsi qu’à tous les corps policiers partenaires de maximiser leurs efforts au niveau national, régional et local ciblant à la fois l’approvisionnement, l’importation, la distribution et la possession illégale d’armes à feu.

Ville de Joliette : Roxanne Miville-Dechêne à la Direction du Capital humain

Le conseil municipal de la Ville de Joliette est heureux d’annoncer la nomination de Mme Roxanne Miville-Dechêne au poste de directrice du Capital humain. Cette dernière est entrée en fonction le 13 février dernier.

Détentrice d’un baccalauréat en communication ressources humaines de l’Université du Québec à Montréal, Mme Miville-Dechêne est en voie de terminer une maîtrise en administration. Elle occupait jusqu’à tout récemment le poste de directrice des ressources humaines à la Coopérative de Solidarité Aide Chez Soi des Basses-Laurentides.

« Pour le conseil municipal, il ne fait aucun doute que l’expertise, les compétences et les qualités interpersonnelles de Mme Miville-Dechêne lui permettront de relever les défis liés à ses fonctions. Au nom du conseil municipal, je lui souhaite la bienvenue dans l’équipe et lui assure mon soutien », mentionne le maire, Pierre-Luc Bellerose.

Terrebonne et Mascouche disent haut et fort : « non merci aux objets à usage unique »

Terrebonne et Mascouche lancent une grande campagne publique de sensibilisation autour du thème Non merci aux objets à usage unique. Celle-ci vise à informer et à conscientiser la population quant aux objectifs de réduction à la source sur lesquels s’appuie le nouveau cadre réglementaire entourant la distribution de ce type d’objets sur le territoire moulinois.

« En fait, notre message à nos concitoyennes et concitoyens, c’est qu’à Terrebonne et à Mascouche, nous disons collectivement « non merci aux objets à usage unique », des objets qui, rappelons-le, ne sont utilisés que quelques minutes et prennent ensuite des centaines d’années à se décomposer. Avec ce non clair et limpide, ce qui est souhaité, c’est d’éviter carrément la création de certains déchets en s’attaquant à l’origine du problème. C’est aussi avec cet objectif de réduction à la source en tête que nous invitons tout un chacun, mon homologue mascouchois et moi inclus, à repenser leurs propres habitudes de consommation », souligne Mathieu Traversy, maire de Terrebonne.

Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, poursuit : « On devrait toujours se demander si on a vraiment besoin d’un produit avant de l’utiliser ou de l’acheter. Les médias rapportaient récemment que les ménages et entreprises du Québec avaient envoyé près de 5,8 millions de tonnes de déchets à l’élimination en 2021. Juste pour les ordures ménagères dans la MRC Les Moulins, on parlait en 2020 d’une moyenne de 315 kg de matières résiduelles enfouies par habitant. Pensez-y, c’est l’équivalent du poids de plus de 100 boules de bowling par personne! Nous devons agir dès maintenant! ».

Des solutions de remplacement existent

La campagne de communication Non merci aux objets à usage unique s’appuie sur de telles statistiques afin de démontrer clairement pourquoi il est important d’agir sans tarder sur la quantité de déchets que nous générons. À travers leurs outils de communication, les deux municipalités ont aussi pour objectif de promouvoir les solutions de remplacement faciles et accessibles aux objets à usage unique. Ainsi, mieux informés, les citoyens seront mieux outillés pour prendre de meilleures décisions au quotidien.

À propos du règlement adopté à l’automne 2022

À la suite d’échanges sur le terrain avec les commerçants concernés, le règlement stipule qu’à partir du 1er mars 2023 :

· la distribution de certains objets à usage unique en plastique, comme les pailles, les ustensiles et les sacs d’emballage et d’emplettes, sera interdite;

· seule la vaisselle réutilisable sera autorisée dans les salles à manger des restaurants;

· des sacs d’emballage réutilisables devront être disponibles dans la section des fruits et légumes des épiceries;

· les sacs d’emballage en plastique recyclable pourront être fournis uniquement aux caisses ainsi que dans les rayons de la boucherie et de la poissonnerie;

· les récipients réutilisables des clients devront être acceptés pour rapporter leurs restes de repas ou pour les produits vendus en vrac.

Une période de transition jusqu’au 1er septembre est accordée aux commerçants moulinois afin de permettre une adaptation de leurs pratiques et l’écoulement de leurs inventaires.

Tous les détails sur le règlement, notamment la liste détaillée des objets concernés et les exceptions prévues, sont disponibles au non-merci.ca.

Le changement, ça commence maintenant!

Un soutien fort utile de la part de RECYC-QUÉBEC

En vue d’optimiser la mise en application de leur règlement respectif, Terrebonne et Mascouche bénéficient d’un financement dans le cadre de l’Appel de propositions visant la réduction de l’utilisation de produits à usage unique de RECYC-QUÉBEC.

Du côté de la Ville de Terrebonne, la subvention obtenue pour l’année 2023 est de 100 900 $. La Ville de Mascouche a quant à elle reçu une subvention de 80 500 $ pour 2023. Grâce à ces subventions, l’accompagnement des commerçants moulinois sur le terrain se verra bonifié et la vaste campagne de communication et de sensibilisation pourra être enrichie.

Quelle sera la suite sur le plan de la réglementation?

Tel qu’elles l’avaient précisé dès le début de leur démarche, Terrebonne et Mascouche souhaitent par ailleurs aller plus loin que la simple interdiction de distribution pour certains objets. Ainsi, le cadre réglementaire visant la réduction à la source sera cette année bonifié par un deuxième règlement. Celui-ci s’appuiera sur le principe des écocontributions. Les écocontributions sont des frais peu élevés que l’on ajoute au prix de vente d’un objet à usage unique dont la distribution n’est pas interdite, mais pour lequel il existe des solutions plus écologiques.

Avant d’adopter ce deuxième règlement, les deux municipalités entameront cet hiver des échanges avec les commerçants afin de bien cerner leurs réalités et de proposer des stratégies de mise en œuvre réalistes et mobilisatrices.

Le syndicat des autobus R. M. déclenche une grève générale illimitée

En ce matin du 15 février, les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs des autobus R.M.–CSN ont déclenché une grève générale illimitée. Sans contrat de travail depuis le 31 août 2021, le syndicat avait adopté un mandat de grève générale illimitée à 97 % le 21 janvier dernier.

« Les autres clauses étant déjà négociées, il ne reste que celles à incidence financière à régler. À la suite d’une offre globale et finale sur ces clauses qui a été déposée par l’employeur le 27 janvier dernier, le syndicat a également déposé son offre globale et finale le 3 février. Les relations sont tendues et nous sommes encore loin d’un règlement, précise Robert Dubois, président du syndicat. Puisque notre employeur a reçu les mêmes sommes que les autres transporteurs scolaires de Lanaudière, nous connaissons sa capacité de payer et nous sommes déterminés à aller chercher notre juste part. »

« L’employeur ne peut ignorer les nouvelles données salariales en vigueur dans le secteur du transport scolaire. Celles-ci reconnaissent enfin le difficile travail des conductrices et des conducteurs. Tous les employeurs ont reçu une bonification variant entre 15 et 30 % de la valeur de leurs contrats et cet argent doit se rendre dans les poches de celles et de ceux qui conduisent les autobus, ajoute Stéphanie Gratton, présidente par intérim de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN. Si l’employeur veut régler ses problèmes d’attraction et de rétention de ses travailleuses et de ses travailleurs, il sait très bien ce qu’il a à faire. »

« En moins de 48 heures, deux syndicats de la région de Lanaudière ont obtenu des majorations salariales de plus de 40 % sur la durée de leur nouveau contrat de travail. Il y a donc un mouvement clair, net et précis de bonification majeure des salaires dans le secteur. Malgré cette évidence, la direction des autobus R. M. tient actuellement tête au syndicat. Vu le contexte de rareté de main-d’œuvre, l’employeur met en péril sa propre capacité à garder ses salarié-es à son emploi et donc, à respecter les contrats qu’il a signés avec ses clients », conclut Patricia Rivest, présidente du Conseil central de Lanaudière–CSN.

À propos

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des autobus R.M.–CSN regroupe 62 membres. La FEESP–CSN compte plus de 425 syndicats affiliés représentant 65 000 membres œuvrant dans le domaine des services publics et parapublics. Le Conseil central de Lanaudière–CSN regroupe 81 syndicats représentant plus de 14 000 membres sur l’ensemble du territoire de Lanaudière.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle regroupe plus de 330 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans 8 fédérations, ainsi que sur une base régionale dans 13 conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

Écocentre de la municipalité de Saint-Calixte maintenant gratuit 2 fois par année

La Municipalité de Saint-Calixte est heureuse d’annoncer l’ouverture gratuite de son Écocentre, et ce, 2 fois par année par adresse pour les résidents de la Municipalité.

En effet, l’accès à l’Écocentre permettra pour chaque résidence du territoire de se démunir de matières résiduelles telles que des matériaux secs, le métal, les appareils refroidissant contenant du fréon, les branches (sans les souches) dans une remorque 4’ X 6’ X 3’, gratuitement, 2 fois par année. Grâce à ce tri à la source de ces matières résiduelles plus difficilement récupérables par une collecte porte-à-porte, la majeure partie sera récupérée et recyclée afin que les matériaux qui les composent soient valorisés, donc détournée de l’enfouissement.

La Municipalité de Saint-Calixte se consacre à soutenir la population et à promouvoir la réduction des empreintes écologiques, le recyclage et la réutilisation des matières, au moyen d’une action communale, responsable et efficace. Cette nouvelle mesure encourage le développement durable et contribue à sensibiliser la communauté aux enjeux environnementaux et à la propreté résidentielle.

« Au sein du conseil municipal, nous participons activement à la recherche d’initiatives liées à l’environnement, je pense ici aux démarches concrètes amorcées en lien avec l’eau. Nous sommes ici convaincus que cette nouvelle gratuité est un pas en avant dans le respect de la protection des ressources et nous espérons qu’elle encouragera d’autres initiatives semblables. Il est temps de participer au mouvement en faveur d’une société plus durable, plus propre et plus respectueuse de la nature. ». – Michel Jasmin, maire de la Municipalité de Saint-Calixte

Nous invitons chaque Calixtienne et Calixtien à profiter de cette gratuité.

Pour plus de détails, rendez-vous sur notre site Internet au : https://saint-calixte.ca/services/environnement/ecocentre

Léa D’Astous remporte la finale locale de Cégeps en spectacle du Cégep de Lanaudière à Terrebonne

C’est le 1er février dernier que se tenait la finale locale du concours Cégeps en spectacle au Cégep de Lanaudière à Terrebonne.

À travers la danse, le chant, le piano et le cirque aérien, les artistes ont donné le meilleur d’eux-mêmes afin de faire vivre un spectacle haut en couleur à une foule de plus de 200 personnes. C’est sur les planches du Théâtre du Vieux-Terrebonne que Léa D’Astous, étudiante en Sciences humaines, profil Administration, a remporté les honneurs grâce à sa création de danse contemporaine, remplie d’émotions.

Elle mérite ainsi une bourse de 250 $ remise par l’Association étudiante.

Samuel Adam, étudiant en Sciences de la nature, a quant à lui remporté le Prix Coup de cœur ainsi qu’une bourse de 150 $ de l’Association étudiante, pour son original numéro de gigue.

Nous souhaitons remercier le jury, composé de Camélia Letendre, d’Alexandre Leblanc et de Normand Lamy, qui avait la lourde tâche de sélectionner le numéro qui représentera le Cégep lors de la finale régionale de Cégeps en spectacle qui se tiendra le samedi 25 mars au Cégep Gérald-Godin.

Le lancement des festivités du 25e anniversaire du Cégep de Lanaudière à Terrebonne L’évènement concordait également avec le lancement des festivités du 25e anniversaire du Cégep de Lanaudière à Terrebonne.

Dans ce cadre, nous souhaitons également remercier M. Mathieu Traversy, maire de Terrebonne et M. Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, tous deux diplômés du Cégep de Lanaudière à Terrebonne, qui, lors de cette occasion, sont venus sur scène partager quelques souvenirs de leur passage au Cégep.

En terminant, l’ensemble de la communauté du Cégep de Lanaudière à Terrebonne souhaite féliciter et reconnaitre l’audace et le talent de tous les participants qui ont osé cette aventure unique. Merci à l’équipe d’animation qui a relevé le défi haut la main, à l’Association étudiante pour son soutien financier, et à l’équipe de la Vie étudiante pour son travail colossal afin de rendre cet évènement possible.

Nous aurons par ailleurs l’honneur de recevoir la grande finale nationale du concours le 29 avril prochain.

C’est un rendez-vous!

Défi 28 jours sans alcool – Lanaudière en 5e position

Pendant que le Défi 28 jours sans alcool de la Fondation Jean Lapointe bat son plein, les participants de partout au Québec essaient de ne pas boire une goutte d’alcool pour soutenir la cause de la prévention des dépendances qui est chère à la Fondation.

Dans Lanaudière, vous êtes près de 747 participants ayant récolté plus de 39 556 $ pour la cause à ce jour, ça représente 3 596 jeunes potentiellement rencontrés. Puisque pour chaque tranche de 28 $ en don, l’équipe de la prévention peut rencontrer 2 jeunes.

Vous êtes d’ailleurs la cinquième région ayant le plus de participants et dons récoltés à ce jour! La Montérégie est en tête avec 109 770 $, suivie de la région de la Capitale nationale avec 92 210 $.

Il reste encore 2 semaines au Défi 28 jours sans alcool de la Fondation Jean Lapointe. Il est encore possible de faire un don ou de parrainer un participant. www.defi28jours.com

Une peine d’emprisonnement et des amendes de plus de 375 000 $ pour une résidente de Saint-Lin-Laurentides

Revenu Québec annonce qu’une résidente de Saint-Lin-Laurentides, Mme Lise Gaudet, a été condamnée à purger une peine d’emprisonnement concurrente de 24 mois au provincial et 9 mois au fédéral et à payer des amendes totalisant 375 710,89 $. La femme de 61 ans a plaidé coupable à des accusations de fraude fiscale le 12 mai 2021, au palais de justice de Joliette.

Depuis 2002, Mme Gaudet a agi à titre de responsable du marketing indépendant (RMI) pour faire la promotion des produits de la société Melaleuca of Canada Inc. Mme Gaudet recevait une commission mensuelle en fonction des achats générés par son réseau. Or, selon une publication de l’entreprise diffusée en 2017, Mme Gaudet a gagné plus de 2 530 150 $ de revenus depuis qu’elle agit comme RMI. Des vérifications faites par Revenu Québec ont démontré qu’elle n’a déclaré aucun revenu provenant des commissions de la société ni remis aucune taxe qu’elle a perçue au cours des années 2012 à 2018.

Mme Gaudet avait porté sa sentence en appel après avoir plaidé coupable à des accusations de fraude fiscale, notamment d’avoir omis de déclarer des revenus, d’avoir volontairement omis de remettre ou de verser des taxes qu’elle a perçues ou aurait dû percevoir en vertu de la Loi sur la taxe de vente du Québec et d’avoir volontairement, de quelque manière, éludé ou tenté d’éluder les dispositions de la partie IX de la Loi sur la taxe d’accise. L’appel de la sentence pour emprisonnement a été rejeté le 20 décembre dernier.

Revenu Québec est un acteur important dans la lutte contre la criminalité économique et la fraude fiscale. C’est la raison pour laquelle il déploie énormément d’efforts pour les contrer.

La pleine récupération par le Québec des revenus fiscaux qui lui sont dus représente une priorité pour Revenu Québec. C’est une question d’équité à l’égard de la grande majorité des citoyens et des entreprises qui paient leur juste part de taxes et d’impôts.