Dans ce 19^e bilan annuel, les directeurs de la protection de la jeunesse/directeurs provinciaux (DPJ-DP) partout au Québec souhaitent donner la parole aux enfants et aux adolescents, les écouter, les mettre à l’avant-plan en tant que premiers artisans de leur développement.

Comme DPJ, il faut intervenir lorsque la sécurité et le développement d’un enfant sont compromis. Or, si l’on comprend assez facilement ce qui compromet la sécurité d’un enfant, qu’en est-il de son développement? Cette année, les DPJ ont choisi de répondre à cette question en présentant différents programmes novateurs en place au Québec et qui ont déjà un réel impact pour soutenir le plein développement des enfants de différents âges dans différents domaines de leur vie.

Cette année, une hausse considérable du nombre de signalements traités est observée. Chaque jour, de plus en plus d’enfants et d’adolescents sont en détresse et font face à une réelle souffrance. Les DPJ désirent être la voix de ces jeunes et faire valoir qu’il y a encore beaucoup à faire. Pendant la pandémie, les enfants et les jeunes ont montré qu’ils sont forts et résilients. Écoutons-les!

Statistiques provinciales 2021-2022

• Les directrices et les directeurs de la protection de la jeunesse (DPJ) ont traité 132 632 signalements au cours de l’année 2021-2022, comparativement à
  117 904 l’an dernier, ce qui représente une augmentation de 12,5 % et une moyenne de 363 situations d’enfants signalées par jour au Québec, soit 40 de plus que l’an dernier.
• Nombre de signalements retenus : 43 688. C’est une baisse des signalements retenus de 2,3 %, comparativement à l’exercice 2020-2021.
• Le taux de rétention des signalements est de 33 %. L’an dernier, il était de 37,9 %.
• Les signalements proviennent, encore cette année, en majorité des employés d’organismes publics (34 %), les proportions n’ayant presque pas bougé par rapport aux années précédentes.
• Le principal milieu de vie des enfants pris en charge par le DPJ est toujours le milieu familial (53,7 %). On constate encore cette année qu’une plus grande proportion d’enfants demeure auprès d’une personne significative (14,7 %).

Statistiques régionales 2021-2022

Dans la dernière année, sous la direction de madame Sylvie Lacoursière, DPJ-DP de Lanaudière, 11 384 signalements ont été traités, comparativement à 9 658 en 2020-2021.

Parmi les signalements traités, 3 579 ont été retenus pour évaluation, soit 31,4 %.

Au total, 563 adolescents contrevenants ont reçu les services de la DPJ au regard de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents, comparativement à
493, l’an dernier. Pour consulter le bilan 2021-2022 ainsi que les données régionales, visitez le site Web du CISSS de Lanaudière, dans la section Documentation/Rapports

La Ville de L’Assomption a inauguré la fin de semaine dernière son tout nouveau parc des Moissons par l’entremise de différents événements réunissant de nombreux citoyens, organismes et partenaires. C’est par ailleurs avec grandes émotions que des inaugurations officielles ont été réalisées pour les deux terrains de baseball et le « skatepark », qui ont été nommés en l’honneur de grands Assomptionnistes.

« La vie communautaire est l’une des plus grandes forces de L’Assomption. Il était important pour nous de souligner la contribution de personnes impliquées et reconnues dans la communauté, des gens de chez nous dont nous sommes extrêmement fiers ! » a mentionné le maire, Sébastien Nadeau.

TERRAINS DE BASEBALL
Le conseil municipal a rendu hommage à deux figures emblématiques de la communauté du baseball de L’Assomption en nommant les terrains en leur honneur : les terrains Jean-Pierre-Marin et Yvon-Bourdelais. Impliqué à titre d’administrateur dans les organisations sportives et communautaires dès les années 70, Jean-Pierre Marin était un homme apprécié, aux multiples connaissances. Que ce soit à titre d’administrateur, d’entraîneur, de directeur, ou de bénévoles, naviguant de catégorie en catégorie, du baseball au hockey, monsieur Marin trouvait toujours une occasion pour offrir ses services.

Yvon Bourdelais était quant à lui un homme de balle respecté de tous. Réel mentor, monsieur Bourdelais était une source de connaissances au niveau technique pour tous les joueurs l’ayant côtoyé ainsi qu’à titre d’instructeur. Il encourageait et prodiguait de sages conseils à tous ceux qui en avaient besoin. Il était un homme impliqué et reconnu dans sa communauté, toujours fidèle à ses engagements et à ses priorités. Un don 150 000 $ de la Fondation Jays Care a par ailleurs contribué à la réalisation des installations du nouveau terrain Jean-Pierre-Marin.

« SKATEPARK » SÉBASTIEN TOUTANT
Le conseil municipal a aussi voulu rendre hommage à un médaillé olympique ayant grandi à L’Assomption,
le planchiste Sébastien Toutant. À Pyeongchang en 2018, Sébastien Toutant a écrit une page d’histoire en devenant le tout premier médaillé d’or olympique dans l’épreuve de « Big Air » en planche à neige chez les hommes. L’athlète qui a grandi à L’Assomption est aussi un adepte de planche à roulettes, et a par ailleurs passé une grande partie de son enfance dans l’ancien « skatepark » du parc des Moissons. Il était donc tout indiqué de nommer le nouveau parc de planche à roulettes en son honneur : le « skatepark » Sébastien Toutant.

Le « skatepark » a été conceptualisé et rêvé par de jeunes Assomptionnistes, accompagnés de Papillon Skateparks, lors d’une consultation publique en 2019.

PARC DES MOISSONS
D’importants travaux ont eu lieu depuis le mois de mai 2021 afin d’offrir un parc multigénérationnel : un milieu de vie stimulant et agréable pour tous ! Prolongement de la piste cyclable, ajout d’un terrain de baseball, ajout de 4 terrains de pickleball (prévu automne 2022), réfection des terrains de tennis, modernisation complète du « skatepark » et nouveaux modules de jeux pour enfants (0-5 ans et 5-12 ans)

Cet été, posez un geste primordial et donnez du sens à la vie : donnez du sang. Des centaines de gens ont ainsi besoin d’un don pour recouvrer la santé. Pour vous faciliter la tâche, une collecte est organisée près de chez-vous, sous la présidence d’honneur de M. Mathieu Lemay, député de Masson. Vous n’avez plus qu’à prendre rendez-vous! Qui sait ? Vous pourriez même en prendre une habitude!

LIEU : ÉCOLE DE LA SOURCE
ADRESSE : 1275, avenue Châteaubriant, Mascouche
DATE : Jeudi 30 juin 2022, entre 13 h 30 et 19 h 30
OBJECTIF : convaincre 75 donneurs de relever leurs manches, le temps d’un petit don de sang.

Afin d’éviter les files d’attente et de respecter vos horaires chargés, nous avons mis sur pied un système de rendez-vous. Cette façon de faire, née de la pandémie, a été testée et rend l’expérience du don de sang encore plus facile pour tous. Prenez rendez-vous en ligne sur le site jedonne.hema-quebec.qc.ca ou composez le 1 800 343-7264 (SANG).

C’est l’été, relevez vos manches!
Parce que le sang est périssable et ne peut se conserver longtemps, quelque 1 000 dons de sang sont nécessaires chaque jour afin de garantir un niveau de réserve optimal. Pour ce faire, Héma-Québec compte sur la générosité des Québécois pour relever leur manche durant la période estivale. C’est si facile! Si vous craignez l’aiguille, sachez que les gens sur place sont qualifiés pour encadrer cette expérience. Ils sauront vous rassurer et vous serez si fier-e d’avoir donné!

Vous souhaitez vérifier si vous pouvez donner?
Avant de se présenter à une collecte, il est toujours possible de vérifier son admissibilité auprès du Service à la clientèle-donneurs au 1 800 847-2525 ou de consulter le site Web d’HémaQuébec au www.hema-quebec.qc.ca, section Donneurs > Sang > Puis-je donner?

À propos d’Héma-Québec
Héma-Québec a pour mission de répondre avec efficience aux besoins de la population québécoise en sang et autres produits biologiques d’origine humaine de qualité. Héma-Québec, c’est plus de 1 400 employés, près de 225 000 donneurs de sang, de cellules souches, de lait maternel et de tissus humains, en plus de milliers de bénévoles sur des sites de collecte de sang.

Héma-Québec livre annuellement près de 750 000 produits biologiques d’origine humaine aux
hôpitaux du Québec pour subvenir aux besoins des malades.

Donnez du sang. Donnez la vie.

La densification étant l’un des sujets de l’heure pourla grande majorité des municipalités du Québec, l’administration Dufour tient à rappeler sa vision d’une densification durable et responsable, qui permettra à la Ville de Repentigny de demeurer une ville à échelle humaine. Les élu.e.s sont unanimes à l’effet que cette densification intelligente doit permettre, sans compromis, de préserver des accès équitables aux grands espaces verts et aux berges de la rivière et du fleuve. Ces accès contribuent, entre autres, à la qualité de vie tant recherchée des personnes qui demeurent à Repentigny, tout comme celles qui viennent s’y établir.

« Nous sommes conscients que le sujet anime plusieurs débats. Pourquoi densifier? Comment densifier dans le respect de ce qui existe déjà? Où densifier? Ce sont toutes d’excellentes questions pour lesquelles notre communauté mérite des réponses claires », affirme Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

Et pour cause, puisqu’en matière de développement du territoire, deux grands modèles se font compétition : l’étalement urbain et la densification. L’étalement urbain permet de continuer de construire sur des terres situées toujours plus éloignées des centres-villes, amenant ainsi son lot de besoins en services municipaux, comme un réseau d’aqueducs et de nouvelles routes, tout en risquant d’empiéter sur des terres agricoles si importantes à notre autonomie alimentaire. Ce modèle vient également à l’encontre de la lutte aux changements climatiques en raison de l’augmentation de l’émission des gaz à effets de serre (GES). Bien qu’elle représente tout le contraire, la densification demeure quant à elle un concept imagé « à toutes les sauces ».

Une densification « humaine »
« Si pour certains la densification se définit tout simplement par l’augmentation du nombre de résidents dans un même kilomètre carré, il en va tout autrement pour notre administration », souligne M. Dufour. « Nous insistons pour densifier de manière durable et responsable afin de générer une proximité, non seulement avec les divers services aux alentours, mais également auprès des commerces locaux, tout en saisissant l’occasion de créer des emplois de qualité. L’idée n’est pas de faire vivre les gens les uns sur les autres, ni qu’ils se retrouvent tous sur la rue Notre-Dame, mais bien de développer en ayant une approche de responsabilité sociétale, ainsi qu’en demeurant une ville inclusive, accessible et à dimension humaine, qui se préoccupe des enjeux d’aujourd’hui ».

Cette densification durable et responsable se traduit principalement par un développement du territoire offrant un mode de vie qui permet, entre autres, de stimuler la mixité sociale, d’investir en mobilité durable – par le transport actif et collectif, et le réseau routier – de miser sur la santé et les saines habitudes de vie et de garantir un accès équitable aux berges de la rivière et du fleuve.

Contre la densification démesurée
L’organisation tient néanmoins à souligner qu’elle est contre une densification démesurée et non réfléchie. Elle souhaite prendre le temps d’analyser les projets et d’identifier les endroits stratégiques où ces derniers pourraient être déployés, outre la rue Notre-Dame uniquement, et dans des secteurs où il serait possible de créer de véritables milieux de vie dynamiques et complets.

D’ailleurs, preuve de la volonté de l’administration de respecter son engagement à développer le territoire de manière humaine et posée, la Ville est dans son tout premier processus de « Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble », communément appelé PPCMOI. En d’autres mots, ce processus de PPCMOI permet à la municipalité d’imposerdes conditions qui devront être respectées, et ce, avant d’accepter la réalisation d’un projet.

« Les étapes requises dans ce tout premier PPCMOI à Repentigny ont débuté sous l’ancienne administration. Nous devons par conséquent aller de l’avant en poursuivant celles-ci, conformément au processus déjà mis en place. Nous nous assurons toutefois que cette modification au règlement respecte l’harmonie du territoire, l’environnement ainsi que la qualité de vie des personnes à proximité du projet », mentionne le maire.

L’administration souligne par ailleurs que ces demandes de modifications demeurent des mesures exceptionnelles puisque chaque projet sera évalué de manière individuelle. Chacune des conditions émises par la Ville différera indéniablement d’un projet à l’autre et chaque fois, les citoyen.ne.s habitant dans la zone identifiée selon le plan de zonage – et ceux des zones adjacentes – seront invité.e.s à faire connaître leur opinion dans un cadre légal.

« Il y a un lien direct et incontestable entre l’aménagement de notre territoire, la santé et la qualité de vie de notre population, l’intégration sociale et la vitalité économique de notre Ville. Et c’est pour cette raison que notre densification se veut durable, responsable et respectueuse », conclut M. Dufour

Huit joueurs, âgés de 5 à 18 ans, sont repartis du parc Laverdière avec un immense sourire et le cœur léger lundi dernier (6 juin) grâce à la première de la saison du tout nouveau programme de baseball adapté de Baseball Charlemagne-Le Gardeur (BCL). La présidente de BCL, Francine Cinq-Mars, ne se doutait aucunement de l’intérêt que susciterait son événement en se présentant au terrain Campeau du parc Laverdière, mais le succès de ce
rendez-vous s’est rapidement confirmé.

« Ce programme de baseball adapté et inclusif est totalement nouveau pour nous. BCL tenait à créer et mettre sur pied cette activité destinée aux jeunes souffrant de quelque forme de handicap que ce soit, mais nous ignorions complètement à quoi nous attendre. Nous embarquions dans l’inconnu. Cela dit, je suis emballée au-delà de nos
espérances. Les jeunes et leurs familles ont répondu à l’appel. »

Pendant une heure, parents et responsables du programme ont sauté sur le terrain et permis aux joueurs, vêtus des couleurs des Blue Jays de Toronto, de lancer et frapper la balle, puis de disputer un court match simulé, et ce, devant des gradins bondés. En effet, amis et parents ont savouré le moment tout autant que les huit joueurs actifs. « De voir autant de frères, sœurs et grands-parents assister à cette première rencontre ainsi que le sourire des enfants sur le terrain constitue notre paie, notre satisfaction. On ne voit pas ça dans d’autres catégories de baseball mineur » de
renchérir la présidente.

Le conseiller municipal et président de la Commission Saines habitudes de vie, sports et parcs de la Ville de Repentigny, Joubert Simon, est aussi ravi que les organisateurs : « Le sport est synonyme d’inclusion et d’intégration sociale, et c’est exactement ce qui se produit avec cette superbe initiative. Le sport est rassembleur et tous doivent pouvoir en profiter. Ce programme rend accessible un sport comme le baseball, de façon adaptée à la réalité de ces jeunes. »

Tous ces gens doivent une fière chandelle aux instigateurs de ce programme, Sylvain Rodrigue, Cynthia Martineau et Yannick Baillargeon. Le programme de baseball adapté, parrainé par la Fondation Jays Care (Blue Jays), revient tous les lundis (18h15 à 19h15) de l’été pendant 12 semaines au parc Laverdière, situé au 200, rue St-Paul à Repentigny (secteur Le Gardeur).

Informations : 514 237-2263 ou https://fr-ca.facebook.com/baseballcharlemagnelegardeur/

L’Assemblée nationale a procédé à l’adoption du projet de loi d’intérêt privé no 207 afin que le conseil municipal de la
Ville de Terrebonne puisse désigner un de ses membres pour présider les assemblées.

Terrebonne devient la septième grande ville québécoise à se doter d’une présidence d’assemblée.
En effet, un tel fonctionnement existait déjà dans d’autres grandes villes au Québec comme Montréal et Laval. Toutefois, pour que Terrebonne puisse se doter d’une présidence, une modification au décret constitutif de la Ville de Terrebonne était nécessaire, soit le document qui a officialisé la création de la municipalité à
la suite des fusions de 2001. À la demande de la Ville, le député de Masson, monsieur Mathieu Lemay, avait
accepté de parrainer le projet de loi de la municipalité demandant ce changement. Le député l’avait déposé auprès de la Direction des affaires juridiques et législatives de l’Assemblée nationale du Québec, le 3 mars dernier. La
Commission de l’aménagement du territoire a ensuite procédé à son étude détaillée, le jeudi 9 juin, et déposé son rapport pour adoption qui a eu lieu la journée même.

« Je tiens à remercier Mathieu Lemay de sa collaboration dans ce dossier qui était primordiale pour concrétiser la vision que nous avons de la gouvernance et de la démocratie », a expliqué le maire de Terrebonne, monsieur Mathieu Traversy. Le mandat du président d’assemblée sera de maintenir l’ordre et le décorum pendant les séances, d’appeler les points à l’ordre du jour, de diriger les délibérations lors de l’étude de chaque point à l’ordre du jour et de gérer les
périodes des questions des personnes présentes dans la salle. Il pourra aussi diriger toute communication vers le membre du conseil ou l’employé municipal présent concerné par celle-ci. Ainsi, le président d’assemblée sera le seul à accorder un droit de parole lors des séances du conseil.

Un premier pas
Rappelons que la Ville avait franchi un premier pas, en novembre dernier, alors que le doyen des élus, le conseiller municipal du District 10 – Centre-ville, Robert Morin, a été nommé modérateur de ces séances. Ce dernier dirige actuellement les discussions des travaux du conseil municipal et facilite les échanges avec les
citoyens.

Dès le 2 juillet, les élus de Terrebonne iront de nouveau à la rencontre des citoyens de leur district respectif grâce à la tournée Un brin de jasette qui créera des occasions d’échanges, de partage et de bon voisinage dans une
ambiance animée et colorée.

« Après un peu plus de sept mois à siéger au conseil municipal, mes collègues et moi souhaitons comme élus nous assurer de rester branchés sur les besoins de nos citoyens et de multiplier et diversifier les occasions de discuter avec vous. C’est l’objectif poursuivi par la tournée de rendez-vous Un brin de jasette qui se déplacera dans les parcs près de chez vous!

Ces rencontres donneront aussi le ton à une vie de quartier plus dynamique et vivante », précise Marie-Ève Couturier, conseillère du District 7 – Côte de Terrebonne et qui sera par ailleurs l’hôte du premier Brin de jasette en compagnie de ses collègues Benoit Ladouceur et Daniel Aucoin, respectivement conseiller du District 9 – La Sablière-Hauteville et du
District 11 – Seigneurie-Île-Saint-Jean.

« C’est votre chance, chers citoyens, de partager avec votre élu de quartier les enjeux qui vous préoccupent et de lui poser vos questions concrètes! Je peux vous en assurer, dans chaque secteur de la municipalité, vos élus ont à cœur de bien connaître vos projets et votre vision pour votre quartier, alors ils tendront l’oreille et seront attentifs à vos idées », ajoute Mathieu Traversy, maire de Terrebonne.

La formule Un brin de jasette
Chaque rencontre Un brin de jasette proposera différentes animations ludiques. Certaines auront une saveur plus culturelle, d’autres plus sportive! À titre d’exemples, on pourrait retrouver dans un parc un kiosque de maquillage, de courtes prestations artistiques, des ateliers de sensibilisation ainsi que des jeux gonflables. De la musique et de l’animation viendront également égayer ces rencontres estivales. Les rendez-vous se tiendront dans des parcs de quartier entre 10 h et 14 h et aucune inscription n’est nécessaire pour y participer. Les citoyens sont invités à apporter un pique-nique pour profiter pleinement des activités proposées sur place, mais ils peuvent également se présenter au moment opportun pour eux et joindre les activités en cours.

Un plan B de déplacement des rendez-vous citoyens vers des écoles à proximité est
également prévu en cas de pluie. Pour plus de détails et pour connaître le calendrier détaillé des rendez-vous Un brin de jasette, consultez sans tarder le ville.terrebonne.qc.ca/jasette.

La Conférence des Tables régionales de concertation des aînés du Québec (CTRCAQ) et ses membres tiennent à souligner leur appui au plan d’action gouvernemental pour contrer la maltraitance envers les personnes aînées présenté par la Ministre Blais le 12 juin.

« À l’aube de la journée internationale pour contrer la maltraitance envers les ainés (15 juin 2022) nous ne pouvons que nous réjouir de mesures additionnelles dévolues auprès de cette clientèle vulnérable et ainsi augmenter la capacité d’identifier de manière précoce l’abus dont sont victimes trop d’ainés de notre société » a souligné la présidente de la CTRCAQ, Nicole Bolduc-DuBois.

Étant l’aboutissement d’une importante démarche de consultation, ce troisième plan d’action témoigne également d’un important effort de collaboration entre les acteurs du terrain, ceux du milieu de la recherche et les différents ministères et organismes gouvernementaux. Parmi les 56 mesures se retrouvant dans le plan d’action et qui sont
portées par 12 ministères et organismes, nous saluons la reconduction de plusieurs actions qui ont d’ores et déjà faites leurs preuves et qui seront bonifiées, notamment les campagnes de sensibilisation auprès de la population générale, la Ligne Aide Abus Aînés (LAAA) tout comme le déploiement de coordonnateurs régionaux spécialisés en matière de lutte contre la maltraitance envers les personnes aînées. Afin de poursuivre et d’intensifier les efforts pour mieux repérer, prévenir, sensibiliser et intervenir dans les situations de maltraitance, nous sommes grandement ravis de l’ajout d’un soutien de proximité dans les CHSLD tout comme la mise en place d’un centre d’aide, d’évaluation et de référence. Ces deux nouvelles actions structurantes faciliteront les diverses activités de repérage de ces ainés vulnérables en créant des actions concrètes de sensibilisation auprès de la population générale et de certains groupes commerciaux (banques, commerces) de nos communautés d’où émanent souvent les cas de fraudes et d’abus.

Il est évident que ce plan d’action devra être soutenu par les organismes communautaires de nos communautés et que du financement récurent devra être envisagé afin de s’assurer de la pérennité des actions entreprises et de la concertation de ceux-ci pour étayer des stratégies concrètes. « La maltraitance envers les personnes ainées est un fléau qui existe (malheureusement) dans notre société, et toutes les mesures directes ou indirectes pour les contenir ou les
arrêter doivent être soutenues et encouragées, comme celles incluses dans ce plan d’action » a renchéri Bertrand Gignac, directeur général de la CTRCAQ.

La CTRCAQ a comme mission de Regrouper, accompagner, mobiliser les Tables régionales de concertation des aînés et les représenter auprès de diverses instances relativement aux grands enjeux qui touchent les personnes aînées du Québec.