Création de l’organisme à but non lucratif

Propulsion logement Les Moulins

Un nouveau levier pour développer des logements sociaux ou abordables à Mascouche et Terrebonne

Mascouche, le 13 mai 2025 – Les Villes de Mascouche et de Terrebonne annoncent avec fierté la création de Propulsion logement Les Moulins, un organisme indépendant à but non lucratif (OBNL) mis sur pied pour faciliter la réalisation de projets de logements sociaux ou abordables sur leur territoire.

La mission de l’organisme est de construire, acquérir, opérer et maintenir des unités d’habitation résidentielles abordables destinées aux personnes à revenu faible ou moyen, ou encore à celles ayant des besoins particuliers en matière de logement.

Propulsion logement Les Moulins collaborera étroitement avec l’Office municipal d’habitation de la Rive-Nord, qui assurera l’opération et la gestion des immeubles visés par les projets de l’organisme.

L’organisme a tenu son assemblée de fondation le 13 mai dernier. Une minute de silence y a été observée en mémoire de Darllie Pierre-Louis, ex-conseillère municipale à Mascouche, qui a joué un rôle important dans le démarrage de ce projet porteur.

Le conseil d’administration est composé de huit membres de la communauté.

« L’accès à un logement abordable et de qualité pour les personnes à faible revenu est un enjeu criant. La création de cet organisme est un geste concret de plus qui vient réaffirmer notre volonté d’accroître le nombre de logements sociaux sur notre territoire. » – Guillaume Tremblay, maire de Mascouche.

« Cet organisme est mis sur pied avec une mission claire : simplifier et accélérer la création de logements sociaux sur notre territoire. Nous sommes déterminés à travailler avec tous les partenaires pour répondre efficacement aux besoins de notre communauté. » – Mathieu Traversy, maire de Terrebonne.

Lancement de la collecte de fonds du SPickle Bowl I

Normand D’Amour et Pascale Montreuil prennent la balle au bond

Repentigny, le 13 mai 2025 – SP Canada – Montréal et Pickleball Québec s’associent pour lancer la toute nouvelle collecte de fonds, le SPickle Bowl I, un tournoi de pickleball au profit de SP Canada, qui se tiendra partout au Québec à l’été 2025.

Le SPickle Bowl I, dont l’identité visuelle s’inspire du Super Bowl de la NFL et du chiffre romain qui identifie l’édition, permettra aux intéressés de s’inscrire à un tournoi de format éliminatoire s’étalant sur la période estivale 2025 et menant à l’ultime SPickle Bowl I, soit la finale de cette grande activité de collecte de fonds au profit de la recherche sur la sclérose en plaques et des personnes qui en sont atteintes.

Normand D’Amour et Pascale Montreuil : parrain et marraine de l’événement

La directrice générale de SP Canada – Montréal, Martine Baller, et le directeur général de Pickleball Québec, Stéphane Brière, ne sont pas seuls dans cette belle aventure, car les comédiens bien connus du public, Normand D’Amour et Pascale Montreuil, ont accepté d’être parrain et marraine de cette importante collecte de fonds. « Nous sommes vraiment très heureux d’être associés à cet événement spécial qui nous tient très à cœur », lance d’emblée Normand D’Amour. « Et c’est pourquoi dès aujourd’hui on lance une campagne de financement pour amasser des fonds pour la recherche de la sclérose en plaques », ajoute Pascale Montreuil.

Défi des villes : un grand tournoi de pickleball pour financer la recherche contre la SP

Le maire de Repentigny, Nicolas Dufour, a lui aussi saisi la balle au bond et ce dernier a un message à livrer aux différentes municipalités : « Collègues et amis maires, je vous invite à participer au Défi des villes, un grand tournoi de pickleball pour financer la recherche contre cette terrible maladie. On sait que les besoins en recherche sont grands et c’est pourquoi je vous invite à vous mobiliser et à participer, vous aussi, à ce défi des villes. »

Comment on fait pour participer à cette grande fête du pickleball?

Vous allez sur le site Internet, pickleballsp.ca. Vous recherchez le centre de pickleball le plus près de chez vous pour s’inscrire et jouer. Tous les fonds amassés iront directement à la recherche pour la maladie. C’est une belle occasion d’avoir du plaisir, de rester en forme et de donner pour la cause. Et qui sait, peut-être aurez-vous la chance de croiser Pascale Montreuil et Normand D’Amour sur un terrain de pickleball?

Le saviez-vous?

• Saviez-vous que 90 000 personnes sont aux prises avec la sclérose en plaques au Canada? Parmi celles-ci, 20 000 habitent au Québec. Cette maladie touche 3 femmes pour 1 homme. Grâce au généreux soutien des donateurs, collecteurs de fonds et partenaires communautaires, le Canada est reconnu comme l’un des chefs de file mondiaux de la recherche sur la sclérose en plaques.
• Le pickleball est sans contredit LE sport en vogue, car il est présentement l’alternative au tennis en Amérique du Nord, une activité physiquement accessible à toutes les tranches d’âge. Raison de plus d’associer le pickleball comme partenaire d’événement au profit des milliers de personnes atteintes de sclérose en plaques à Montréal et à Québec.

Découvrez la programmation de la 

Semaine québécoise intergénérationnelle 2025

Une édition marquée par les 30 ans d’Intergénérations Québec

Montréal, le 8 mai 2025 – Intergénérations Québec dévoile aujourd’hui la programmation officielle de la Semaine québécoise intergénérationnelle (SQI), qui se tiendra du 18 au 24 mai 2025. Cette édition revêt une signification toute particulière, alors que l’organisme célèbre 30 ans d’engagement à rapprocher les générations et à favoriser l’inclusion sociale à travers le Québec.

Depuis 1995, Intergénérations Québec soutient et valorise les initiatives qui rassemblent les personnes de tous âges. La SQI constitue chaque année un moment phare, mettant en lumière la richesse et la diversité des liens intergénérationnels à travers une multitude d’activités festives, créatives et porteuses de sens.

📅 Une programmation riche et inspirante

Pour souligner cet anniversaire, 81 activités seront proposées dans toutes les régions du Québec. Broderie, pétanque, bingo, kermesses, réalisation d’œuvres d’art collectives, discothèque intergénérationnelle… Autant d’occasions de rassembler les générations dans le plaisir, la créativité et le dialogue.

🎖️ Une campagne officiellement reconnue

Depuis 2022, la Semaine québécoise intergénérationnelle est reconnue officiellement par l’Assemblée nationale du Québec comme la campagne annuelle de sensibilisation et de lutte contre l’âgisme et l’isolement. Cette reconnaissance marque l’importance du dialogue entre les générations dans la construction d’un Québec plus équitable, où chacun peut se sentir reconnu et valorisé, peu importe son âge.

ℹ️ Informations pratiques

📅 Date : Du dimanche 18 au samedi 24 mai 2025
📌 Lieu : Partout au Québec

🔷 Coordonnateur : Intergénérations Québec

👤 Porte-parole : Anna Beaupré Moulounda

🔍 Programmation de la SQI 2025 : https://intergenerationsquebec.org/programmation-2025/

Assises 2025 de l’UMQ
L’événement phare des gouvernements de proximité
Montréal, le 6 mai 2025 — Sous le thème « Nous sommes », les assises annuelles de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) se tiendront du 14 au 16 mai au Centre des congrès de Québec. Cet événement incontournable pour le monde municipal sera coprésidé par Mme Geneviève Dubois, 2e vic-présidente de l’UMQ et mairesse de Nicolet, et Mme Christine Poirier, conseillère municipale à la ville de Laval. Plus de 1 500 élues et élus, gestionnaires municipaux et partenaires de toutes les régions du Québec se réuniront pour cette occasion.

Les Assises 2025 représentent un moment clé pour le milieu municipal, offrant une plateforme unique pour discuter des enjeux actuels et futurs.  La Commission des Assises 2025 a préparé une programmation riche et inspirante, comprenant plus d’une douzaine de conférences et tribunes sur des sujets prioritaires pour les municipalités.

Le nouveau Programme de soutien au transport adapté : des avancées insuffisantes pour répondre aux droits des personnes handicapées

Québec, le 5 mai 2025 – L’Alliance québécoise des regroupements régionaux pour l’intégration des personnes handicapées (AQRIPH), la Fédération québécoise de l’autisme (FQA) et la Société québécoise de la déficience intellectuelle (SQDI) accueillent la refonte du Programme de soutien au transport adapté (PSTA) dévoilé le 1^er mai par le gouvernement du Québec avec circonspection. En effet, si plusieurs modifications apportées représentent des pas dans la bonne direction pour améliorer le service essentiel pour des milliers de Québécoises et Québécois en situation de handicap, il n’en demeure pas moins que de nombreuses zones grises subsistent dans le PSTA et plus généralement dans l’organisation du transport adapté dans la province.

Des avancées intéressantes, mais…

Nous prenons acte d’une bonification de l’enveloppe financière et de la modulation du soutien financier en fonction des différences entre des milieux urbains et ruraux. Cependant, étant donné les effets du sous-financement du transport adapté depuis plusieurs années, nous demeurons perplexes sur l’impact réel de cette bonification sur la capacité des organismes de transport adapté (OTA) à rétablir un service efficace et efficient à court et à moyen termes.

Nous constatons avec satisfaction l’augmentation du nombre d’heures obligatoires faite aux OTA passant de 35 heures à 40 heures par semaine. Malheureusement, on est loin d’un service qui permette réellement la participation sociale des personnes handicapées, notamment puisque les transports de soir et de fin de semaine ne font pas l’objet d’une attention particulière.

Toujours au niveau de l’amplitude de service, si le PSTA prévoit un sondage sur les besoins des personnes handicapées dans les OTA offrant moins de 60 heures de services par semaine, ce sondage ne concerne que les utilisateurs déjà admis et non l’ensemble des personnes handicapées pouvant y prétendre. De plus, le PSTA ne prévoit pas de mécanisme pour s’assurer de l’intégrité de ce sondage, ni même de mesures obligeant les OTA à s’y conformer.

Le PSTA prévoit également, la production annuelle d’un sondage sur la satisfaction des usagers et la publication des résultats sur le site Internet de l’OTA, ainsi que sa transmission à la ministre. Cependant, comme pour le sondage sur les besoins, il n’est pas fait mention de mécanisme assurant l’intégrité de la collecte de données ni de mécanismes pour des mesures correctives éventuelles.

Enfin, le PSTA introduit une obligation d’effectuer désormais les déplacements vers ou en partance d’un territoire limitrophe à celui de l’OTA si la distance est de moins de 20 kms. Malheureusement, ce point reste nébuleux dans son opérationnalisation et semble susciter de nombreuses questions des OTA.

Le PSTA : un levier pour le transport adapté, mais loin d’être l’aspect le plus important

Nous demandons au gouvernement de reprendre rapidement les travaux du comité consultatif sur le transport adapté, lequel n’a pas encore produit les effets escomptés, notamment sur les notions de territorialité et de gouvernance, autant que sur des aspects importants de formation des chauffeurs, d’attractivité de main-d’œuvre et de disponibilité de véhicules.

En ce qui concerne la territorialité, il est essentiel de considérer la situation géographique des services dont les personnes handicapées ont besoin et non seulement le territoire qui déclare compétence en matière de transport (municipalités, MRC). En plus de la capacité à se déplacer, il faut que la qualité du transport adapté soit au cœur des priorités et, pour cela, le gouvernement doit soutenir et améliorer la formation des chauffeurs.

Enfin, nos organisations connaissent particulièrement bien la réalité des régions par la présence de leurs membres sur le terrain et nous considérons que toute organisation sérieuse représentant les intérêts des personnes handicapées, ne peut pas encenser le PSTA sans égard aux autres défis du transport adapté.