Budget fédéral 2023-2024 « Un budget qui ne reflète pas la réalité municipale » – Nicolas Dufour

Le maire de Repentigny, Nicolas Dufour, accueille avec beaucoup de réserve le budget présenté par la ministre fédérale des Finances, Chrystia Freeland. Selon lui, les décisions budgétaires qui ont été annoncées sont loin de répondre aux besoins pressants du monde municipal, notamment en matière d’habitation et d’infrastructures.

Un rendez-vous manqué avec les villes

Celui qui est à la tête de la 13e ville du Québec considère que le gouvernement Trudeau a manqué l’opportunité de s’attaquer de front à la pénurie de logements qui sévit non seulement au Québec, mais ailleurs dans le pays.

« Comme élu municipal, nous constatons de nos propres yeux à quel point il est difficile et stressant pour de nombreux ménages repentignois d’avoir un toit sur la tête. Bien que nous assumons pleinement nos responsabilités, encore faut-il que les paliers supérieurs de gouvernement fassent preuve d’un plus grand leadership politique pour résorber cette crise », affirme M. Dufour.

Le maire est également déçu que ce présent budget ne dispose d’aucune somme additionnelle pour les municipalités souhaitant moderniser leurs infrastructures, incluant leurs plateaux sportifs et récréatifs.

« Encore là, les municipalités ne semblent pas faire partie de l’équation dans la stratégie gouvernementale pour leur permettre de mettre à niveau leurs installations et ainsi, créer des milieux de vie plus dynamiques et actifs. C’est tout à fait compréhensif que le gouvernement veuille aider les personnes les plus vulnérables en leur offrant des mesures ponctuelles. Pourtant, avec une récession qui est à nos portes, je ne vois pas comment les villes, à l’exemple de Repentigny, peuvent être viables financièrement en ne recevant aucun appui, et ce, en dépit de l’augmentation de leurs dépenses. En fin de compte, quelqu’un devra payer la facture! », s’exclame M. Dufour.

La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise dans ce communiqué de presse le masculin uniquement pour faciliter la lecture.

Le déséquilibre fiscal au détriment des intérêts du Québec

Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, Nathalie Sinclair-Desgagné, députée de Terrebonne, et Luc Thériault, député de Montcalm, accueillent froidement un budget dans lequel les libéraux concrétisent leurs engagements envers le NPD pour se maintenir au pouvoir ainsi que leur entente forcée en santé avec le Québec et les provinces, sans se protéger face à une détérioration de la situation économique.

« Le gouvernement de Justin Trudeau et Jagmeet Singh abuse du déséquilibre fiscal, des crédits périmés et d’un système de santé sous-financé pour remplir les engagements lui permettant de se maintenir au pouvoir. Il faudra aussi surveiller de près des crédits d’impôt substantiels destinés à la transition écologique, mais susceptibles de profiter à des entreprises qui sont tout sauf écologiques, comme les pétrolières. Sans filet en cas de récession, ce second chapitre du gouvernement libéral-NPD devrait assurer sa survie immédiate, sans s’intéresser aux intérêts spécifiques du Québec ni aux demandes formulées par les intervenants socio-économiques québécois. Il semble se ménager de la marge de manœuvre pour un budget beaucoup plus électoraliste en 2024 », a constaté M. Blanchet.

21 G$ vers la transition écologique

L’autre élément-clé consiste en des investissements frôlant 21 G$, essentiellement en crédits d’impôt à l’électricité propre, l’économie verte, le transport et les technologies écologiques. « Le Bloc Québécois reproche qu’une partie significative de ces sommes pourra aider des entreprises comme les pétrolières à polluer moins plutôt qu’à réduire leur production et transiter vers le 21e siècle. L’impact de ces sommes non négligeables reste à déterminer. Sous forme de crédits d’impôt ou de fonds administrés par des sociétés d’État, il sera difficile de suivre au pas ces investissements et d’assurer l’imputabilité des bénéficiaires. Le Bloc sera vigilant afin d’éviter toute forme d’écoblanchiment », a assuré Nathalie Sinclair-Desgagné.

Les demandes du Québec omises

L’exercice financier 2023 ne répond pas aux principales demandes prébudgétaires formulées par les différents groupes d’intérêts québécois. « Le budget ne répond que partiellement à deux demandes du Bloc Québécois. Nous soulignons le renfort dans le financement de l’éducation en français hors Québec, mais déplorons qu’il soit noyé dans un budget total incluant du soutien pour l’anglais au Québec. Des réinvestissements légers permettent d’espérer de meilleurs services à la population de la part de l’État. Autrement, sans surprise, les transferts en santé s’en tiennent au niveau insuffisant de l’entente forcée de cet hiver. Les aînés ne trouveront pas un sou de plus pour assurer leur qualité de vie. L’assurance-emploi est complètement négligée, malgré les difficultés du régime. Alors que le gouvernement aurait dû se recentrer sur les missions fondamentales de l’État fédéral en cas d’éventuelle récession, le gouvernement livre un budget faisant preuve de plus de vision pour son propre avenir immédiat que pour celui des Québécois », a conclu Luc Thériault.

Projet de loi 12 : Vers une reconnaissance législative du droit à la liberté et à la sécurité des enfants conçus dans un contexte d’agressions sexuelles

La Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) tient à annoncer le dépôt de son tout dernier mémoire Vers une reconnaissance législative du droit à la liberté et à la sécurité des enfants conçus dans un contexte d’agressions sexuelles en lien avec le projet de loi 12. Ce projet de loi concerne la Loi portant sur la réforme du droit de la famille en matière de filiation et visant la protection des enfants nés à la suite d’une agression sexuelle et des personnes victimes de cette agression ainsi que les droits des mères porteuses et des enfants issus d’un projet de grossesse pour autrui.

Bien des changements importants ont été effectués depuis la mise en chantier de la Politique gouvernementale d’intervention en matière de violence conjugale en 1995 ainsi que les différents plans d’action et politique en matière d’agressions et d’exploitation sexuelles. Nous sommes à la croisée des chemins. La réforme en profondeur du droit de la famille et du Code civil, longtemps attendue, propose certains amendements en termes d’une prise en compte de la violence familiale dans l’évaluation de l’intérêt de l’enfant en lien avec la détermination des droits de garde entre autres (projet de loi 2).

Ces changements structurants amélioreront de façon notable la prise en compte de la violence familiale, conjugale, sexuelle par les tribunaux (projet de loi 2 et 12). Rappelons que ce n’est que depuis 1983, que le viol au sein du mariage est considéré comme un crime au Canada. Le projet de loi 12, lui, va encore plus loin et propose de retirer à l’agresseur toute emprise sur sa victime et l’enfant provenant de l’agression sexuelle, tout en le responsabilisant financièrement pour ce viol. Nous saluons cette mesure qui vise à protéger les femmes violentées et leurs enfants, en introduisant des dispositions concernant la possibilité de s’opposer à l’établissement de la filiation en contexte d’agression sexuelle.

« Le projet de loi doit prendre en compte toutes les formes d’agressions sexuelles, notamment celles perpétrées en contexte de violence conjugale et familiale qui sont plus complexes en termes de démonstration de la preuve », indique Manon Monastesse, directrice générale, FMHF.

Mémoire | Vers une reconnaissance législative du droit à la liberté et à la sécurité des enfants conçus dans un contexte d’agressions sexuelles

Projet d’agrandissement du site d’enfouissement d’Enviro Connexions « Il faut absolument revoir les pratiques en matière de gestion des déchets » Normand Urbain, conseiller municipal de Repentigny

Normand Urbain, conseiller municipal et président de la Commission environnement et résilience climatique se montre préoccupé des impacts d’un éventuel élargissement du site d’enfouissement de Lachenaie réclamé par le Complexe Enviro Connexions.

Un gestion plus verte et socialement acceptable

« La Ville est pleinement consciente qu’il n’existe pas de solutions miracles pour atteindre la cible de zéro déchet, du moins à l’heure actuelle. Bien qu’il faut revoir nos habitudes de consommation, il n’en demeure pas moins que nos citoyens vivant à proximité de cette zone n’ont pas à être pénalisés par les odeurs et la qualité de l’air associées aux activités d’Environ Connexions. Nous sommes bien sûr inquiets quant aux éventuelles conséquences de leur projet d’agrandissement et surtout des effets qu’il aura sur la qualité de vie de notre population. Il y a donc un sentiment d’urgence de revoir la gestion des ordures visant à réduire efficacement nos GES et garantir une quiétude aux Repentignois », affirme M. Urbain.

Sur ce dernier point, M. Urbain rappelle que la Ville de Repentigny fut partie prenante du mémoire déposé par la MRC de L’Assomption dans le cadre des consultations publiques du Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles de la CMM. Encore là, la MRC a proposé des solutions novatrices pour diminuer les impacts environnementaux et de santé publique en lien aux objectifs de réduction à la source. Parmi les mesures proposées, notons l’implantation de nouvelles technologies innovantes pour le traitement des ordures, une limitation de l’empreinte de carbone sur le plan du transport, tout en favorisant l’acceptabilité sociale en lien aux éléments de nuisance (odeur, qualité de l’air, bruit, circulation).

« Au nom du conseil municipal et de l’administration, je veux rassurer notre population à l’effet que nous allons suivre attentivement ce dossier et assurer les intérêts des gens qui pourront en être affectés. Au fil des ans, plusieurs corridors d’odeurs ont été observés dans certains secteurs de Repentigny, et ce, en dépit de l’utilisation de méthodes pour neutraliser ces émanations qui perturbent grandement le bien-être de notre communauté. Cette problématique a été soulevée à maintes reprises au ministère de l’Environnement ainsi que celui de la Santé et des Services sociaux par le comité de vigilance, regroupement régional sur lequel siègent des citoyens et administrateurs Repentignois. » conclut M. Urbain.

La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise dans ce communiqué de presse le masculin uniquement pour faciliter la lecture.

Agence Santé Québec -Une démarche qui part sur de mauvaises bases

L’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) dénonce avec fermeté le projet de loi 15, Loi visant à rendre le système de santé et de services sociaux plus efficace (PL 15) déposé par le gouvernement dans le cadre de son Plan santé. « La démarche ayant mené à ce projet de loi est corrompue par l’absence de consultation des salarié·e·s et autres acteur·rice·s sur le terrain avant son dépôt. Ça fait des décennies que les gouvernements successifs répètent les mêmes erreurs. Centraliser toujours plus et consulter toujours moins, c’est la recette parfaite pour aggraver la situation », avertit Steve Garceau, Représentant national de la région de Lanaudière pour l’APTS

Les trois comités exécutifs locaux APTS de la région de Lanaudière sont préoccupés par l’accent mis sur la centralisation dans ce projet de loi. « Nous sommes bien sûr d’accord pour rendre le RSSS plus efficace. La pandémie a clairement démontré que la décentralisation est essentielle pour favoriser la résilience de nos services publics ainsi qu’assurer une réponse rapide en cas de crise. Là, le gouvernement poursuit les travaux de la réforme Barrette plutôt que d’apprendre de ses erreurs », dénonce monsieur Garceau.

L’APTS lanaudoise est tout aussi préoccupé par les effets sur le RSSS de la fusion des listes d’ancienneté. « Inévitablement, cette proposition va créer de l’instabilité dans des équipes de travail, de même que des tensions entre collègues. Nos membres méritent un traitement respectueux et équitable, qui n’est pas garanti par cette proposition », plaide monsieur Garceau

L’APTS redoute également des effets pervers sur l’offre de soins et de services. « L’attraction de personnel est complexe régionalement. Nous craignons que cela affecte directement la rétention du personnel dans Lanaudière. Nous demandons au gouvernement de prendre en compte les préoccupations des salarié·e·s et de travailler avec nous pour trouver des solutions qui fonctionnent pour tout le monde », argue le représentant syndical

L’APTS continuera de défendre les intérêts de ses membres et fera part de ses recommandations et de ses attentes sur le PL 15 lors des consultations particulières. « Nous sommes déterminé·e·s à travailler avec le gouvernement pour améliorer le RSSS, mais cela ne peut se faire sans consultation ni collaboration. Nous demandons au gouvernement de réagir à nos préoccupations et de travailler avec nous pour trouver des solutions pour améliorer et pérenniser les soins et les services offerts à l’ensemble de la population québécoise », conclut monsieur Garceau

 

À propos de l’APTS

L’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) regroupe et représente quelque 65 000 membres qui jouent un rôle indispensable au bon fonctionnement des établissements du réseau, dont presque 3300 dans la région de Lanaudière. Nos gens offrent une multitude de services en matière de diagnostic, de réadaptation, de nutrition, d’intervention psychosociale et de soutien clinique et de prévention, autant de services qui s’adressent à l’ensemble de la population.

Activités ouvertes au public – Le Cégep à Terrebonne vous invite à sa Semaine de l’environnement, du 3 au 6 avril 2023

Du 3 au 6 avril, le Cégep de Lanaudière à Terrebonne tiendra sa troisième édition de la Semaine de l’environnement. Cet évènement, organisé par le Comité de concertation en environnement (CACE) et ouvert au public, permettra à tous ceux intéressés de près ou de loin à la cause environnementale de participer à un grand nombre d’activités.

Panel sur l’engagement au féminin, conférence de Richard Bergeron sur l’urbanisme, atelier du Centre collégial de transfert de technologie INÉDI, conférence sur les métiers en environnement, projection de documentaires, spectacle d’humour et plus encore seront au menu de cette édition.

Forte de ses succès des deux dernières années, l’équipe responsable de l’organisation de la Semaine de l’environnement est fière d’offrir à la communauté des conférences très diversifiées avec plusieurs acteurs reconnus dans leur champ d’expertise.

La programmation complète et les liens pour s’inscrire sont  disponibles ici.

Lieu : Cégep à Terrebonne, 2505, boul. des Entreprises, Terrebonne (Québec) J6X 5S5

À propos du Cégep de Lanaudière à Terrebonne

Depuis maintenant 25 ans, le Cégep de Lanaudière à Terrebonne se positionne comme un acteur d’importance dans la MRC Les Moulins. Comptant plus de 1775 étudiants à travers ses trois programmes préuniversitaires, ses cinq programmes techniques et son cheminement Tremplin DEC, il offre une riche vie étudiante et sportive. Il évolue sous le chapeau du Cégep de Lanaudière, comptant également le Cégep à Joliette et le Cégep à L’Assomption, pouvant ainsi collaborer et bénéficier d’un précieux partage d’expertise. Le Cégep de Lanaudière à Terrebonne a la chance d’avoir en ses murs un Centre collégial de transfert de technologie en design industriel, INÉDI.

Pour en savoir plus : https://www.cegep-lanaudiere.qc.ca/terrebonne

 

La MRC de Montcalm obtient une aide financière de 61 171$

La MRC de Montcalm est fière de bonifier son service de transport collectif régional grâce à une aide financière accordée par le ministère des Transports et de la Mobilité durable.

En effet, ce sont 61 171$ qui s’ajouteront au budget de l’organisation afin d’offrir des services additionnels destinés aux ainés. Cette aide financière accordée par le Programme d’aide au transport collectif régional – Municipalité amie des ainés (MADA) Volet 2 – implantation de projets pilotes en transport collectif permettra la mise en place des services suivants, et ce, spécialement en lien avec le plan d’action MADA :

Promotion du service du transport adapté et collectif auprès des ainés (65 ans et plus) du territoire ;

Mise en place d’un projet-pilote (1er mai au 31 décembre 2023) de 4 navettes spéciales permettant aux ainés d’effectuer leurs emplettes et sorties localement (épicerie, rendez-vous médicaux, bibliothèque, etc.) ;

Service de porte à porte ;

Les navettes offertes de 10h à 14h en semaine et sur réservation seront réparties selon les circuits suivants :

Navette # 1 – Saint-Jacques / Sainte-Marie-Salomé / Saint-Alexis / Saint-Liguori

Navette # 2 – Saint-Esprit / Saint-Roch-de-l’Achigan / Saint-Roch-Ouest

Navette # 3 – Sainte-Julienne / Saint-Calixte

Navette # 4 – Saint-Lin-Laurentides

À propos de la MRC de Montcalm

Notre territoire formé de 10 municipalités locales offre à près de 60 000 citoyens un cadre de vie enchanteur, près de la nature tout en étant à proximité des grands centres tels que Laval, Montréal et Joliette. Nos terres fertiles regorgeant d’histoires et d’une culture forte font partie de nos richesses. Notre zone agricole qui couvre un peu plus de 60% de la région est la plus active et prospère au Québec. Un secteur récréotouristique en pleine croissance, des industries florissantes et des Montcalmois et Montcalmoises des plus chaleureux !

Novago coopérative remet plus de 115 000$ à la relève agricole

Dans le cadre de son assemblée générale annuelle tenue le 23 mars dernier, Novago Coopérative a remis plus de 115 000$ à 24 producteurs agricoles de la relève agricole.

« La relève agricole a toujours été une priorité pour notre coopérative. C’est pourquoi nous soutenons les jeunes producteurs, à la fois financièrement et dans le développement de leurs connaissances », explique Jean-Nil Laganière, président. Rappelons que le programme permet aux participants d’aller chercher une aide financière jusqu’à 7 500$ par année pendant trois ans.

Au cours de la dernière année, Novago Coopérative a également remis plus de 100 000$ en dons et commandites à des organismes et activités partout sur le territoire.

« Cet engagement financier contribue au dynamisme de nos régions et nous sommes fiers de nous positionner comme une entreprise socialement engagée », a renchéri Dany Côté, chef de la direction de la coopérative.

Malgré des résultats financiers plus difficiles en raison de l’inflation et d’incertitudes de marché, la coopérative a annoncé à ses membres sa volonté d’investir dans la modernisation de ses actifs et dans l’automatisation de ses processus. D’ailleurs, un projet majeur de centre agricole moderne est présentement sous étude dans la région de Lanaudière.

« Le mandat donné par nos membres est clair : Novago doit être une coopérative efficiente, compétitive et pérenne. Comme conseil d’administration, nous continuerons de prendre les décisions nécessaires pour y parvenir », a précisé monsieur Laganière. « Notre excellent bilan nous permet de concrétiser des investissements importants, mais aussi de soutenir les rationalisations requises pour assurer notre pérennité » a complété monsieur Côté.

Deux nouveaux venus au conseil d’administration

À la suite des élections, deux nouveaux élus joindront le conseil d’administration, soit monsieur Pascal Alary pour représenter la région de Lanaudière, et madame Katrine Venne pour le secteur de la Mauricie. Les mandats de Guillaume Trudeau (Laurentides, Laval et Montréal), Julie Reber (Outaouais) et David Mercier (Lanaudière) ont quant à eux été reconduits par les membres.

Après respectivement 28 ans et 18 ans au sein du conseil d’administration, Yvon Landreville (secteur Lanaudière) et Benoit Massicotte (secteur Mauricie) ont fait le choix de relever de nouveaux défis. « Chacun à leur façon, ils ont façonné notre coopérative et peuvent être fiers de leur leg. Nous les remercions pour leurs longues années d’implication », a souligné le président Jean-Nil Laganière.

À propos de Novago Coopérative

Novago Coopérative, avec son chiffre d’affaires de 397M$, est la propriété de près de 2 500 membres producteurs agricoles et 15 000 membres consommateurs. Elle emploie plus de 400 personnes, qui œuvrent dans ses secteurs agricoles ou dans l’une de ses 13 quincailleries BMR et Agrizone. Sa mission est de contribuer au succès de ses membres par sa force coopérative et la création de valeur.

Drapeaux mis en berne : hommage à la sergente Maureen Breau

La Ville de Terrebonne met ses drapeaux en berne en mémoire de la sergente Maureen Breau de la Sûreté du Québec, décédée dans l’exercice de ses fonctions dans la nuit du lundi à mardi, à Louiseville.

« Au nom de l’ensemble de la population, des élus et des employés de la Ville de Terrebonne, je tiens à offrir mes plus sincères condoléances à la famille et aux proches de la sergente Breau. Mes pensées sont avec les collègues de la Sûreté du Québec et des autres corps policiers. Je souhaite aussi un prompt rétablissement au policier blessé. Cette tragédie rappelle à quel point le métier de policier est dangereux », a souligné le maire de Terrebonne, Mathieu Traversy.

Pour optimiser les retombées commerciales du centre-ville – Repentigny crée la Table des restaurateurs de l’Espace culturel

L’administration Dufour est fière d’annoncer la mise sur pied de la Table des restaurateurs de l’Espace Culturel ainsi que la tenue, le 20 mars dernier, d’une première rencontre avec ses participants[1]. Composée de restaurateurs situés sur la rue Notre-Dame entre les rues Brien et Thouin, ainsi que de représentants de l’administration municipale, cette table se veut un lieu d’échanges visant à optimiser les retombées commerciales du centre-ville et à favoriser la création d’une économie touristique grâce à la gastronomie.

 

Partie intégrante de la vitrine touristique

Les restaurateurs situés dans le quadrilatère de l’Espace Culturel font partie intégrante d’un lieu à fort potentiel touristique. De ce fait, ils vivent des situations particulières en lien avec leur localisation (ex. : enjeux d’achalandage, de stationnement et de main-d’œuvre, etc.). Les discussions menées dans le cadre de cette table ont pour objectif de stimuler les réflexions sur les pistes de solutions pour faciliter le travail de ces restaurateurs au quotidien, mais aussi sur les moyens d’en attirer de nouveaux, tout comme d’attirer une clientèle plus importante. Par ailleurs, elles visent aussi à favoriser un maillage créatif entre les restaurateurs et le quadrilatère culturel afin de créer un milieu gastronomique incontournable à Repentigny et une effervescence au centre-ville.

« Cette initiative me tient personnellement à cœur! Pour dynamiser notre centre-ville et offrir un milieu de vie agréable à nos citoyens, ainsi qu’une expérience unique à nos visiteurs, il nous faut inévitablement penser à des solutions et imaginer des projets novateurs, et conséquemment impliquer les restaurateurs de l’Espace Culturel. La synergie de toutes les personnes qui participent à cette table nous permettra de faire rayonner la municipalité à titre de destination gastronomique et touristique de choix », affirme Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

« Tous les restaurateurs impliqués dans cette démarche ont leurs propres besoins et se distinguent individuellement, mais ils font partie d’un tout, d’où l’importance de les aider à se démarquer ensemble. C’est pourquoi cette table de concertation s’inscrit dans notre vision du vivre-ensemble, qui consiste notamment à mettre en place des moyens permettant à la communauté de
s’épanouir », ajoute Martine Gendron, présidente de la Commission culture, tourisme et redéploiement du centre-ville et conseillère municipale.

 

Plusieurs rencontres annuelles

L’écoute, l’ouverture et l’implication étaient au rendez-vous lors de la première rencontre qui s’est tenue le 20 mars dernier. Pour favoriser la concertation, la cohésion et le partage d’informations, les participants de la Table des restaurateurs de l’Espace Culturel se réuniront 3 à 4 fois par année, et la prochaine rencontre aura lieu avant l’été.

 

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise dans ce communiqué de presse, le masculin uniquement pour faciliter la lecture.