La MRC de Montcalm obtient une aide financière de 61 171$

La MRC de Montcalm est fière de bonifier son service de transport collectif régional grâce à une aide financière accordée par le ministère des Transports et de la Mobilité durable.

En effet, ce sont 61 171$ qui s’ajouteront au budget de l’organisation afin d’offrir des services additionnels destinés aux ainés. Cette aide financière accordée par le Programme d’aide au transport collectif régional – Municipalité amie des ainés (MADA) Volet 2 – implantation de projets pilotes en transport collectif permettra la mise en place des services suivants, et ce, spécialement en lien avec le plan d’action MADA :

Promotion du service du transport adapté et collectif auprès des ainés (65 ans et plus) du territoire ;

Mise en place d’un projet-pilote (1er mai au 31 décembre 2023) de 4 navettes spéciales permettant aux ainés d’effectuer leurs emplettes et sorties localement (épicerie, rendez-vous médicaux, bibliothèque, etc.) ;

Service de porte à porte ;

Les navettes offertes de 10h à 14h en semaine et sur réservation seront réparties selon les circuits suivants :

Navette # 1 – Saint-Jacques / Sainte-Marie-Salomé / Saint-Alexis / Saint-Liguori

Navette # 2 – Saint-Esprit / Saint-Roch-de-l’Achigan / Saint-Roch-Ouest

Navette # 3 – Sainte-Julienne / Saint-Calixte

Navette # 4 – Saint-Lin-Laurentides

À propos de la MRC de Montcalm

Notre territoire formé de 10 municipalités locales offre à près de 60 000 citoyens un cadre de vie enchanteur, près de la nature tout en étant à proximité des grands centres tels que Laval, Montréal et Joliette. Nos terres fertiles regorgeant d’histoires et d’une culture forte font partie de nos richesses. Notre zone agricole qui couvre un peu plus de 60% de la région est la plus active et prospère au Québec. Un secteur récréotouristique en pleine croissance, des industries florissantes et des Montcalmois et Montcalmoises des plus chaleureux !

Novago coopérative remet plus de 115 000$ à la relève agricole

Dans le cadre de son assemblée générale annuelle tenue le 23 mars dernier, Novago Coopérative a remis plus de 115 000$ à 24 producteurs agricoles de la relève agricole.

« La relève agricole a toujours été une priorité pour notre coopérative. C’est pourquoi nous soutenons les jeunes producteurs, à la fois financièrement et dans le développement de leurs connaissances », explique Jean-Nil Laganière, président. Rappelons que le programme permet aux participants d’aller chercher une aide financière jusqu’à 7 500$ par année pendant trois ans.

Au cours de la dernière année, Novago Coopérative a également remis plus de 100 000$ en dons et commandites à des organismes et activités partout sur le territoire.

« Cet engagement financier contribue au dynamisme de nos régions et nous sommes fiers de nous positionner comme une entreprise socialement engagée », a renchéri Dany Côté, chef de la direction de la coopérative.

Malgré des résultats financiers plus difficiles en raison de l’inflation et d’incertitudes de marché, la coopérative a annoncé à ses membres sa volonté d’investir dans la modernisation de ses actifs et dans l’automatisation de ses processus. D’ailleurs, un projet majeur de centre agricole moderne est présentement sous étude dans la région de Lanaudière.

« Le mandat donné par nos membres est clair : Novago doit être une coopérative efficiente, compétitive et pérenne. Comme conseil d’administration, nous continuerons de prendre les décisions nécessaires pour y parvenir », a précisé monsieur Laganière. « Notre excellent bilan nous permet de concrétiser des investissements importants, mais aussi de soutenir les rationalisations requises pour assurer notre pérennité » a complété monsieur Côté.

Deux nouveaux venus au conseil d’administration

À la suite des élections, deux nouveaux élus joindront le conseil d’administration, soit monsieur Pascal Alary pour représenter la région de Lanaudière, et madame Katrine Venne pour le secteur de la Mauricie. Les mandats de Guillaume Trudeau (Laurentides, Laval et Montréal), Julie Reber (Outaouais) et David Mercier (Lanaudière) ont quant à eux été reconduits par les membres.

Après respectivement 28 ans et 18 ans au sein du conseil d’administration, Yvon Landreville (secteur Lanaudière) et Benoit Massicotte (secteur Mauricie) ont fait le choix de relever de nouveaux défis. « Chacun à leur façon, ils ont façonné notre coopérative et peuvent être fiers de leur leg. Nous les remercions pour leurs longues années d’implication », a souligné le président Jean-Nil Laganière.

À propos de Novago Coopérative

Novago Coopérative, avec son chiffre d’affaires de 397M$, est la propriété de près de 2 500 membres producteurs agricoles et 15 000 membres consommateurs. Elle emploie plus de 400 personnes, qui œuvrent dans ses secteurs agricoles ou dans l’une de ses 13 quincailleries BMR et Agrizone. Sa mission est de contribuer au succès de ses membres par sa force coopérative et la création de valeur.

Drapeaux mis en berne : hommage à la sergente Maureen Breau

La Ville de Terrebonne met ses drapeaux en berne en mémoire de la sergente Maureen Breau de la Sûreté du Québec, décédée dans l’exercice de ses fonctions dans la nuit du lundi à mardi, à Louiseville.

« Au nom de l’ensemble de la population, des élus et des employés de la Ville de Terrebonne, je tiens à offrir mes plus sincères condoléances à la famille et aux proches de la sergente Breau. Mes pensées sont avec les collègues de la Sûreté du Québec et des autres corps policiers. Je souhaite aussi un prompt rétablissement au policier blessé. Cette tragédie rappelle à quel point le métier de policier est dangereux », a souligné le maire de Terrebonne, Mathieu Traversy.

Pour optimiser les retombées commerciales du centre-ville – Repentigny crée la Table des restaurateurs de l’Espace culturel

L’administration Dufour est fière d’annoncer la mise sur pied de la Table des restaurateurs de l’Espace Culturel ainsi que la tenue, le 20 mars dernier, d’une première rencontre avec ses participants[1]. Composée de restaurateurs situés sur la rue Notre-Dame entre les rues Brien et Thouin, ainsi que de représentants de l’administration municipale, cette table se veut un lieu d’échanges visant à optimiser les retombées commerciales du centre-ville et à favoriser la création d’une économie touristique grâce à la gastronomie.

 

Partie intégrante de la vitrine touristique

Les restaurateurs situés dans le quadrilatère de l’Espace Culturel font partie intégrante d’un lieu à fort potentiel touristique. De ce fait, ils vivent des situations particulières en lien avec leur localisation (ex. : enjeux d’achalandage, de stationnement et de main-d’œuvre, etc.). Les discussions menées dans le cadre de cette table ont pour objectif de stimuler les réflexions sur les pistes de solutions pour faciliter le travail de ces restaurateurs au quotidien, mais aussi sur les moyens d’en attirer de nouveaux, tout comme d’attirer une clientèle plus importante. Par ailleurs, elles visent aussi à favoriser un maillage créatif entre les restaurateurs et le quadrilatère culturel afin de créer un milieu gastronomique incontournable à Repentigny et une effervescence au centre-ville.

« Cette initiative me tient personnellement à cœur! Pour dynamiser notre centre-ville et offrir un milieu de vie agréable à nos citoyens, ainsi qu’une expérience unique à nos visiteurs, il nous faut inévitablement penser à des solutions et imaginer des projets novateurs, et conséquemment impliquer les restaurateurs de l’Espace Culturel. La synergie de toutes les personnes qui participent à cette table nous permettra de faire rayonner la municipalité à titre de destination gastronomique et touristique de choix », affirme Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

« Tous les restaurateurs impliqués dans cette démarche ont leurs propres besoins et se distinguent individuellement, mais ils font partie d’un tout, d’où l’importance de les aider à se démarquer ensemble. C’est pourquoi cette table de concertation s’inscrit dans notre vision du vivre-ensemble, qui consiste notamment à mettre en place des moyens permettant à la communauté de
s’épanouir », ajoute Martine Gendron, présidente de la Commission culture, tourisme et redéploiement du centre-ville et conseillère municipale.

 

Plusieurs rencontres annuelles

L’écoute, l’ouverture et l’implication étaient au rendez-vous lors de la première rencontre qui s’est tenue le 20 mars dernier. Pour favoriser la concertation, la cohésion et le partage d’informations, les participants de la Table des restaurateurs de l’Espace Culturel se réuniront 3 à 4 fois par année, et la prochaine rencontre aura lieu avant l’été.

 

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise dans ce communiqué de presse, le masculin uniquement pour faciliter la lecture.

Passage de la charrette d’urbanisme de l’UQÀM à Saint-Alphonse-Rodriguez

Les 27, 28 février et 1er mars derniers, la municipalité de Saint-Alphonse-Rodriguez a accueilli une trentaine d’étudiants en urbanisme de l’UQÀM pour participer à un concours d’aménagement urbain. Pendant leur séjour, les étudiants avaient pour objectif d’imaginer le réaménagement et la revitalisation du noyau villageois selon les orientations du plan d’aménagement et du plan stratégique du conseil municipal.

 

Les étudiants ont proposé des projets novateurs, porteurs d’une vision accrocheuse et qui s’adaptent aux enjeux de la Municipalité. Ces projets ont été présentés et discutés devant un jury composé d’élus et de citoyens. La démarche faisait suite à des consultations citoyennes concernant le plan d’urbanisme de la Municipalité ayant eu lieu avant l’arrivée de la pandémie. Ces dernières ont servi à alimenter les propositions des étudiants.

 

« Nous sommes très heureux d’avoir participé à ce projet et ainsi de mettre à profit la créativité et les connaissances des urbanistes de demain. Il est stimulant de constater l’enthousiasme des
cinq équipes d’étudiants qui travaillaient leurs projets et ayant à cœur l’amélioration de la qualité de vie au sein de notre Municipalité. Grâce à leur regard neuf, ils nous apporteront des idées rafraîchissantes et innovantes dont la Municipalité pourrait éventuellement s’inspirer
 », souligne Isabelle Perreault, mairesse de Saint-Alphonse-Rodriguez.

 

Quel est le but d’une charrette d’urbanisme?

Une charrette d’urbanisme est l’occasion d’ouvrir de nouvelles avenues de réflexion autour de quelques grands enjeux territoriaux et d’illustrer des pistes de solution. Les propositions élaborées serviront à alimenter la réflexion de la Municipalité dans les projets de revitalisation urbaine du noyau villageois.

 

Pour plus d’information au sujet de la municipalité de Saint-Alphonse-Rodriguez, visiter le www.munsar.ca ou communiquer avec la réception de l’Hôtel de Ville au 450 883-2264, poste 7400, ou encore, par courriel à info@munsar.ca.

Nominations : plusieurs nouvelles embauches au comité de direction de la ville de Terrebonne

La Ville de Terrebonne est heureuse d’annoncer la nomination de quatre (4) nouveaux membres à son comité de direction. Le choix des candidats a été entériné lors du conseil municipal du lundi 27 mars 2023. Les personnes sélectionnées prendront poste au cours des prochaines semaines.

« C’est au terme d’un processus de recrutement rigoureux que notre décision a été prise, et je me réjouis de constater que ces nominations incarneront notre vision et nos valeurs organisationnelles, notamment la bienveillance, le respect et la collaboration », mentionne Serge Villandré, directeur général. « Je tiens à remercier toutes les personnes impliquées et plus particulièrement les équipes qui ont redoublé d’efforts au cours des derniers mois dans l’attente de ces ressources afin que les projets et mandats se poursuivent. »

Voici les nouvelles nominations au sein du comité de direction :

Michel Imbeault à la Direction du génie

Bachelier en génie civil avec plus de 27 ans d’expérience en infrastructures municipales, principalement en gestion d’équipes multidisciplinaires, M. Imbeault a contribué à de nombreux projets d’envergure, dont plusieurs sur le territoire de Terrebonne. Il prendra ses nouvelles fonctions à titre de directeur à compter du 1er mai prochain. Sa connaissance approfondie de la municipalité et ses expériences professionnelles viendront certainement contribuer à l’aboutissement des nombreux chantiers en cours et à venir. Son mandat principal sera de veiller avec son équipe à la concrétisation des projets de développement et de mise à niveau d’infrastructures et d’ouvrages d’art.

 

Éliane Lessard à la Direction de l’urbanisme durable

Soulignons une nomination interne avec Éliane Lessard qui a été promue directrice à la Direction de l’urbanisme durable. Graduée d’un baccalauréat en urbanisme et d’une maîtrise en gestion du développement économique urbain, Mme Lessard possède plus de 10 ans d’expérience dans le milieu municipal, dont 7 ans comme chef de division, planification et réglementation à la Ville de Terrebonne. Elle occupera ses nouvelles fonctions dès le lundi 3 avril. Grâce à sa grande connaissance de la municipalité et son sens du leadership, elle saura diriger son équipe à travers les défis à venir, comme la réflexion de l’aménagement de la municipalité avec la transition écologique et la croissance du développement du territoire.

 

Charles Thériault à la Direction du développement économique

Charles Thériault occupera le poste de directeur du développement économique à partir du 1er mai. Titulaire d’un baccalauréat en urbanisme, il cumule plus de 20 années d’expérience en développement de projets et est responsable du développement économique à la Ville de Mascouche depuis 2015. Ce nouveau mandat fait suite à la création de cette direction présentée lors de la révision de la structure organisationnelle à l’automne 2022. M. Thériault sera amené à relever de nombreux défis, notamment avec une équipe à bâtir et avec l’ensemble des projets à développer au cours des prochains mois.

 

Johannie Lapierre à la Direction de l’administration et des finances

L’équipe de la Direction de l’administration et des finances accueillera dès le 24 avril Johannie Lapierre à titre de directrice et trésorière. Comptable agréée et détentrice d’une maîtrise en gestion des affaires (MBA), elle possède près de 14 années d’expérience dans le domaine des finances pour différentes industries, notamment dans un poste en gestion au Centre de services scolaire de Montréal. Son expertise en gestion opérationnelle et financière et son leadership marqué lui permettront de contribuer à l’optimisation des processus et au développement de notre organisation.

« C’est pour nous un grand honneur de pouvoir compter sur ces nouvelles personnes pour venir compléter et enrichir notre équipe de direction. Je suis convaincu que leurs expériences et expertises seront bénéfiques pour accompagner nos équipes à relever les défis et les projets à venir », souligne Stéphane Larivée, directeur général adjoint, Services à la communauté et développement des infrastructures.

Ces quatre nominations viennent compléter l’équipe de direction de la municipalité.

Un projet de valorisation des drêches de microbrasseries est lancé dans Lanaudière

Issu d’une mobilisation régionale, un projet de valorisation des drêches de microbrasseries est lancé dans la région. Il vise à proposer diverses voies de valorisation pour ces résidus de transformation, soit par des débouchés dans l’alimentation humaine ou encore comme fertilisant pour l’agriculture. À terme, le projet pourrait être profitable pour l’ensemble des microbrasseries lanaudoises.

Lanaudière est riche d’une grande diversité de microbrasseries, offrant des produits variés et issus de transformation artisanale. Nous comptons actuellement 17 microbrasseries dans la région, dont la majorité se retrouve dans la Route des bières, appelée Lanaubière. Le principal sous-produit de transformation de la bière se nomme la drêche. Il s’agit des résidus du brassage des céréales et ils sont généralement utilisés dans l’alimentation animale. Annuellement, cela représente, pour la région de Lanaudière, plus de 900 tonnes de drêches, qui doivent être gérées par les microbrasseries et qui ne représentent aucune source de revenus. Au contraire, cette gestion de drêches mobilise des ressources, une certaine manutention et, dans certains cas, des frais de transport. Ces constats ont émergé de l’Étude de caractérisation de la filière bioalimentaire de Lanaudière et une mobilisation des acteurs s’est opérée autour de cet enjeu.

Le projet implique dans un premier temps la participation active de deux (2) microbrasseries, l’Alchimiste microbrasserie, située à Joliette et Hopfenstark, située à Lavaltrie. Grâce à leur contribution, des échantillons et des données seront collectés afin de mener l’étude avec Bio.Enviro.In et Cintech Agroalimentaire. Les objectifs du projet sont de déterminer des voies de valorisation de la drêche pour la réintroduction dans l’alimentation humaine et de tester la valeur fertilisante de la drêche de microbrasserie comme amendement au substrat de culture. Les entreprises de ce secteur d’activité ainsi que certains transformateurs, surveillent le projet avec attention. Les premiers résultats de l’étude sont prévus au printemps 2023 et d’autres en début d’année 2024. L’objectif ultime derrière la démarche est que la drêche, tout d’abord traitée comme un résidu de microbrasserie, puisse être revalorisée et revendue sous forme d’un autre produit à valeur ajoutée. Un projet qui fait tout son sens dans une optique de réduction des gaz à effet de serre, de diminution des résidus et de création de circuits courts.

Le projet est piloté par le Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière (CDBL), en partenariat avec les Sociétés d’aide au développement de la collectivité (SADC) Achigan-Montcalm, D’Autray-Joliette et Matawinie ainsi que Lanaudière Économique. Il est rendu possible grâce au programme Virage vert des SADC, qui contribue à l’amélioration de la performance environnementale et économique des entreprises du Québec.

À propos du programme virage vert

Ce programme est offert à travers les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec et vise à fournir des expertises externes spécialisées afin d’aider les entreprises ayant la volonté d’améliorer leur performance environnementale et économique à aller plus loin dans leur processus d’adoption de pratiques écoresponsables structurantes et d’implantation de technologies propres. Ce programme permet donc de répondre aux besoins des PME et des collectivités pour de l’accompagnement et de l’expertise en développement durable par de l’aide technique. Pour en savoir plus : https://www.sadc-cae.ca/fr/programme-virage-vert/

 

 

À propos de synergie Lanaudière

Porté par Lanaudière Économique depuis 2009, Synergie Lanaudière offre un accompagnement aux entreprises et aux organisations qui souhaitent prendre le virage de l’économie circulaire pour notamment échanger des ressources entre elles, trouver des débouchés à leurs matières résiduelles, s’approvisionner localement à partir de matières recyclées et développer de nouveaux produits à valeur ajoutée à partir de sous-produits. Pour en savoir plus : https://www.lanaudiereeconomique.org/services/developpement-durable/synergie/

À propos de l’étude de caractérisation de la filière bioalimentaire de Lanaudière

Concrètement, c’est 159 entrevues téléphoniques qui ont été menées auprès de producteurs agricoles, transformateurs, restaurateurs, institutions, commerces de détail et de gros, afin d’identifier les principaux intrants consommés et extrants générés sur le territoire lanaudois. Une analyse des données réalisée par le Centre de transfert technologique en écologie industrielle (CTTÉI) a permis de cerner les modalités de gestion des matières résiduelles en place et de cibler les principales opportunités de valorisation dans une perspective d’économie circulaire. Pour en savoir plus : https://cdbl.ca/etude-decaracterisation-de-la-filiere-bioalimentaire/

 

 

Site d’enfouissement de Lachenaie Terrebonne prend acte de la demande d’agrandissement

La Ville de Terrebonne a pris acte de la demande du Complexe Enviro Connexions pour l’agrandissement de son lieu d’enfouissement technique (LET) situé dans le secteur de Lachenaie.

 

« La Ville était déjà au fait de ce projet d’agrandissement sur des terrains appartenant à l’entreprise. Elle suivra attentivement l’évolution du dossier afin de s’assurer que les préoccupations des citoyens soient entendues », a fait savoir le maire de Terrebonne, Mathieu Traversy.

 

Cesser l’enfouissement intensif

Le LET de Lachenaie est l’unique site d’enfouissement du Grand Montréal. Ce sont 50 % des déchets de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) qui s’y retrouvent.

 

D’ailleurs, dans un mémoire déposé en 2021 dans le cadre de la révision du Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles de la CMM, Terrebonne recommandait que chaque territoire se responsabilise en la matière. La Ville y proposait aussi des solutions en matière de réduction à la source et de réemploi.

 

La Ville de Terrebonne a d’ailleurs choisi d’agir concrètement en matière de réduction à la source. En effet, depuis le 1er mars dernier, un règlement encadre sur son territoire la distribution des objets à usage unique. Cette initiative est accompagnée d’une vaste campagne de sensibilisation « Non merci aux objets à usage unique », lancée conjointement avec la Ville de Mascouche qui a elle aussi adopté un telle réglementation.

 

« Il s’agit d’une mesure concrète visant à réduire la production de déchets à la source. Le meilleur déchet, c’est celui que l’on ne produit pas! J’invite d’ailleurs les autres municipalités à s’inspirer de notre réglementation qui contribuera sans aucun doute à atteindre des cibles ambitieuses en matière de réduction des déchets. L’enfouissement intensif, ce n’est pas la solution face à l’état de notre planète », a affirmé le maire.

 

Le point sur la règlementation encadrant la gestion et l’entretien des installations septiques à Terrebonne

Puisque des informations erronées semblent diffusées publiquement depuis quelques jours en ce qui a trait à la règlementation qui encadre la gestion et l’entretien d’installations septiques sur le territoire, la Ville de Terrebonne souhaite faire le point sur le sujet.

Appel à la prudence

Les citoyens de Terrebonne sont invités à faire preuve de vigilance puisque certaines personnes ont rapporté avoir reçu dernièrement la visite de représentants non identifiés prétendant véhiculer des informations officielles de la Ville de Terrebonne. Ces personnes ne sont en aucun cas des porte-parole officiels des décisions municipales. Si tel était le cas, leur identification serait claire, par exemple avec des vêtements ou des dossards de la Ville de Terrebonne. En cas de doute, les citoyens peuvent exiger à l’employé de s’identifier avec sa carte avec photo ou communiquer avec le Bureau des citoyens à Nous Joindre – | Coordonnées – | Ville de Terrebonne.

Systèmes de traitement tertiaire de désinfection par ultraviolet

À Terrebonne, en concordance avec le règlement provincial, les systèmes de traitement tertiaire de désinfection par ultraviolet sont présentement permis puisque la municipalité a une entente de services avec deux compagnies d’entretien de ce type de système. Lors des entretiens d’installations chez les citoyens concernés, ces compagnies facturent la Ville de Terrebonne qui, elle, refacture ensuite le citoyen propriétaire.

En ce moment, un projet de règlement est à l’étude à Terrebonne sur les installations septiques, mais aucune décision n’est prise à ce jour. Plus de détails suivront en fonction des échanges et des décisions.

Les citoyens peuvent être assurés que des moyens de communication officiels et appropriés seront mis en place par la Ville le temps venu. Pour les élus et les employés municipaux, il importe d’accompagner les citoyens dans la démarche.

Rappels de la règlementation provinciale présentement en vigueur

En l’absence d’un règlement municipal en lien avec les vidanges et l’entretien des installations septiques, c’est le règlement provincial qui s’applique, soit le Règlement sur l’évacuation et le traitement des eaux usées des résidences isolées (RLRQ, c. Q-2, r. 22). Puisqu’à Terrebonne, le projet de règlement demeure l’étude, c’est le règlement provincial qui s’applique.

Le règlement RLRQ, c. Q-2, r. 22 adopté par le gouvernement du Québec indique notamment que :

  • toutes les résidences isolées non desservies par les égouts municipaux doivent être munies d’une installation septique conforme;
    • nul ne peut rejeter ni permettre le rejet dans l’environnement les eaux usées provenant des toilettes, lavabos et douche d’une résidence. Le règlement précise aussi ce qui est permis ou non permis en matière d’aménagement sur et autour d’une installation septique, puis régit la capacité de traitement exigée en fonction du nombre de chambres d’une résidence. Il spécifie également que la vidange est obligatoire au moins une fois tous les deux ans pour les résidences permanentes.

Des responsabilités partagées
Ce sont les municipalités qui ont le devoir d’assurer le respect du règlement provincial sur leur territoire respectif. Présentement, à Terrebonne, c’est une équipe d’inspecteurs en environnement et domaine public qui, au nom du Bureau de l’environnement et de la transition écologique, est responsable d’effectuer les inspections sur tout le territoire terrebonnien afin de faire respecter le règlement provincial.

Quant à eux, les propriétaires d’une résidence avec une installation septique ont la responsabilité de s’assurer du bon fonctionnement de celle-ci, notamment en veillant à l’entretien régulier et prescrit de leur installation (par exemple par le remplacement de composante défectueuse ou en fin de durée de vie).

En cas d’infraction, le règlement provincial prévoit des amendes entre 1 000 $ et 100 000 $ pour les personnes fautives. Pour plus de détails : https://www.ville.terrebonne.qc.ca/fosses

 

Changement des heures d’ouverture des services d’accueil aux citoyens

La Ville de Joliette annonce que les heures d’ouverture des services d’accueil aux citoyens seront modifiées à compter du 3 avril prochain. Ainsi, les services offerts aux citoyens seront accessibles selon l’horaire suivant : du lundi au jeudi, de 9 h à 16 h 30, sans interruption sur l’heure du dîner, et le vendredi, de 8 h 30 à 12 h. À noter que la cour municipale commune demeurera fermée entre 12 h et 13 h 15 du lundi au jeudi.

« Cette décision, prise en concertation avec l’équipe syndicale et municipale, s’inscrit dans une volonté d’améliorer les conditions de travail et le bien-être de nos employés. Il est nécessaire que l’organisation soit à l’écoute et revoit les conditions de travail afin d’offrir une flexibilité permettant la conciliation travail-famille et afin d’être compétitif et attractif pour le recrutement de nouveaux talents », mentionne le maire, Pierre-Luc Bellerose.

Besoin d’aide? Gagnez du temps!

La Ville rappelle que son site Web et l’espace citoyen Civis sont à la disposition des citoyens à tout moment. Nul besoin d’intermédiaire ou d’assistance! Dans l’immédiat et la simplicité, trouvez réponse à vos questions et accédez aux services municipaux au www.joliette.ca. Les citoyens sont également invités à s’abonner à la page Facebook de la ville afin d’être à l’affût de l’actualité municipale.