Mascouche présente sa première Politique municipale d’habitation

La Ville de Mascouche présente aujourd’hui sa toute première Politique municipale d’habitation. Celle-ci guidera ses actions en matière de développement résidentiel inclusif et d’accession à la propriété, de rénovation et d’entretien du bâti existant, de logement social et de qualité de vie urbaine en général.

« Les défis sont nombreux en matière d’habitation et nous devons être en mode action afin que tous puissent avoir accès à un logis qui répond à leurs besoins, à la hauteur de leurs moyens, et ce, dans un milieu de vie de qualité », mentionne Darllie Pierre-Louis, conseillère municipale et membre de l’Office municipal d’habitation de Lanaudière Sud. Elle précise aussi que la démarche d’élaboration de la politique a reposé sur les activités de consultation auprès de la population et des organismes communautaires œuvrant en habitation sur le territoire municipal et régional.

La politique municipale d’habitation vise à mettre sur la table des pistes de solution permettant à la Ville de mieux répondre aux défis qui l’attendent. En définissant une vision commune du développement de l’habitation pour les prochaines années, la présente politique favorisera la concertation entre tous les acteurs de la communauté. Mascouche se dote ainsi d’un outil structurant permettant de mieux planifier et encadrer le développement de l’habitation sur le territoire en adéquation avec les besoins de ses citoyennes et citoyens.

 

Objectifs de la politique

  • Définir une vision partagée des enjeux et des défis en matière d’habitation et proposer des moyens d’action concrets pour y répondre.
  • Favoriser l’émergence de milieux de vie complets et durables proposant une offre de logements répondant aux besoins actuels et futurs des citoyennes et citoyens de Mascouche.
  • Améliorer l’abordabilité des logements pour un plus grand nombre de Mascouchoises et Mascouchois.
  • Encadrer et orienter le développement résidentiel sur le territoire mascouchois en répondant aux exigences de la ville de demain, c’est-à-dire inclusive, résiliente et capable de s’adapter aux changements.

 

Fonds dédié au logement social et familial

Rappelons que devant l’accès difficile au logement et le taux d’inoccupation très bas sur son territoire, la Ville de Mascouche annonçait à la fin de l’année 2022 la création d’une réserve financière dédiée à augmenter l’offre et faciliter l’accessibilité à des logements sociaux et familiaux sur son territoire. Ainsi, 0,01 $ par 100 $ d’évaluation foncière et 1000 $ par unité de nouveau logement (autres que sociaux) va dans le Fonds du logement. La mise sur pied de ce dernier permettra de prendre les mesures d’intervention nécessaires pour favoriser un plus grand équilibre dans le marché de l’offre en logements.

Prolongement de l’autoroute 19 – Fermeture prolongée d’une partie de la rue Perron à Bois-des-Filion

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable informe les usagers de la route que la partie fermée de la rue Perron à Bois-des-Filion le restera jusqu’à l’automne 2025. Cette entrave est requise pour la poursuite des travaux dans le secteur. Elle permettra de terminer l’installation d’une conduite d’eaux pluviales, de démolir l’ancienne et d’aménager un accès à partir de la rue Perron pour construire l’une des piles du futur pont Athanase‑David.

Les usagers sont invités à suivre les chemins de détour balisés sur le réseau. La piste cyclable et le lien piétonnier sont maintenus sur la rue Perron.

Pour la sécurité des usagers de la route et celle des travailleuses et travailleurs, le respect de la signalisation en place est essentiel.

Afin de planifier adéquatement vos déplacements, informez-vous sur les entraves en cours et à venir en consultant Québec 511.

 

Lien connexe

Consultez la page Web du prolongement de l’autoroute 19 pour suivre l’avancement du projet et pour vous abonner à l’infolettre : Québec.ca/autoroute19.

La générosité de la campagne du Biscuit sourire des Fêtes de Tim Hortons – Moisson Laurentides reçoit un don de 53 412,63 $

Une situation plus que critique

Les récents résultats de la campagne du Biscuit Sourire des fêtes, qui s’est déroulée du 13 au 19 novembre dernier, présentent une lueur d’espoir pour les 20 000 personnes, dont 40% sont des enfants, qui dépendent de notre assistance. Les nouvelles demandes d’aide atteignent des sommets, tandis que les dons en denrées connaissent une baisse historique, créant une situation critique.

Des retombées qui nourrissent l’espoir

Grâce à la générosité de Tim Hortons et de ses clients, la campagne a permis de remettre 53 412,63 $ à Moisson Laurentides pour répondre aux besoins alimentaires croissants de notre communauté. Annie Bélanger, directrice générale de Moisson Laurentides, souligne : « C’est un montant très significatif pour une banque alimentaire. Cette initiative a non seulement apporté des fonds essentiels mais a également mobilisé la communauté, offrant une opportunité de se régaler sans culpabilité. »

Avec la participation active de plus de 194 bénévoles dévoués, cette initiative a connu un succès exceptionnel. Un total de 45 succursales, dont 23 ont accueilli des bénévoles engagés, ont vendu des biscuits sourires dans diverses villes telles que Blainville, Boisbriand, Brownsburg-Chatham, Deux-Montagnes, Grenville, Lachute, Mirabel, Mont-Tremblant, Rosemère, Ste-Adèle, Ste Agathe des Monts, Ste-Anne des Plaines, Sainte-Marthe sur le Lac, Sainte-Sophie, Sainte Thérèse, Saint-Eustache, Saint-Jérôme, Saint-Joseph du Lac, Saint-Sauveur, et Val David. Ces statistiques reflètent l’ampleur de la mobilisation locale et témoignent de l’impact positif de la campagne dans la lutte contre l’insécurité alimentaire.

Moisson Laurentides tient à remercier chaleureusement les franchisés Tim Hortons participants, les bénévoles, M. Mathieu St-Cyr, directeur régional des Tim Hortons, et chaque personne ayant soutenu cette cause en achetant des biscuits. Votre contribution a été essentielle pour faire de cette campagne un véritable succès !

Appel à la générosité

Moisson Laurentides demeure déterminé à répondre à la demande croissante et encourage tous à être généreux. Tout au long du mois de décembre, de nombreuses façons de s’impliquer sont disponibles. Pour plus d’informations, faire un don, ou participer à nos efforts, visitez notre site web : moissonlaurentides.org.

À propos de Moisson Laurentides
Moisson Laurentides rappelle que, pour chaque dollar reçu, il redonne l’équivalent de 15 $ en denrées. Près de 4 millions de kilogrammes de denrées sont distribués chaque année, soit l’équivalent de plus de 43 millions en valeur marchande  En soutenant Moisson Laurentides, vous permettez à 111 organismes de nourrir plus de 20 000 personnes chaque mois, dont 40 % sont des enfants.

 

PRIX RIDEAU 2024 – Deux nominations pour Diffusion Hector-Charland!

C’est hier qu’avait lieu le dévoilement des finalistes des prochains prix RIDEAU. Remis à des acteurs ayant grandement contribué par leur créativité, leur originalité et leur dévouement, au rayonnement des arts vivants, les prix RIDEAU sont symboles d’excellence en diffusion des arts de la scène.

Diffusion Hector-Charland est heureux d’être nommé dans les catégories prix Soutien municipal avec les villes de L’Assomption et de Repentigny pour la campagne promotionnelle Ta nouvelle flamme culturelle, et prix Communication marketing avec la SPEC du Haut-Richelieu.

 

PRIX SOUTIEN MUNICIPAL

Ce prix récompense les initiatives d’un diffuseur qui, soutenu par sa municipalité, contribue au développement de son milieu en favorisant l’accès aux arts de la scène. L’appui de la municipalité permet au diffuseur de proposer une programmation diversifiée et de qualité.

Développé à l’été 2023, le projet Ta nouvelle flamme culturelle est une initiative promotionnelle visant à mettre en lumière la programmation culturelle estivale riche et éclectique des villes de L’Assomption et de Repentigny. Diffusion Hector-Charland et les villes de L’Assomption et de Repentigny se sont ralliés afin de mettre sur pied diverses offensives promotionnelles qui ont permis de faire rayonner une foule d’événements et d’activités ainsi que le dynamisme de leurs deux centres-villes effervescents.

Diffusion Hector-Charland tient à féliciter [co]motion, agitateur de culture et la ville de Laval, ainsi que Rang 1 – Direction culture avec la ville de Lac-Mégantic, également nommés dans cette catégorie.

 

PRIX COMMUNICATION ET MARKETING

Le prix Communication et marketing souligne les actions en communication mises de l’avant par un diffuseur qui se distingue par des initiatives ingénieuses et audacieuses pour développer et maintenir le lien privilégié avec ses publics.

La SPEC du Haut-Richelieu et Diffusion Hector-Charland partagent dorénavant le même écosystème numérique, ce qui facilite l’optimisation des pratiques, permet des tests de comparaison entre les deux entités (tests A/B), renforce leur intelligence d’affaires vers une connaissance plus fine des habitudes d’achat et des actions marketing. Pour ce faire, la SPEC du Haut-Richelieu a utilisé le même système de gestion de contenu (CMS) que Diffusion Hector-Charland pour la refonte de son site en personnalisant l’image, le contenu et l’interface de programmation d’application (API) liée à Tuxedo. Cette création d’un binôme ouvre la porte à la mutualisation des ressources, autant stratégiques que financières.

Diffusion Hector-Charland et la SPEC du Haut-Richelieu sont fiers d’être nommés dans cette catégorie aux côtés de La Chapelle Spectacles (Société culturelle de Vanier) et Le Diamant.

Le Gala des prix RIDEAU 2024 se tiendra le jeudi 15 février prochain au Théâtre Capitole à Québec. Une véritable reconnaissance du métier de diffuseur!

 

À propos de Diffusion Hector-Charland

Reconnu comme un leader régional sur les plans artistique, économique et touristique, Diffusion Hector-Charland s’engage à développer les arts vivants dans Lanaudière et à en assurer son rayonnement. Diffuseur pluridisciplinaire à l’avant-garde des tendances et des pratiques, l’organisme améliore, transmet et apporte son expertise au bénéfice premier des artistes et des communautés où s’inscrivent ses actions. En plus des activités de diffusion au Théâtre Hector-Charland et au Théâtre Alphonse-Desjardins, l’organisme travaille activement à l’élaboration et au déploiement de nombreux projets disciplinaires, comme le festival Fous de Théâtre et le Pôle Territoire Danse, en plus de soutenir le processus créatif des artistes par le biais de résidences de création sur le territoire, avec hébergement à la Maison Jacques-Parizeau.

 

À propos de RIDEAU

Fondée en 1978, RIDEAU — l’Association professionnelle des diffuseurs de spectacles travaille au développement et à la reconnaissance du secteur d’activité de ses membres ainsi qu’à la promotion de leurs besoins, droits et intérêts. Ses membres, dont les activités visent à favoriser l’accès de la population à une offre artistique diversifiée et de qualité, sont répartis sur tout le territoire québécois et en francophonie canadienne.

L’équipe d’intervenants psychosociaux du Service de police de la Ville de Repentigny en action sur le terrain

En juillet 2022, le Service de police de la Ville de Repentigny (SPVR) annonçait, en collaboration avec le CISSS de Lanaudière, le déploiement d’une équipe d’intervenants psychosociaux ayant pour mandat d’appuyer les patrouilleurs dans la dimension psychosociale de leur travail afin de répondre plus adéquatement aux besoins de la population.

Nous sommes fiers d’annoncer que l’équipe d’intervention, nommée « l’équipe CIDD » pour Concertation, Intervention, Désescalade et Déjudiciarisation est complètement opérationnelle. Formée de six (6) intervenants psychosociaux, dont deux (2) proviennent du CISSS de Lanaudière, cette unité civile se distingue par sa capacité à intervenir, directement sur le terrain, auprès de personnes qui présentent des besoins psychosociaux.

Au cours des derniers mois, en plus de l’embauche des ressources, les membres de la nouvelle équipe ont reçu plusieurs formations spécifiques pour bien répondre aux objectifs du projet, et aux besoins en constantes évolutions de la population. Depuis leur déploiement, plusieurs retours positifs ont été reçus tant par les effectifs du SPVR que par les organismes du territoire et principalement par la population. Les membres de l’équipe ont pris le temps, au cours des derniers mois, de s’approprier le terrain en compagnie des effectifs policiers en plus d’être allés à la rencontre des organismes du territoire pour en apprendre davantage sur leurs services.

Grâce à la collaboration entre les patrouilleurs et les intervenants de l’équipe CIDD, lorsque la présence des patrouilleurs n’est plus requise, les effectifs policiers peuvent poursuivre leur travail en répondant à d’autres types d’appels, sachant que ces situations sont prises en charge par des professionnels de l’unité psychosociale.

« Nous sommes fiers d’être en mesure de bonifier notre offre de service à la population avec des intervenants psychosociaux spécialisés au SPVR. La réalité terrain nous démontre à quel point ce service est essentiel et répond à un besoin vital. La présence de cette équipe et des efforts déployés pour la rendre opérationnelle est pour nous un exemple concret de notre vision d’une police communautaire et de proximité. C’est notre devoir, en tant que gouvernement de proximité, d’offrir des services à l’ensemble des personnes de notre territoire et de veiller à leur prise en charge », affirme Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

« Le déploiement de l’équipe CIDD est une excellente nouvelle à bien des égards, car il est évident que les besoins psychosociaux de la population ont changé à travers la province et Charlemagne ne fait pas exception. La présence de ces intervenants spécialisés sur le terrain démontre la proactivité de notre service de police dans ce chapitre. Elle s’arrime également à notre visée, qu’est d’enrichir notre offre de services lorsqu’il est question de développement social. D’une part et d’autre, je salue le travail d’équipe qui s’opère autour de cette unité d’intervention et qui représente souvent la pierre angulaire vers la réussite d’une telle initiative », ajoute Normand Grenier, maire de Charlemagne.

« Alors que les derniers mois ont servi à structurer le projet, à former nos gens et leur donner le temps de s’approprier le terrain et les ressources, nous sommes très fiers de les voir agir concrètement et de manière autonome sur le terrain depuis cet automne. La réponse aux appels est très positive et ils sont présents de jour et de soir. Leur présence permet de réduire le temps d’intervention et les déplacements policiers. C’est plus efficace pour l’ensemble de nos effectifs puisqu’ils s’occupent de tout le volet prévention, référencement et suivi de dossier. Leur présence est une plus-value essentielle », mentionne Patrick Gaudreault, directeur-adjoint au SPVR.

« La Direction du CISSS de Lanaudière est très heureuse de cette collaboration et du déploiement qui a été mis en place avec la Ville de Repentigny. Il s’agit d’un projet qui s’inscrit au cœur de notre mission, soit celle d’offrir des soins et services de proximité qui répondent aux  besoins de la population », tient à mentionner M. Norman Gugg, directeur adjoint-direction santé mentale et dépendance du CISSS de Lanaudière.

Ce projet est rendu possible grâce à la contribution financière majeure du ministère de la Sécurité publique et des sommes investi par le ministère de la Santé et des Services sociaux dans le cadre du Plan d’action interministériel en santé mentale.

Les actions en sécurisation culturelle se poursuivent – La Direction du CISSS de Lanaudière et le chef du Conseil des Atikamekw de Manawan dressent le bilan des actions posées

S’étant engagés à poursuivre en continu les actions visant la sécurisation culturelle des communautés autochtones annoncées en février 2021, le chef du Conseil des Atikamekw de Manawan, Sipi Flamand, et le président-directeur général par intérim du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière, Philippe Ethier, dressent un bilan conjoint des actions réalisées à ce jour.

Mécanismes de concertation

Afin de soutenir ce travail de coconstruction et de toujours mieux orienter les actions à poser, des lieux de rencontre et des mécanismes de coordination ont été mis en place pour veiller à offrir aux usagers autochtones des soins et des services culturellement sécurisants.

  • Le comité de réconciliation, regroupant des représentants de la communauté atikamekw de Manawan, du Centre d’amitié autochtone de Lanaudière (CAAL), du Bureau du Principe de Joyce et du CISSS, s’est réuni à 15 reprises depuis sa mise sur pied en 2021.
  • La table de concertation Orisinahiketan, réunissant des représentants du CISSS et du CAAL, poursuit ses activités dans le but de bonifier l’offre de service destinée aux usagers autochtones vivant en milieu urbain. Depuis sa création en mars 2021, 23 rencontres ont eu lieu.
  • L’adjoint au président-directeur général – relations avec les communautés autochtones, Guy Niquay, poursuit son rôle en faisant, entre autres, le lien entre l’établissement de santé et les partenaires impliqués. Il coordonne la mise en place des actions, et il informe et conseille la Direction générale quant aux besoins et aux enjeux à l’égard des soins et des services dispensés aux membres des communautés autochtones.
  • Les 2 agents de liaison et de sécurisation culturelle, quant à eux, assurent un service auprès des usagers autochtones souhaitant être accompagnés au sein des installations du CISSS, principalement au Centre hospitalier De Lanaudière (CHDL).
  • Un siège au conseil d’administration du CISSS de Lanaudière est réservé à un représentant de la communauté autochtone. Ce poste est actuellement occupé par Paul-Émile Ottawa, vice-chef du Conseil des Atikamekw de Manawan.
  • Un commissaire adjoint aux plaintes et à la qualité des services offerts aux communautés autochtones accompagne les usagers autochtones qui le désirent et s’assure de faire connaître les mécanismes en place, dans un souci de sécurisation culturelle.

 

  • Depuis février dernier, un représentant de la communauté atikamekw de Manawan est membre du comité des usagers du nord de Lanaudière.

Déploiement de projets structurants

En parallèle, des initiatives novatrices ont été mises en œuvre afin de poursuivre l’intégration d’une approche de sécurisation culturelle dans les opérations quotidiennes du CISSS pour permettre de bonifier l’offre de service en fonction des besoins exprimés par la communauté.

  • Une équipe mixte d’intervention composée de 3 patrouilleurs de la Sûreté du Québec et de 2 intervenantes psychosociales du CISSS, en collaboration avec les intervenants du CAAL, offre au besoin du soutien aux personnes de la communauté autochtone, dans une approche de sécurisation culturelle.
  • Une table clinique pour le volet préhospitalier, regroupant l’entreprise ambulancière desservant Manawan, le CISSS et le Centre de Santé Masko-Siwin, a pour but d’améliorer les activités préhospitalières sur le territoire. Des travaux ont notamment permis que la desserte ambulancière soit rehaussée grâce à la refonte de l’horaire et à l’ajout d’un véhicule pour Manawan.
  • Des médecins du GMF-U assurent une prise en charge médicale en se rendant à Manawan et en travaillant en étroite collaboration avec le Centre de Santé Masko-Siwin. Ils offrent également une présence médicale au CAAL.
  • La Place Wicakemowin sert de lieu d’accueil au CHDL et intègre une centrale de confirmation de rendez-vous. Depuis mars 2022, plus de 540 usagers autochtones y ont eu accès et ont pu bénéficier des services offerts.
  • L’offre de formation obligatoire sur la sécurisation culturelle dispensée par l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue au personnel du CISSS, et dont le contenu a été élaboré avec la communauté atikamekw, se poursuit. En date de décembre 2023, 94 % des membres du personnel avaient suivi le 1ervolet de la formation, 84 % avaient terminé le 2e volet, et 42 % avaient conclu le 3e
  • La Clinique de proximité Mirerimowin du CAAL vise à ce que les Premières Nations, les Inuit et les Métis vivant ou de passage dans la région de Lanaudière aient accès à des services éducatifs et à des soins culturellement sécurisants dans une perspective occidentale et holistique autochtone de la santé en offrant notamment :
  • Des lieux culturellement sécurisants où les personnes pourront se sentir bien, parler leur langue ou avoir des interprètes et choisir avec les professionnels leur parcours de guérison.
  • Des soins, des services et des activités traditionnels autochtones et occidentaux.
  • Des soins, des services et des activités dans le milieu de vie des personnes : leur quartier, leur logement, sur le territoire, etc.
  • Des services pour soutenir la réussite éducative des jeunes au CAAL, à l’école, à la maison ou en nature.

 

 

 

Accompagnement, soutien et collaboration

À ces initiatives, s’ajoutent diverses collaborations entre les équipes du Centre de Santé Masko-Siwin, du CAAL et les directions cliniques du CISSS, notamment en ce qui a trait au protocole 811, aux opérations de vaccination et au développement d’une offre de soins et de services adaptés. De même qu’en cas de situations nécessitant le déploiement de mesures d’urgence, par exemple, lorsque le Centre de Santé Masko-Siwin a eu besoin d’effectifs supplémentaires ou d’expertises spécifiques face à des contextes cliniques particuliers, ou lors des inondations du printemps 2023, l’établissement a prêté main-forte à la communauté de Manawan. La participation à diverses activités permet aussi de développer des liens, par une meilleure connaissance et compréhension de l’autre. Nous pouvons donner comme exemples : le traditionnel Pow-wow de Manawan auquel participent des membres du personnel du CISSS et le Salon de l’emploi qui a lieu à l’école secondaire située à Manawan.

 

« Suite à la tragédie survenue en septembre 2020, nous continuons à apporter des changements positifs dans nos relations avec surtout l’offre de service pour nos membres au sein du CISSS de Lanaudière. Un travail d’une telle ampleur est nécessaire afin de rétablir la confiance, mais surtout de mettre de l’avant les valeurs atikamekw nehirowisiw dans les soins. Le bilan des travaux du comité de réconciliation fait alors suite aux discussions des grandes orientations concertées que nous menons visant à améliorer les relations entre les intervenants des soins et les membres de notre communauté. »

  • Sipi Flamand, chef du Conseil des Atikamekw de Manawan.

 

« Les 3 dernières années nous ont permis d’établir les bases d’une collaboration qui continue de se renforcer avec les initiatives communes qui sont déployées, afin d’offrir des soins et des services culturellement sécurisants en toute cohérence avec les besoins de la communauté. Ce bilan pave la voie à notre vision, celle du faire ensemble, et c’est avec cette intention que nous poursuivrons notre collaboration. »

  • Philippe Ethier, président-directeur général par intérim du CISSS de Lanaudière.

La Direction du CISSS de Lanaudière et le Conseil des Atikamekw de Manawan sont fiers de constater la mobilisation et les avancées des derniers mois grâce à tous les acteurs qui croient en cette démarche essentielle visant la mise en place de solutions durables au bénéfice de la communauté. « Certes, il reste encore à faire, et c’est ensemble que nous poursuivrons le travail pour le bien-être de la communauté », tiennent à mentionner le chef Flamand et M. Ethier.

Un nouveau centre multiservice pour les personnes autistes et leur famille voit le jour dans la Région de Lanaudière!

La Société de l’Autisme Région Lanaudière et ses nombreux partenaires, collaborateurs et donateurs sont fiers de vous annoncer l’inauguration d’un centre multiservice à Notre-Dame-des-Prairies au 233 boulevard Antonio-Barrette.

Évalué à près de 2 070 000 $, ce projet propose un milieu adapté aux besoins des personnes autistes en leur offrant des nouveaux espaces répondant à leurs particularités cognitives, physiques et sensorielles.  Il fournit ainsi à un plus grand nombre d’adultes autistes terminant leur parcours scolaire et se retrouvant souvent devant un vide de services, un endroit leur permettant de maintenir leurs acquis et de poursuivre leur développement à travers des activités valorisantes.

Les listes d’attente ne cessant d’augmenter, le conseil d’administration de la SARL est venu à la conclusion que la seule option était de déménager des locaux actuels, qui ne répondaient pas optimalement aux besoins de la clientèle et qui ne permettait pas d’accueillir davantage de participants.

Le nouvel environnement, nettement mieux adapté, permet désormais d’accueillir plus de personnes à la fois, et ce sans nécessiter de personnel supplémentaire.

De plus, les installations sont conçues pour favoriser l’autonomie des membres afin de leur permettre d’exploiter leur plein potentiel.

Grâce à sa cuisine laboratoire, le centre offre à ses participants des ateliers culinaires qui leur permettent de faire des découvertes alimentaires, de développer une plus grande autonomie fonctionnelle et d’accroître leurs connaissances liées à l’adoption de saines habitudes alimentaires.

Le centre comporte une salle sportive adaptée permettant à ses participants de répondre à leurs besoins sensorimoteurs immédiats et de favoriser le développement de leurs habiletés motrices.

Ils bénéficient également d’une salle sensorielle leur fournissant un lieu propice à la détente, à la stimulation sensorielle et à l’apprentissage par les sens. Cet endroit sécuritaire permet de favoriser leur communication verbale et non verbale à travers les jeux sensoriels, d’éveiller leur curiosité en encourageant une exploration dans le plaisir et l’émerveillement. Le centre a fait l’acquisition d’outils technologiques facilitant la communication pour ses membres.

La réalisation de la salle sensorielle et de la cuisine laboratoire a été rendue possible grâce à un financement provenant du Fonds québécois d’initiatives sociales (FQIS), dans le cadre de l’Alliance pour la solidarité coordonnée par la Table des préfets de Lanaudière, en collaboration avec le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale.

L’emplacement des nouveaux locaux de l’organisme permet aux usagers des services de pouvoir développer des liens de proximité avec le tissu social. Cela permet aux participants d’être exposés à une variété de situations permettant de développer leurs compétences et ainsi de vivre des expériences sociales enrichissantes.

Depuis la naissance de l’organisme en avril 1996, nous constatons que l’apport de chacune des personnes impliquées de près ou de loin à l’organisme a été la clé du succès de ce merveilleux projet de développement. C’est grâce à ces multiples personnes que nous sommes rendus ici à inaugurer une bâtisse conçue, réfléchie, pensée et adaptée aux personnes autistes, à leur famille et à l’ensemble de la population lanaudoise.

Il est bénéfique pour un plus grand nombre d’adultes autistes terminant leur parcours scolaire et se retrouvant souvent devant un vide de services, d’avoir accès à un endroit leur permettant de maintenir leurs acquis et de poursuivre leur développement à travers des activités valorisantes.

Quand on pense à cette réalisation, les mots qui viennent sont :

  • Empreinte sociale
  • Fierté
  • Inspiration
  • Volonté pour notre communauté
  • Lieu rassembleur et chaleureux
  • MERCI !

En bref, le centre multiservice permet de développer des situations stimulantes et adaptées pour les personnes autistes.

C’est un honneur pour la Société de l’Autisme Région Lanaudière de déployer ses services dans la ville de Notre-Dame-Des-Prairies et ce grâce à un bail emphytéotique. C’est un immense privilège de s’établir dans une ville aussi dynamique, à l’écoute et investie pour ces citoyens.

« La Ville de Notre-Dame-des-Prairies est très fière d’accueillir sur son territoire ce centre qui permettra à la SARL d’offrir des services à la hauteur de ses ambitions pour les personnes autistes de la région. Par son emplacement central, ses participantes et participants bénéficieront d’une grande proximité avec nos installations culturelles, sportives et de loisirs. » nomme Suzanne Dauphin, mairesse de la Ville de Notre-Dame-des-Prairies.

Voici les généreux donateurs qui ont permis la concrétisation de notre projet.

Desjardins

Table des préfets Lanaudière

La Fondation Mirella et Lino Saputo

Fondation Dominique Ducharme

Tim Hortons

Fondation Harnois-Richelieu

François St-Louis, député de Joliette

La Fondation Azrieli

La Fondation Hewitt

La Fondation Molson

Patrick Morin

La Fondation Choquette Legault

Fonds pour l’accessibilité du gouvernement du Canada

« Le centre que nous inaugurons aujourd’hui incarne notre engagement envers notre mission.  Notre objectif étant d’offrir un environnement bienveillant et adapté, où chaque personne peut développer son plein potentiel.  Ce centre repose sur des approches innovantes et des collaborations étroites avec des experts, des professionnels, des éducateurs, des familles. Nous croyons fermement que la clé du succès réside dans la diversité des talents et des perspectives qui peuvent être rassemblés pour créer des solutions efficaces et durables.

L’impact de ce centre ne se limitera pas à ses murs. Nous aspirons à inspirer d’autres initiatives similaires dans la communauté. Ensemble, nous pouvons bâtir une société plus inclusive, où chacun, indépendamment de son parcours, a l’opportunité de contribuer pleinement à notre monde.

Je tiens à remercier chaleureusement tous ceux qui ont rendu ce centre possible : nos partenaires, nos donateurs, nos équipes dévouées et surtout, les personnes autistes et leurs familles qui nous inspirent chaque jour.

L’ouverture de ce centre représente bien plus qu’un nouveau bâtiment ; c’est le résultat de multiples efforts, de dévouement et de collaboration. »

-Marie-Eve Desmarais, directrice de la SARL

Pour en connaître davantage sur l’organisme consultez notre page Facebook : Société de l’Autisme de Lanaudière ou notre site internet : autisme-lanaudiere.org.

BUDGET 2024 – Repentigny veut du transport collectif, pas seulement la facture

La Ville de Repentigny annonce une augmentation de 4% de sa quote-part allouée à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) dans le cadre de l’adoption de son budget 2024. Cette contribution sera clairement identifiée et distincte sur le compte de taxes des contribuables repentignois. Malgré une hausse maitrisée pour 2024, l’administration Dufour prévient ses citoyens que les prochaines années pourraient être plus ardues, alors que le déficit du transport collectif continue de s’accentuer.

Face à cette situation critique, le maire Nicolas Dufour a uni ses forces avec les autres municipalités du Grand Montréal pour obtenir du gouvernement du Québec une contribution financière plus équitable que celle initialement exigée. Ces démarches ont abouti à une avancée significative dans la préservation du financement du transport collectif, du moins pour l’année 2024.

 

Une équité fragile, un avenir incertain

Historiquement, le financement du transport collectif reposait sur un partage équilibré des coûts entre les usagers, les villes et le gouvernement du Québec. Cependant, pour l’année financière 2024, les municipalités ont été contraintes d’augmenter leur quote-part pour compenser le manque à gagner des sociétés de transport.

Bien que l’administration Dufour ait réussi à sauver les meubles pour la prochaine année, il n’en demeure pas moins que l’avenir du transport collectif demeure fragile, voire critique pour Repentigny.

« Cela fait plus de 40 ans que nous réclamons un véritable réseau de transport collectif pour notre population. Un mode structurant, efficace et sécuritaire qui permettra à nos usagers de modifier durablement leurs habitudes de déplacement et ainsi, délaisser l’auto-solo. Pourtant, le débat public est largement dominé par la question du déficit, surtout dans un contexte économique difficile où les villes sont contraintes de payer plus pour moins de services », a affirmé le maire.

  1. Dufour plaide également pour un partenariat renforcé entre les gouvernements, l’ARTM et les sociétés de transport. L’objectif est de garantir la pérennité et l’accessibilité du transport collectif dans le prochain cadre financier.

« Au-delà de nos représentations avec Québec, nous invitons les citoyens à rester vigilants et à se mobiliser en faveur de solutions viables pour le transport collectif.
Il s’agit de construire une mobilité durable qui favorise tant notre qualité de vie que celle des générations à venir
», a conclu Nicolas Dufour.

La MRC de Montcalm et ses sections locales syndicales parviennent à une entente suite à la régionalisation du service de sécurité incendie

– La MRC de Montcalm et les trois sections locales syndicales sont ravies d’annoncer aujourd’hui la conclusion d’une entente portant sur le regroupement de trois conventions collectives distinctes. Cette avancée significative découle de la récente régionalisation des municipalités de Saint-Calixte et Sainte-Julienne, entrée en vigueur le 1er janvier dernier.

Les parties prenantes, réunies autour de la table des négociations, ont travaillé de manière collaborative et constructive pour parvenir à un accord mutuellement bénéfique. Cette entente unifiée représente un jalon important dans le contexte de la nouvelle structure régionale et témoigne de l’engagement des parties envers la stabilité, l’efficacité et le bien-être des employés concernés.

Chacune des parties impliquées exprime sa satisfaction quant à cette entente, soulignant l’esprit de coopération et de compréhension qui a présidé aux négociations. L’harmonisation des conventions collectives est perçue comme un pas significatif vers une gestion plus intégrée et cohérente des ressources humaines, tout en préservant les droits et les avantages des travailleurs.

« Cette entente témoigne de notre volonté commune de travailler ensemble pour le bien de nos employés et de la communauté dans son ensemble. En unifiant nos conventions collectives, nous établissons des bases solides pour l’avenir, renforçant ainsi la stabilité et la cohérence au sein de notre organisation régionale. Je tiens à féliciter et remercier les représentants autant du côté patronale que syndicale ayant contribué au sujet de ce dossier. », a déclaré Patrick Massé, préfet de la MRC de Montcalm

Les 3 sections locales syndicales se félicitent également de cette résolution harmonieuse, soulignant que l’entente reflète un compromis équitable qui prend en compte les intérêts des travailleurs tout en favorisant l’efficacité opérationnelle.

« Nous sommes convaincus que cette entente assure une transition harmonieuse pour nos membres, préservant leurs droits et avantages tout en favorisant une gestion optimale au sein de la MRC régionalisée. Nous saluons l’esprit de collaboration qui a caractérisé ces négociations » a déclaré Maxime Valade, conseiller syndical SCFP-FTQ / secteur municipal.

La MRC de Montcalm et les 3 sections locales syndicales se réjouissent de cette entente historique qui s’inscrit dans une démarche positive pour l’avenir de la région. Elles réaffirment leur engagement envers la collaboration continue et la recherche de solutions constructives pour le bénéfice de tous.

Notons que cet exercice constituait un objectif d’arrimage des 3 conventions collectives en vigueur et non d’une négociation complète des conditions des pompiers et pompières.

 

À propos de la MRC de Montcalm

Notre territoire, composé de 10 municipalités locales, offre à près de 60 000 citoyens un cadre de vie enchanteur, proche de la nature tout en étant à proximité des grands centres tels que Laval, Montréal et Joliette. Nos terres fertiles, riches d’histoires et d’une culture forte, constituent notre patrimoine. Avec une zone agricole couvrant plus de 60 % de la région, la MRC de Montcalm abrite la zone agricole la plus active et prospère au Québec. Nous sommes également témoins d’un secteur récréotouristique en plein essor, d’industries florissantes, et d’une population des plus chaleureuses : les Montcalmois et Montcalmoises.

Budget 2024 – Repentigny réussit encore une fois à maintenir un compte de taxes résidentiel compétitif

Encore une fois cette année, la préparation du budget 2024 s’est avérée complexe. En dépit des nombreux défis, l’administration Dufour a de nouveau réussi à maintenir un compte de taxes compétitif tout en priorisant les projets qui améliorent la qualité de vie des citoyens. De fait, 76 % des propriétaires de maisons auront une hausse inférieure à 150 $ cette année, et ce, malgré la hausse de la tarification de l’eau potable. « L’avenir financier de la municipalité repose sur notre capacité à protéger le pouvoir d’achat de chacun de nos citoyens, et notre budget 2024 est la preuve tangible de notre détermination à leur donner un peu d’air dans un contexte économique
difficile », souligne le maire, Nicolas Dufour.

L’inflation, un incontournable

À l’instar de la population, la Ville subit les effets de l’inflation, mais aussi de l’augmentation du taux directeur de la Banque du Canada, qui cherche à en contrer les répercussions. Ainsi, en plus des augmentations importantes des taux d’intérêt sur les emprunts qui lui permettent de réaliser de grands projets – et qui représentent 1,7 M$ de plus comparativement à 2023 – elle doit composer avec la hausse des coûts des dépenses qu’elle doit effectuer pour s’approvisionner et veiller au bon fonctionnement des opérations quotidiennes (ressources, matériaux et services). À titre d’exemple, elle doit payer des sommes additionnelles de 707 450 $ pour les frais généraux de déneigement et de 320 000 $ pour les produits chimiques utilisés pour le traitement de l’eau potable et des eaux usées.

 

Paiement obligatoire de quotes-parts

« Repentigny s’est tenue debout et a fait entendre sa voix en ayant comme objectif de payer sa juste part, tout en réclamant que l’offre de services soit revue à la hausse dans notre secteur. Je suis fier de dire que l’augmentation de la contribution requise, de 4 % seulement pour 2024, est raisonnable et qu’elle respecte notre capacité financière ainsi que celle des Repentignois », ajoute M. Dufour.

 

Immeubles industriels et commerciaux : vers une équité fiscale

En ce qui concerne plus précisément les immeubles industriels et commerciaux de moins de 1 M$, le taux de taxation en 2024 s’établira à un peu moins de 2,51 $ par 100 $ d’évaluation, ce qui permettra à la Ville de poursuivre le rattrapage fiscal des dernières années et d’atténuer la hausse du compte de taxes résidentiel, l’objectif étant d’être équitable envers l’ensemble de sa communauté. Malgré cette augmentation, ce taux de taxation se rapproche de la moyenne si on le compare à des municipalités similaires à Repentigny. Aussi, en dépit de ce rattrapage, rappelons que les commerces et les industries peuvent bien souvent déduire une partie des taxes dans les dépenses applicables de l’entreprise.

 

Préparer un budget équilibré : un exercice complexe

Au Québec, les villes ont l’obligation de présenter un budget de fonctionnement équilibré, où les dépenses sont égales aux revenus. En moyenne, environ 60 % des revenus des municipalités de la province sont tributaires de l’impôt foncier. Toutefois, à Repentigny, ce pourcentage est de 79 %, ce qui met encore plus de pression sur les élus quant aux décisions à prendre afin de limiter l’impact sur le taux de taxation.

 

La saine gestion des finances publiques est nécessaire pour bâtir sur le long terme un Repentigny plus durable, c’est pourquoi l’administration continuera à travailler sans relâche afin d’offrir à la population un milieu de vie qui répond à ses besoins. Afin de respecter cet engagement, elle poursuivra ses démarches auprès du gouvernement du Québec pour une réforme du régime fiscal municipal, une nécessité pour assumer pleinement ses responsabilités.

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise dans ce communiqué de presse, le masculin uniquement pour faciliter la lecture, sauf lorsqu’il est possible de préciser le genre.