TACHE – Simon Delisle de retour sur scène avec un deuxième one-man-show!

Auteur parmi les plus appréciés du monde de l’humour québécois pour la qualité de ses textes, d’ailleurs en lice pour l’Olivier 2024 du numéro d’humour de l’année avec celui qu’il a écrit pour Le grand bien-cuit ComediHa! de Jean-Michel Anctil, Simon Delisle s’apprête à reprendre la route avec son deuxième spectacle solo en carrière : Tache. Celui qu’on qualifie déjà d’humoriste intelligent et autodérisoire s’arrêtera partout au Québec en plus de présenté son tout nouveau matériel en premières médiatiques avec Tache le 1er octobre 2024 à la Cinquième Salle de la Place des Arts ainsi que le 19 novembre 2024 au Théâtre Petit Champlain à Québec. Les billets pour les représentations de Tache sont en vente dès maintenant au Simondelisle.ca

À travers le regard unique qu’il porte sur la vie et le monde, avec son humour percutant et rempli d’images puissantes, Simon Delisle s’y révélera sans filtre, abordant la large notion de « tache » de diverses façons… D’abord, au premier degré : son apparence atypique, sa trajectoire particulière et, littéralement, ses taches (vitiligo). Bref, tout ce qu’il a dû développer comme aptitude pour ne pas être celui de qui on rit, mais celui qui fait rire ! Il jasera d’autodérision et de résilience, des forces qui, aussi nobles soient-elles, viennent parfois avec leur part de noirceur… Au niveau plus figuré, on en apprendra davantage sur ces gens, ces « taches », qui ont ralenti son parcours par leur manque d’ouverture, par les raccourcis simplistes… Enfin, il y a les marques, les « taches », que la vie laisse sur chacun, abordant les thèmes du doute et des remises en question.

« La vie, ce n’est pas un cadeau. C’est une fatalité… Raison de plus pour lui rire en pleine face avec ce nouveau spectacle ! » — Simon Delisle

Après avoir remporté les grands honneurs de la populaire émission Mon premier stand-up (Noovo, 2020) et présenté avec succès Invincible en 2022 et 2023, Simon Delisle qui a prêté sa formidable plume à de multiples projets salués autant par la critique que le public— pensons notamment aux spectacles de Rachid Badouri, Mariana Mazza, Emmanuel Bilodeau, Dominic et Martin, Phil Roy ou Laurent Paquin —, revient sur scène avec son nouveau one-man-show dans la plus pure tradition du stand-up, un art qu’il affectionne et qu’il maîtrise à la perfection ! La réputation de Simon Delisle, grand habitué des galas Juste pour rire et ComediHa!, n’est plus à faire dans le milieu de l’humour et, avec cette écriture de haut niveau qu’on lui connait ainsi qu’une confiance à toute épreuve, il est définitivement prêt à aller vers le public partout au Québec avec Tache.

Billets et infos : http://simondelisle.ca/ 

Tache
Auteur : Simon Delisle
Script-éditeur : Michel Sigouin
Producteur : Comico

Susciter une collaboration avec les écoles pour promouvoir les médias communautaires

Depuis presque deux ans, la Fédération des télévisions communautaires autonomes du Québec (FTCAQ) sollicite assidument la collaboration des établissements d’enseignement dans le but de sensibiliser les jeunes aux médias communautaires.

L’industrie télévisuelle subit d’importants changements et les habitudes de consommation des jeunes à l’égard de ce média évoluent. Cependant, les télévisions communautaires autonomes (TCA) demeurent d’importants vecteurs d’information, d’animation socio-économique et de sensibilisation. Elles représentent un espace privilégié pour l’exercice d’une citoyenneté active et critique, mettant en lumière les enjeux locaux.

Il est donc crucial d’impliquer la nouvelle génération. En les sensibilisant aux TCA, nous leur permettons de s’approprier cet outil démocratique et de le façonner en fonction de leurs besoins. Pour ce faire, la FTCAQ travaille à établir des liens avec les cégeps et les universités du Québec, offrant toutes sortes de collaboration: kiosque dans une aire commune, article dans un journal étudiant, jeu-questionnaire en classe, envoi de documents explicatifs aux associations étudiantes, concours de court-métrage, remise de bourse, commandite d’évènement, etc.

Voici une photo prise le 12 avril 2023 lors d’une visite dans une classe au Collège Radio Télévision de Québec (CRTQ). Monsieur Jean Blondeau, coordonnateur de La Télévision d’ici, accompagnait la Fédération pour parler de son expérience aux étudiants.

En renforçant sa collaboration avec les écoles, la FTCAQ vise à encourager une utilisation responsable et créative des médias par les jeunes, tout en soulignant l’importance des médias communautaires dans notre société.

Des festivals artistiques demandent l’aide de Québec après avoir perdu 100% de leur financement culturel

Récemment, des festivals artistiques à travers le Québec sont confrontés à une situation alarmante: des coupures budgétaires drastiques de tous les paliers gouvernementaux, allant parfois jusqu’à une coupure totale de leur financement culturel  de la part du provincial.

Au palier provincial, les festivals culturels peuvent obtenir du financement par le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) ou la Société de Développement des Entreprises Culturelles (SODEC), deux organismes qui distribuent les fonds du Ministère de la Culture et des Communications. Essentiels à la vitalité culturelle de nos régions, plusieurs d’entre eux se voient désormais privés de ressources essentielles pour la réalisation de leurs activités.

Parmi les victimes de ces coupures figurent des festivals ayant un historique de soutien financier significatif, tels que le Festival Colline de Lac-Mégantic, le FAR Festival des arts de ruelle de Montréal et CHAPO-Festival International d’amuseurs publics de Mascouche. Ces événements, pourtant des piliers de leur communauté respective et d’importants diffuseurs culturels, ont vu leurs demandes de financement rejetées pour l’année 2024, malgré des évaluations favorables de leurs projets. Il s’agit d’une coupure de 182 500$ pour ces trois événements. Les raisons invoquées sont principalement liées à une réduction budgétaire drastique du programme de financement.

  • CHAPO – Festival international d’amuseurs publics, de Mascouche, qui est le plus grand rassemblement d’amuseurs publics au Canada;

 

  • FAR Festival des arts de ruelle, de Montréal, qui est le seul événement à célébrer cet héritage unique de la métropole;

 

  • Festival Colline, de Lac-Mégantic, qui est le seul événement culturel majeur de l’été dans la grande région de Mégantic.

Dans ce contexte, les organisateurs doivent faire preuve d’une grande créativité pour maintenir leurs événements, malgré des ressources financières limitées. Cependant, la question se pose : comment peut-on continuer à innover et à créer, mais surtout programmer des créateurs qui ont besoin de diffuseurs pour augmenter leur découvrabilité, lorsque l’on perd la totalité de son financement culturel?

Les arts de rue et la mesure de billetterie – FAR et CHAPO

Historiquement, de nombreux événements n’étaient pas éligibles aux programmes du CALQ, qui exigeait des revenus de billetterie. Cette exigence est difficilement applicable à des événements qui, dans un souci de démocratisation de la culture et de développement des publics de demain, proposent des arts de rue ou des spectacles pour le jeune public. Cependant, après de nombreux efforts de sensibilisation, le CALQ a ouvert en 2023 le programme, « Présentation d’œuvres dans l’espace public et dans des lieux atypiques », auquel des événements sans revenu de billetterie comme le FAR et CHAPO ont pu appliquer avec succès. Les financements obtenus en 2023 représentaient environ 25% des budgets respectifs de ces événements et ont contribué de manière significative à la réalisation de ces derniers qui étaient en péril dans le contexte actuel que l’on connaît tous.

La situation est d’autant plus préoccupante pour des disciplines comme les arts de rue qui n’ont pas une tradition de diffusion liée à la billetterie. Les récentes annonces d’annulation, comme celle du Festival Juste pour rire, l’un des plus grands diffuseurs d’arts de rue au Québec, suscitent une inquiétude croissante quant à la pérennité de ces formes d’expressions artistiques. Les coupures actuelles du CALQ privent des diffuseurs d’arts de rue (le FAR et CHAPO) d’une possibilité de source de financement provinciale avec un nouveau programme visant à pérenniser l’aide octroyée avec la pandémie, qui faisait une exception à la règle du CALQ en termes de billetterie. Cette règle semble pourtant aller à l’encontre de la mission même du CALQ, qui vise notamment à encourager la diffusion et le rayonnement de projets artistiques professionnels.

Les festivals orphelins

Certains autres événements ont de la difficulté à cadrer dans un programme précis et ainsi assurer un financement récurrent malgré le fait qu’ils vendent des billets. Ils sont donc constamment confrontés à des demandes par projets, ne permettant ainsi aucune prévisibilité face à la tenue de leurs événements. C’est le cas de plusieurs festivals dits «orphelins» qui n’arrivent pas à cadrer dans aucun programme du Ministère de la Culture et des Communications du Québec. On recense actuellement près de 25 festivals «orphelins» (et possiblement plus) au Québec. De son côté, le festival Colline a bénéficié d’un financement du CALQ pour la production de ses trois premières éditions, mais se voit refuser en totalité sa demande pour l’année 2024.

Face à cette réalité, comment les événements, déjà confrontés à la pénurie de main-d’œuvre, aux salaires non-compétitifs, à la surcharge des quelques personnes qui tiennent le flambeau, aux effets de l’inflation et désormais à une perte totale de leurs revenus de subventions au niveau culturel provincial, peuvent-ils espérer survivre ?

Les festivals jouent un rôle crucial dans la création, la diffusion et la mise en valeur des œuvres artistiques, ainsi que dans le renforcement du tissu social et économique de nos communautés. De plus, annuellement, ces festivals embauchent plus d’une centaine de créateurs, de fournisseurs, de contractuels, de techniciens, en plus des employés permanents ou à temps partiel. Il est de notre devoir de société de les soutenir dans ces moments difficiles.

Le Regroupement des Festivals Régionaux Artistiques Indépendants (REFRAIN) a récemment déposé un mémoire dans le cadre des consultations pré-budgétaires 2024-2025 du gouvernement du Québec. Ce document met en lumière les défis auxquels sont confrontés ces diffuseurs et propose des pistes de solutions pour atténuer cette crise.

Nous espérons que ce communiqué mettra en lumière la situation critique à laquelle sont confrontés ces festivals et encourage une action rapide de la part des autorités compétentes sans quoi nous pouvons nous attendre à d’autres annonces difficiles dans les prochains mois.

Pour plus d’informations ou pour des demandes d’entrevue, veuillez contacter :

Louis-Philippe Lemay, Directeur général de CHAPO-Festival international d’amuseurs publics
lp@cellulecreative.ca – 514-449-5977

Léa Philippe, Directrice générale du FAR Festival des arts de ruelle
lea@festivalFAR.com – 514-226-1070

Hubert Lavallée-Bellefleur, Directeur général du Festival Colline
hubert@festivalcolline.com – 514-299-0663

Dominica Merola : Une voix québécoise qui rayonne à l’international

Maîtrisant l’intimité des interprétations piano-voix et portée par des collaborations prestigieuses, Dominica séduit un public mondial avec un répertoire original, affirmant ainsi sa place parmi les grandes voix de son époque !

Montréal, le 2 avril 2024 – La virtuose chanteuse-pianiste-compositrice Dominica Merola, fusion parfaite de ses origines québécoises et italiennes, illumine les scènes internationales de son grand talent ! Fortement acclamée lors de ses tournées à travers le monde, dont plusieurs en Europe ainsi qu’un récent passage en Asie, elle revient de Taiwan où elle a ébloui le public avec son spectacle « Après 2020, de Montréal à Taiwan ». Dominica qui s’apprête à entamer sa dixième tournée en France ce printemps, prévoit également un retour à Montréal pour la Saint-Jean-Baptiste. Au cours de sa carrière, cette artiste lumineuse a su conquérir les cœurs avec des albums captivants qui offrent un bel équilibre entre la culture francophone et italienne.

 

Sous les projecteurs, la diva crée une ambiance envoûtante en délivrant des performances piano-voix d’une intimité saisissante, captivant son auditoire par sa voix séduisante. Souvent accompagnée d’un guitariste, de choristes et d’un orchestre, elle magnifie les salles de concert et les espaces en plein air lors des douces saisons. Dominica offre un répertoire original, fruit de collaborations avec des auteurs québécois éminents tels que le chanteur Daniel Lavoie, ainsi que les paroliers de renom Marc Chabot et Pierre Huet. Sa voix, louangée par Michel Drucker comme l’une des plus belles voix du Québec, transporte son public dans un univers de rêves et d’émotions à chaque représentation.

 

Une toute nouvelle chanson pour célébrer l’arrivée du printemps

Pour fêter l’arrivée du printemps, Dominica Merola lance sa toute nouvelle chanson Lantana Bandana. Sous des airs de musique du monde, l’artiste fait l’éloge de cette fleur printanière, le lantana, aux multiples couleurs, qui évoque l’éveil et la naissance des passions sur des rythmes endiablés. Avec cette pièce originale où l’on passe du français à l’italien, Dominica invite à se laisser transporter dans un voyage d’émotions fortes tout en célébrant la nature en musique.

Pour écouter : https://www.youtube.com/watch?v=Jds0A0z1PxM

 

À propos de Dominica Merola

Dominica Merola est née dans une famille d’artistes, d’un père peintre-sculpteur et d’une mère comédienne. La chanteuse à la voix unique a choisi l’univers musical, apprenant le piano dès l’âge de cinq ans et poursuivant ses études en piano et chant à l’école de musique Vincent-d’Indy à Montréal. Elle a également fait des études en théâtre et c’est grâce à ce vaste bagage artistique que son interprétation sur scène est unique. En plus de ses tournées et de ses enregistrements, Dominica participe régulièrement à des spectacles au bénéfice d’œuvres caritatives ainsi qu’à des émissions de radio et de télévision

 

Plus que quelques semaines pour transmettre votre déclaration de revenus

Le 6 avril, les restaurants Coco Frutti se rallient à la cause de l’autisme

PARC RÉGIONAL DE LA MRC DE MONTCALM Son nom enfin dévoilé !

La MRC de Montcalm se réjouit d’annoncer une avancée significative dans la concrétisation de son parc régional : l’officialisation de son nom ! Après un vote unanime, les membres du conseil de la MRC de Montcalm ont arrêté leur choix sur le nom de Parc régional de Kilkenny, en hommage aux premiers Calixtiens d’origine irlandaise.

Un retour sur l’histoire révèle que le territoire de Saint-Calixte fut colonisé par des Irlandais et portait initialement le nom de Canton de Kilkenny. Son évolution s’est étroitement liée à son économie agroforestière et récréotouristique. Au fil du XXe siècle, l’essor du tourisme a favorisé la diversification de ses activités économiques. À noter que Saint-Calixte a émergé d’une subdivision de la paroisse de Saint-Lin, son érection canonique datant de 1880. Sur le plan municipal, il a d’abord été intégré à Saint-Lin de 1845 à 1847, puis a obtenu le statut de municipalité distincte en 1855 sous le nom de Canton de Kilkenny, inspiré d’une ville et d’un comté d’Irlande, situés dans la province de Leinster.

 » Je suis enchanté de constater que le conseil des élus a unanimement choisi de mettre en lumière un pan important de l’histoire de Saint-Calixte, là où notre parc régional prend racine dans cette démarche identitaire. Le dossier de l’aménagement du parc régional est en plein essor, et c’est avec une immense fierté que nous envisageons son ouverture en 2025. Cette réalisation constitue une richesse dont nous pouvons être fiers, résultant d’une décision audacieuse des maires et mairesses de l’époque, qui ont acquis cette vaste étendue en 2014 afin de prévenir sa déforestation et son exploitation à des fins d’exploitation minière. »Patrick Massé, préfet de la MRC de Montcalm

 

Prochaines étapes pour le Parc régional de Kilkenny

Les travaux d’aménagement de notre magnifique parc de 14 km2, abritant une faune et une biodiversité exceptionnelles, se poursuivent tout au long de l’année.

Nous sommes convaincus que son ouverture en 2025 sera source de grande fierté pour notre organisation, ainsi que pour les Montcalmois et Montcalmoises.

La Grande Collecte pour combattre la faim de Moisson Laurentides

Face à des défis sociaux et économiques grandissants, Moisson Laurentides, la banque alimentaire régionale, dévoile la programmation 2024 de sa Grande Collecte pour combattre la faim. La population est invitée les 26 et 27 avril à soutenir le combat contre la faim en déposant leurs denrées non périssables et en argent dans les différents points de collecte en magasin ou auprès de nos nombreux bénévoles présents aux principales intersections routières.

Le visage de la faim ne change pas ; il s’étend

Face à des besoins communautaires en constante évolution, alors que la Grande Collecte rappelle l’urgence d’agir contre la faim vécue quotidiennement, un constat alarmant s’impose : la faim persiste et touche désormais un public plus large. Ce phénomène se manifeste par l’arrivée de nouveaux profils de bénéficiaires, venant s’ajouter aux usagers traditionnels, et les statistiques alarmantes ne cessent de confirmer cette expansion. Dans un discours poignant, Annie Bélanger, directrice générale de Moisson Laurentides, confirme les changements observés :  « C’est un fait indéniable que de nouveaux profils de bénéficiaires fréquentent désormais les comptoirs d’aide de nos organismes, venant s’ajouter au profil traditionnel d’usager. » Les statistiques récentes témoignent de cette réalité alarmante :

  • L’an dernier, pour le seul mois de mars, 1 200 personnes ont fait une demande d’aide alimentaire pour la première fois;
  • Nous avons observé une augmentation de 33 % du nombre de familles biparentales parmi les bénéficiaires;
  • 22 % des bénéficiaires de la dernière année disposent d’un emploi;
  • Une hausse de plus de 30 % du nombre d’enfants ayant eu recours à des services de dépannage alimentaire a été recensée;
  • 121 % plus d’enfants ont bénéficié de services de repas et collations.

Face à ces défis croissants, Moisson Laurentides remercie le gouvernement du Québec et les Banques Alimentaires du Québec, qui redoublent d’efforts et d’innovation pour répondre à cette demande grandissante. L’engagement de ces partenaires est essentiel pour permettre à l’organisation de continuer à œuvrer efficacement dans le combat contre la faim. Toutefois, malgré ce soutien, les obstacles restent nombreux et l’appel à la mobilisation collective est plus pressant que jamais.

Marchands et bénévoles engagés : Plus de 45 points de collectes.

Le 26 avril de 13 h à 19 h et le 27 avril de 9 h à 16 h : les différents dons en argent et en denrées non périssables peuvent être déposés chez un de nos 30 marchands participants.

Le 27 avril de 9 h à 15 h : nos dizaines de bénévoles attendent les automobilistes sur près d’une quinzaine de points de collecte sur rue. Ils seront disponibles pour recevoir vos dons en argents comptant. Il n’y aura pas d’appareils pour les paiements sans contact.  Pour un don en ligne : moissonlaurentides.org

Pour connaître la liste des points de collecte : evenements.moissonlaurentides.org/nos-evenements/la-grande-collecte/ou-donner/

Les types de denrées non périssables recherchés

• Viandes et substituts (poissons et fruits de mer en conserve, légumineuses sèches ou en conserve, beurre d’arachides et noix).
• Produits céréaliers (pâtes alimentaires, sauces pour pâtes, craquelins, céréales à déjeuner, flocons d’avoine, riz, orge, couscous et farine).
• Fruits et légumes (fruits et légumes en conserve, fruits en compotes ou séchés, soupe en conserve, jus de fruits et légumes).
• Produits d’hygiène personnelle (produits pour bébé, shampoing, savon, papier hygiénique, brosse à dents, savons à lessive et savon à vaisselle).
• Produits d’hygiène féminine (serviettes sanitaires et tampons)

À propos de Moisson Laurentides
Moisson Laurentides rappelle que, pour chaque dollar reçu, il redonne l’équivalent de    15 $ en denrées ¢ 4,3 millions de kilogrammes de denrées sont distribués chaque an-née, soit l’équivalent de plus de 43 millions en valeur marchande ¢ En soutenant Moisson Laurentides, vous permettez à 111 organismes de nourrir 20 763 personnes, dont 40% sont des enfants, chaque mois.

Le salué spectacle LIVE de Simon Gouache vient de franchir le cap des 100 000 billets vendus !

Simon Gouache, nommé deux fois au dernier Gala Les Olivier dans de prestigieuses catégories — Spectacle d’humour de l’année pour son troisième one-man-show LIVE et Auteur de l’année / spectacle humour —, a d’autres belles raisons de se réjouir ! L’authentique et charismatique artiste vient de franchir le cap impressionnant des 100 000 billets vendus à ce jour pour LIVE et voit encore des dates s’ajouter pour répondre à la demande. Aussi, son tout premier spectacle GOUACHE par Simon Gouache (2019), disponible gratuitement sur YouTube depuis le début mars cumule déjà 135 000 vues !

La grande équipe qui travaille avec Simon depuis son premier spectacle s’est réunie la semaine dernière, le temps d’un dîner, où sa première plaque platine lui fut remise. Beaucoup d’émotions et de fierté étaient au rendez-vous.

Simon Gouache poursuit la tournée de LIVE, une performance saluée qui lui valait des critiques unanimement élogieuses au lendemain de la première montréalaise, il y a un an. On le qualifiait tour à tour d’artiste « AU-DESSUS DE LA MÊLÉE » (Journal de Montréal) ou qui « TOUCHE À L’EXCELLENCE » (Le Devoir). « Son spectacle s’intitule tout simplement Live non pas par paresse, mais parce qu’il y a peu de manières aussi puissantes DE SE SENTIR EN VIE QUE DE RIRE AUTANT », lisait-on encore dans La Presse !

Avec LIVE, celui qui a vu les dernières années lui apporter son lot de chamboulements — il est, entre autres, devenu deux fois papa ! — aborde les nouveaux aspects de son quotidien. Pensons à sa découverte récente de la notion de « matin »… Fin observateur de la vie, l’humoriste passé maître dans l’art du stand-up propose ainsi à son public des sujets universels et rassembleurs, où tous et toutes se reconnaissent avec une joie manifeste !

Textes Simon Gouache
Script-édition Pascal Mailloux
Mise en scène Marie-Christine Lachance
Conception d’éclairage Lisandre Coulombe
Production Groupe Phaneuf

LIVE en tournée partout au Québec ! 

Pour tous les détails et l’achat de billets : https://simongouache.com/

Suivez Simon Gouache : Instagram, Facebook, Youtube

La 37e exposition d’arts visuels une édition haute en couleur !

Le Service des loisirs et de la culture de la Ville de Sainte-Anne-des-Plaines est très heureux d’inviter la population à la 37e édition de l’Exposition d’Arts visuels de Sainte-Anne-des-Plaines qui se déroulera le samedi 6 avril de 10 h à 19 h et le dimanche 7 avril de 10 h à 16 h au Centre Jean-Guy-Cardinal (156, 3e Avenue). Plus de 70 artistes-exposants venant d’un peu partout au Québec se feront un plaisir de présenter leurs créations uniques aux nombreux visiteurs attendus! L’organisation de l’événement assure qu’il y en aura pour tous les goûts!

Ma Première Exposition

C’est le retour du projet Ma Première Exposition. Ce projet permet à près de 200 jeunes artistes des écoles primaires de Sainte-Anne-des-Plaines de s’initier rapidement et simplement au monde de l’art visuel. Chaque jeune a réalisé une œuvre sur une toile de 8 pouces sur 10 pouces sous la thématique « Un artiste qui m’inspire ». Les juges présents à l’exposition choisiront trois œuvres parmi celles soumises et exposées dans la section jeunesse pour leur décerner des prix.

Le prix coup de cœur du public

Plusieurs artistes présenteront leurs œuvres lors de cette première fin de semaine d’avril utilisant divers médiums artistiques tels que l’acrylique, aquarelle, le fusain, l’huile, la photographie et même les pastels. Les amateurs d’art comme les néophytes seront certainement ébahis par le savoir-faire de ces artistes.

À leur sortie de l’exposition, les visiteurs seront invités à remplir un coupon de vote qui permettra à l’organisation d’offrir une mention coup de cœur à l’artiste choisi par le plus grand nombre. Le coup de cœur sera dévoilé à la fin de l’exposition, soit le dimanche 7 avril en fin de journée. Ce prix vient avec une bourse de 100 $ offert par l’Atelier-Boutique Le Campagn’Art.

Acquisition d’une œuvre par la Ville

Pendant l’exposition, le conseil municipal de la Ville sélectionnera une œuvre qu’ils ajouteront à la collection d’œuvres d’art municipale. En plus d’acheter l’œuvre, ils remettront une bourse de 250 $ à l’artiste l’ayant créée. L’œuvre choisie sera exposée à la vue de tous dans la salle du conseil, et ce, pendant une période d’un an avant de se voir installée plus officiellement dans un ou l’autre des bâtiments municipaux