Conte Le trèfle d’or

Afin de célébrer la tradition irlandaise dans la Matawinie et à l’occasion du Festival Saint-Patrick de la Municipalité de Rawdon, il nous fait plaisir de vous inviter à la lecture animée du conte Le trèfle d’or!

Nous vous attendons avec votre famille le 2 mars de 10 h à 12 h à la bibliothèque municipale pour découvrir une histoire irlandaise palpitante sur les farfadets, les fées, mais surtout, sur la magie des liens familiaux et de l’amitié.

C’est une activité gratuite pour les familles (enfants de 5 à 11 ans) sur inscription.

Lien pour inscription en ligne : https://www.sport-plus-online.com/prmsmvc/Home/Index

Pour information : culture@st-felix-de-valois.com | 450 889-5589 poste 7717

 

C’est événement est présenté dans le cadre du Festival Saint-Patrick de Rawdon qui se déroule les 15, 16 et 17 mars! Faites partie de la tradition!

https://rawdon.ca/fr/evenements/activites/festival-de-la-saint-patrick

Camp de jour estival du Musée d’art de Joliette Début des inscriptions le 5 mars (pour les 5 à 14 ans)

Toujours aussi apprécié, le Camp de jour du Musée d’art de Joliette revient en force cet été. Du 25 juin au 16 août 2024, notre équipe d’animateurs et d’animatrices dynamiques et enthousiastes propose huit semaines d’activités artistiques et physiques variées pour les enfants de 5 à 14 ans. De retour cette année : le Camp-ado, qui permet aux jeunes de 12 à 14 ans de participer à des activités créatives en plus de recevoir une formation d’aide-animateur ou d’aide-animatrice.

Au programme pour tous les enfants : ateliers d’observation et de création, activités artistiques à caractère communautaire et social, jeux extérieurs et rencontres avec des artistes ! Afin de présenter les œuvres réalisées par les artistes en herbe, un vernissage est organisé chaque semaine.

Nous invitons les parents à visiter notre site Internet pour connaître les thématiques et les modalités d’inscription. Les inscriptions débutent le mardi 5 mars à 9 h pour les adultes membres du Musée d’art de Joliette et la semaine suivante, soit le mardi 12 mars, à 9 h, pour les non-membres.

 

Renseignements sur les inscriptions

Toutes les inscriptions se font en ligne au www.museejoliette.org

Les enfants de 5 ans doivent avoir complété leur maternelle 5 ans en juin 2024.

Le fait d’être membre du Musée d’art de Joliette donne un rabais supplémentaire en plus de la priorité aux inscriptions. C’est l’adulte qui doit être membre.

La carte Citoyen de la Ville de Joliette donne droit à un rabais supplémentaire. La carte Citoyen doit être au nom de l’enfant et valide au moment de l’inscription.

 

Les coûts pour les 5 à 11 ans :

Semaines du 25 juin au 5 juillet (semaines de 4 jours)

Parent membre du Musée : 180 $

Non-membre : 200 $

Parent membre du Musée + enfant citoyen de la Ville de Joliette : 112 $

Non-membre + citoyen de la Ville de Joliette : 132 $

 

Les autres semaines d’été (du 8 juillet au 16 août)

Parent membre du Musée : 225 $

Non-membre : 250 $

Parent membre du Musée + enfant citoyen de la Ville de Joliette : 140 $

Non-membre + enfant citoyen de la Ville de Joliette : 165 $

 

Les coûts pour les 12 à 14 ans :

Semaines du 25 juin au 5 juillet (semaines de 4 jours)

Parent membre du Musée : 92 $

Non-membre : 108 $

Parent membre du Musée + enfant citoyen de la Ville de Joliette : 60 $

Non-membre + citoyen de la Ville de Joliette : 88 $

 

Les autres semaines d’été (du 8 juillet au 16 août)

Parent membre du Musée : 115 $

Non-membre : 135 $

Parent membre du Musée + enfant citoyen de la Ville de Joliette : 75 $

Non-membre + enfant citoyen de la Ville de Joliette : 110 $

 

Ces coûts incluent le service de garde, le matériel de création et les vernissages des expositions des enfants.

 

Le Camp de Jour est rendu possible grâce au généreux soutien de la Fondation J.A De Sève et de la Fondation du Musée d’art de Joliette. Merci aux partenaires la Table de la petite enfance et l’école primaire Les Mélèzes.

Sondage auprès des membres de Répit Québec – Des besoins criants pour les organismes de répit et des délais insoutenables pour les familles de personnes handicapées

Un sondage mené auprès des membres de Répit Québec, le Réseau québécois pour le répit des familles de personnes handicapées, révèle les besoins criants et le manque de financement des organismes de répit à travers le Québec, de même que des délais d’attente qui s’allongent pour les familles. Devant l’urgence de la situation, Répit Québec demande au gouvernement du Québec d’accélérer et de faciliter le déploiement des sommes annoncées pour le répit il y a maintenant près d’un an.

« Les familles de personnes handicapées sont à bout de souffle et, malheureusement, les ressources censées leur offrir du répit sont à court de moyens. Il faut non seulement bonifier le financement, mais également revoir et simplifier la façon dont les sommes annoncées sont distribuées à travers le Québec. On doit s’assurer que l’argent se rende sur le terrain et, surtout, réponde aux besoins exprimés par les familles et les organismes », souligne la porte-parole de Répit Québec, Carolyne Lavoie.

 

Des constats alarmants

Le sondage réalisé en décembre auprès des membres de Répit Québec confirme le manque de financement pour le secteur et l’allongement des délais d’attente pour les familles.

  • Plus d’un organisme de répit sur cinq songe ou a déjà songé fermer en raison de lacunes au niveau du financement.
  • Les trois quarts des organismes ont une liste d’attente pour leurs services et 62 % d’entre eux ont vu cette liste d’attente s’allonger depuis un an.
  • En moyenne, les familles qui sont sur les listes d’attente patientent 317 jours pour obtenir une place dans un organisme de répit. Dans 41 % des organismes, la liste d’attente s’étire sur plus de 7 mois.
  • Faute de moyens, les deux tiers (67%) des organismes consultés rémunèrent les membres de leur équipe répit entre 17$ et 22$ de l’heure, ce qui est nettement insuffisant par rapport au marché de l’emploi actuel.
  • Quatre organismes sur cinq (81 %) ont dû s’adapter et procéder à des changements en raison du manque de financement dans les cinq dernières années. Plusieurs organismes ont :
    • Diminué leur nombre de services (36 %);
    • Diminué leur nombre de familles desservies (31 %);
    • Augmenté leurs prix (52 %).

 

Un financement qui se rend difficilement sur le terrain

En avril 2023, le gouvernement du Québec annonçait des investissements de 50 millions $ sur 5 ans pour aider financièrement les organismes de répit. Or, selon le sondage, la moitié des organismes membres de Répit Québec n’ont toujours pas reçu d’informations de la part de leur CISSS ou de leur CIUSSS par rapport à ces investissements. Répit Québec demande donc que le déploiement des sommes soit accéléré et, surtout, que les modalités d’octroi de celles-ci soient revues et simplifiées.

Un financement à la mission globale des organismes, plutôt que la négociation d’ententes de services à la pièce avec les CISSS et les CIUSSS, permettrait de consolider le réseau, d’assurer la pérennité des services et, surtout, de mieux répondre aux besoins des familles.

 

Méthodologie

Sondage Web réalisé par TACT auprès de 52 organismes de répit au Québec, du 27 novembre au 20 décembre 2023.

À propos de Répit Québec

Répit Québec, le Réseau québécois pour le répit des familles de personnes handicapées, a pour objectif de sensibiliser la population et les décideurs publics aux enjeux vécus par les familles de personnes handicapées et les organismes leur offrant du répit, afin d’améliorer l’accessibilité et assurer la qualité des services. La Table de concertation provinciale pour le répit, mise sur pied par Répit Québec, regroupe plus de 50 collaborateurs qui échangent de l’information, soulèvent des enjeux et trouvent des solutions.

 

La fabrique optique soutient la réussite éducative des jeunes de Montcalm

La Fabrique optique, entreprise fièrement implantée dans la municipalité de Sainte-Julienne, a récemment organisé un souper spaghetti caritatif au profit de l’organisme Réussite éducative Montcalm. Cette initiative visait à amasser des fonds pour l’organisation d’activités dédiées aux élèves et à leur famille dans le but de les outiller et de les engager dans leur réussite éducative.

L’événement a connu un franc succès grâce à la générosité des 160 participants (élus, citoyens, organismes) et au dévouement de l’équipe de La fabrique optique. Les membres de la communauté se sont rassemblés autour d’un délicieux repas de pâtes pour contribuer à une cause noble : encourager la réussite éducative des jeunes de Montcalm. La soirée s’est poursuivie avec le groupe Génération Vintage qui a enflammé la piste de danse, et par un encan silencieux. L’événement a permis d’amasser l’impressionnante somme de 8 000 $.

« Toute l’équipe de La fabrique optique est honorée de pouvoir jouer un rôle dans la promotion de la réussite éducative. Nous croyons en l’importance d’investir dans l’avenir de nos jeunes et le partenariat établit avec Réussite éducative Montcalm permet de concrétiser notre engagement dans la communauté. », a déclaré Sylvain Lévesque, opticien gérant de La fabrique optique.

 

À propos de REM

Réussite éducative Montcalm a pour mission de promouvoir l’éducation auprès des jeunes et des parents de la MRC Montcalm. Jouant un rôle de liaison entre le jeune, son parent, l’école et la communauté, il travaille en collaboration avec les écoles et autres organisations de la MRC pour encourager et soutenir les jeunes dans leur parcours scolaire, favoriser le développement de leur plein potentiel et les aider reprendre ou à maintenir le contrôle sur leur réussite éducative.

Nouvel horaire à l’écocentre de Bois-des-Filion

À compter du vendredi 1er mars 2024, les heures d’ouverture de l’écocentre seront modifiées ; Les Filionoises et Filionois ainsi que les résident.es de Terrebonne et de Lorraine pourront dorénavant s’y rendre du :

 

Lundi au jeudi de 11 h à 17 h

Vendredi de 13 h à 19 h

Samedi de 9 h à 17 h

Dimanche : fermé

 

Ce nouvel horaire sera en vigueur à l’année. Rappelons que les résident.es de Bois-des-Filion et de Terrebonne peuvent disposer gratuitement jusqu’à 5 mètres cubes chaque année de matériaux de construction, rénovation et démolition (CRD).

 

Voici la liste des matériaux acceptés à l’écocentre :

Matériaux de construction, rénovation et démolition (CRD)

Asphalte, aluminium, bardeau d’asphalte, béton, brique, branche, bois, céramique, cuivre, carton, gypse, métal, laine minérale, panneau isolant, papier, pierre, plastique, polystyrène, PVC, souche, sable, terre, verre, etc.

 

RDD (résidus domestiques dangereux)

Adhésif, aérosol divers, ampoules fluocompactes, antigel, ballast d’éclairage, batterie, bonbonne de propane, calfeutrant, chlore, cire à plancher, colle, combustible, coulis, décapant, dégraissant, débouche tuyau, diesel, diluant, encre, essence, goudron, graisse moteur, herbicide, huile, insecticide, lubrifiant, néon, pneu, peinture, pile, pesticide, produit nettoyant, scellant, térébenthine, etc.

 

Appareils électroniques (TIC)

Dispositifs d’affichage (téléviseurs, tablettes graphiques, moniteurs d’ordinateur), téléphones (conventionnels ou portables, répondeurs), cellulaires (téléphones intelligents, téléavertisseurs), ordinateurs (écrans, serveurs de bureau), périphériques (claviers, souris d’ordinateur, consoles, modems), appareils de bureau (imprimantes, numériseurs), systèmes audio/vidéo (appareil photo numérique, caméra vidéo, radios pour véhicules), etc.

 

Autres matériaux acceptés

L’écocentre accepte également les appareils de réfrigération et de climatisation, les vélos, les matelas, les sièges de bébé et les plastiques numéro 6 (styromousse).

 

Matières refusées

Ordures ménagères, résidus verts, compost, biens rembourrés (divans, tapis), engins à moteurs (tondeuse, tarière, souffleuse), barbecue, bonbonnes de polyuréthane

 

Ville pionnière des Basses-Laurentides aux dimensions humaines, fière de son caractère champêtre et de son splendide environnement riverain, Bois-des-Filion propose une qualité de vie reconnue et une économie prospère à ses 10 500 habitants.

Effritement du filet social : les groupes sociaux demandent à la CAQ de mettre fin au dérapage!

Baisses d’impôt qui favorisent les plus riches, privatisation accélérée du réseau de la santé et des services sociaux, manque de places dans les services de garde éducatifs, refus de s’attaquer à l’école à trois vitesses, recours au bâillon, refus de mettre en place des mesures structurantes pour faire face à la crise du logement, montée de l’itinérance et de l’insécurité alimentaire, menace de dénationalisation d’Hydro-Québec, etc. C’est pour dénoncer l’inaction de la Coalition Avenir Québec (CAQ) devant l’effritement du filet social des Québécois et des Québécoises que des organisations sociales de divers horizons se mobilisent dans le cadre de la Journée internationale pour la justice sociale. À Joliette, c’est à l’initiative du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL), du Conseil Central de Lanaudière (CSN) et de l’APTS Lanaudière qu’une action de visibilité a été organisée à la place Bourget.  Lors de cet événement qui a rassemblé une soixantaine de personnes, des tracts d’information, du café et du bouillon ont été distribués aux participants.

Les organismes de la région s’inquiètent du manque de financement public pour les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome ainsi que de la privatisation grandissante. Comme le dit Catherine Pouliot du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) : « Pendant que notre tissu social se désagrège et que nos organismes sont épuisés, une poignée de personnes s’en mettent plein les poches ».

À Montréal, Rouyn-Noranda, Trois-Rivières, Joliette, Sherbrooke, Saguenay, Victoriaville et Québec, des groupes communautaires, féministes et syndicaux se mobilisent aussi pour revendiquer un changement de cap de la part du gouvernement. Joignant notamment sa voix à la Coalition Main rouge, le MÉPAL, la CSN et l’APTS demandent d’importants réinvestissements en santé, en éducation, dans les groupes communautaires, dans les services publics, dans les services de garde éducatifs, en itinérance et dans le logement social dans le prochain budget. Il s’agit d’une question de choix politiques. Plusieurs mesures fiscales progressives permettraient selon les groupes sociaux de réinvestir dans les services publics et les programmes sociaux ainsi que dans la mission des groupes d’action communautaire autonome. Instaurer un impôt sur le patrimoine du 1% des plus riches ; réinstaurer la taxe sur le capital pour les banques ; augmenter le nombre de paliers d’imposition ; imposer davantage les dividendes et les gains en capital, au même titre que les revenus de travail ; augmenter les impôts des grandes entreprises plutôt que de les diminuer sont autant d’avenues que le gouvernement devrait emprunter pour lutter contre les inégalités sociales et éventuellement atteindre l’équilibre budgétaire sans recourir à des coupures et des compressions.  L’ensemble des mesures fiscales proposées par la Coalition Main rouge permettraient d’augmenter d’au moins 14 milliards de dollars les revenus annuels du gouvernement du Québec.

Des dizaines d’activités gratuites pour la relâche

Cette année, pas question de rester encabané! Du 25 février au 3 mars prochain, les amateurs[1] de sensations fortes, de randonnées contemplatives en nature ou d’activités créatives trouveront de quoi se divertir en Ville. Au menu : ateliers ludiques, spectacles, expositions, activités d’éveil à la lecture, il y en aura pour tous les goûts.

« À Repentigny, ce ne sont pas les idées qui manquent! La relâche scolaire est un moment privilégié pour passer du bon temps en famille. Une fois de plus, une dizaine d’activités gratuites seront offertes dans nos installations pour le plus grand bonheur des petits et grands », souligne Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

 

Sortie parfaite pour jeunes artistes

Jusqu’au 3 mars, on crée, on bouge et on s’amuse au Centre d’art Diane-Dufresne! Au programme : séance de yoga en salle d’exposition, ateliers créatifs et ludiques et plus encore. Le 25 février, ne manquez pas le Grand vernissage familial de trois nouvelles expositions : Maison de campagne, Paradis perdu et Devenir chez-nous. L’entrée est gratuite; venez en grand nombre!

 

Une bibliothèque animée

Entre deux escapades hivernales, quoi de mieux que de s’accorder une petite pause à la bibliothèque? Les activités proposées sont aussi variées qu’amusantes et comprennent des ateliers de création de jeux vidéo, des spectacles et des heures du conte. Il est également possible de faire des emprunts de livres, de films ou de jeux de société afin de se créer des souvenirs mémorables en famille.

 

Pour les amateurs d’activités physiques

Selon le bon vouloir de la météo, les patinoires de quartier sont accessibles, de jour comme de soir. Les plus frileux pourront pratiquer leur coup de patin dans les deux arénas de la Ville. Le parc de l’Île-Lebel et les Sentiers de la Presqu’Île sont prêts pour les adeptes de randonnée, de ski de fond ou de raquette. Quant aux poissons dans l’eau, l’équipe du Centre aquatique sera heureuse de les accueillir pendant les bains libres.

 

Pour connaître la programmation détaillée, les heures d’ouverture et l’état des patinoires, consultez le site au repentigny.ca.

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise le masculin dans ce communiqué de presse uniquement pour faciliter la lecture.

Saint-Lin-Laurentides met en place 20 nouvelles bornes de recharge sur l’ensemble de son territoire Une étape significative est franchie pour une mobilité durable et responsable

La Ville de Saint-Lin-Laurentides est ravie d’annoncer la mise en place de 20 bornes de recharge électrique, réparties à divers emplacements dans la Ville. Ces bornes, de type Flo, seront accessibles via l’application Circuit électrique, offrant ainsi aux résidents et aux visiteurs une solution pratique pour recharger leurs véhicules électriques.

La Ville s’engage à soutenir la transition vers une mobilité plus durable en proposant une tarification avantageuse de 1 $ l’heure pour l’utilisation de ces nouvelles bornes de recharge. Cette mesure vise à encourager l’adoption de véhicules électriques et à contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).

Cette annonce s’ajoute à la récente installation de 8 bornes de recharge destinées aux employés municipaux, ainsi qu’aux 4 bornes rapides situées au Centre sportif (aréna).

La Ville souhaite remercier Hydro-Québec pour sa contribution majeure au projet, avec un investissement de 240 000 $. Cette collaboration renforce l’engagement commun envers un avenir énergétique plus propre et durable.

« Nous réaffirmons notre volonté à promouvoir le développement durable, l’innovation et la qualité de vie de nos citoyens. En favorisant l’électrification des transports, la Ville aspire à devenir un modèle en matière de mobilité durable au sein de la région », déclare Mathieu Maisonneuve, maire de Saint-Lin-Laurentides.

La Ville de Saint-Lin-Laurentides demeure résolument tournée vers l’innovation et la préservation des ressources pour les générations futures. En franchissant cette étape vers une mobilité plus verte, elle est fière de contribuer à la construction d’un monde plus durable.

Les résidents et les visiteurs peuvent facilement localiser l’ensemble des bornes en consultant la carte interactive sur le site :  saint-lin-laurentides.com

 

À propos

Saint-Lin–Laurentides, située au bord de la rivière l’Achigan, se trouve au carrefour de la grande région métropolitaine, des Laurentides et de Lanaudière.  Elle compte aujourd’hui plus de 25 000 habitants sur un territoire de plus de 117 km2. Empreinte d’une fierté historique, la ville de Saint-Lin-Laurentides est résolument tournée vers l’avenir.  Elle met en place des actions concrètes pour transformer l’aménagement du territoire et assurer un avenir durable pour sa communauté.  Son leitmotiv :  Assurer une expérience citoyenne de qualité et devenir une ville Référence. Fière, attrayante, inspirante, Saint-Lin-Laurentides vibre au rythme de sa résilience et de ses ambitions avec courage, persévérance et ardeur. 

Mascouche agit pour protéger ses milieux humides

La Ville de Mascouche est fière d’annoncer qu’elle a modifié son règlement de zonage en vue de protéger les milieux humides de son territoire. Le tout en lien avec son engagement pour la préservation de l’environnement et la conservation des ressources naturelles.

« Mon équipe et moi sommes très heureux du pas important que nous faisons en matière d’environnement avec l’adoption de ce règlement. Cette action concrète nous permet d’ailleurs d’atteindre la cible de 30 % de protection des milieux naturels fixée à l’échelle internationale lors de la COP15 afin de protéger la biodiversité. Pour nous, il s’agit d’une action essentielle », souligne le maire Guillaume Tremblay en ajoutant que Mascouche est l’une des premières villes à agir ainsi à l’échelle provinciale.

Les modifications apportées au règlement de zonage limiteront les activités de développement (remblai, déblai, et construction) dans les zones sensibles. Ainsi, il ne sera plus possible de procéder à aucune construction sur les milieux humides ciblés.

 

Une partie importante du territoire protégé

Les milieux humides constituent une composante importante des milieux naturels mascouchois et couvrent 5,5 % de la superficie de son territoire. En modifiant le règlement de zonage, c’est donc 1/20 de la superficie de la ville qui sera protégée.

Les milieux humides jouent un rôle essentiel dans notre écosystème en fournissant des habitats vitaux pour une multitude d’espèces végétales et animales, en régulant le cycle de l’eau, et en contribuant à la qualité de l’air que nous respirons. Ils représentent également des zones de biodiversité riches et fragiles qui méritent d’être préservées.

 

Plantes à desserts : du jardin à la table – Conférence horticole avec Joëlle Venne

Maison et jardins Antoine-Lacombe présente, jeudi 28 mars à 19 h 30, la conférence Plantes à desserts : du jardin à la table animée par Joëlle Venne. La conférence aura lieu au Centre communautaire Alain Pagé, 10, rue Pierre de Coubertin à Saint-Charles-Borromée.

Au menu : la présentation des plantes, des recettes et une dégustation! Une occasion de découvrir les herbes, fleurs et petits fruits pouvant servir à la confection de desserts, pâtisseries et confiseries.

Joëlle Venne est agronome et détentrice d’une maîtrise en biologie végétale. Elle est copropriétaire de l’entreprise Les Jardins Gourmands située à Saint-Jacques. Cette jeune entreprise dynamique se spécialise dans la production et la commercialisation de plantes comestibles. Petite Pâtissière, Cocktails de filles, Collection Spicy et Maîtres Brasseurs constituent les Collections gourmandes disponibles à la jardinerie.

 

Horaire :

1re partie de la conférence : 19 h 30 à 20 h 30

Pause : 20 h 30 à 20 h 45

2e partie de la conférence : 20 h 45 à 21 h 45

 

Il est conseillé de réserver ses billets en ligne, par téléphone au 450 755-1113 ou à l’accueil de la Maison Antoine-Lacombe. Il sera aussi possible d’acheter des billets sur place le soir de la conférence, en argent comptant.

Pour plus de détails, consultez le site Web de Maison et jardins Antoine-Lacombe : antoinelacombe.com.

Maison et jardins Antoine-Lacombe tient à remercier la ville de Saint-Charles-Borromée pour leur précieuse contribution.