Effondrement du toit du 145 rue Chapleau à Terrebonne : Aucun blessé et sécurisation du périmètre

La Ville de Terrebonne confirme l’effondrement du toit de l’édifice commercial situé au 145, rue Chapleau. Personne n’a été blessé. Cet effondrement est survenu le cadre de travaux de réhabilitation des sols impliquant une décontamination.

Situé entre les édifices de la fromagerie du Vieux-Terrebonne et de la Globe Shoe, ce commerce était en processus d’acquisition par la Ville de Terrebonne à des fins de démolition dans le but de bonifier l’éventuel projet de la Globe Shoe. En effet, ce bâtiment n’avait pas de valeur patrimoniale significative et comportait de grands problèmes de structure.

La sécurisation des lieux sera faite rapidement par le propriétaire en fonction des exigences à cet égard. Pour sa part, la Ville veillera à réduire les impacts sur la circulation sachant que la rue Chapleau est déterminante pour la fluidité des déplacements, notamment aux heures de pointe.

Usage des foyers extérieurs à Terrebonne : Changements dans la réglementation

La Ville de Terrebonne et le Service de sécurité incendie (SSIT) sont déterminés à préserver la santé et le bien-être des citoyens tout en protégeant l’environnement. C’est dans cette optique que deux nouvelles modifications ont été adoptées dans la réglementation municipale sur les dispositions relatives aux foyers extérieurs, feux d’artifice, feux de camp et explosifs (règlement 737).

Pour prévenir la détérioration de la qualité de l’air et protéger la santé de la population, une interdiction formelle d’utiliser des foyers extérieurs pendant les périodes d’avis de smog a été entérinée le 18 septembre par le conseil municipal. Cette mesure est en ligne avec l’engagement de l’organisation pour un environnement plus propre et plus sain.

« La qualité de l’air est devenue l’une de nos préoccupations à Terrebonne, surtout avec les récents épisodes de smog vécus au début de la période estivale », indique Mathieu Traversy, maire de Terrebonne. « Nous sommes plus déterminés que jamais à prendre des mesures proactives pour préserver notre environnement. Cette interdiction est une étape nécessaire pour réduire la pollution de l’air et protéger la santé de nos citoyens. »

En outre, la Ville de Terrebonne a décidé d’interdire la vente de feux d’artifice sur son territoire. Cette décision vise à réduire les risques liés à l’utilisation de feux d’artifice non autorisés.

« La sécurité de nos résidents est notre priorité absolue. L’interdiction de vendre des feux d’artifice contribuera à réduire les accidents potentiellement graves et à protéger nos citoyens », mentionne Sylvain Dufresne, directeur de l’incendie. « Nous encourageons la population à célébrer de manière sûre et responsable, surtout considérant que les feux d’artifices sont particulièrement polluants. »

Pour plus d’informations sur la révision de la réglementation concernant l’usage des foyers extérieurs au bois et de l’usage des fumoirs, vous pouvez visiter le site Web de la Ville de Terrebonne à l’adresse : https://www.ville.terrebonne.qc.ca/feux-en-plein-air.

Le loisir à Terrebonne et Mascouche – La population invitée à participer à une enquête

La Ville de Terrebonne et la Ville de Mascouche unissent leurs forces pour lancer une grande enquête sur les comportements en matière de pratique récréative au sein de leur territoire. Désignée sous l’appellation Parlons loisir — une enquête pour mieux vous servir, cette consultation publique s’intéresse donc aux habitudes et préférences des citoyens quant au loisir. Elle s’adresse à tous les Terrebonniens et Mascouchois âgés d’au moins 16 ans qui se sentent interpellés par l’offre de loisir dans leur communauté.

« Cette vaste consultation vise à bien connaître et comprendre les habitudes récréatives de la population de nos deux villes, affirme Mathieu Traversy, le maire de Terrebonne. En se collant aux réalités de nos citoyens et aux besoins qu’ils expriment, il sera possible pour notre administration d’arrimer nos services municipaux aux aspirations de la population voire d’agir en complémentarité à l’échelle de nos deux territoires. »

Le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, abonde dans le même sens et ajoute que « l’analyse de l’offre de services en loisir permettra également à nos municipalités de s’assurer que l’ensemble des intérêts, mais aussi des contraintes à la participation, soient considérés dans la planification des programmes et des services ».

Dès maintenant, et pour les six prochaines semaines, les citoyens de Terrebonne et de Mascouche sont invités à remplir un questionnaire dont le nombre de questions et la durée de réponse demeurent à leur entière discrétion. Ainsi, une première partie servira à établir le profil des répondants en quelques questions d’ordre général. Les sections subséquentes seront laissées au choix du répondant en fonction de ses intérêts personnels. Ils porteront par exemple sur les parcs et espaces verts, les espaces sportifs et communautaires, les événements, le loisir en milieu scolaire, les camps de jour, le bénévolat, etc.

 

En participant à cette grande enquête, le citoyen aide sa municipalité à repositionner son offre de loisir et à investir là où sont les besoins.

 

La Ville de Terrebonne adopte trois politiques sur les données

Lors de la séance du conseil municipal du 18 septembre dernier, la Ville de Terrebonne a adopté trois politiques en lien avec la gestion des données, soit la  Politique de confidentialité, la Politique sur la protection des renseignements personnels et la Politique de gouvernance des données.

 

Rappelons que la Ville s’engage à protéger la confidentialité et la sécurité des renseignements personnels qu’elle détient, conformément à la Loi 25, Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels. La Politique de confidentialité décrit la manière dont la Ville recueille à l’aide de moyens technologiques, utilise et communique des renseignements personnels. La Politique sur la protection des renseignements personnels établit les principes et règles de gouvernance à l’égard de la gestion et de protection de ces renseignements, de leur collecte à leur destruction.

 

La Politique sur la gouvernance des données vient, quant à elle, chapeauter le tout. Elle vise à mettre en place une structure et à établir les grands principes afin d’assurer une vision partagée et cohérente de la gouvernance des données à travers les différentes directions de la Ville.

 

Création du Prix Monique-et-Robert-Parizeau dédié à l’innovation en arts imprimés

C’est avec grande fierté que le Musée d’art de Joliette (MAJ) lance cette année le Prix Monique-et-Robert-Parizeau, dédié à l’innovation en arts imprimés.

Administré par le MAJ, ce prix a été créé en l’honneur de Monique Parizeau, artiste ayant principalement dédié sa carrière à l’estampe. Afin de laisser son empreinte dans le temps et d’en assurer la pérennité, ce prix annuel est financé grâce à la création du Fonds de dotation Monique-et-Robert Parizeau.

Pendant les quatre premières années d’un cycle de cinq ans, chaque année, un ou une artiste recevra un prix de 15 000 $. Au cours de la cinquième année, les quatre récipiendaires prendront part à une exposition collective au MAJ. Cette année, l’annonce de la lauréate ou du lauréat aura lieu au début du mois d’octobre. Ce concours sur invitation s’appuie sur les recommandations d’un jury et d’un nombre important d’organismes spécialisés en estampe et en arts imprimés.

Le jury est constitué des membres suivant·e·s : Julie Alary Lavallée, conservatrice des collections du Musée d’art de Joliette, Julie Armstrong-Boileau, co-directrice générale par intérim du Musée d’art de Joliette, Jean-François Bélisle, directeur et PDG du Musée des beaux-arts du Canada, Mark Bovey, artiste et professeur en estampe de l’Université NSCAD, Yael Brotman, artiste et professeure émérite de l’Université de Toronto Scarborough, Marianne Cloutier, conservatrice de l’art contemporain par intérim du Musée d’art de Joliette, Madeleine Forcier, historienne de l’art et directrice de Graff, Jean-Michel Parizeau, représentant de la famille Parizeau, Bea Parsons, artiste et professeure de dessin et peinture de l’Université Concordia.

Le MAJ remercie chaleureusement la famille Parizeau pour cette riche collaboration dont l’objectif est de supporter à travers les années l’écosystème des arts imprimés québécois, canadien et international.

 

Le Musée d’art de Joliette

Fondé en 1967, le Musée d’art de Joliette a pour mission d’acquérir, de conserver, de mettre en valeur et de diffuser des œuvres anciennes et contemporaines d’artistes québécois, canadiens et étrangers au moyen d’expositions et d’activités culturelles et éducatives. Avec son architecture lumineuse et son emplacement de choix devant l’Outaragawe sipi (rivière L’Assomption), le Musée d’art de Joliette est l’un des premiers bâtiments qui accueille les visiteurs et les visiteuses à l’entrée de la ville de Joliette. Sa collection de 8 000 œuvres d’art est l’une des plus importantes au Québec. Variée et inclusive, la programmation culturelle du Musée varie à chaque saison.

Les Journées de la culture : les arts et la culture à l’honneur Du 29 septembre au 1er octobre

L’Espace culturel invite les jeunes et moins jeunes à venir célébrer les Journées de la culture les 29, 30 septembre et 1er octobre prochains. Durant trois jours, le centre-ville vibrera au rythme d’une programmation culturelle festive avec plus d’une quinzaine d’activités gratuites pour tous les goûts.

« Encore une fois, la Ville de Repentigny souligne en grand cet événement rassembleur auquel participent artistes, artisans et organismes du milieu. Il s’agit d’une occasion unique d’exprimer haut et fort la fierté de mettre en valeur, quotidiennement, la culture sous toutes ses formes. Avec ses multiples idées de sorties, il y en aura certainement une qui saura vous plaire », souligne Karine Benoit, conseillère municipale et présidente de la Commission de la culture, du tourisme et du redéploiement du centre-ville.

 

Les 29 et 30 septembre

Le Théâtre Alphonse-Desjardins propose deux Soirées noctambules sous le signe de la découverte. Au programme : stations créatives avec l’équipe du Centre d’art Diane-Dufresne, terrasses animées, DJ et dégustation de vin. Parmi les incontournables, notons l’installation performative en danse À l’Est de Nod, Nadère Arts Vivants, une œuvre immersive mettant en scène 13 interprètes, dont 5 artistes de la région. À travers trois univers communicants (La forêt, L’errante et L’abîme), les participants[1] seront appelés à vivre une expérience des plus singulières.

 

Samedi 30 septembre

Pour souligner la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, une foule d’activités attendent petits et grands : légendes atikamekw avec la conteuse Karine Echaquan, atelier-rencontre Devenir chez-nous en compagnie de la réalisatrice Iphigénie Marcoux-Fortier, ainsi qu’une rencontre littéraire avec Joséphine Bacon.

 

Dimanche 1er octobre

Dès 9 h 30, bottes et chapeaux de cowboys prendront d’assaut le parvis du Théâtre pour une danse à saveur country. À compter de 10 h, l’Espace culturel se transformera en véritable Marché des artisans. Pour l’occasion, une douzaine de créateurs mettront de l’avant tout leur talent et leur passion en proposant des objets faits à la main. Il ne faudra surtout pas manquer Il n’y aura plus d’éléphant de la compagnie théâtrale Tortue Berlue à 11 h, 13 h et 14 h 30.

L’auteure-compositrice-interprète, Catherine Dagenais, convie les amoureux de musique, à 12 h et 14 h, alors qu’elle interprétera des chansons tirées de son plus récent album Mieux s’y voir, sorti en 2020, ainsi que plusieurs titres connus de son répertoire.

Pour compléter l’expérience, un arrêt s’impose au Centre d’art Diane-Dufresne. Le public pourra visiter, pour une dernière fin de semaine, les deux expositions phares de l’été : Continuum de Richard Langevin et Artchéologie de Diane Dufresne.

La programmation détaillée comprenant l’ensemble des activités est disponible au espaceculturel.repentigny.ca.

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise dans ce communiqué de presse, le masculin uniquement pour faciliter la lecture.

Les institutions mangent local! au CISSS

Après le succès retentissant du mini-marché tenu l’an dernier par l’équipe des services alimentaires du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière à l’occasion de l’événement Les institutions mangent local!, voilà qu’une 2e édition de cet événement est en cours.

Une dizaine de commerçants et de producteurs locaux vous attendent au Centre hospitalier De Lanaudière (CHDL) et à l’Hôpital Pierre-Le Gardeur (HPLG) afin de vous faire découvrir des produits et des aliments d’ici. C’est donc un rendez-vous à ne pas manquer!

  • CHDL, à la verrière (cafétéria), aujourd’hui le 26 septembre, de 11 h à 17 h.
  • HPLG, en face de l’auditorium, demain le 27 septembre, de 11 h à 17 h.

Alors que l’an passé l’événement était destiné aux employés afin de protéger nos milieux de soins en contexte pandémique, nous ouvrons nos portes à toute la population lanaudoise pour cette 2e édition! Toutes les personnes désirant découvrir des commerçants et des producteurs de la région sont invitées à venir visiter ce mini-marché dès aujourd’hui, en plein cœur des installations du réseau de la santé.

De plus, des restaurateurs locaux (Les Fous-Braques, L’Espace Comptoir, L’Alchimiste Microbrasserie, La Goulée et Au St-Jacques) prennent part à ces journées pour le bonheur des papilles de tous. Des cartes-cadeaux seront aussi tirées au hasard parmi ceux qui auront fait des achats sur place.

La clientèle est en mesure d’acheter des produits et d’aller à la rencontre de ces producteurs : Les Jardins Arômes et Saveurs (produits à base de lavande), Champimignons (champignons), Rebon (craquelins faits à base de drêche), Ferme Soliflore (fleuriste), Maison du bonheur (épices), MVA Créations (produits de papeterie), Ferme Beauvais (viandes), Tout Naturellement (épicerie locale fine), Choco Chocolat (chocolat), Chef J (produits de cuisine végane), Folle farine (farine) et Ferme au septième sol (légumes) – HPLG seulement.

Faire partie des institutions publiques inscrites au programme Aliments du Québec au menu

Soucieuse d’augmenter l’achat de produits locaux pour les intégrer dans ses menus et sensibiliser la population, la Direction du CISSS avait envie de s’impliquer davantage et différemment. En organisant un mini-marché avec des agriculteurs et des artisans locaux, le CISSS proposait une ingénieuse idée qui, dès sa 1re édition, a su conquérir tous ses visiteurs.

Cette démarche, fort appréciée, s’était d’ailleurs démarquée auprès de représentants d’Aliments du Québec au menu, lesquels avaient tenu à souligner les efforts consentis par l’équipe à la démarche en diffusant notamment un portrait du CISSS dans le magazine HRImag ainsi que sur le blogue d’Aliments du Québec au menu.

Rappelons que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la Stratégie nationale d’achat d’aliments québécois (SNAAQ) et que le CISSS s’engage, en tant qu’institution publique, à augmenter ses propres achats en produits locaux et régionaux, à les intégrer dans plus de recettes au sein de ses cafétérias et à encourager la clientèle et les employés à emboîter le pas également. Justement, l’équipe des services alimentaires a aussi mis sur pied, il y a quelques semaines, un projet de cueillette de paniers de légumes avec les producteurs dans certaines installations.

L’événement Les institutions mangent local! est une initiative du programme Aliments du Québec au menu et se déroule à travers la province jusqu’au 1er octobre 2023.

Profitez de votre passage en centre hospitalier pour participer en grand nombre à cet événement bioalimentaire festif ouvert à tous!

Mobilité internationale : le Cégep de Lanaudière dresse un bilan positif de l’année 2022-2023

Alors que plus d’une centaine d’étudiants provenant de divers programmes d’études des trois collèges du Cégep de Lanaudière (CL) ont eu le privilège de participer à des projets internationaux au cours de l’année scolaire 2022-2023, c’est avec fierté que le cégep dresse un bilan positif du projet de sa relance de mobilité internationale. En effet, il a su remettre sur pied, après une pause pandémique, diverses opportunités pour ses étudiants leur ouvrant ainsi une fenêtre sur le monde et enrichissant leur parcours collégial par des expériences uniques.

Ces projets, qui ont revêtu multiples formes allant de stages individuels à des projets de groupe, ont eu lieu dans diverses villes en France, aux États-Unis et en Allemagne. Certains se sont déroulés à l’automne 2022, mais pour la plupart, à l’hiver 2023.

Toutes ces activités ont pu se concrétiser grâce à l’engagement et au dévouement de plus d’une douzaine de membres du personnel enseignant. Le cégep tient à remercier chaleureusement tous ceux qui ont œuvré de près ou de loin à faire de cette relance de la mobilité internationale un grand succès.

Alors que le CL célèbre ces réalisations, de nouveaux projets sont déjà en cours de préparation pour l’année scolaire 2023-2024. De belles et grandes aventures attendent la communauté collégiale dans les prochains mois. C’est à suivre!

 

A-40 – Travaux de marquage sur le pont Benjamin-Moreau à Repentigny

DATE Les 26 et 27 septembre, de nuit
IDENTIFICATION DES TRAVAUX Travaux de marquage
VILLESCharlemagne et Repentigny
ROUTE Autoroute 40 (Félix-Leclerc)
LOCALISATION Entre l’autoroute 640 et le boulevard de La Rochelle
ENTRAVESLes 26 et 27 septembre, de 22 h à 5 h le lendemain

  • Fermeture de l’autoroute 40 en direction est entre les sorties no96 A-640/Laval/St-Eustache/Charlemagne et no98 Repentigny/Boul. de La Rochelle/Boul. Brien;
  • Fermeture des bretelles menant de l’autoroute 640 à l’autoroute 40 en direction est.
DÉTOURLes chemins de détour seront balisés par une signalisation temporaire et signifiés à l’aide de panneaux.
Ces travaux pourraient être reportés, prolongés ou annulés en raison de contraintes opérationnelles ou des conditions météorologiques défavorables. Afin de connaître les entraves en cours, consultez Québec 511, un outil pratique pour planifier adéquatement vos déplacements.

 

Pour toute question ou tout commentaire, il est possible de communiquer avec le Ministère en composant le 511 ou en allant sur la page Web transports.gouv.qc.ca/nous-joindre.

 

Pour connaître les fermetures majeures de fin de semaine dans la région métropolitaine de Montréal, il est possible de s’abonner à l’infolettre de Mobilité Montréal.

 

Saint-Félix-de-Valois : Municipalité culturelle de l’année !

La municipalité de Saint-Félix-de-Valois s’est démarquée lors du 32e gala des Grands Prix Desjardins de la culture de Lanaudière en remportant le prix Municipalité culturelle de l’année! La cérémonie organisée par Culture Lanaudière le 22 septembre dernier à la salle Julie-Pothier de Saint-Jacques récompensait les artistes, organismes et institutions s’étant démarqués en culture dans Lanaudière.

« Nous venons effectivement de vivre une grande année culturelle à Saint-Félix-de-Valois avec la rénovation de la bibliothèque, l’adoption de la politique culturelle et l’arrivée du CRAPO de Lanaudière au centre Yvon-Sarrazin, souligne Audrey Boisjoly, mairesse. Et ce n’est pas fini, d’autres projets sont en cours de réalisation ou en préparation. Je vous invite à consulter le plan d’action de la politique culturelle pour le découvrir. »

 

Une année charnière

Beaucoup de projets ont fructifié la même année. D’abord, la démarche d’élaboration de la politique culturelle a permis son adoption le 13 février 2023. Presqu’au même moment, le 11 février, le CRAPO inaugurait officiellement son arrivée dans le Centre Yvon-Sarrazin lors du spectacle de Véranda à la suite de travaux mineurs pour aménager l’ancienne salle des Chevaliers de Colomb en lieu de diffusion culturelle. Cette arrivée a permis de bonifier la programmation culturelle de près d’une soixantaine d’événements annuellement. Ces gestes incarnent l’objectif du conseil de faire de la place de l’église, le pôle culturel de la municipalité. Le choix de nom de cette place lors du remplacement des enseignes l’incarne bien : place de la Culture.

En plus de cette concentration autour de la place de la Culture, 2022-2023 a également marqué la fin des rénovations de la bibliothèque. Les rénovations sont venues ponctuer une série de bonification de services à la bibliothèque suite à une consultation : augmentation des heures d’ouverture, embauche d’une nouvelle préposée au comptoir, bonification de la collection et de la programmation.

 

Positionnement politique fort

C’est également l’année de la mise en place du comité consultatif en culture sur lequel siègent trois citoyens avec le mandat d’émettre des recommandations au conseil sur les questions culturelles, patrimoniales et historiques. De plus, le conseil a adopté un plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA) sur tout le secteur historique du village plus tôt cette année afin de préserver le patrimoine bâti en encadrant les travaux de rénovation, de démolition et de nouvelle construction. Depuis quelques années, les efforts d’animation se concentrent à la place de la Culture. L’éclairage de l’église a également été modifié afin de valoriser la façade du bâtiment par un éclairage au DEL avec ajustement chromatique de la couleur.

« Nous sommes très heureux de cette reconnaissance et voulons remercier Culture Lanaudière et tous les artistes, organismes et institutions qui font vibrer la culture dans la région, mentionne Ingrid Haegeman, conseillère municipale et présidente du comité consultatif en culture. »