La grande évasion : Histoires de citadins qui ont fait le choix des régions – Nouveauté aux Éditions La Presse en librairie le 2 mars

Qui ne connaît pas un ami, un voisin, un proche parent, qui a quitté la ville pour expérimenter un nouveau mode de vie au quotidien, hors des grands centres urbains ? Qui n’a pas pensé à troquer son statut de citadin pour celui de villageois ? Le journaliste Yvon Laprade, qui vit lui-même désormais à Saint-Élie-de-Caxton, se penche sur cette tendance qui a pris de l’ampleur avec la pandémie – et la popularité du télétravail – dans son essai LA GRANDE ÉVASION, à paraître le 2 mars prochain.

Depuis quelques années, travailleurs autonomes, fonctionnaires, artistes, immigrants, retraités et jeunes travailleurs n’ont jamais été aussi nombreux à se demander si le bonheur ne se trouverait pas plutôt ailleurs qu’à Montréal ou dans les autres grandes villes, loin de la pollution urbaine, des sirènes d’ambulances, des cônes orange et des artères congestionnées. Phénomène passager ? Exode massif ? Grande évasion ? Chose certaine, ce mouvement de fond profite aux régions, que l’on pense aux Laurentides, aux Cantons-de-l ’Est, Lanaudière, la Mauricie, Charlevoix, le Saguenay-Lac-Saint-Jean, la Gaspésie, et même les Îles-de-la-Madeleine.

Tout n’est pas parfait lorsqu’on décide de quitter la ville pour aller vivre à la campagne. Il faut faire des ajustements, des compromis. Il y a là des enjeux de cohabitation entre les locaux et ceux qui arrivent. On ne débarque pas dans un village avec ses gros sabots… « La route qui mène à la destination finale n’est pas toujours celle qu’on s’était imaginée au départ », prévient l’auteur. Autre envers de la médaille : ce besoin des citadins d’aller respirer un grand bol d’air a affaibli Montréal, qui a perdu, au cours de la dernière décennie, plus de 240 000 résidants dans ses échanges migratoires avec les autres régions du Québec. Entre le 1er juillet 2020 et le 1er juillet 2021, en pleine pandémie, le solde migratoire négatif de la métropole a atteint le niveau record de 48 300 personnes, selon l’Institut de la statistique du Québec (ISQ).

Pour la rédaction de son ouvrage, Yvon Laprade a réalisé plus d’une trentaine d’entrevues, entre autres avec des citadins qui ont pris la clé des champs après avoir acquis des propriétés. Il est également allé à la rencontre de Fred Pellerin, Richard Séguin, Marc Fournier et MC Gilles, qui ont accepté de raconter leur réalité. Et il a pris le pouls des élus municipaux, un peu partout au Québec, sur les questions d’actualité touchant la pénurie de main-d’œuvre, le logement et l’immigration.

Les grands boulevards ou les chemins moins fréquentés ? Vivre dans un quartier densément peuplé ou dans un village sans feux de circulation ? Le débat est lancé !

À PROPOS DE L’AUTEUR

Journaliste depuis quarante-cinq ans, Yvon Laprade a travaillé au Journal de Montréal, à Rue Frontenac, à La Terre de chez nous et à La Presse. Il est chroniqueur au quotidien Le Nouvelliste. Il écrit pour informer, parfois même pour dénoncer, mais surtout, pour s’exprimer sur les nombreux enjeux de société. On lui doit, entre autres, le livre référence sur le scandale Norbourg et un premier roman, Un homme vaillant.

À PROPOS DES ÉDITIONS LA PRESSE

Les Éditions La Presse donnent la parole à des personnalités influentes qui répondent aux préoccupations d’un large public en lui offrant une vision riche et éclairée. Portées par l’expertise de leurs auteurs, les publications de la maison d’édition s’illustrent fréquemment aux plus hauts rangs des palmarès de vente et sont plébiscitées par l’industrie dans le cadre de concours nationaux et internationaux. Le catalogue des Éditions La Presse regroupe plusieurs créneaux parmi lesquels les guides pratiques, les livres de cuisine, les biographies, les récits et les essais figurent à l’avant-plan.

Le Wesli Band, une première à Repentigny

L’Aramusique vous invite au concert Le Wesli Band le samedi 18  février à 20 h en formule cabaret au Théâtre Alphonse-Desjardins de l’Espace culturel de Repentigny.
Enfant, Wesli fabrique sa première guitare avec un bidon d’huile et du fil de pêche. Quelques années plus tard en 2019, son 6e opus («Rapadou Kreyôl») est récompensé par les prestigieux prix canadien « Juno » et Québécois « Félix » pour le meilleur album de musique du monde de l’année, ainsi que par le prix Coup de Cœur de l’Académie Charles Cros en France.

Né Wesley Louissaint à Port-au-Prince en Haïti, Wesli est rapidement devenu un auteur-compositeur, guitariste et producteur prolifique et reconnu. En collaboration avec un large éventail de talents canadiens et internationaux (tels que Tiken Jah Fakoly, Paul Cargnello, Mes Aïeux et Radio Radio…), sa musique associe les racines du vaudou et du rara (un instrument traditionnel haïtien emblématique), en passant par l’afrobeat et le hip-hop.

Dès 2009, Wesli est couronné « Révélation Radio-Canada », puis il remporte le prix Babel Med Music en 2010 à Marseille, et le Prix Hagood Hardy de la SOCAN en 2016. Plus récemment en 2020, il remporte le « Canadian Folk Music Award World Music Solo Recording », ainsi que le « Independent Music Award » aux États-Unis pour le titre « Lolé Lolé » extrait de l’album Rapadou Kreyôl.

Ses tournées l’ont conduit à travers le Canada, mais également aux États-Unis, Haïti, Cuba, la Colombie, le Brésil, la Corée du Sud, la France, la Suisse, l’Angleterre, l’Espagne, le Portugal, l’Italie, le Cap Vert, la Côte d’Ivoire et le Maroc, entre autres.

En 2021, Wesli prépare la sortie d’un 7e album «Tradisyon», en partenariat avec le célèbre label
américain « Cumbancha »

Il est possible de réserver vos billets en personne à la billetterie du Théâtre Alphonse-Desjardins, par téléphone (450 589-9198), en ligne (www.aramusique.org) ou à la porte 60 minutes avant chaque concert.

Rappelons que l’Aramusique est un diffuseur spécialisé qui a pour mission d’offrir des activités
musicales de haut niveau au plus grand nombre, d’initier un jeune public à la musique et d’être un carrefour pour les artistes et artisans du milieu.

Vox Luminosa : une programmation relevée pour la relance de Précieux-Sang !

Ce mois de février 2023 marque la fin des festivités du 60e anniversaire de fondation de la paroisse du Précieux-Sang de Repentigny. Dans le cadre de la relance des activités post-anniversaire de la paroisse, l’Ensemble vocal Vox Luminosa y présentera le célébrissime oratorio Les Sept Paroles du Christ du compositeur français Théodore Dubois, le dimanche 2 avril prochain à 15h. Le chœur professionnel repentignois se produira à nouveau le vendredi 7 avril, à 19h30 en la Cathédrale de Joliette, dans le cadre de la semaine sainte.

L’Ensemble, constitué de 18 chanteurs professionnels sous la direction de son chef-fondateur Claudel Callender, accueillera trois solistes de réputation internationale, soit la soprano Myriam Leblanc (OSM, Violons du Roy,etc.), le baryton-basse berthelais Alexandre Sylvestre (Opéras de Montréal, de Washington, etc.) ainsi que le ténor Jaime Sandoval (Opéras de Montréal, de Québec, etc.). En complément de ce programme entièrement consacré à la musique romantique française, l’ensemble interprétera, entre autres, le grandiose Psaume 150 et le majestueux Panis Angelicus de César Franck, ainsi que le sublime Cantique de Jean Racine de Gabriel Fauré. Le réputé organiste Jacques Giroux, titulaire des grands orgues de la Cathédrale de Joliette, accompagnera le chœur et les solistes.

Des billets pour ces deux concerts exceptionnels sont déjà disponibles en ligne au www.voxluminosa.ca. Vous pourrez aussi y visionner de nombreux extraits vidéos et découvrir les activités ainsi que les réalisations du seul ensemble vocal professionnel de la couronne nord de Montréal, implanté dans la région de Lanaudière depuis bientôt 20 ans. Des billets seront aussi disponibles aux bureaux de la paroisse du Précieux-Sang à compter du 14 février au 115, rue Chauveau, Repentigny.

La 5e édition des rendez-vous des tannant(e)s de Terrebonne s’installe à la semaine de relâche

Du 4 au 11 mars prochain, une vingtaine de spectacles, d’ateliers et d’activités destinés aux enfants de 5 à 12 ans se tiendront dans le Vieux-Terrebonne, et ce, dans le cadre de la cinquième édition du festival Les Rendez-vous des Tannants, un projet initié par la Société de développement culturel de Terrebonne (SODECT).  Des propositions culturelles passant du théâtre, au cirque, à la danse et bien plus attendent les enfants et leurs familles pour aussi peu que 5 $, 10 $, 15 $, et parfois même gratuitement.

Festival très attendu des jeunes espiègles, Les Rendez-vous des Tannant(e)s offrent une panoplie d’activités amusantes pour satisfaire tous les curieux d’art et de culture. Présenté cette année dans le cadre de la semaine de relâche, sa formule sur 8 jours permettra d’en mettre plein la vue. « Quel bonheur de pouvoir revenir avec une formule complète des Tannants à la semaine de relâche. Il y en aura pour tous les goûts et pour tous les âges! C’est l’occasion pour les familles de venir expérimenter la culture sous toutes ses formes. » explique Claudia Dupont, directrice de la programmation, de l’accueil et du développement artistique de la SODECT. « Nous souhaitions conserver une formule très abordable pour permettre l’accessibilité aux activités par le plus grand nombre de familles de la région. Chaque petit(e) tannant(e) pourra vivre une expérience unique en côtoyant des artistes du monde du cirque, du théâtre, de la danse, du conte, et j’en passe. » ajoute Claudéric Provost, directeur général et artistique de la SODECT.

UNE FOULE D’ACTIVITÉS POUR TOUTE LA FAMILLE

Plus de vingt activités, spectacles et ateliers en tous genres se tiendront au Théâtre du Vieux-Terrebonne, sur l’île-des-Moulins, au Moulinet et à la bibliothèque. Parmi les activités les plus attendues, notons le spectacle des Petites Tounes, sur la scène du MixBus stationné sur l’île-des-Moulins pour l’occasion. L’installation lumineuse interactive Roseaux, présentée par Créos, prendra place pour la semaine sur la terrasse de l’Île-des-Moulins, face au Moulin neuf.

Avec ses expériences farfelues, la Professeure Brin D’Humour mélangera cirque et magie au plus grand plaisir des enfants.  Les marionnettes du spectacle L’Île aux patates charmeront les petits tandis que le théâtre musical Paradoxus plaira aux plus grands. Les amateurs de cirque auront l’embarras du choix avec les spectacles Cirk’alors, Atlas Géocircus et l’atelier d’arts circassiens de la SODAM. Les jeunes qui aiment se faire raconter des histoires seront servis avec l’heure du conte de Barbada, le conte musical Appelle-moi Dame Oiseaux et le conte fantastique Petite Sorcière.

De plus, les familles pourront prendre part aux prestations grâce à un atelier d’improvisation offert par la Ligne nationale d’improvisation (LNI). Les jeunes pourront créer leur propre musique en compagnie d’artistes-médiateurs d’expérience avec La Vivier Mobile. Les familles pourront essayer divers jeux de société tout à fait gratuitement dans le salon de jeux situé au Moulinet. S’ajouteront à cela une foule d’animations spontanées, de projections multimédias et de surprises!

À ne pas manquer, le spectacle du groupe Bleu Jeans Bleu présenté au Théâtre du Vieux-Terrebonne dans le cadre de la programmation régulière. En après-midi, un atelier de danse en ligne sur la chanson Le King de la danse en ligne sera offert gratuitement aux tannant(e)s de 9 à 12 ans.

TARIFS

Quant aux tarifs, c’est très simple : chaque spectacle coûte 5 $, 10 $ ou 15 $ par personne ou même rien du tout! Tous les détails de la programmation, de la billetterie et des lieux sont disponibles sur le site Internet sodect.com/les-tannants ou au bout du fil, au 450 492-4777.

À PROPOS DE LA SODECT

La SODECT est un organisme à but non lucratif mandaté par la Ville de Terrebonne. Elle gère les activités du Théâtre du Vieux-Terrebonne, de l’Île-des-Moulins et de la Maison Bélisle.

Les Rendez-vous des Tannants est une présentation du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ). La SODECT remercie ses partenaires : la Ville de Terrebonne et la Caisse Desjardins de Terrebonne.

Pour tout savoir sur Les Rendez-vous des Tannants :
sodect.com/les-tannants | 450 492-4777 | facebook.com/SODECT/

 

Reconstruire le lien entre les agriculteurs et leur communauté

Le Réseau des fermiers.ères de famille (RFF) souhaite réagir à la récente annonce de la Ferme les Bontés de la Vallée, membre du  réseau, de prendre une pause cette année dans le but d’assurer la pérennité de son projet avec un nouveau modèle plus près des principes de l’agriculture soutenue par la communauté (ASC), une façon de cultiver et de se nourrir à laquelle notre réseau adhère et qui vise à créer un lien de solidarité entre les agriculteurs.trices et leurs communautés.

Cette décision est venue d’un constat qui est vécu par plusieurs fermes de notre réseau, le lien entre les fermiers.ères et les citoyens.nes doit être réimaginé pour garantir la viabilité d’une agriculture résiliente, respectueuse des sols et de la biodiversité. Dans une communication envoyée aux abonné.es de la ferme, les propriétaires Mélina et François ont envoyé un cri du cœur dans lequel ils soulignent que la charge de travail et mentale sont devenues trop importantes pour être ignorées.

« Nous souffrons des interminables heures de travail en haute saison qui varie entre 60 à 80 heures par semaine durant 6 mois et de la pression constante d’avoir à tout assumer. Les étés passent et nous avons l’impression d’être dépossédés d’un temps précieux que nous devrions prendre avec nos enfants encore jeunes », déplore François D’Aoust,  copropriétaire de la ferme les Bontés de la Vallée.

Le couple a exploré plusieurs pistes de solution pour tenter de surmonter les défis auxquels ils font face. Notamment, celle d’engager de nouveaux employés, mais cette solution s’avère impossible dans le contexte financier de la ferme et économique du Québec. L’embauche de nouveaux employés forcerait la ferme à augmenter les prix, ce qui est difficilement conjugable avec l’inflation, la compétition et avec le désir de conserver l’accessibilité de leurs légumes avec les citoyen.nes moins fortunés.

Par conséquent, la ferme souhaite plutôt prendre une toute autre direction qui consiste à instituer un nouveau contrat entre leur ferme et la communauté qu’elle nourrit. Notamment par la formation d’une coopérative et d’une fiducie pour gérer la ferme, d’assemblées communautaires et de contributions variables pour permettre à toustes de mettre la main à la terre selon leur moyen. Il s’agit en quelque sorte d’une alliance où les partis s’entendent sur une vision et un but communs, et sur la manière de les concrétiser.

« Nous croyons que nous devons être plus nombreux à connaître et comprendre les exigences du projet nourricier que constitue une ferme, et surtout d’en partager la responsabilité. Nous aimons l’idée partagée par le fermier américain, Trauger Groh, selon laquelle la prospérité des fermes doit être l’affaire de tous, et pas seulement des agriculteurs et des agricultrices. Ce que nous proposons, en somme, c’est de faire communauté. Une idée toute simple, mais complètement marginale et à mille lieues du chacun pour soi de notre organisation sociale que nous avons si bien intériorisée », explique Mélina Plante, copropriétaire de la ferme les Bontés de la Vallée.

Renouveler l’agriculture soutenue par la communauté

Le Réseau des fermiers.ères de famille souhaite exprimer son soutien à Mélina et François quant à la situation difficile à laquelle ils doivent faire face, mais également aux solutions qu’ils ont partagées qui sont en phase avec les valeurs de notre réseau et avec le projet de société que propose notre Manifeste de la résilience.

« Nous croyons que pour surmonter les défis de l’avenir et assurer notre résilience face à ceux-ci, il faut que notre société reconnecte avec son alimentation, son agriculture et son territoire. L’avenir de l’agriculture doit devenir l’affaire de tous et toutes. Heureusement, plusieurs actions sont possibles pour les citoyens, les citoyennes et les gouvernements qui souhaitent s’impliquer davantage pour cette cause », a déclaré Léon Bibeau-Mercier, président de la Coopérative pour l’agriculture de proximité écologique.

Notamment, chaque citoyen.ne peut soutenir et exiger la transformation de l’industrie agroalimentaire; en s’engageant auprès d’un.e fermier.ère de famille, en fréquentant les marchés fermiers et les épiceries bio-locales, en variant son alimentation avec les saisons, en exigeant des municipalités qu’elles se dotent de plates-bandes comestibles et de lieux alimentaires publics, en remplaçant son gazon par des plantes aromatiques, médicinales, mellifères ou potagères, en s’impliquant dans le choix des ingrédients servis dans les écoles et dans les centres hospitaliers.

En ce qui concerne les gouvernements, ceux-ci pourraient faciliter l’accès à la terre, offrir un financement sensé des entreprises agricoles, réviser les normes sanitaires et les lois sur les quotas, offrir un appui ferme et sans équivoque à l’agriculture biologique, multiplier les marchés publics, faire la promotion et soutenir la distribution des aliments en circuit court, modifier les programmes éducatifs pour qu’ils soient axés sur la nature et l’alimentation locale, pour n’en nommer que quelques.unes.

La Ville de Repentigny lance sa stratégie pour une ville inclusive

Le chantier sur le vivre-ensemble à Repentigny repose sur un tissu social qui est coconstruit en premier lieu entre l’administration et la population. C’est devant près de 50 acteurs sociaux, économiques, culturels et communautaires le 10 février dernier que le maire et ses représentants de la Commission vivre-ensemble et participation citoyenne ont présenté leur stratégie transversale pour une Ville inclusive, une première dans l’histoire de Repentigny.

Divisée en quatre phases de déploiement, elle a pour objectif d’appliquer une approche d’innovation sociale comme vecteur de changements adaptés et durables. Son succès repose, entre autres, sur la mise en place de processus harmonisés de participation citoyenne soutenus par des actions significatives d’un point de vue local pour un mieux vivre-ensemble au profit de la population et du personnel de la Ville. D’ailleurs, les personnes présentes se sont dites heureuses et satisfaites des changements amorcés et déjà apportés dans les diverses sphères municipales.

« D’abord et avant tout, cette démarche vise le bien-être de notre population. La promotion du vivre-ensemble passe par un engagement fort entre le conseil municipal et ses administrateurs pour bâtir des ponts afin de mieux les franchir et d’aller les uns vers les autres dans le dialogue et le respect » souligne Jennifer Robillard, présidente de la Commission vivre-ensemble et participation citoyenne.

« Le vivre-ensemble prend vit à l’intérieur de chacune et de chacun d’entre nous. C’est en prenant conscience de nos limites que l’on réussira à briser les codes, tout en gardant une ouverture au monde qui nous entoure. Ce ne sont pas seulement des mots, mais plutôt une philosophie qui doit nous définir et devenir le point d’ancrage de tous nos projets de développement » ajoute Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

« Notre administration souhaite plus que jamais assurer l’équité de ses services, et conséquemment, contribuer à la cohésion sociale de notre communauté. Notre vision est de nous assurer d’incarner une organisation accessible, exempte de racisme et de toute forme de discrimination. De façon continue et selon une approche participative, nous poursuivrons au fil des prochaines années plusieurs chantiers majeurs pour un vivre-ensemble représentatif de nos citoyennes et citoyens » poursuit Dominique Longpré, directeur général.

Le lancement de cette stratégie signifie pour la Ville la démonstration de sa responsabilisation à optimiser la cohésion sociale sur l’ensemble de son territoire en présentant concrètement sa vision et ses objectifs. Il est possible de consulter le document au repentigny.ca/vivre-ensemble.

Voltizone remet sa soirée « Amène tes potes ! » au 18 mars

La soirée amène tes potes du 11 février est reportée au 18 mars !

Campagne de financement pour les mondiaux en Floride !
Soirée « Amène tes potes ! »

Il est temps pour toi de faire découvrir le monde du Ninja à tes potes!  Ce sera aussi une soirée de perfectionnement pour toi!

Nos athlètes vont te préparer des stations afin de te faire vivre une expérience d’apprentissage et d’entrainement en traversant le gym au travers de plusieurs défis différents.

Une occasion en or à ne pas manquer.  Alors réserve ta place rapidement!

Plusieurs de nos athlètes tentent de se qualifier pour les mondiaux qui se dérouleront les 28-29-30 juillet 2023 à Orlando en Floride.

Nous sollicitons votre aide d’abord afin de nous aider à financer le camp d’entraînement pour ces athlètes. Et ensuite, pour financer les frais engendrés par cette importante compétition, soit l’inscription, le déplacement ainsi que l’hébergement pour les athlètes!

18-20h
Prix 20$ + taxes / personne

Pour info :

https://www.voltizone.com/

3075 boulevard Mascouche, Mascouche, QB J7K 0L9

(450) 966-6363

ninja@voltizone.com

 

Travaux d’aménagement forestier au Parc métropolitain du Domaine-Seigneurial-de-Mascouche

Au cours des prochaines semaines, des travaux d’aménagement forestier auront lieu sur le site du Parc métropolitain du Domaine-Seigneurial-de-Mascouche. Ces travaux constituent une première étape en vue de l’aménagement de sentiers supplémentaires dans le parc, soit dans la partie du parc située au nord de la rivière Mascouche.

Une coupe d’assainissement et de jardinage visant à rendre les futurs sentiers sécuritaires et à améliorer la qualité du peuplement sera réalisée. En coupant les arbres malades, dangereux ou en fin de vie, de l’espace sera libéré pour la croissance des jeunes arbres en santé.

Les arbres coupés seront sélectionnés, un par un, par un ingénieur forestier :

  • Tous les arbres dangereux situés à moins de 20 m des sentiers ;
  • Tous ceux qui risquent de mourir dans les 10 prochaines années (généralement des arbres malades ou mal formés)
  • Les arbres qui nuisent aux jeunes arbres d’avenir (souvent des arbres situés à moins de 2 m l’un de l’autre).

Dans un esprit de développement durable, une portion du bois coupé sera réutilisée à même les aménagements du parc. Les travaux sont réalisés durant l’hiver afin de limiter les impacts sur le couvert forestier.

 

À noter que la machinerie sera visible dans le parc et en bordure du chemin Sainte-Marie, près de l’intersection avec la montée du Domaine. Les travaux seront en cours durant 3 à 5 semaines.

Louise Martin Lauréate du prix Reconnaissance 2023 !

Hier soir avait lieu le cocktail d’ouverture de l’événement RIDEAU 2023. C’est au Grand Théâtre de Québec et devant 450 professionnel·le·s du spectacle réuni·e·s pour l’ouverture de la 36e édition de RIDEAU que le président de RIDEAU, David Laferrière, a dévoilé le nom de la lauréate du prix Reconnaissance 2023. Louise Martin, anciennement directrice générale et artistique de la Société de développement culturel de Terrebonne (SODECT), se verra décerner cette mention d’honneur à l’occasion du Gala des prix RIDEAU le jeudi 16 février prochain, au Théâtre Capitole.

Louise Martin est diplômée de l’UQTR en récréologie. Après une brève incursion dans le milieu communautaire, elle retourne travailler dans le secteur municipal au sein des services de loisirs des villes de Deux-Montagnes, Longueuil, puis Châteauguay, pour ensuite occuper le poste de Directrice générale et artistique de Culture Shawinigan durant 15 années. Dès 2014, le scénario se répète dans la région de Lanaudière où elle relève l’un de ses plus grands défis professionnels, toujours à la tête de la direction générale et artistique, mais cette fois-ci pour la SODECT et le Théâtre du Vieux-Terrebonne.

Contribuant à l’essor culturel de la région par sa connaissance du domaine municipal et son expertise du milieu des arts et de la culture, elle a également siégé sur plusieurs conseils d’administration, dont celui de RIDEAU, où elle assume de 2005 à 2017 les fonctions d’administratrice puis de présidente.

En honorant Louise Martin du prix Reconnaissance, le conseil d’administration de RIDEAU souhaite souligner sa contribution inégalable au milieu des arts de la scène en tant que leader, initiatrice et créatrice. Grâce à son implication dans les événements culturels de sa région et à son dévouement à la promotion du spectacle, elle a su rendre les arts de la scène plus accessibles et plus vivants que jamais, elle qui s’est toujours investie avec passion et dévouement.

Catherine Vallières-Roland, conseillère municipale du District de Montcalm–Saint-Sacrement et membre du comité exécutif, responsable de la culture de la Ville de Québec, était présente lors de ce cocktail qui marquait le retour de l’événement RIDEAU, après deux années d’absence. Lors de la soirée, ce fut également l’occasion de souligner le départ de Michel Côté à titre de directeur de la programmation du Grand Théâtre de Québec. (Sur la photo : Michel Côté, Gaétan Morency, Président-directeur général du Grand Théâtre de Québec et Christian Robitaille, à titre de président de Culture Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches et membre du Conseil d’administration de RIDEAU.)

À PROPOS DE L’ÉVÉNEMENT RIDEAU 2023
Créé en 1987, l’événement RIDEAU (anciennement la Bourse RIDEAU) est le plus grand congrès francophone des arts de la scène en Amérique. Plus d’un millier de professionnel·le·s du spectacle convergent vers Québec pour découvrir des artistes prometteurs et ainsi planifier les programmations futures de leurs espaces de diffusion. L’événement se déploiera du 12 au 16 février 2023 dans plusieurs salles de la ville de Québec.

À PROPOS DE l’ASSOCIATION RIDEAU
Fondée en 1978, RIDEAU – l’Association professionnelle des diffuseurs de spectacles – travaille au développement et à la reconnaissance du secteur d’activité de ses membres ainsi qu’à la promotion de leurs besoins, droits et intérêts. Ses membres, dont les activités visent à favoriser l’accès de la population à une offre artistique diversifiée et de qualité, sont répartis sur tout le territoire québécois et en francophonie canadienne. RIDEAU c’est 170 membres, 350 salles de spectacles et festivals, des réseaux sur tout le territoire, 14 000 représentations de spectacles et 3,5 millions de spectateurs annuellement.

Saint-Félix adopte une politique de participation citoyenne

Le conseil municipal a adopté une nouvelle politique de participation citoyenne le 12 décembre dernier. Le monde municipal est le palier de gouvernement le plus proche des réalités des citoyens. Ses champs de compétences ont un impact direct sur leur quotidien : gestion des matières résiduelles, aménagement du territoire, culture, loisirs, services d’urgence, voirie, aqueduc, égouts, etc. La participation citoyenne est donc la clé d’une démocratie efficace et au service de la communauté.

« La démocratie, c’est aussi plus qu’un vote aux quatre ans. Notre légitimité est directement liée à notre capacité à répondre aux besoins des citoyens et citoyennes concernés, mais aussi à relever les nombreux défis sociaux, économiques et environnementaux, souligne Audrey Boisjoly, mairesse de Saint-Félix-de-Valois. Pour qu’une démocratie soit en santé et démontre de la vitalité, il doit y avoir une mobilisation des organismes de la société civile et des citoyens. »

La communication, la clé de la solution
Le premier critère pour que les objectifs de cette politique se matérialisent, c’est l’accès à l’information. Depuis la création du service des communications en 2016, la Municipalité a grandement amélioré ses outils de communications avec ses citoyens. Du site Internet au journal municipal Le Félicien en passant par la page Facebook, c’est un travail au jour le jour afin que chacun comprenne les enjeux de sa communauté. Une nouvelle page du site Internet sera entièrement consacrée aux projets :

Projets – Saint-Félix-de-Valois (st-felix-de-valois.com)

Les visiteurs y découvriront le détail des projets municipaux comme les objectifs, les arguments, le lieu, l’impact, les estimations de coût, les sources de financement, les échéanciers, etc. C’est l’endroit pour suivre leur évolution et savoir s’il y a des consultations, des soirées d’information publiques, ou des activités en lien avec les projets.

Au-delà de l’information
Cette politique nomme d’emblée la participation citoyenne. L’information est l’accès pour une participation active et positive. Il y aura donc une évaluation de chaque projet municipal par le comité des relations citoyennes et des communications afin de déterminer le niveau de participation pour chaque projet allant de l’information, à la participation active en passant par la consultation.

L’évaluation est déterminée en fonction des impacts du projet sur la qualité de vie (environnement, sécurité, services, économie), les conséquences financières, l’acceptabilité sociale, le territoire touché, le budget et le cadre légal ou réglementaire. Le comité émet ses recommandations au conseil qui valide la démarche à suivre.

« On voulait développer le réflexe citoyen, aller au-delà des dispositions minimales prévues par la loi avec les mécanismes d’avis public, de tenue de registres et de procès-verbal des séances du conseil, explique Audrey Boisjoly. Notre souhait c’est aussi de développer une mobilisation citoyenne positive et renforcer la vie démocratique de la communauté. » Pour découvrir les détails de cette politique, Politique de participation citoyenne – Saint-Félix-de-Valois (st-felix-de-valois.com)