Plus de 2,7 M$ pour améliorer l’offre d’infrastructures sportives et récréatives dans le milieu scolaire dans Joliette

La ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, a dévoilé aujourd’hui, au nom de la ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, que le projet d’aménagement d’un terrain synthétique à l’École secondaire Thérèse-Martin à Joliette a été retenu à la suite du premier appel de projets du nouveau Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur (PSISRSES).

Ce programme vise à accroître le nombre d’infrastructures sportives et récréatives scolaires et à mettre à niveau les infrastructures existantes afin d’assurer leur accessibilité à l’ensemble de la population. En effet, l’une des conditions d’admissibilité au programme est de rendre accessibles, dans un premier temps, les infrastructures à la clientèle des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur pour ensuite les mettre à la disposition des citoyennes et citoyens pendant les plages horaires qui ne sont pas utilisées par les établissements scolaires et d’enseignement supérieur.

À l’échelle nationale, le gouvernement du Québec investit près de 175 millions de dollars pour réaliser 81 projets dans 16 régions du Québec.

Citations :

« Il s’agit d’une magnifique nouvelle pour la population de Joliette. Il ne fait aucun doute que cette nouvelle infrastructure augmentera significativement la qualité de vie de toutes et de tous. Bouger est synonyme de bien-être et de plus en plus de personnes pourront avoir accès à des lieux propices pour le faire grâce aux efforts de notre gouvernement pour augmenter l’offre d’infrastructures récréatives et sportives partout au Québec. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent

« Depuis mon arrivée en poste, une de mes priorités est de favoriser l’accessibilité aux activités sportives et récréatives pour toute la population, et cela passe notamment par la présence d’infrastructures de qualité, à proximité. On sait que les besoins dans les écoles secondaires et les établissements d’enseignement supérieur sont grands. Ce programme a été créé pour répondre aux défis auxquels fait face le réseau scolaire et contribuera à pourvoir aux besoins d’une clientèle en forte croissance. Depuis mon arrivée en poste, près de 800 millions de dollars ont été investis pour construire ou rénover plus de 1 000 infrastructures de sport, de loisir ou de plein air. Ces 81 nouveaux projets permettront d’étendre encore plus l’offre de service, au bénéfice de la population. »

Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

Faits saillants :

  • Le Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur relève du Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique.
  • Ce programme est distinct du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives de petite envergure et du Programme de soutien aux installations sportives et récréatives. Il s’adresse expressément aux milieux scolaires et de l’enseignement supérieur et a pour objectif d’améliorer le réseau des infrastructures sportives scolaires.
  • Pour être admissibles, les infrastructures devaient notamment :
    • être un terrain sportif, un bâtiment ou un équipement non amovible nécessaires au déroulement d’activités physiques et sportives dans les sphères de l’initiation, de la récréation et de la compétition;
    • être destinées dans un premier temps à l’utilisation par la clientèle des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur et accessibles au public pendant certaines plages horaires.
  • Les travaux et interventions admissibles sont la rénovation, la mise aux normes, l’aménagement et la construction.
  • L’aide financière maximale pour un projet est de 5 millions de dollars.

Liens connexes :

La Société d’histoire de Mascouche arrive dans les parcs avec le projet Au fil du temps

La Société d’histoire de Mascouche est fière de dévoiler son projet « Au fil du temps », une installation ludique axée sur l’histoire locale, qui sera installée dans quatre parcs de Mascouche de juin à septembre 2022.

Deviner les dates des grands moments de l’histoire de Mascouche
Cet été, petits et grands sont invités à venir tester leurs connaissances sur les événements marquants de l’histoire de Mascouche grâce au projet « Au fil du temps », initié par la Société d’histoire de Mascouche. « Au fil du temps » est une installation éphémère extérieure et gratuite qui consiste en 18 visuels sur lesquels sont illustrés des moments
d’histoire mascouchoise. Les dates de ces moments d’histoire sont inscrites à l’endos de chaque visuel et le public doit les retourner pour les découvrir. Inspiré du jeu de société Timeline, ce projet vise la découverte de l’histoire locale auprès d’un public jeunesse. Le projet sera installé dans quatre parcs de Mascouche cet été afin de le faire
découvrir à un plus grand public; il débutera sa tournée au parc des Hauts-Bois en juin, au parc Memorial en juillet, au parc Gérard-Pesant en août et au parc Soleil-Levant en septembre.

18 moments historiques illustrés
Afin de réaliser ce projet, la Société d’histoire de Mascouche a mandaté l’illustrateur Carl Tétreault, Mascouchois
d’origine, pour immortaliser 18 moments historiques de notre ville. L’ouverture d’une première bibliothèque à Mascouche, les rénovations du manoir par Mme Colville ou l’installation des premières lampes électriques dans le village de Mascouche ne sont que quelques exemples des moments historiques locaux qui sont illustrés dans le cadre du projet.

Nous invitons donc les Mascouchois à venir en famille tester leurs connaissances historiques cet été! Notons que le
projet « Au fil du temps » est réalisé grâce à une contribution financière provenant de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications.

Renseignements
Le projet « Au fil du temps » sera installé au parc des Hauts-Bois en juin (105, avenue Napoléon), au parc Mémorial en
juillet (1633, rue Poplar), au parc Gérard-Pesant en août (835, rue Brien) et au parc Soleil-Levant en septembre 2022
(994, rue de Charlesbourg) durant les heures d’ouverture des parcs, soit de 7 h à 22 h. Pour plus de renseignements,
vous pouvez contacter la Société d’histoire de Mascouche au info@sodam.qc.ca ou 450 417-1277.

Sur un fond de ciel bleu -Une exposition de Diane Malo

Maison et jardins Antoine-Lacombe présente, du 29 juin au 24 juillet 2022, l’exposition intitulée Sur un fond de ciel bleu de Diane Malo. Le vernissage aura lieu dans les jardins, le samedi 2 juillet de 13 h à 17 h, allocutions à

13 h 30. En cas de pluie, l’événement sera reporté au dimanche 3 juillet. Bienvenue à tous, l’entrée est gratuite.

Cette exposition est composée d’œuvres alliant peinture à l’acrylique, collage et sculpture, issues de la série Sur un fond de ciel bleu. Diane Malo commence la création de ses œuvres en peignant un ciel, puis y ajoute un personnage, un décor, des textures et des petits collages. Son processus est instinctif, elle laisse son plaisir de créer guider la réalisation de l’œuvre. Elle aime inventer des lieux insolites. Elle y parle de la solitude, de la fragilité de la vie, de l’équilibre précaire du bonheur, de l’horizon tout bleu, du vent, des nuages, des oiseaux…

Native de Joliette, Diane Malo réside à Notre-Dame-des-Prairies. Après des études en sérigraphie et en lithographie à l’UQAM, elle obtient un diplôme en pédagogie artistique. Elle enseigne ensuite les arts plastiques au secondaire jusqu’à l’âge de la retraite. Entre 1995 et 2019, elle participe à plusieurs expositions au Québec. Elle est une des membres fondateurs du Collectif ∞ (infini), un collectif d’artistes fondé en 2003.

Laissez-vous émouvoir par les mises en scène de Diane Malo, ces petites histoires à compléter.

Le dimanche 10 juillet, Diane Malo sera sur place à la Maison Antoine-Lacombe de 13 h à 17 h pour tenir une activité d’échanges et d’écriture. Pour plus de détails, consultez le site Web de Maison et jardins Antoine-Lacombe : antoinelacombe.com.

MASCOUCHE ET TERREBONNE AGISSENT POUR UNE RÉDUCTION À LA SOURCE DES MATIÈRES RÉSIDUELLES SUR LE TERRITOIRE MOULINOIS

Tel qu’annoncé à l’occasion du Jour de la Terre le 22 avril dernier, Mascouche et Terrebonne font cet été un pas de plus vers un règlement concret qui régira la vente et la distribution d’objets à usage unique sur leur territoire
respectif. En vue de bien préparer le terrain, les deux municipalités ont mandaté des ressources de l’organisme Jour de la Terre pour aller à la rencontre des commerces, industries et institutions installés dans Les Moulins afin de les accompagner dans cette importante transition écologique.

Un règlement adopté dès cet automne
Dans le cadre de leur conseil municipal respectif, Mascouche et Terrebonne adopteront cet automne le même règlement régissant la vente et la distribution d’objets à usage unique.

Dès le 1er janvier 2023, la première phase du règlement bannira certains de ces articles. Sont notamment concernés par ce bannissement les fameuses pailles en plastique, les ustensiles en plastique ou en bois, les verres de plastique 6 et 7 ainsi que toute vaisselle jetable utilisée en salle à manger.

« Bannir certains objets, c’est le premier pas vers nos objectifs centraux de réduction à la source. Réduire à la source, c’est moins consommer oui, mais c’est aussi éviter d’envoyer certaines matières dans nos centres de tri et nos sites d’enfouissement qui débordent partout dans la province. Cela passe par chacun de nos petits gestes quotidiens! C’est d’ailleurs pourquoi nous avons choisi une liste d’objets plus élaborée que celle annoncée hier par le gouvernement fédéral », précise Mathieu Traversy, maire de Terrebonne. « Pour choisir les articles pertinents à bannir dans nos municipalités, nous avons fait nos devoirs et nous savons que pour tous les objets à usage unique qui seront bannis dès 2023, il existe des solutions de remplacement réalistes et accessibles pour le commerçant et pour le consommateur en bout de piste », poursuit-il. Rappelons que les objets à usage unique ne sont utilisés que quelques minutes et prennent ensuite des centaines d’années à se décomposer.

Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, ajoute pour sa part : « Nous sommes bien conscients que le nouveau règlement changera les façons de faire et viendra modifier certaines habitudes des citoyens et des commerçants, mais nous devons agir dès maintenant! Les gens embauchés pour aller sur le terrain seront à l’écoute des commerçants et ils ont pour objectif de les accompagner dans la transition en proposant des solutions concrètes et en sensibilisant les propriétaires à l’impact des actions mises en place. »

Aller plus loin que le bannissement
Les deux municipalités souhaitent par ailleurs aller plus loin que le simple bannissement d’objets et c’est ce qui démarque notre règlement du cadre adopté jusqu’ici ou en voie de l’être par les grandes villes du Québec.

« Bannir, ce n’est pas suffisant selon nous. À l’instar de la Ville de Prévost, nous souhaitons également changer plus en profondeur les habitudes, notamment en s’appuyant sur un incitatif économique. Nous voulons ainsi amorcer un profond virage vers la réduction à la source des objets à usage unique. Gardons-nous de changer une matière pour une autre alors que nous pouvons parfois simplement éviter complètement un produit en faisant un choix écoresponsable », évoque M. Tremblay.

Ainsi, en phase 2 de l’application du règlement sur les objets à usage unique, des écocontributions s’appliqueront à certains autres objets qui ne sont pas bannis, mais qui contribuent eux aussi à faire déborder nos bacs bleus et noirs. Cette phase 2 est prévue pour le printemps 2023. Cet été, les rencontres sur le terrain permettront d’ajuster la liste
des objets pour lesquels une écocontribution s’appliquera. M. Traversy explique :

« Une écocontribution s’appuie sur la vente d’un produit assujetti pour lequel le consommateur paie un petit surplus au commerçant. Soyons clairs : tous les objets qui seront soumis à l’écocontribution à Mascouche et à Terrebonne
constitueront des objets à usage unique dont le consommateur peut entièrement se passer dans son quotidien et pour lesquels des alternatives existent. À titre d’exemple, on peut choisir d’avoir avec soi une gourde réutilisable plutôt que d’acheter une bouteille d’eau de format individuel, alors une écocontribution serait appliquée lors de l’achat de
cette bouteille », poursuit-il.

D’autres informations suivront cet automne quant à cette deuxième phase du règlement
en développement

Les organismes sont invités à déposer des projets structurants dans la région de Lanaudière

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, invite les organismes et les promoteurs à déposer leurs initiatives dans le cadre du nouvel appel de projets du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité (FRR).

Une somme de 2,5 millions de dollars est rendue disponible afin d’appuyer des projets structurants répondant aux priorités déterminées par les élus et les partenaires liés au développement de la région. Les initiatives soumises devront notamment avoir des retombées sur le territoire de plus d’une municipalité régionale de comté (MRC).

Les organismes admissibles ont jusqu’au 23 septembre 2022 pour déposer leur demande d’aide financière sur le site Web du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH).

Citations :

« Ce volet du FRR est un outil indispensable qui permet aux régions de développer des projets mobilisateurs qui feront rayonner leur territoire et j’en suis fière. Une fois de plus, les organismes de Lanaudière ont l’occasion de soumettre des projets qui auront certainement des retombées positives sur toute la région. Je les invite à déposer leurs initiatives en grand nombre! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

« Je remercie la Table des préfets de Lanaudière, qui agit à titre de comité régional de sélection de projets, pour le travail d’analyse des demandes qu’il a fait et celui qu’il fera. D’ailleurs, l’année dernière, ce sont dix projets stimulants qui ont pu être mis en œuvre grâce à l’aide de près de 4,3 millions de dollars attribuée dans le cadre du volet Soutien au rayonnement des régions du FRR. Je suis convaincue que plusieurs nouvelles initiatives verront le jour dans Lanaudière. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« Nous sommes très heureux de rendre disponible un montant de 2,5 millions de dollars afin de soutenir des projets structurants pour la région. Nous sommes convaincus que la créativité des promoteurs nous permettra de recevoir des projets qui auront une incidence concrète sur le développement de Lanaudière et sur son rayonnement. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour remercier le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation pour sa collaboration et sa confiance envers la Table des préfets dans l’analyse et la sélection des projets dans le cadre de ce volet du Fonds régions et ruralité. »

Sébastien Nadeau, président de la Table des préfets de Lanaudière et président du comité régional de sélection de projets du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité

Fait saillant :

  • Les dix priorités de Lanaudière sont les suivantes :
  • Soutenir le développement économique par l’amélioration de la compétitivité, l’innovation et le soutien aux entreprises dans le virage numérique.
  • Assurer une réponse adéquate aux défis de la pénurie de main-d’œuvre.
  • Soutenir la relève d’entreprises.
  • Soutenir le développement de l’économie circulaire et de la saine gestion des matières résiduelles.
  • Soutenir la promotion de la consommation locale et responsable.
  • Soutenir le développement d’un plan d’action régional intégré visant le développement et la promotion du transport actif et du transport collectif ainsi que le développement d’une offre inter-MRC.
  • Soutenir le développement d’une offre éducationnelle innovante, branchée sur les besoins du milieu et favorisant le rehaussement de la diplomation des jeunes, de la qualification de la main-d’œuvre et du développement des compétences des entrepreneurs.
  • Soutenir des actions concertées visant le renforcement des déterminants en matière de réussite éducative.
  • Soutenir l’innovation dans le déploiement de services de proximité.
  • Soutenir et bonifier les produits d’appel et événements culturels et touristiques comme outil de rayonnement régional.

Faits saillants du conseil municipal de Repentigny du 14 juin 2022

Octrois de contrats pour des travaux d’infrastructures

Le 14 juin, en marge de son assemblée ordinaire, le conseil municipal de la Ville de Repentigny a octroyé divers contrats pour des travaux d’infrastructures, tel que prévu au Plan triennal d’immobilisations 2021-2022-2023.

Au terme d’appels d’offres publics, le conseil municipal a octroyé deux contrats à l’entreprise Construction Viatek inc., laquelle s’est présentée comme le plus bas soumissionnaire. Le premier mandat de 1 278 501 $ porte sur la réalisation des travaux de réfection de voirie et la construction d’une piste cyclable sur le boulevard Iberville, du côté nord, entre Beauchesne et Laurentien. Conformément au plan de transport actif, l’ajout de ce lien cyclable viendra favoriser des conditions de déplacements confortables et sécuritaires pour la communauté repentignoise. Notons que ces travaux constituent la deuxième phase du projet de renouvellement des infrastructures sur cette portion du boulevard, la première phase ayant été réalisée du côté sud en 2021. Le chantier débutera à la fin juin pour se terminer à la fin du mois de septembre.

Le second mandat, d’un montant de 716 455 $, consistera à effectuer les travaux de réfection du pavage des approches du pont Le Gardeur et du pont d’étagement Brien, afin d’améliorer le confort de roulement pour les usagers. Prévus de juin à août, ces travaux seront réalisés de nuit pour en minimiser l’impact sur la circulation.

Enfin, l’entreprise Construction G-Nesis inc. a obtenu un contrat de 5 195 789 $ pour la réalisation de travaux de réfection des infrastructures sur la rue Notre-Dame, entre les rues Bonaventure et Lévesque. Rappelons que ce projet bénéficiera d’une subvention de 775 000 $ provenant du Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec. Ces travaux, prévus à l’automne, incluront également la construction d’une piste cyclable hors-chaussée et le remplacement de l’éclairage et du poste de pompage. Ceux-ci s’inscrivent dans le grand chantier de renouvellement des infrastructures et d’embellissement de la rue Notre-Dame, qui se poursuit d’année en année depuis 2013.  

« Je tiens à remercier notre solide équipe du Service de la gestion des infrastructures, qui travaille sans relâche durant cette période de l’année pour améliorer notre réseau routier ainsi que le confort et la sécurité des piétons, cyclistes et automobilistes, partout sur le territoire », a souligné Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

Alors que la période des travaux routiers bat son plein, la Ville de Repentigny invite à la prudence et au respect de la signalisation près des chantiers afin d’assurer la sécurité des travailleurs et des usagers de la route.

Une première séance du conseil en plein air

Les élu.e.s invitent la population repentignoise à une toute première séance du conseil municipal en plein air. Celle-ci aura lieu le 9 août prochain, à 19 h, au parc Jean-Claude-Crevier (entrée rue Bertrand). Les citoyens sont invités à se présenter vers 18h30 pour pouvoir s’inscrire au registre des questions. En cas de pluie, la séance aura lieu au Centre communautaire Larent-Venne. Des chaises seront mises à la disposition des citoyen.ne.s, qui peuvent aussi apporter la leur.

Les personnes qui désirent soumettre des questions au conseil pourront également le faire par écrit à greffe@repentigny.ca. Les questions seront acceptées à compter du jeudi précédent la séance.

Scott-Pien Picard nous présente Shipekunua

Bourses d’engagement de la Ville de Mascouche  15 jeunes récompensés

Le maire Guillaume Tremblay et les membres du conseil municipal ont remis les Bourses de la Ville de Mascouche 2022 récompensant des jeunes qui ont démontré un leadership positif et qui se sont engagés au sein de leur communauté. 

En collaboration avec les écoles primaires et secondaires, 15 jeunes Mascouchois ont été choisis par leurs enseignants pour recevoir un montant de 100 $. Les bourses ont été remises lors d’une cérémonie tenue le 20 juin à la salle du conseil. Les boursiers ont signé le livre d’or de la Ville.

« Les membres du conseil municipal et moi sommes toujours fiers de reconnaître l’engagement des jeunes mascouchois. Ces jeunes démontrent des qualités qui en font des exemples pour la communauté. Chapeau à tous! »,  mentionne le maire Guillaume Tremblay.

Les récipiendaires 2022 sont :

Luisa Salois – École Le Rucher

Rafaël Michaud – École La Mennais

Myriam Michaud – École du Coteau

Fanny Boivin – École du Coteau

Éliane Pelletier – École de la Source

Alyson Jobin – École du Soleil-Levant

Elisabeth Bertrand – École St-Margaret

Édouard Laforce – École de la Seigneurie

Abigail Elsa Emile – École Pinewood

William Proulx  – École Le Prélude

Léa-Rose Lasalle – École des Hauts-Bois

Marie-Thérèse Lacoste – École Le Prélude

Dylan Boulerice – École L’Impact

Ismaël Bah – École Aux 4 Vents

Bourses Jacques Beauchemin : Daphnée Langlois – Maison des jeunes La Barak

Nomination d’une nouvelle direction au Cégep à Terrebonne

Le Conseil d’administration du Cégep régional de Lanaudière (CRL) est heureux d’annoncer la nomination de madame Geneviève Perreault au poste de directrice du Cégep à Terrebonne. Recommandée au préalable par le comité de sélection. À l’unanimité, la commission des études et le conseil d’établissement du Cégep à Terrebonne ont aussi donné un avis favorable. Elle amorcera ce nouveau défi à compter du 8 août 2022, et ce, pour un mandat de cinq ans.

Madame Perreault est détentrice d’une scolarité de doctorat en sociologie de l’Université du Québec à Montréal, en plus d’avoir complété une maîtrise et un baccalauréat dans cette même discipline.

Détenant près de 27 années d’expérience dans le secteur privé, dans le secteur de la recherche académique et dans le secteur public de l’enseignement, elle œuvrait depuis maintenant 16 ans au Cégep Marie-Victorin. D’abord à titre d’enseignante en sociologie pendant plus d’une dizaine d’années dans cinq programmes préuniversitaires et techniques, elle a également assuré la coordination départementale, tout en s’impliquant simultanément à titre de membre élu à la Commission des études et au Comité des relations de travail.

Depuis 2017, elle a mis sa grande expertise au profit de son organisation à titre de directrice adjointe des études. D’abord au Service de l’organisation et du cheminement scolaires, elle a ensuite occupé ses fonctions au Service de l’enseignement et de la recherche ainsi qu’au Service des programmes et du développement pédagogique. Madame Perreault était également, depuis mars 2020, titulaire de la Chaire UNESCO de recherche appliquée pour l’éducation en prison du Cégep Marie-Victorin.

« Le parcours professionnel de madame Perreault au collégial est fort impressionnant. L’expérience acquise lors de l’occupation de divers postes du monde de l’éducation sera, sans aucun doute un atout précieux, tant pour la constituante de Terrebonne que pour l’ensemble du Cégep régional de Lanaudière. Grâce à ce riche parcours, nous sommes persuadés qu’elle saura assumer pleinement et avec succès les responsabilités de directrice du Cégep à Terrebonne », a commenté madame Hélène Bailleu, directrice générale du CRL.

Toutes nos félicitations à madame Perreault et nous lui souhaitons nos meilleurs vœux de succès pour cette nouvelle étape de vie professionnelle.

Vous déménagez?

Conseils pour éviter les punaises de lit

À l’approche des déménagements, la Direction de santé publique du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière vous invite à prendre des précautions pour éviter la propagation des punaises de lit.

De l’épaisseur d’une carte bancaire, les punaises de lit se faufilent partout. Elles causent des lésions qui ressemblent à des piqûres de moustiques et souvent des démangeaisons. Pour savoir reconnaître les punaises de lit et leurs œufs, rendez-vous sur le site quebec.ca.

Précautions à prendre lors d’un déménagement

  • Si vous louez un camion, inspectez-le et passez l’aspirateur ou le balai avec soin sur le plancher du camion avant d’y entrer vos articles. Assurez-vous que le camion et le matériel de déménagement, incluant les couvertures, soient exempts de punaises. Si vous engagez une firme de déménageurs, informez-vous s’ils prennent des mesures pour éviter que des punaises restent cachées dans les couvertures ou le camion. 
  • Gardez vos vêtements, votre literie et vos objets dans des contenants ou des sacs étanches jusqu’à ce que vous soyez certain que le nouveau logis est exempt de punaises.
  • Inspectez soigneusement votre nouveau logis, en portant une attention particulière aux chambres. À l’aide d’une lampe de poche, vérifiez les fissures, les plinthes et les moulures. Les tapis et les moquettes sont d’excellentes cachettes pour les punaises de lit.
  • Nettoyez à fond les pièces et passez l’aspirateur partout. Ensuite, jetez le sac ou le contenu de l’aspirateur dans une poubelle fermée à l’extérieur.
  • Débarrassez-vous des objets laissés par les locataires précédents et évitez de rapporter chez vous des articles usagés en mauvais état ou abandonnés sur les trottoirs (matelas, sommiers, meubles en bois ou rembourrés).
  • Si vous vous débarrassez de vos articles parce qu’ils sont infestés, inscrivez clairement dessus À jeter – Punaises afin d’éviter que ces articles ne soient récupérés par d’autres.

Que faire si votre nouveau logement est infesté?

Avisez votre propriétaire s’il y a des punaises de lit dans votre logement. Il devra alors faire appel à un exterminateur certifié et détenteur d’un permis valide pour l’utilisation de pesticides. N’essayez surtout pas de régler le problème vous-même. Les produits en vente libre nuisent au travail des exterminateurs. De plus, ces produits peuvent être très dangereux pour la santé s’ils ne sont pas utilisés selon les recommandations du fabricant.

Pour en savoir davantage sur la meilleure façon de choisir une entreprise de gestion de parasites, rendez-vous au :environnement.gouv.qc.ca/pesticides/permis/code-gestion/choisir-entreprise.htm