Semaine mondiale de l’allaitement maternel 2024

Semaine mondiale de l’allaitement maternel

La Semaine mondiale de l’allaitement maternel (SMAM) a lieu du 1er au 7 août dans plusieurs pays. Mais en Amérique du Nord, la SMAM est célébrée à la 40e semaine de l’année, soit du 1er au 7 octobre. De nombreuses activités sont organisées partout au Québec, notamment par des ressources communautaires en allaitement et la Fédération Nourri-Source ne fait pas exception.

Défi allaitement virtuel

Pour la cinquième année consécutive, la Fédération Nourri-Source invite les familles allaitantes de partout au Québec à participer au Défi allaitement virtuel, qui se déroulera le vendredi 4 octobre 2024 à 13h. L’événement familial a comme objectif de rassembler le plus grand nombre de bébés qui sont mis au sein simultanément. Le Défi allaitement a également comme but de normaliser, soutenir et promouvoir l’allaitement maternel.

Cette année la Fédération propose une présentation des nouveautés et des défis allaitement dans le réseau Nourri-Source, suivi d’une mise au sein. Une conférence sur l’importance des marraines d’allaitement sera offerte par Anne-Claire Blanc-Avdjian, IBCLC, puis un tirage de prix de présence conclura l’événement.

Le thème de la SMAM 2024

L’organisme World Alliance for Breastfeeding Action (WABA) choisit chaque année un thème pour la SMAM. Cette année, le thème est « Le soutien à l’allaitement pour réduire les inégalités ». Encore en 2024, beaucoup de bébés sont sevrés prématurément, parce que les parents manquent de soutien. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande l’allaitement jusqu’à deux ans ou plus, suite à l’introduction des aliments solides vers 6 mois.

Les différents Défis allaitement

Depuis le début des années 2000, la Fondation Quintessence, un organisme de Vancouver, comptabilise les bébés allaités dans les Défis allaitement, qui consistent à tenter de rassembler le plus de bébés qui seront mis au sein simultanément. Des activités sont souvent organisées autour de cet événement, mais depuis 2020, une version virtuelle a été créée afin de maintenir la tradition, malgré la pandémie.

Le Défi allaitement virtuel permet aux familles allaitantes de se rencontrer virtuellement afin de célébrer la SMAM sans se déplacer, ou de rejoindre l’événement, peu importe où elles se trouvent.

Différentes activités auront lieu dans les organismes Nourri-Source régionaux. Pour plus d’informations, visitez le https://nourri-source.org/semaine-mondiale-de-lallaitement-2024/ .

À propos de Nourri-Source

L’organisme Nourri-Source existe depuis 40 ans sa Fédération a pour mission de soutenir, mobiliser et représenter ses membres dans leur propre mission de soutien direct aux femmes et aux familles allaitantes. Elle est maintenant composée de neuf membres régionaux partageant une mission commune de soutien à l’allaitement par le biais de plus de 800 marraines d’allaitement bénévoles.

Dévoilement des 20 participant∙e∙s de la 31e édition de Ma Première Place des Arts

La Société pour l’avancement de la chanson d’expression française (SACEF) est fière d’annoncer les 20 talents émergents qui composeront la 31e édition du concours Ma Première Place des Arts.

La sélection des artistes qui participeront à cette édition s’est faite après quatre jours d’auditions et de délibérations par le jury composé de professionnel∙le∙s de la chanson et de l’industrie dont Maxim Gagné du Mouvement National des Québécoises et Québécois, l’auteure-compositrice-interprète Myëlle, et Sébastien Lacombe auteur-compositeur-interprète et codirecteur artistique de la SACEF, accompagné∙e∙s de la directrice générale de la SACEF, Valérie Bergeron.

Andréanne Sabourin-Côté • Kourage • Myriam Arseneau • Charles Cantin • Vaillant Larock • Marika Éléonore Dessureault • Flight of the Oryx • Lydia Colada • Thomas Ariell • Mahé • Jean L’Océan Nicolas Lalonde • Julie Anne Miquelon • Olivier Faubert • Grenades • Rosemarie Gauthier
Jérémie Arsenault • Élie Paquet • Marie Chénier

Consulter la liste complète des participant.e.s et leur date de spectacle ou acheter des billets (en vente dès 10h).

Mentor∙e∙s et jury
Pour cette 31e édition, les artistes seront accompagné∙e∙s tout au long du concours par des mentor∙e∙s issu∙e∙s du milieu de la chanson. En prévision des quarts de finale, ce sont Brigitte Saint-Aubin et Jérôme Minière qui leur apporteront des conseils en prévision de leur premier passage sur scène, tandis que le jury des quarts de finale sera composé de Salomé Leclerc, Steve Marin et Jipé Dalpé.

Place aux quarts de finales : 5 soirées de spectacles inoubliables à ne pas manquer
L’annonce des participant∙e∙s marque le coup d’envoi du concours, avec la série des quarts de finale qui débutera le 23 octobre et se poursuivra tous les mercredis soir jusqu’au 20 novembre à la salle Claude-Léveillée de la Place des Arts.

Pour une 8e année consécutive, ce ne sera nul autre qu’Olivier Robillard Laveaux, journaliste culturel et animateur émérite sur les ondes d’ICI Musique qui sera à la barre de l’animation de chacune des soirées. Sa passion pour la musique et son engagement envers la scène artistique québécoise promettent des moments mémorables et des histoires captivantes.

DATES À RETENIR

Quarts de finale
23 octobre : QF1 | 30 octobre : QF2
06 novembre : QF3 | 13 novembre : QF4| 20 novembre : QF5

4 décembre 2024
Demi-finale

23 janvier 2025
Grande finale de la 31e édition

À propos de Ma Première Place des Arts
Fondé et organisé par la Société pour l’avancement de la chanson d’expression française (SACEF), Ma Première Place des Arts offre une plateforme exceptionnelle aux artistes francophones émergents de tous les coins du Québec, et ce depuis plus de trente ans. Ce concours incontournable se distingue par son engagement envers la professionnalisation de la relève artistique.

À propos de la SACEF
La SACEF promeut et encourage le talent émergent en présentant de jeunes artistes de la chanson francophone. À travers des activités comme le concours Ma Première Place des Arts, elle contribue au rayonnement de la chanson francophone et offre aux jeunes artistes une introduction professionnelle dans l’industrie musicale québécoise par l’accompagnement, la formation et la valorisation de leur talent.

La SACEF tient à remercier chaleureusement l’ensemble de ses partenaires pour leur précieux soutien essentiel au succès du concours Ma Première Place des Arts.

Moisson Laurentides lance le Grand Bedon : Un évènement inédit pour sensibiliser à l’insécurité alimentaire

Blainville, 26 septembre 2024 — Moisson Laurentides est fier de présenter le Grand Bedon, un évènement de collecte de fonds et de sensibilisation qui se tiendra le 14 juin 2025. Cette initiative, une première pour les banques alimentaires, a pour ambition de rassembler la communauté autour d’une cause essentielle : la lutte contre l’insécurité alimentaire dans les Laurentides.

La suite dans le communiqué PDF joint

 

Inauguration de la troisième murale coproduite par le Musée d’art de Joliette et le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière

Une troisième murale coproduite par le Musée d’art de Joliette et le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière sera inaugurée le 5 octobre prochain. Après Eruoma Awashish en 2020, puis Marie-Claude Néquado en 2022, c’est au tour de l’artiste Catherine Boivin de réaliser l’œuvre qui occupera pendant deux ans un espace hautement symbolique à l’entrée du Musée et de la Ville de Joliette.

« Nous avons très hâte de présenter au public la murale Ke miritan [Ce que je vais te donner], de l’artiste atikamekw nehirowisiw Catherine Boivin. Avec ce programme de murales développé en 2020 avec le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière, nous souhaitons travailler concrètement au dialogue et au rapprochement entre les peuples et contribuer significativement au rayonnement de l’art autochtone », déclare Annie Gauthier, directrice générale et conservatrice en chef du Musée d’art de Joliette.

« Depuis plusieurs années, le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière tisse des liens profonds avec les acteurs culturels de la région et cette troisième murale démontre la volonté du milieu de s’unir et de laisser la place aux voix autochtones de façon pérenne dans des endroits centraux de la vie citoyenne. Cette initiative a d’abord été une réponse à la mort tragique de Joyce Echaquan et elle se transforme doucement en symbole puissant qui nous rappelle que l’art est un vecteur de changements sociaux », souligne Sabrina Paton, coordonnatrice de développement culturel au Centre d’amitié autochtone de Lanaudière.

 

INAUGURATION EN PRÉSENCE DE L’ARTISTE CATHERINE BOIVIN

Le samedi 5 octobre, de 13 h à 14 h

À l’occasion du vernissage automnal du Musée d’art de Joliette

Prise de parole et goûter

Performance de l’artiste

Gratuit et ouvert à toutes et à tous – aucune réservation requise

 

À PROPOS DE L’ŒUVRE

La murale Ke miritan [Ce que je vais te donner], de l’artiste atikamekw nehirowisiw Catherine Boivin, aborde le thème de la transmission, sous l’angle de la réparation et de la résilience, deux enjeux qui étaient également au cœur des murales précédentes, Mackwisiwin [La force] par Eruoma Awashish (2020) et Mirwatisiwin [La guérison] par Marie-Claude Néquado (2022), crées en mémoire de la mort de Joyce Echaquan.

En atikamekw, c’est par l’expression « dans ton sang » que l’on nomme la transmission, le fait de se souvenir. Par son œuvre, l’artiste rend hommage à cet héritage et à la mémoire de ses ancêtres qui circule en elle, qu’elle peut à son tour léguer et réinterpréter.

Avec Ke miritan [Ce que je vais te donner], Catherine Boivin pose un regard actuel sur sa culture atikamekw. Elle s’intéresse aux legs des savoirs liés au territoire, aux plantes et à leur potentiel de guérison, à leur représentation à travers l’ornementation des vêtements ou des mocassins, ainsi qu’au geste de fabrication de ces habits. Connaissances et savoir-faire s’entremêlent ici comme autant de transmissions possibles des cultures autochtones, qui se révèlent dans le travail des matériaux bruts et des matières végétales, issues de la terre et intrinsèquement connectées au territoire, comme au corps.

 

À PROPOS DE L’ARTISTE

Fortement inspirées par la culture atikamekw, les œuvres de Catherine Boivin suscitent des réflexions sur l’actualité, la modernité et l’histoire. L’artiste aborde des thèmes qui touchent particulièrement les peuples autochtones, tels que le rôle des femmes, les critères de beauté, les stérilisations forcées, l’occupation du territoire et le colonialisme. Ce faisant, Catherine Boivin déconstruit les visions stéréotypées (autant positives que négatives) et propose une lecture personnelle et contemporaine de sa culture.

Adepte de course à pied, de musculation et de sport, l’artiste approfondit sa corporalité en questionnant comment l’endurance physique s’incarne dans les pratiques culturelles, du nomadisme jusqu’à aujourd’hui. Elle travaille la peinture, la sculpture et la performance tout en explorant des médiums tels que la vidéo, le son et le dessin numérique. À travers ses performances, l’artiste crée ses propres rituels afin de soigner les maux et réalise des gestes pour faire irradier la résilience sur les blessures.

Originaire de la communauté de Wemotaci, Catherine Boivin est atikamekw nehirowisiw habitant la communauté abénakise d’Odanak. Elle a notamment participé à l’exposition collective De tabac et de foin d’odeur. Là où sont nos rêves (2019, Musée d’art de Joliette). D’abord présentée à daphne, centre d’art autochtone autogéré (2022, Tio’tia:ke / Montréal), Nikotwaso a été sa première exposition solo. Depuis 2022, elle siège sur le conseil d’administration du Wapikoni Mobile. Marathonienne, danseuse de fancy shawl, conférencière et militante, Catherine Boivin cumule plusieurs rôles dont celui de créatrice de contenu, afin de sensibiliser aux questions autochtones sur les réseaux sociaux.

Protocole d’entente entre la Ville de Terrebonne et le Complexe Enviro Connexions

La Ville de Terrebonne annonce la signature d’un nouveau protocole d’entente avec le Complexe Enviro Connexions (CEC) visant à permettre la poursuite des activités du lieu d’enfouissement technique (LET) situé dans le secteur de Lachenaie.

Dans le cadre d’une conférence de presse tenue le 4 septembre dernier, le conseil municipal a déposé une liste de conditions essentielles à la poursuite des activités du site et mandaté la Direction générale de la Ville de négocier un nouveau protocole d’entente avec CEC, le précédant étant venu à échéance. Rappelons que selon les projections de CEC et en fonction de la quantité de déchets enfouis chaque année, le site atteindrait le maximum de sa capacité en 2027. L’entreprise a déposé une demande d’agrandissement en mars dernier auprès du Gouvernement du Québec.

« Je suis fier de dire que toutes nos conditions ont été acceptées par CEC. Le nouveau protocole d’entente avec CEC est à l’avantage des citoyens et citoyennes de Terrebonne avec notamment des gains de service et financier. Je remercie d’ailleurs nos équipes à la Ville de Terrebonne et celles chez CEC qui ont travaillé d’arrache-pied au cours des dernières semaines afin d’en venir à un protocole d’entente », souligne le maire de Terrebonne, monsieur Mathieu Traversy.

 

Une ristourne environnementale pour favoriser de meilleures pratiques

Parmi ses conditions, la Ville demandait la création d’une ristourne environnementale avec l’objectif d’inciter les villes utilisatrices du LET à adopter de meilleures pratiques environnementales et réduire davantage à la source, une condition acceptée par CEC.

Concrètement, cette nouvelle ristourne, captée par CEC sur l’ensemble du tonnage destiné à l’enfouissement provenant de l’extérieur de la MRC Les Moulins, sera redistribuée aux municipalités qui auront déployé des efforts significatifs pour réduire à la source les déchets (par exemple : implantation de la collecte des matières organiques, augmentation du tonnage des matières recyclables, bannissement des objets à usage unique, etc.).

« On veut encourager les villes qui adoptent de bonnes pratiques environnementales. Les efforts déployés pour réduire à la source sont à géométrie variable et il est important que les villes utilisatrices du LET fassent davantage d’efforts. Terrebonne se positionne comme un leader notamment avec notre règlement sur les objets à usage unique. À cela s’ajoute le bannissement des sacs de plastique, l’implantation progressive des matières organiques et une nouvelle entente avec l’écocentre de Bois-des-Filion. Les autres villes doivent faire de même », poursuit le maire de Terrebonne.

 

Création d’un écocentre

La Ville exigeait aussi que CEC procède à la création, l’implantation et l’exploitation d’un nouveau service d’écocentre au sein de ses installations afin d’offrir un service complet et gratuit aux citoyens de Terrebonne, en répondant aux principes des 3RV (réduction, réemploi, recyclage, valorisation) et de l’économie circulaire pour toutes les matières, incluant les résidus de construction, rénovation et démolition (CRD) et les matières visées par un programme gouvernemental (pneus, réfrigérants, batteries, peinture, huile, etc.). Cet écocentre comprendra aussi un espace de réemploi pour offrir aux citoyens des produits à prix abordable.

« Nous sommes la 10e plus grande ville du Québec et pourtant, nous n’avons aucun écocentre sur notre territoire. C’est un gain considérable pour nos citoyens et citoyennes, car c’est un investissement financier de 6 millions de dollars et on y offrira beaucoup plus de services que la déchetterie actuelle », précise Marc-André Michaud, conseiller municipal et président de la Commission de l’environnement et de la transition écologique.

 

Des avantages financiers pour les citoyens de Terrebonne

En plus de la création d’un écocentre, la Ville de Terrebonne a obtenu une révision à la hausse de la quantité de compost remis gratuitement par CEC à la Ville de Terrebonne pour la distribution aux citoyens et à l’usage de la Ville.

D’un point de vue financier, Terrebonne a aussi obtenu le maintien de la compensation financière à la Ville pour les citoyens du secteur de Lachenaie, dont la gratuité couvrira les projections actuelles de croissance démographique dans ce secteur.

 

Mise en place de mesures d’atténuation et protection des milieux humides

Enfin, la Ville a obtenu la confirmation que CEC veillera à l’amélioration des opérations pour une meilleure captation du méthane et des odeurs. L’entreprise poursuivra ses efforts pour atténuer les nuisances olfactives découlant de l’exploitation du site auprès des quartiers limitrophes, particulièrement lors des périodes de conditions atmosphériques défavorables.

À cela s’ajoute une compensation pour les milieux humides qui pourraient être impactés, une priorité pour l’administration municipale actuelle.

 

Des mesures saluées

Lors de la conférence du 4 septembre dernier, les conditions demandées par la Ville de Terrebonne avaient été saluées par monsieur Sylvain Crevier, président du comité de vigilance du LET et madame Kassandra Martel, directrice générale du Conseil régional de l’environnement de Lanaudière.

 

Prochaines étapes

La Ville de Terrebonne a adopté, lors du conseil municipal, une demande auprès de la MRC Les Moulins afin de modifier le Schéma d’aménagement et développement (SARR-2) pour agrandir l’aire d’affectation Gestion des matières résiduelles en réduisant l’aire d’affectation industrielle voisine, dans le secteur du chemin des Quarante-Arpents. Cette étape est essentielle afin de permettre la poursuite des activités du LET.

Rappelons que la décision finale d’accorder une autorisation d’agrandissement reviendra au gouvernement du Québec. À cet effet, au cours du printemps prochain, il tiendra des audiences dans le cadre du Bureau des audiences publiques et la Ville de Terrebonne y déposera son mémoire.

 

PORNOGRAPHIE JUVÉNILE – ARRESTATION D’ÉRIC SAUVÉ DE MASCOUCHE

Les enquêteurs de la Division des enquêtes sur l’exploitation sexuelle des enfants sur internet de la Sureté du Québec ont procédé hier à l’arrestation d’Éric Sauvé en lien avec de la pornographie juvénile.

Éric Sauvé, 55 ans de Mascouche, a comparu hier au palais de justice de Joliette. Il a été accusé d’avoir possédé et accédé à de la pornographie juvénile. Il a été libéré avec des conditions à respecter d’ici la suite des procédures.

Une perquisition a eu lieu à son domicile et du matériel électronique a été saisi et sera analysé (plusieurs dizaines de milliers de fichiers en cause). La Direction des enquêtes criminelles de la Sûreté du Québec regroupe au sein de son Service des projets d’enquêtes spécialisées, des experts en matière de cybercriminalité et d’exploitation sexuelle des enfants. Ces enquêteurs œuvrent en étroite collaboration avec la Gendarmerie royale du Canada et l’ensemble des policiers municipaux.

Toute information sur cet homme et ses agissements peut être communiquée à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

Le public est invité à signaler toute situation d’exploitation sexuelle des jeunes sur Internet à l’adresse suivante : www.cyberaide.ca

Un été au plus-que-parfait pour la SODECT !

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Étude coup de poing: Les soins réservés aux femmes ont moins de valeur que ceux des hommes

Une nouvelle étude coup de poing de l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec démontre que les actes médicaux réalisés sur femmes valent beaucoup moins que les interventions équivalentes effectuées sur les hommes.

Les procédures sur les hommes sont rémunérées de 33 % à 218 % de plus que celles — tout à fait comparables — réalisées sur les femmes :

Prélèvement d’ovules = 345 $ / Prélèvement testiculaire des spermatozoïdes = 950 $

Échographie pelvienne endovaginale = 27,25$ / Échographie transrectale = 66,25$

Biopsie sur la vulve ou le vagin = 23,74$/ Biopsie cutanée – 32,60$

Les soins évalués dans le cadre de cette étude indépendante, sont totalement comparables : il n’y a aucun argument médical, de complexité ou technique qui justifient cette différence.

La santé des femmes est sous-évaluée au Québec et cela peut avoir des impacts importants. Cette situation contribue à rendre la pratique gynécologique moins attractive pour les médecins, creusant ainsi la pénurie, et entrainant des conséquences directes sur l’accessibilité aux soins gynécologiques pour les femmes.

Détails de l’étude dans le PDF joint

Aux grands maux, les grands discours… s’envole pour Paris!

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Lancement d’une pétition pour la gratuité de tous les moyens de contraception au Québec 

La Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN), dans le cadre de la campagne Révolution contraceptive, lance une pétition pour la gratuité de la contraception au Québec. 

Le 26 septembre prochain, la FQPN organise un panel de discussion pour souligner la Journée mondiale de la contraception. L’évènement “Jasons contraception” aura lieu à la Casa d’Italia au 505 Rue Jean-Talon E à Montréal de 18h à 20h30.

Lors de cet évènement, la FQPN lancera une pétition dont l’objectif est de demander au gouvernement du Québec d’implanter un programme d’accès gratuit à tous les moyens de contraception, et ce, sans exception. Cette pétition sera déposée à l’Assemblée nationale par la députée de Mercier, Ruba Ghazal.

Un an après l’instauration de la gratuité des méthodes contraceptives en Colombie-Britannique, la campagne Révolution contraceptive débutait, le 2 avril dernier, pour revendiquer un accès universel et gratuit à la contraception au Québec. Alors que le gouvernement fédéral s’apprête à adopter un projet d’assurance-médicaments incluant la contraception, la campagne rappellera au gouvernement du Québec l’appui de la population envers la gratuité des moyens de contraception en diffusant cette pétition. Les provinces du Canada seront amenées à négocier des ententes avec le gouvernement fédéral dans la prochaine année. Le Québec sera-t-il la seule province à ne pas accorder la gratuité des moyens de contraception aux femmes et personnes pouvant tomber enceintes? Cette mesure est une nécessité.

On le voit tous les jours au Centre de santé des femmes de Montréal (CSFM), des femmes qui ne peuvent pas se payer un stérilet avec leur budget serré ou qui ne prennent pas la pilule contraceptive tous les mois parce qu’elles ne peuvent pas se le permettre financièrement.- Marianne Rodrigue, CSFM

Avec l’inflation, c’est la réalité de plusieurs de devoir choisir entre la prescription de pilule contraceptive pour le mois et un panier d’épicerie bien garni. Les femmes et les personnes pouvant tomber enceintes ne devraient pas être mises devant un tel choix. » – Anne-Sophie Gignac
coordonnatrice politique, responsable du dossier contraception, FQPN.

Un évènement organisé par Seréna Québec se tiendra également à Québec au Centre-Jacques Cartier à 18h pour le lancement de la pétition le 26 septembre.