L’Université du Troisième âge de la MRC des Moulins annonce sa programmation pour l’automne 2023.

De la découverte de grands œuvres comme La Joconde de Léonard de Vinci au trésors cachés de l’Italie et à la relation amoureuse de Napoléon et Joséphine, l’UTA de la MRC des Moulins vous offre une programmation automnale satisfaisant votre curiosité et votre goût d’apprendre.  Un délice de connaissances qui vous procureront des heures de plaisirs et de satisfaction.

Les cours offerts cet automne sont la partie 2 de l’Histoire du temps présent : le XXe siècle de François Larose, Chefs d’œuvre sous enquête de Maryse Chevrette et une Histoire de Terrebonne (1673-2001) de Claude Blouin.  Le menu des conférences comprend Quand la musique aide à vivre de Maurice Rhéaume, les Trésors cachés de l’Italie de Nicola Martino, Histoire de nos origines en Amérique – filles de cœur – femmes de tête (2\3) et Napoléon et Joséphine de Alexandre Champagne.

Pour vous inscrire à une ou l’autre des activités, veuillez consulter notre site web à l’adresse www.usherbrooke.ca/uta/prog/lanaudiere/dml. Vous pouvez vous le faire à compter du 29 août à 10 heures.  Il n’y a aucun préalable ni examen pour suivre des cours à l’UTA.

Pour plus de amples informations, vous pouvez communiquer avec le registraire Serge Houle au 450 964-5852, ou avec la responsable de la programmation Yolande Martin au 450 857-0531.

APPEL DE CANDIDATURES POUR LES ARTISTES TERREBONNIENS

Fidèle à son engagement de mise en valeur et de promotion de la vie culturelle sur son territoire, la Municipalité invite les artistes de Terrebonne à soumettre dès maintenant leur candidature à l’un des nombreux programmes de soutien aux arts et à la culture ainsi qu’au programme d’acquisition d’œuvres d’art.

« Notre ville est reconnue pour ses créateurs, ses créatrices et ses collectifs d’artistes de grand talent qui se déploient au cœur de Terrebonne et participent à la richesse et à la vitalité culturelle de la région de Lanaudière. Les artistes jouent un rôle essentiel au sein de notre communauté en participant à son enrichissement et à son dynamisme. Nos programmes visent à appuyer leurs projets, à promouvoir leur talent et à souligner leur importante contribution à la société. Nous avons à cœur de les soutenir dans leur démarche et de faire rayonner leur réalisation », souligne Mathieu Traversy, maire de Terrebonne.

En outre, la Ville octroie des bourses une fois par année dans le cadre de ces programmes de soutien aux artistes. Un jury indépendant sera chargé de sélectionner les boursiers.

 

Programme de soutien aux arts et à la culture

Les artistes et auteurs professionnels, les collectifs, les entreprises culturelles incorporées et les artistes en voie de professionnalisation sont admissibles à ce programme, et ce, quelle que soit leur discipline artistique. Le programme comprend de nombreux volets : soutien aux événements spéciaux, soutien à la création, soutien à la promotion et soutien aux résidences de création, entre autres. Les montants des bourses accordées peuvent aller jusqu’à 5 000 $ pour les artistes individuels et jusqu’à 10 000 $ pour les collectifs d’artistes.

 

Programme d’acquisition d’œuvres d’art

Les artistes professionnels ou émergents qui résident à Terrebonne peuvent proposer une ou plusieurs œuvres d’art en soumettant un dossier à ce programme. Si elles sont sélectionnées, leurs créations s’ajouteront à la collection municipale, dont les œuvres sont diffusées dans des édifices publics de la Ville. De plus, certaines œuvres pourront être intégrées à l’artothèque du réseau des bibliothèques de la Ville de Terrebonne, qui offrent la possibilité aux abonnés d’emprunter une œuvre d’art pour une période de trois mois.

Les personnes qui désirent soumettre un dossier doivent le faire avant la date butoir du 1er octobre 2023. Pour obtenir plus de renseignements sur les programmes de soutien aux artistes, visitez ville.terrebonne.qc.ca/appel-projets.

Travaux majeurs sur le chemin des Anglais dès septembre Fermeture complète d’un tronçon

La Ville de Mascouche informe la population que dès septembre, des travaux de remplacement d’un ponceau marqueront le début d’un chantier majeur qui sera en cours jusqu’en 2026 sur le chemin des Anglais. L’objectif de ce projet est d’améliorer la fluidité de la circulation sur cette artère importante de Mascouche.

 

Fermeture complète et détour

Dès le début du mois de septembre, les travaux s’activeront dans le secteur de la rue de Brompton. Cette intervention nécessitera la fermeture du chemin des Anglais entre les rues de Brompton et de Dublin.

 

Un chemin de détour balisé sera mis en place jusqu’à la mi-décembre par l’avenue Garden, le chemin Pincourt et le chemin Sainte-Marie. La circulation locale pour l’accès aux résidences et aux commerces sera maintenue en tout temps de part et d’autre de la zone excavée.

 

Étapes à venir

À compter de l’an prochain, plusieurs autres interventions seront réalisées. En 2024, des feux de circulation seront ajoutés et une réfection complète sera effectuée entre le boulevard Raymond et le chemin Sainte-Marie. Les interventions sur la portion sud (entre le boulevard Raymond et l’autoroute 640) seront réalisées d’ici 2026.

 

Pour planifier leurs déplacements et obtenir des informations sur ce chantier important, les citoyennes et les citoyens sont invités à visiter le mascouche.ca/anglais. Pour être informés des entraves, ils peuvent s’abonnez-vous aux avis par courriel ou par texto au citoyen.mascouche.ca.

 

La Ville de Mascouche remercie tous les citoyens et usagers du secteur pour leur collaboration.

AVANT LA FIN DE l’ÉTÉ, PASSEZ DONC DONNER DU SANG!

Travaux intensifs sur le pont de la route 335, enjambant la rivière Mascouche, du 26 au 28 août

DATE Du 26 août à 20 h au 28 août à 4 h
IDENTIFICATION DES TRAVAUX Réfection de la structure
VILLESainte-Anne-des-Plaines
ROUTERoute 335
LOCALISATION Pont enjambant la rivière Mascouche
ENTRAVES
  • Circulation en alternance sur la route 335 gérée par des signaleurs.
DÉTOURDurant cette période, des épisodes de congestion sont à prévoir dans le secteur. Le Ministère invite les usagers de la route à prévoir leurs déplacements en conséquence et à privilégier l’itinéraire facultatif lorsque possible (consulter la carte en pièce jointe).
Ces travaux pourraient être reportés, prolongés ou annulés en raison de contraintes opérationnelles ou des conditions météorologiques défavorables. Afin de connaître les entraves en cours, consultez Québec 511, un outil pratique pour planifier adéquatement vos déplacements.

 

Pour toute question ou tout commentaire, il est possible de communiquer avec le Ministère en composant le 511 ou en allant sur la page Web transports.gouv.qc.ca/nous-joindre.

 

Pour connaître les fermetures majeures de fin de semaine dans la région métropolitaine de Montréal, il est possible de s’abonner à l’infolettre de Mobilité Montréal.

 

Le service de sages-femmes célèbre une décennie d’accompagnement auprès des familles

Le 19 août marquait un moment clé pour le service de sages-femmes du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière. Depuis 10 ans, cette équipe de professionnelles de la santé s’engage à offrir des soins spécialisés aux femmes et à leur famille tout au long de leur parcours vers la maternité.

Depuis sa création, le service de sages-femmes a prodigué des soins adaptés et des suivis personnalisés à plus de 1 650 femmes. Que ce soit lors d’un accouchement à domicile, dans une maison de naissance ou à l’hôpital, les sages-femmes veillent à ce que chaque femme se sente écoutée, respectée et soutenue.

Le service de sages-femmes a également joué un rôle essentiel dans l’éducation et la sensibilisation de nombreuses femmes enceintes, notamment en les informant sur les choix qui s’offrent à elles lors du suivi de grossesse et de l’accouchement, sur l’allaitement maternel ainsi que sur tout ce qui touche l’accueil d’un nouveau-né. En raison de ses efforts, le service de sages-femmes a aidé les futures mamans à prendre des décisions éclairées en matière de santé.

L’évolution du service de sages-femmes

En 2013, lors du déploiement des services, l’équipe de sages-femmes a été en mesure d’effectuer 52 suivis complets au cours de la première année. À ce moment, l’équipe était formée de 6 sages-femmes et d’une responsable de service.

À partir de 2015 et jusqu’à l’ouverture de la Maison de naissance dans la région en 2021, ce sont entre 150 et 200 suivis de grossesse par année qui ont été effectués. Depuis l’ouverture de la Maison de naissance, le nombre de suivis annuels a augmenté à 280.

La Maison de naissance de Lanaudière

L’ouverture de la Maison de naissance de Lanaudière, située à Repentigny, est l’une des réalisations marquantes du service de sages-femmes. Il s’agit d’un service de proximité proposant une alternative sécuritaire qui mise sur un lieu de naissance dont l’atmosphère intime se rapproche de celle d’un domicile. Depuis 2021, cette installation offre un lieu de naissance chaleureux où les femmes peuvent recevoir leur suivi de grossesse, accoucher et bénéficier d’un suivi postnatal. Cette équipe, qui compte maintenant 9 sages-femmes et une responsable des services de sage-femme, pourrait réaliser jusqu’à 320 suivis annuels au cours des prochaines années.

MIRAGE : Un nouveau projet de vidéo mapping sur un bâtiment patrimonial à Joliette – Du 31 août au 23 septembre

Le Musée d’art de Joliette (MAJ) annonce la grande première le jeudi 31 août à 20 h de Mirage, un nouveau projet artistique qui mettra à l’honneur des œuvres originales de projection architecturale réalisées dans le cadre d’une résidence d’une semaine au cours de laquelle cinq artistes auront été inspiré·e·s par la culture du Grand Joliette, ses histoires et son territoire. Ce projet est réalisé en collaboration avec Art partage et présenté par la Ville de Joliette.

C’est la façade de L’Institut, au centre-ville de Joliette, qui a été choisie pour accueillir le programme de projection architecturale d’une trentaine de minutes qui sera présenté les 1er, 2, 7, 9, 14, 15, 21, 22 et 23 septembre à 20 h, sans oublier le lancement, le 31 août à 20 h, en présence du maire de Joliette, monsieur Pierre-Luc Bellerose. L’Institut est un édifice patrimonial situé sur le boulevard Manseau, juste à côté de la Brasserie artisanale Albion. Le grand public est convié à ces dix présentations gratuites en plein air.

Les artistes Craig Commanda, Allison Moore, Nelly-Ève Rajotte et le désert mauve (Charline Dally et Gabrielle HB) ont été invité·e·s par le MAJ et Art partage à vivre et à travailler à Joliette. Durant leur résidence d’une semaine, plusieurs ressources pratiques, créatives et communautaires sont mises à leur disposition afin de leur faire vivre pleinement la région et de leur permettre de tisser des liens destinés à nourrir leur pratique artistique tout en contribuant à la richesse et à la diversité culturelle de Joliette.

« Mirage s’inscrit dans la volonté du Musée de soutenir les artistes de la province, de tisser des liens durables avec la communauté de Lanaudière et de démocratiser la culture, affirme Julie-Armstrong Boileau, co-directrice générale par intérim du Musée d’art de Joliette. Ce projet collaboratif reflète l’engagement commun de la Ville de Joliette et des partenaires du projet, dont Art partage, envers le développement culturel de la région, et plus particulièrement envers le soutien à la culture comme moteur de développement économique et social. »

« La Ville est fière de présenter ce projet où l’immersion joliettaine est au cœur de la démarche artistique. Ici, la collaboration entre le milieu artistique et les entreprises locales me ravit et me démontre à nouveau que la culture s’avère un important liant au sein d’une communauté », mentionne Pierre-Luc Bellerose, maire de Joliette.

Mirage est présenté par la Ville de Joliette dans le cadre de Joliette halte culturelle. L’équipe du Musée d’art de Joliette tient à remercier la Ville de Joliette et le gouvernement du Québec pour leur généreux soutien ainsi que Julien Durand, propriétaire de L’Institut.

Philippe Jetté, porte-parole régional des Journées de la culture

La parole de la 27e édition des Journées de la culture sera portée, dans Lanaudière, par Philippe Jetté. L’artiste multidisciplinaire et intervenant en traditions vivantes, de Saint-Jacques, se dit très heureux d’être le porte-parole régional de cet événement déployé partout au Québec visant à célébrer une culture de proximité sous le thème de la collectivité les 29 et 30 septembre et le 1er octobre prochains.

Philippe Jetté est membre-fondateur des groupes de musique traditionnelle Garçons à marier, Belzébuth et du Duo Jetté-Simard. Câlleur, musicien, conférencier, consultant, formateur, transmetteur et chercheur, il voit son rôle d’artiste dans sa communauté comme celui de relayeur, d’intermédiaire entre les porteurs de traditions et les citoyens. Son but est de partager et de mettre en valeur notre richesse collective ainsi que les gens qui la portent et la transmettent.

Pour ce faire, il est, notamment, artiste à l’école et réalise des projets de développement culturel en patrimoine immatériel pour des organismes, villes ou MRC de Lanaudière, en plus d’offrir des formations sur la médiation du patrimoine vivant et des ateliers d’initiation à diverses traditions.

Lorsque l’on pose la question à Philippe Jetté ce que représente la collectivité pour lui, il répond : « La collectivité est au cœur même de notre identité; elle est notre ADN. C’est elle qui nous permet d’avoir des racines, de nous ancrer et de développer un sentiment d’appartenance et de fierté. » Pour sa part, il est enraciné dans sa collectivité natale, la Nouvelle-Acadie. « Je suis fier de mes racines acadiennes et je parle de la Nouvelle-Acadie partout où je passe. Je développe des projets culturels en lien avec mon territoire et ma région. Ma mission de vie est de développer et de sauvegarder les traditions de ma collectivité, de ma région. »

Philippe Jetté est fier du dynamisme culturel de Lanaudière. Il rapporte que Lanaudière a des acteurs culturels engagés et impliqués pour faire connaître la région, ses produits, ses attraits et sa culture. Lanaudière accorde une importance à nos racines culturelles. Seulement dans son secteur d’activité et dans sa région, il mentionne avoir recensé plus d’une trentaine d’organismes ainsi que plusieurs municipalités et MRC actifs pour la transmission et la diffusion des traditions culturelles.

Invitation aux municipalités et organismes

Les Journées de la culture permettent la démocratisation, la découverte et l’initiation des citoyens à la culture et aux arts sous toutes ses formes. Philippe Jetté invite l’ensemble des municipalités et organismes de Lanaudière à joindre le mouvement pour faire vivre une expérience culturelle des plus rassembleuses à leurs citoyens aux Journées de la culture. « En participant à l’événement, vous signifiez votre engagement en faveur des arts et de la culture et contribuez au rayonnement culturel de votre localité. Il s’agit d’une opportunité à saisir », affirme le porte-parole.

Inscrivez une activité, avant le 8 septembre, au www.journeesdelaculture.qc.ca/impliquez-vous/organisez-une-activite.

Découvrez le portrait complet de Philippe Jetté au www.journeesdelaculture.qc.ca/lanaudiere.

Suivez l’artiste et médiateur culturel au www.traditionsvivantes.com et sur sa page Facebook « Philippe Jetté / Médiateur du patrimoine vivant ».

À propos des Journées de la culture

Chaque année, le dernier vendredi de septembre et les deux jours suivants, les arts et la culture sont au cœur d’une grande fête populaire se déroulant d’un bout à l’autre du Québec : les Journées de la culture. Ateliers, démonstrations, parcours et prestations en tous genres composent la programmation de l’événement. De tous les âges et tous les styles, de tous les milieux et dans toutes les régions, tout le monde est invité à entrer dans les coulisses de la création en participant à l’une ou l’autre des centaines d’activités gratuites, toutes disciplines confondues. L’événement est propulsé par Culture pour tous.

CENTRE CULTUREL ÉPHÉMÈRE JACQUES-HURTUBISE – Un projet de cocréation en histoire de l’art qui rejoint différents publics

L’atelier de Jacques Hurtubise de la rue Saint-Louis se transforme dans le cadre du 350e anniversaire de la Ville de Terrebonne en centre culturel éphémère. Une série d’activités de médiation culturelle, se déclinant en trois grands volets, permettront notamment à la population de Terrebonne de découvrir l’œuvre et le processus créatif de l’artiste de renommée internationale qu’est Jacques Hurtubise.

Le Projet de cocréation en histoire de l’art avec le Centre culturel éphémère Jacques-Hurtubise est en parfaite adéquation avec la politique culturelle que la Ville lançait le mois dernier.

« En effet, notre politique prévoit que l’intervention municipale en matière de culture se déploie par une offre directe à la population, laquelle se traduit par la présentation d’ateliers, d’activités, d’événements et d’expositions », rappelle le maire Mathieu Traversy. « Elle s’articule également autour de la valorisation d’artistes locaux et de leur création. Dans le cas qui nous occupe, c’est l’expérience créative de Jacques Hurtubise qui est mise en valeur au bénéfice de la population. »

« Nous croyons fermement que ce projet fera briller Terrebonne lors de son 350e anniversaire et pour ce faire, nous invitons les gens à s’imprégner de l’œuvre de l’artiste en entrant dans son univers intime, à même son atelier de Terrebonne. Des toiles, des tableaux, des vidéos, des photographies et des artéfacts seront exposés dans l’atelier » renchérit l’équipe du Centre culturel éphémère.

 

Trois volets en trois temps

Le projet débute par la réalisation de 40 ateliers de cocréation avec des groupes d’élèves des écoles secondaires du Centre de services scolaire des Affluents et du Collège Saint-Sacrement. À ces ateliers qui s’échelonneront sur neuf semaines pendant l’automne, s’ajouteront des visites commentées au Centre culturel éphémère Jacques-Hurtubise.

Dans un deuxième temps, les activités des Journées de la culture, qui se dérouleront du 29 septembre au 1er octobre 2023, offriront au grand public un accès libre à l’exposition-synthèse du Centre ainsi que des visites commentées par des artistes-médiateurs. La présentation d’entrevues et du film Hurtubise fera découvrir la démarche créative de cet artiste ayant vécu et travaillé à Terrebonne.

Enfin, un troisième volet prévoit la tenue d’activités de formation, de médiation culturelle et de valorisation grâce au partage de connaissances d’enseignants en arts des écoles de Terrebonne et d’artistes-médiateurs professionnels. Des visites commentées de l’exposition-synthèse sont également inscrites au programme.

Entente avec le ministère de la Culture et des Communications du Québec

Un des leviers importants de la Ville en matière de médiation culturelle est l’Entente de développement culturel conclue avec la Ville de Terrebonne et le gouvernement du Québec, grâce à qui l’actuel projet de cocréation du Centre culturel éphémère Jacques-Hurtubise peut voir le jour.

Rappelons que la Ville est engagée à mettre en œuvre des stratégies de médiation culturelle centrées sur des situations d’échange et de rencontre entre ses citoyens et ses milieux artistiques et culturels. Ce contact de proximité entre la population et les artistes sous forme d’ateliers, de projets de cocréation ou de visites commentées vise non seulement à démocratiser l’art et à favoriser la diversité des formes d’expressions culturelles, mais également à intégrer le plus grand nombre possible de Terrebonniens pour contrer l’exclusion et la marginalisation sociales.

 

Pour plus de détails, consultez :

Les pages Facebook et Instagram du Centre culturel éphémère Jacques-Hurtubise au www.facebook.com/ccejhurtubise ou www.instagram.com/ccejacqueshurtubise/

Les Journées de la culture 2023 au www.journeesdelaculture.qc.ca

La Politique culturelle de Terrebonne au ville.terrebonne.qc.ca/politiqueculturelle2023

Marianne Cloutier se joint à l’équipe du MAJ à titre de conservatrice de l’art contemporain par intérim

Le Musée d’art de Joliette (MAJ) est fier d’annoncer la nomination récente de Marianne Cloutier au poste de conservatrice à l’art contemporain par intérim en remplacement d’Anne-Marie St-Jean Aubre.

La première exposition commissariée par Marianne Cloutier au MAJ ouvrira le 30 septembre prochain. Il s’agit de Biophilia, une exposition collective réunissant le travail de six artistes (Zheng Bo, Montserrat Duran Muntadas, Jumana Manna, Katherine Melançon, Joshua Schwebel et Lawrence Paul Yuxweluptun), et qui jettera un regard critique sur la posture de domination et sur la dynamique d’exploitation de la nature, sur lesquelles reposent toujours nos sociétés post-industrielles.

À propos de Marianne Cloutier

Détentrice d’un doctorat en histoire de l’art, Marianne Cloutier s’intéresse aux enjeux de l’utilisation du vivant et des biotechnologies en art contemporain, de l’identité et des représentations du corps, ainsi qu’à l’épistémologie et aux méthodologies de la recherche-création. Elle a travaillé comme commissaire pour la Chaire McConnell-Université de Montréal en recherche-création sur la réappropriation de la maternité et pour le projet de recherche-création Sociability of Sleep (Université de Montréal et Université McGill). À titre de commissaire indépendante, elle a notamment signé les expositions « Art+ Bioéthique » (Espace projet) et « Petits tracas et autres délices » (Hangar 7826). Elle est enseignante au Département d’histoire de l’art de l’UQAM ainsi qu’au D.E.S.S. en arts, création et technologies de l’Université de Montréal, et consultante externe pour le Comité du patrimoine du Centre de services scolaire de Montréal.

À propos du Musée d’art de Joliette

Fondé en 1967, le Musée d’art de Joliette a pour mission d’acquérir, de conserver, de mettre en valeur et de diffuser des œuvres anciennes et contemporaines d’artistes québécois, canadiens et étrangers au moyen d’expositions et d’activités culturelles et éducatives. Sa collection de 8 000 œuvres d’art est l’une des plus importantes au Québec. Avec son architecture lumineuse et son emplacement de choix devant l’Outaragawe sipi (rivière L’Assomption), le Musée d’art de Joliette est l’un des premiers bâtiments qui accueille les visiteurs et les visiteuses à l’entrée de la ville de Joliette.