11e édition – Guylaine Tanguay de retour à l’animation du Gala Country le 24 octobre au MTelus à Montréal – La période d’inscription pour les artistes et artisans se déroule du 15 avril au 3mai. Dévoilement des nominations et des performances le 10 juillet prochain.

Le Gala Country se déplacera au MTelus pour sa11eédition le 24 octobre prochain .Guylaine Tanguay reprend fièrement son rôle de porte-étendard et la barre de l’animation pour une deuxième année de ce rassemblement qui se veut une grande célébration de la musique country francophone canadienne.

 » Fière de célébrer avec vous, une fois de plus, notre musique country! Chantons, dansons, applaudissons nos artisans, artistes, musiciens qui seront à l’honneur et qui le méritent! «  Guylaine Tanguay.

L’équipe de la 11e édition du Gala Country, chapeautée par Culture Country, jette actuellement les bases de cette soirée que l’on promet grandiose et poursuit son objectif d’accroître encore davantage la notoriété et la reconnaissance de la musique country auprès du grand public et de l’industrie.

Lors de la cérémonie récompensant l’industrie country d’ici, seront remis quinze Willie, œuvre en bronze conçue par le sculpteur Philippe Coudari, figure très connue dans le domaine de l’art sculptural canadien, et qui a fait son entrée lors de la 10e édition du gala.

AIDE-MÉMOIRE

15 avril au 3 mai 2024—Période d’inscription

15 mai au 3 juin 2024 —Période de votation

10 juillet 2024 —Dévoilement des nominations et performances

24 octobre 2024 —11e Gala Country au MTelus

Le calendrier, le formulaire d’inscription et la réglementation se retrouveront sur le site galacountry.com dès le 15 avril prochain

 

À PROPOS DE CULTURE COUNTRY

Fondé en 2009, Culture Country a pour ultime mission de promouvoir la culture francophone québécoise et canadienne à travers une industrie artistique country ancrée et florissante.

 

La MRC de Montcalm nomme ses ambassadeurs Journée – Montcalm, soyons fiers ! 2024

La MRC de Montcalm est fière de dévoiler son organisme ambassadrice 2024 en cette journée officielle – Montcalm, soyons fiers !

En effet, c’est l’équipe du CENTRE DE FEMMES MONTCALM qui reçoit cet honneur cette année !

Depuis 1990, le centre s’est engagé à améliorer la qualité de vie des femmes de notre territoire en offrant des services essentiels. Le Centre de Femmes Montcalm mérite amplement le titre d’ambassadrices 2024 grâce à son engagement à offrir un environnement accueillant et inspirant où chaque femme peut :

  • Explorer son identité, renforcer son affirmation de soi et embrasser sa véritable essence ;
  • Briser l’isolement en échangeant et partageant avec d’autres femmes, créant ainsi des liens solides et durables ;
  • Bénéficier d’une écoute bienveillante et de soutien, où ses préoccupations et ses besoins sont pris en compte de manière respectueuse ;
  • Acquérir des outils pratiques et des ressources pour promouvoir sa santé psychologique et renforcer son autonomie ;
  • Participer activement à la vie associative du centre, contribuant ainsi à son dynamisme et à sa vitalité ;
  • S’impliquer dans la gouvernance en devenant membre du conseil d’administration, où ses idées et ses perspectives sont valorisées ;
  • Contribuer concrètement à l’avancement du bien-être des femmes à travers des actions collectives et la défense de leurs droits.

Une foule de services aux services des femmes de la MRC de Montcalm

Des services d’écoute, d’accompagnement et de références, pour répondre aux besoins individuels et spécifiques. Des ateliers éducatifs stimulants qui favorisent la connaissance de soi et le développement personnel. Des actions collectives et une défense active des droits des femmes, afin de créer un impact durable et positif dans la communauté.

Chaque femme est accueillie avec respect et dignité, sans jugement ni stigmatisation.

« Au fil des années, j’ai eu l’opportunité de constater de manière tangible les nombreux bienfaits engendrés par l’action du Centre de Femmes Montcalm au sein de notre société et c’est un honneur pour moi de leur décerner le titre d’ambassadrices de la journée Montcalm, soyons fiers 2024 ! Félicitations à toute l’équipe et longue vie à votre organisme. » – Patrick Massé, préfet de la MRC de Montcalm.

 

À propos de Montcalm, soyons fiers !

Instaurée en 2016, la journée Montcalm, soyons fiers est célébrée annuellement le 2e mardi du mois d’avril sur le territoire de la MRC de Montcalm. Elle vise à mettre en lumière et rendre hommage aux acteurs (citoyens, organismes ou autres) du territoire qui par leurs actions, font rayonner la MRC de Montcalm.

La CDÉJ reçoit le prix du partenariat 2023-2024 de l’Université de Québec à Trois-Rivières (UQTR)

C’est lors de la cérémonie Distinction UQTR du 3 avril 2024, qui avait lieu au campus principal de l’Université du Québec à Trois-Rivières, que la Corporation de développement économique de la MRC de Joliette (CDÉJ) s’est vu remettre le Prix du partenariat de l’UQTR 2023-2024. Cette distinction honorifique est attribuée à un partenaire socioéconomique, social, culturel, artistique ou humanitaire de l’UQTR qui joue un rôle important dans la réalisation des objectifs de formation et de recherche de l’Université.

Cette reconnaissance vient saluer la collaboration exemplaire entre la CDÉJ et l’UQTR, une relation de partenariat fructueuse qui a contribué de manière significative à renforcer la présence universitaire ainsi qu’au développement socioéconomique et à l’innovation sur le territoire de la MRC de Joliette.

Dès 2015, la CDÉJ et l’UQTR se rapprochaient afin de voir comment mieux collaborer sur le territoire au bénéfice des entreprises et organismes de la MRC de Joliette et ainsi, multiplier les opportunités de collaboration entre leurs professeurs-chercheurs, leurs étudiants et les différents services de l’université.

En 2019, avec l’émergence du projet Living Lab Lanaudière de la CDÉJ et sa volonté de contribuer au développement du milieu par l’intégration plus grande d’innovation technologiques, le partenariat a pris une autre dimension. C’est en effet plusieurs dépôts de projets de recherches auprès des ministères qui se sont faits avec l’UQTR, notamment en lien avec le secteur de la santé et du vieillissement.

C’est ainsi qu’a émergé trois ans plus tard, le projet de recherche en vieillissement aujourd’hui connu sous le nom ÉclairAGE. Créé grâce à l’obtention d’un montant de 742 000 $ provenant du Fonds de recherche du Québec en collaboration avec l’UQTR, ce projet de recherche-action porte sur le codéveloppement d’un outil technologique supporté par des processus innovants et la consolidation des liens entre les citoyen·ne·s vieillissant·e·s et les différents secteurs les soutenant dans le continuum de soins de santé et de services sociaux. La CDÉJ implique régulièrement l’UQTR dans le déploiement d’autres projets internes comme ce fût le cas pour les Journées de l’emploi 2018 et 2019, ou en lien avec les problématiques de leurs clients entreprises qui peuvent nécessiter une expertise scientifique ou technique plus poussée.

En recevant le Prix du partenariat de l’UQTR, la CDÉJ voit son engagement et sa contribution exemplaire reconnus. Cette distinction témoigne de l’importance de la collaboration entre les milieux académiques et économiques pour favoriser l’innovation et la recherche, la formation et la croissance régionale.

« Recevoir le Prix du partenariat de l’UQTR est un honneur immense pour la CDÉJ. Cette reconnaissance témoigne de l’engagement continu de notre organisation envers le développement socioéconomique de notre région et de la valeur de notre partenariat avec l’UQTR. Nous sommes extrêmement fiers de cette reconnaissance et nous sommes impatients de poursuivre notre collaboration fructueuse avec l’université pour stimuler l’innovation et la vitalité économique de la MRC de Joliette. » – Nicolas Préville-Ratelle, président de la CDÉJ.

 

À propos de la CDÉJ

La CDÉJ offre un support de premier plan à toutes les entreprises de la région en leur proposant un accompagnement personnalisé pour la planification et la réalisation de leurs projets d’entreprises. Financement, formation, transition numérique et technologique, support à l’implantation, à l’expansion, à l’exportation, à la relocalisation et la consolidation sont des services qu’offre gratuitement l’équipe d’experts qui compose à la CDÉJ. N’hésitez pas à nous contacter! https://www.cdej.ca/equipe  – 450 752-5566

David Lafleche présente Les marées une première chanson en français

Les marées est née à l’Île d’Orléans, un certain après-midi de novembre, alors que tombait la première neige de l’année sur le St-Laurent. Les pieds et le cœur bien au chaud dans une petite maison à St-Jean, c’est l’énergie du fleuve et l’ombre des navires à travers le rideau blanc qui a inspiré David Lafleche à poser un regard sur son passé, son présent et son futur.

La chanson parle entre autres des différentes épreuves qui forment une partie de nos vies. Les tempêtes que l’on traverse, les combats qu’on mène, nos moments de faiblesse et nos discussions internes. Mais c’est surtout la conclusion à laquelle nous arrivons, après des années de travail personnel, soit de vieillir heureux, en paix, et honnête avec soi-même.

Après maintenant quelques années à rouler ma bosse en tant qu’artiste anglophone, le temps était venu de me lancer dans la langue de Molière. J’ai ressenti une connexion instantanée avec le public lorsque je parlais et que je chantais en français lors de la trentaine de spectacles que j’ai donné. Ç’a été une révélation pour moi, explique David Lafleche.

Disponible depuis vendredi sur toutes les plateformes, la chanson a connu plusieurs versions au fil des mois, David s’est amusé à l’interpréter en spectacle dans plusieurs tonalités, tempos et styles. Mes musiciens sont très heureux que la version finale des Marées soit enfin enregistrée et « barrée ». Ils ont dû me suivre et subir les sept versions différentes que j’ai proposées pendant les tests de son, trois heures avant les spectacles, ajoute-t-il.

Le réalisateur de son album Everyday Son, Connor Seidel, et sa complice Marie-Mai qui a écrit la chanson avec David, l’ont accompagné dans son travail de studio afin de livrer une interprétation dont il est fier. J’ai mastiqué mon interprétation pendant près de deux ans avant d’enregistrer la version telle qu’elle est aujourd’hui, dévoile David Lafleche. La chanson Les marées me représente et je l’assume maintenant à 100% !

Musicalement il poursuit dans un style musical qui emprunte autant des sonorités au folk qu’à la musique country, par le choix des instruments soit la guitare, la mandoline, le violon et le pedal steel.

Le vidéoclip: https://www.youtube.com/watch?v=rgWNnlAIIkE&t=1s 

Plus d’infos : https://www.davidlafleche.com/

 

Réalisation : David Lafleche | Montage : Simon « Ronny » Lebrun – content content

Paroles : Marie-Mai et David Lafleche
Musique : David Lafleche
David Lafleche : voix et guitare électrique
Gilbert Fradette : batterie et percussions
Joe Grass : guitare acoustique, mandoline et pedal steel
Tommy Gauthier : violon
Alex Kirouac : basse
Marie-Mai Bouchard : chœurs et coaching vocal
Enregistré au Treehouse Music Collective Studio par Charles-Émile Beaudin
Mixé par Charles-Émile Beaudin
Masterisé au Lab Mastering par Marc Thériault
Image : Olivier Savoie-Campeau
Infographie : David Lafleche

Réalisé par David Lafleche avec la participation de Connor Seidel

 

Intervention préventive sur la rivière l’Assomption à Saint-Félix-de-Valois

Quelques milliers de trous ont été percés les 3 et 9 mars derniers sur la rivière L’Assomption afin de faciliter le mouvement des glaces lors de la crue printanière. L’opération, réalisée par Hydro-Météo conjointement avec la municipalité de Sainte-Mélanie, visait à réduire le risque d’embâcle, et donc d’inondations, au moment des mouvements de glace de la rivière.

7500 forages ont été réalisés à la Pointe-à-Roméo et 10 000 à la hauteur du Domaine Crevier. En tous, c’est entre 50 000 et 90 000 trous qui sont réalisés chaque année sur la rivière L’Assomption entre Sainte-Mélanie et L’Assomption comme travaux d’affaiblissement préventif. Hydro-Météo souligne que cela a permis une libération des glaces deux fois plus rapidement pour la Municipalité.

« Comme nous partageons la rivière L’Assomption avec Sainte-Mélanie, le partage des coûts permet une intervention diminuant le risque d’inondation qui convient aux deux municipalités, mentionne Audrey Boisjoly, mairesse de Saint-Félix-de-Valois. Même si l’hiver n’a pas été très froid, nous sommes satisfaits des résultats de cette première année. »

Un plan d’action pour éliminer la pauvreté – Ça presse !

Devoir de mémoire et d’identité sur le cadre bâti – Une exposition de Pascal Normand

Maison et jardins Antoine-Lacombe présente du 17 avril au 12 mai l’exposition intitulée Devoir de mémoire et d’identité sur le cadre bâti de Pascal Normand. Le vernissage aura lieu le samedi 20 avril de 13 h à 17 h, allocutions à 13 h 30. Bienvenue à tous, l’entrée est gratuite.

Inspiré par leur texture, Pascal Normand photographie des quartiers et des édifices industriels la nuit. Par la suite, il réalise des interventions sur ses clichés avec l’art numérique et la peinture à l’aérosol. Dans le but d’éveiller un questionnement social et patrimonial, il structure ses œuvres à partir de dualité, confrontant une société de consommation à son attachement pour les vestiges auxquels elle s’identifie. Pascal Normand contribue ainsi à éveiller les sensibilités et à susciter une meilleure compréhension des enjeux liés à la valorisation du patrimoine.

Né en 1979 à Notre-Dame-des-Laurentides au Québec, Pascal Normand s’est distingué dans le domaine des arts visuels. Sa passion pour le travail numérique, particulièrement la photographie nocturne, a pris son essor au début des années 2010. Sa pratique est enrichie par ses antécédents en cinéma. Depuis plus de 14 ans, il se consacre à la création et à la promotion de son œuvre picturale.

La carrière artistique de Pascal Normand est marquée par diverses récompenses et reconnaissances. Il a notamment remporté le 3e grand prix au 34e Gala international des arts visuels de Montréal, une réalisation qui a ouvert la voie à une reconnaissance internationale et à l’obtention d’une médaille d’or en France.

Maison et jardins Antoine-Lacombe tient à remercier la ville de Saint-Charles-Borromée et la Caisse Desjardins de Joliette et du Centre de Lanaudière pour leur précieuse contribution.

Pour plus de détails, consultez le site Web de Maison et jardins Antoine-Lacombe : antoinelacombe.com.

Une soirée en reconnaissance de nos bénévoles!

Les bénévoles actifs à Saint-Félix-de-Valois ont été invités par leur organisme à la Soirée des bénévoles du 26 avril prochain organisée par le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire afin de souligner l’importance de leur implication dans la communauté.

« L’engagement bénévole est un signe de vitalité communautaire et fait écho à la fierté d’une Municipalité, indique Audrey Boisjoly, mairesse de Saint-Félix-de-Valois. Nos bénévoles sont des travailleurs infatigables, des justiciers de la veuve et l’orphelin. C’est donc avec grand plaisir que la Municipalité les invite à une belle soirée western. »

Les organismes doivent donc faire parvenir les noms de leurs bénévoles qui seront présents à la soirée au service des loisirs d’ici le 15 avril prochain par courriel à culture@st-felix-de-valois.com ou par téléphone au 450 889-5589 poste 7717.

 

Thématique

Une soirée western sera proposée. Vent chaud et complaintes d’harmonica accompagneront cette traversée du désert qui aura plus des airs d’oasis que de régime sec! Chanson, animation et danse viendront compléter le souper. C’est fête à Daisy Town, parez-vous de vos plus beaux habits de circonstance!

La gestion des prix des bénévoles se fait différemment à partir de cette année. Il n’y a pas d’appel de candidatures. Les prix seront remis par le comité des loisirs et de la vie communautaire en fonction de circonstances hors de l’ordinaire. Si vous considérez que l’engagement d’une personne est à souligner, nous vous invitons à nous transmettre cette information.

Ne tardez pas à réserver votre place, en nous indiquant le nombre et les noms des bénévoles de votre organisme qui seront présents, ainsi que les allergies alimentaires s’il y a lieu.

 

Pour information ou réservation :

culture@st-felix-de-valois.com

450-889-5589 poste 7717

Dévoilement d’une campagne de communication pour l’obtention d’un quartier universitaire

La Ville de Terrebonne et l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) lancent une campagne publicitaire majeure dont l’objectif est d’informer la population sur le projet de Quartier universitaire, lequel sera situé dans le pôle de La Croisée urbaine, un secteur de Lachenaie en pleine effervescence. Ce projet permettra de répondre aux besoins de formation de la relève en adéquation avec les demandes du marché du travail, en plus de hausser le taux de diplomation de la population de Lanaudière.

« Le quartier universitaire est un projet crucial pour le développement de Terrebonne et de la grande région de Lanaudière. C’est essentiel pour nous de mousser sa candidature aux yeux du gouvernement et de la population afin que nous puissions obtenir le financement nécessaire à sa réalisation. En tant que 10e plus grande ville, Terrebonne mérite une offre universitaire digne de ce nom. Nous croyons que les jeunes de Lanaudière devraient pouvoir étudier, vivre et travailler dans leur région. C’est un projet porteur pour notre communauté, la grande région de Lanaudière et pour nos générations futures! », explique Mathieu Traversy, maire de Terrebonne.

Conçue de concert avec l’agence Tök Communications, cette campagne publicitaire de la Ville de Terrebonne et de l’UQTR se déploiera dès aujourd’hui dans de nombreux médias traditionnels et médias sociaux. Des affichages sur des abribus et des panneaux publicitaires sont également prévus afin de rejoindre à la fois les futurs candidats universitaires, mais surtout l’ensemble des citoyens de la région qui pourront bénéficier de la réalisation d’un tel projet mobilisateur.

 

Vers la création d’un Quartier universitaire de l’UQTR pour Lanaudière

L’UQTR a déposé, en novembre 2023, le dossier d’opportunités au ministère de l’Enseignement supérieur afin d’obtenir le financement nécessaire à sa réalisation. Ce projet, qui transformera Lanaudière, découle d’un travail de concertation avec l’ensemble des acteurs de la région à travers le Centre régional universitaire de Lanaudière (CRUL). Il est la conclusion naturelle de plusieurs décennies d’effort de l’ensemble des villes, des MRC de Lanaudière et de l’UQTR. Il est travaillé de concert avec différents partenaires, dont le Fonds immobilier de solidarité FTQ et Medifice. Le projet bénéficie aussi de l’appui de nombreux organismes, entreprises et municipalités du sud de Lanaudière.

Pour sa première phase d’opération, le projet pourra accueillir plus de 1000 étudiants. De plus, ce campus ultra moderne et parfaitement intégré dans son milieu offrirait dès son ouverture une multitude de programmes répondant aux besoins de la région, dans les secteurs de l’éducation, des soins de santé, des technologies de l’information et des sciences administratives. On y retrouverait une vie étudiante dynamique incluant un centre sportif, un centre aquatique, une bibliothèque publique, des résidences étudiantes, ainsi que de nombreux services et un environnement de recherche stimulant.

« Si plus de 3000 personnes quittent la région de Lanaudière chaque année pour aller entreprendre des études universitaires à l’extérieur, ce sont des milliers de jeunes et de moins jeunes de Lanaudière qui ne s’inscrivent pas à l’Université faute de moyens et d’une offre locale à la mesure des besoins. Seulement 17% de la population de Lanaudière possède un grade universitaire pour 46% à Montréal. C’est un défi de combler cet écart et c’est à cela que le quartier universitaire de l’UQTR à Terrebonne s’attèle. Il sera la concrétisation d’une mobilisation de l’ensemble des communautés de Lanaudière. », explique Christian Blanchette, recteur de l’UQTR.

Rappelons que la collaboration entre l’UQTR, la région de Lanaudière et Terrebonne dans ce projet est toute naturelle puisque l’université trifluvienne est établie dans Lanaudière depuis 1969, où elle offre des formations complètes à Joliette, L’Assomption et Terrebonne.

 

Émile Bourgault dévoile l’album Tant mieux

Émile dévoile ce vendredi son premier album complet : Tant mieux. L’opus, réalisé par Félix Dyotte, explore un itinéraire musical traversant les genres pop, rock et folk, fusionnant harmonieusement le mélancolique et le merveilleux pour offrir une vision multifacette de l’amour.

Émile transporte l’auditeur dans son univers. De l’obscurité des recoins d’un appartement aux rayons ensoleillés qui passent par ses fenêtres, cette œuvre joue avec les contrastes, exprimant un clair-obscur à travers des textes profonds sublimés par une voix feutrée et authentique.

Tant mieux débute sur la chanson Juillet. Juillet est arrivée comme un vent de fraîcheur dans la période de création de l’album. C’est la chanson légère, la chanson d’été, la toune d’amour ouverte et sincère, décrit Émile.

L’oreiller est très spécial pour moi parce que je chante avec ma copine là-dessus, qui a une voix d’ange et que j’ai rencontré au moment où je commençais à écrire les chansons de l’album. Elle est partout dans les textes et j’ai la chance de l’avoir à la voix sur celle-ci. Je l’ai composée d’une traite, à 6h du matin en plein mois de juillet alors que le soleil se levait sur mon balcon, poursuit l’artiste.

La pièce Nœud coulant arrive dans l’album comme un coup de massue un peu sombre. Émile Bourgault l’a composée dans la même semaine que L’oreiller, et il a l’impression que ces deux pièces sont liées par le fond. C’est une remise en question profonde et complexe, mais aussi du gros rock assumé, grosses lignes de guitare comme pour appuyer la douleur du texte. Je l’assume rock, douloureuse, lente et longue, mentionne Émile.

Tant mieux (pour toi), la chanson-titre du disque est une chanson difficile, mais c’est la plus vraie qu’Émile n’a jamais écrite. Les violons d’Emmanuelle Brin-Delisle brillent de mille feux sur la pièce. Émile explique : c’est le maillon central de l’album, je suis très fier du résultat studio et j’ai hâte de la performer sur scène!

Marcher, passer, partir… pourrait être qualifiée d’épilogue : Je suis content de finir l’album avec celle-là. J’ai toujours tripé sur les albums qui « finissaient mal », parce que ça laisse du lousse pour la suite et ça donne envie de repartir l’album !

Deux spectacles sont prévus pour le lancement de son album, soit au Cabaret Lion d’Or à Montréal le 9 avril prochain, ainsi qu’au Pantoum à Québec le 12 avril.

À propos d’Émile Bourgault
Originaire de la rive sud de Montréal, Émile Bourgault baigne dans le désir de créer depuis son plus jeune âge. L’auteur-compositeur-interprète lance deux mini-albums en deux ans; Bleu pâle (2020) et Nous aurons toujours le ciel (2021), en plus de participer à la grande finale de l’édition 2022 des Francouvertes, de remporter l’édition 2023 de Ma Première Place Des Arts et d’être couronné lauréat de la 55e édition du Festival international de la chanson de Granby dans la même année. Rêveur tranquille et fébrile à la fois, Émile Bourgault prend tranquillement sa place sur la scène musicale québécoise.

Pour plus d’infos : https://emilebourgault.com/accueil