Lavaltrie – Inauguration officielle de la sculpture de Victor Bourgeau, réalisée par Claude Des Rosiers.
Rendez-vous devant l’Église de Lavaltrie
Lundi le 7 novembre
De 16 h 30 à 17 h 30
Une expérience culinaire des plus enrichissantes pour des élèves du primaire, grâce à des étudiants de la Formation continue du Cegep de Lanaudière et de La joyeuse Marmite.
Repentigny, jeudi 27 octobre 2022 – Le 16 septembre dernier, les étudiants à l’attestation d’études collégiales (AEC) en Techniques d’éducation à l’enfance de la Formation continue du Cégep de Lanaudière, en collaboration avec l’organisme communautaire des cuisines collectives, La joyeuse marmite, ont fait vivre une aventure culinaire hors de l’ordinaire à des élèves de l’école primaire St-Guillaume à l’Épiphanie.
Les élèves ont eu la chance de visiter des kiosques prônant une saine alimentation et qui représentaient chacun un aliment particulier. Des informations leur étaient partagées de façon ludique par les étudiants à l’AEC. De la bruschetta à la trempette aux œufs, les élèves ont également pu cuisiner des recettes savoureuses dans le plaisir, avec leurs amis.
Ce projet s’inscrivait dans le cadre d’une évaluation finale jumelant deux cours, soit Saine alimentation et Interventions éducatives auprès des enfants de 5 à 12 ans.Ces cours ont pour principaux objectifs l’apprentissage de l’accompagnement des enfants dans le développement de saines habitudes alimentaires, en mettant en place des stratégies permettant de favoriser la saine alimentation tout en respectant les règles relatives à l’hygiène et salubrité, ainsi que le développement des compétences reliées à la planification, à l’organisation, à l’animation et à l’évaluation de diverses activités destinées à la clientèle scolaire.
Bravo à tous ces étudiants pour la réalisation et cet inspirant projet!
À propos de l’AEC Techniques d’éducation à l’enfance
Forte de son expertise en éducation à l’enfance, la Formation continue du Cégep de Lanaudière diplôme en moyenne trois cohortes par année dans ce domaine.
Avec cette attestation d’études collégiales, les diplômés seront capables, dès leur entrée sur le marché du travail, d’exécuter les tâches liées à la mission éducative et d’offrir les soins de base aux enfants.
- Rencontre d’information pour la prochaine cohorte à Joliette : 30 novembre 2022.
- Profitez également de l’occasion de nos activités Portes ouvertes dans nos 3 collèges pour venir rencontrer notre équipe de la Formation continue et découvrir notre gamme variée de parcours et de programmes d’études. Pour tous les détails : www.cegep-lanaudiere.qc.ca.
Le Carrefour Familial des Moulins organise un concours de photo amateur – Pour mettre de l’avant l’importance du rôle paternel sous toutes ces formes.
Semaine québécoise de réduction des déchets 2022 – Terrebonne et Mascouche déposent leur règlement sur la distribution d’objets à usage unique.
En marge de la Semaine québécoise de réduction des déchets qui a débuté le 21 octobre, Terrebonne et Mascouche ont déposé hier à leur conseil municipal respectif l’avis de motion pour leur nouveau règlement encadrant la distribution d’objets à usage unique sur leur territoire.
« Tel que nous l’avions annoncé à l’occasion du Jour de la Terre en avril dernier, nos deux villes partagent une volonté ferme d’agir pour réduire à la source la quantité de matières résiduelles produites sur notre territoire. Puisque le meilleur déchet, c’est celui qu’on ne produit simplement pas, Terrebonne et Mascouche effectuent aujourd’hui un premier pas très concret vers l’atteinte de leurs objectifs en interdisant, par règlement, la distribution de certains objets à usage unique dont nous pouvons tous assez facilement nous passer.
Ce sera notamment le cas pour les pailles et ustensiles en plastique », annonce le maire
de Terrebonne, Mathieu Traversy. « Quand on s’arrête pour y penser un instant, c’est vraiment frappant : tous ces objets ne sont utilisés que quelques minutes, mais ils prennent ensuite des dizaines, voire des centaines d’années à se décomposer dans notre site d’enfouissement dont la fin de vie potentielle arrive plus rapidement qu’on ne le pense », poursuit-il.
Son homologue mascouchois, Guillaume Tremblay, ajoute : « Dans Les Moulins, nous nous inscrivons tout à fait dans l’esprit de la Semaine québécoise de réduction des déchets qui invite à repenser nos gestes quotidiens, tant individuellement que collectivement. Il n’y a aucun doute : la solution pour limiter notre impact environnemental passe assurément par la modification de nos habitudes de consommation à tous. Au Québec, nous générons collectivement environ 20 tonnes de matières résiduelles à la minute, c’est énorme! ». « Avec le cadre règlementaire déposé à Terrebonne et Mascouche, nous n’attendons plus pour agir. Et nous comptons sur l’ensemble de nos
citoyens pour amorcer avec nous les changements de comportements nécessaires à la sauvegarde de notre planète », renchérit-il.
En quoi consiste le règlement?
Le règlement a pour objectif premier de réduire la quantité de matières résiduelles produites sur le territoire moulinois. Pour ce faire, il s’appuie sur l’interdiction de distribuer certains objets à usage unique dont la consommation peut simplement être évitée ou qui sont aisément remplaçables par des options réutilisables. À titre d’exemple, une paille en
plastique peut être facilement remplacée par une paille réutilisable en métal ou même évitée totalement en buvant directement dans un verre. La liste détaillée des objets visés par le règlement est jointe au présent communiqué.
Lorsque cela s’applique, le règlement oblige également les commerçants à utiliser de la vaisselle réutilisable dans leur salle à manger et à accepter les récipients réutilisables des consommateurs pour transporter des restes de repas ou des produits en vrac. Les commerçants doivent aussi mettre à la disposition de la clientèle des sacs d’emballage
réutilisables dans la section des fruits et légumes.
Dates clés dans l’application du règlement
L’entrée en vigueur du règlement est prévue pour le 1er mars 2023 avec une période de transition de 6 mois, donc jusqu’au 1er septembre 2023. Cette période permettra notamment de poursuivre l’accompagnement des commerçants assujettis au règlement et de sensibiliser la population aux changements de comportement souhaités. Rappelons qu’au cours des derniers mois, les commerces moulinois ont reçu la visite d’agents du Jour de la Terre, organisme mandaté pour ce projet, ou de représentants municipaux afin d’être familiarisés avec les changements à prévoir. Les échéanciers révisés prennent d’ailleurs en compte les préoccupations soulevées par les commerçants, car Terrebonne et Mascouche tiennent à faire de ces acteurs des partenaires à part entière de la démarche municipale amorcée.
La deuxième étape du cadre règlementaire sera présentée au printemps prochain. Elle s’appuiera sur des écocontributions, c’est-à-dire de petits frais appliqués sur certains autres objets à usage unique et dont la distribution en soi n’est pas interdite, mais qui contribuent eux aussi à faire déborder nos bacs de matières résiduelles. L’intention
derrière cette approche est de guider les consommateurs vers des choix plus écologiques et économiques.
Centre d’art Diane-Dufresne – Expo : Francine Vandelac – Tricoté serré : parcours d’une vie entremaillée
Le Centre d’art Diane-Dufresne de Repentigny présente du 8 novembre 2022 au 12 février 2023, une exposition sur le parcours de la créatrice de mode Francine Vandelac, sous le commissariat du chercheur et chargé de cours en patrimoine de la mode Philippe Denis Ph.D.
« La Ville de Repentigny est fière de présenter, au Centre d’art Diane-Dufresne, une grande designer inspirante pour plusieurs artistes et entrepreneur.e.s. Cette exposition grand public permettra de découvrir l’univers particulier d’une artiste incontournable qui a su redonner au tricot ses lettres de noblesse », souligne Martine Gendron, conseillère et présidente de la Commission de la culture, du tourisme et du redéploiement du centre-ville.
Cet événement mettra en lumière le travail distinct de Francine Vandelac, qui ne trouve pas de comparaison chez celui de ses confrères masculins des années 1960 et 1970. Elle conçoit, fabrique et commercialise seule les vêtements qui naissent de son imagination, soit : chemisiers, robes, manteaux et maillots de bain en tricot. Aussi, tout en exploitant et en développant les possibilités de la maille, elle la décloisonne de l’économie domestique à laquelle celle-ci est longtemps restée associée. Sa capacité à innover tout en assurant de nombreux emplois repose sur son investissement total, tant financier que personnel.
Ainsi, la créatrice s’illustre comme une pionnière de l’entrepreneuriat québécois au féminin. Source d’inspiration pour d’autres entreprises, sa griffe se démarque de la concurrence grâce à la reconnaissance rapide qu’elle acquiert ici et aux États-Unis. En 1973, à seulement 27 ans, Francine Vandelac voit ses créations présentées dans les vitrines de Bonwit Teller & Co., un grand magasin new-yorkais. Malgré cette visibilité, elle reste attachée au Québec, à ses grands espaces et à sa froidure, auquel elle rend hommage dans ses collections. Elle s’éloigne progressivement de la mode dans les décennies 1980 et 1990, bien qu’elle continue de concevoir des collections pour des clientes particulières, et de participer à des chroniques à la télévision. Elle se consacre tranquillement à une pratique artistique qu’elle mène en parallèle à d’autres activités professionnelles. Un exercice auquel elle s’adonne encore et où le textile tient une place centrale.
Aujourd’hui, plus discrète, Francine Vandelac demeure un modèle de succès professionnel. Ainsi, s’intéresser à la femme frondeuse et à la créatrice qu’est Francine Vandelac, c’est également se pencher sur le rôle qu’occupent les femmes dans les milieux de la mode et de l’entrepreneuriat québécois. C’est reconnaître les défis que celles-ci ont rencontrés et desquels elles ont triomphé.
Source
Philippe Denis Ph.D.
Chercheur et chargé de cours en patrimoine de la mode
Commissaire, Francine Vandelac. Tricoté serré : parcours d’une vie entremaillée
denis.ph@outlook.com
À propos du Centre d’art Diane-Dufresne
Avec son architecture contemporaine et sa programmation audacieuse, le Centre d’art Diane-Dufresne est un centre de diffusion en arts visuels et en métiers d’art unique dans la région de Lanaudière. Il propose, aux visiteurs et aux excursionnistes, de découvrir les expositions en cours, à travers des ateliers d’interprétation et des rencontres d’artistes offrant une incursion au cœur même du processus artistique
Horaire : Mardi au vendredi : 13 h à 17 h
Samedi et dimanche : 10 h à 17 h
Tarifs :
6,50 $ pour les résidents de Repentigny
9,50 $ pour les non-résidents
Gratuit pour les moins de 18 ans, et les membres du CADD
Coordonnées : Centre d’art Diane-Dufresne
11, allée de la Création, Repentigny (Québec) J6A 0C2
450 470-3010
espaceculturel.repentigny.ca/fr/centre-art-diane-dufresne
espaceculturel.repentigny.ca
Vous ou un de vos proches est atteint de la maladie d’Alzheimer ? RAPAPA est là pour vous.
Voyez la programmation ci-jointe
L’asclépiade et les monarques en mission!
Saint-Félix-de-Valois, le 24 octobre 2022 – La municipalité de Saint-Félix-de-Valois invite ses citoyens à participer à la Mission Monarque d’Espace pour la vie.
« Nous avons installé des panneaux pour indiquer la présence de colonie d’asclépiades essentielle à la préservation du papillon monarque, mentionne Audrey Boisjoly, mairesse de Saint-Félix-de-Valois. Suivant notre engagement comme Ville amie des papillons monarques nous souhaitons sensibiliser les Féliciens et Féliciennes à protéger l’habitat de ce papillon emblématique de la cause environnementale. »
Contribution citoyenne
Saint-Félix-de-Valois a pris de nombreux engagements et s’investit dans de nombreux projets afin de contribuer à la transition écologique. En 2022, un nouveau comité consultatif en environnement a vu le jour en faisant place à trois citoyens impliqués. Le comité a le mandat de donner des avis et faire des recommandations sur toute demande qui lui est soumise en matière d’environnement, sur le développement durable, la lutte aux changements climatiques et sur tout dossier relatif à la qualité du milieu. À l’initiative de Mme Claire Ladouceur, membre du comité consultatif en environnement, le premier geste accompli a été l’engagement comme Ville amie des papillons monarques pris lors de la séance du conseil le 11 avril dernier. L’initiative de la Fondation David Suzuki vise à protéger l’habitat de ce papillon emblématique dont la population a grandement chuté depuis 20 ans.
Verdissement
Une façon concrète de préserver le Monarque est le verdissement de la Municipalité. L’année 2022 a été proclamée année du jardinage et près de 2000 plants (arbres, arbustes, plantes et légumes) comestibles, indigènes et/ou nectarifères ont été distribués gratuitement à l’occasion de la Journée de l’arbre du 21 mai 2022. La Municipalité a également participé au relais de plantation d’arbres de la MRC de Matawinie en plantant 100 arbres sur le terrain de la station d’épuration. Prévoyez de faire une place aux monarques dans vos aménagements de l’an prochain!
« L’appel à tous est maintenant lancé pour que nos citoyens s’engagent dans la Mission Monarque de
l’insectarium », ajoute Audrey Boisjoly.
4 étapes faciles
1- Trouvez de l’asclépiade
2- Vérifiez la présence de monarques
3- Notez vos observations
4- Créez un compte et transcrivez vos données
Mission Monarque
Sous l’égide de l’Insectarium d’Espace pour la vie, Mission monarque est un programme de science participative qui documente le succès reproducteur du monarque. Le programme s’inscrit dans un effort international de recherche et d’éducation ayant pour objectif la sauvegarde des populations migratoires de cette espèce menacée. https://www.mission-monarch.org/fr/
Les élèves de l’école des Moulins ont même réalisé des activités de découverte de l’asclépiade dans le cadre de leur participation à la Mission Monarque.
BILAN DES TRAVAUX DE RÉHABILITATION DES SOLS AU PARC DU RUISSEAU SITUÉ SUR L’ANCIEN SITE BRADY
TERREBONNE, LUNDI 24 OCTOBRE 2022 – Les travaux de réhabilitation des sols qui ont eu lieu au début octobre dans le parc du Ruisseau situé sur l’ancien site Brady à La Plaine étant maintenant terminés, la Ville de Terrebonne souhaite en faire un bilan.
Comme le rappelle Karine Dancose du Bureau de l’environnement et de la transition écologique de la Ville de Terrebonne : « Les travaux au parc du Ruisseau poursuivaient deux objectifs principaux. D’abord, les travaux d’excavation dans la zone à réhabiliter permettaient de retirer les sols qui se sont avérés contaminés à la suite d’une série de tests et d’analyses. Ensuite, puisqu’on allait déjà être sur place avec la machinerie nécessaire, la Ville souhaitait retirer les débris présents dans les sols, notamment des pneus ainsi que des morceaux de verre et de métal. » Mme Dancose ajoute également : « Les niveaux de contamination de certains sols du parc dépassaient les normes prescrites, mais retenons que la contamination demeurait très localisée. Ce sont les débris, par leur quantité, qui ont finalement représenté le plus grand défi. Mais, au bout du compte, ce qui importe, c’est que la Ville de Terrebonne a pris ses responsabilités et a effectué tous les travaux nécessaires pour le bien de l’environnement. »
Plus de déchets que prévu, mais rien d’alarmant
Bien que la quantité totale de résidus sortis des sols dans le parc du Ruisseau ait été plus grande que ce que les experts avaient estimé avant le premier coup de pelle, la Ville rappelle qu’il n’y a rien d’alarmant dans cette situation. Le nombre de pneus extirpés apparaît certes impressionnant, sauf que ce type d’objet ne présente aucun risque pour la population.
Sur le terrain, après les analyses, les sols non contaminés ont été remis en place alors que ceux présentant une contamination plus élevée que les critères permis ont été envoyés dans un site autorisé de dépôt. Au total, 1 700 tonnes de sols contaminés ont été retirées et un peu moins de 400 tonnes de débris ont été enlevées.
Au cours des prochaines semaines, le rapport de réhabilitation de la firme embauchée pour surveiller les travaux viendra confirmer que les sols en place répondent maintenant aux exigences du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.
Rappel de l’existence de la Fiducie
En mars 2021, la Ville de Terrebonne a mis sur pied une fiducie d’utilité sociale à des fins environnementales appelée Fiducie pour la réhabilitation des terrains résidentiels du secteur Brady. Celle-ci a été constituée notamment pour défrayer, après analyse au cas par cas, les frais d’enlèvement et de disposition des débris automobiles dans les sols de terrains résidentiels du secteur Brady lorsqu’il est démontré que ces résidus nuisent à la jouissance normale et sécuritaire du terrain. Pour tous les détails sur la Fiducie : https://www.ville.terrebonne.qc.ca/brady.
L’HEURE BLEUE – une expérience musicale immersive au Musée d’art de Joliette
Le compositeur, interprète et réalisateur Pierre-Alexandre Saint-Yves nous propose le 17 novembre prochain un spectacle imprégné d’images sous-marines, entouré de trois musiciens exceptionnels.
L’heure bleue est un spectacle musical immersif spécialement conçu pour le hall du Musée d’art de Joliette. Fusionnant la musique aux projections vidéo, les spectateurs seront plongés dans une série de tableaux poétiques qui les feront voyager dans un imaginaire aquatique à la fois insolite et inspirant. Le spectacle donnera l’impression au public d’être immergé sous l’eau, dans une musique atmosphérique et évocatrice des sensations propres à l’état d’apesanteur.
Ce projet habite le créateur de Sainte-Béatrix depuis longtemps… Vous pourrez y voir le fruit de ses récentes plongées en apnée réalisées partout au Canada. Après sept ans d’expérimentations, toutes les conditions sont désormais en place pour mettre en scène cette oeuvre intimiste qui vient consolider plusieurs aspects de sa démarche de création.
« En tant que chanteur et musicien jouant principalement les instruments à vent, il est tout naturel pour moi de m’exercer avec le souffle. De là mon intérêt marqué pour la plongée en apnée. En travaillant sur un projet en 2014 présenté à La Mitaine à Joliette, j’ai été saisi par le potentiel qu’offrait l’intégration des projections vidéo durant mes spectacles. »
(…) « La voie que je poursuis actuellement en musique instrumentale m’amène à explorer les nouvelles technologies en les juxtaposant avec des instruments à vents anciens comme le chalumeau et le cornetto, mais aussi la voix, les cloches tubulaires et d’autres objets sonores. J’aime développer des univers cinématographiques dans lesquels défilent plusieurs tableaux aux mélodies enveloppantes, inspirées par les sonorités du monde et par l’univers de l’improvisation. » – Pierre-Alexandre Saint-Yves
En effet, ces propositions introspectives emmènent le public dans des paysages où les textures sonores s’entremêlent à un visuel composé sur mesure pour l’écran. En tant qu’artiste multidisciplinaire, il lui apparaît très pertinent de présenter ces images au Musée d’art de Joliette, un lieu magnifique où les projections et la musique envelopperont littéralement les spectateurs.
L’heure bleue : Le jeudi 17 novembre 2022 de 20 h à 22 h.
Le spectacle sera suivi d’une discussion avec l’artiste.
Réservations et billets en vente au Musée d’art de Joliette et sur le site web du Musée. www.museejoliette.org
Concepteur/musicien/vidéaste : Pierre-Alexandre Saint-Yves (chalumeau, flûtes, mélodica, traitement sonore)
Musiciens invités : Joao Catalao (marimba), Andrew Wells-Oberegger (oud, traitement sonore), Mathieu Deschenaux (contrebasse, synths, traitement sonore).
Son et régie vidéo : Philippe Robert.
Biographie de l’artiste:
Natif de Trois-Rivières, Pierre-Alexandre Saint-Yves s’est établi dans Lanaudière en 2007. Formé en chant, ce compositeur et multi-instrumentiste œuvre et se spécialise dans le domaine de la musique sur instruments anciens. Actif sur les scènes nord-américaines depuis 20 ans, il collabore régulièrement avec La Nef, les Jeunesses Musicales du Canada ainsi que dans des festivals comme Mémoire et Racines, La Virée Trad et Montréal Baroque. Sur le plan des sonorités électroniques, il a développé une approche organique intégrant les effets sonores en temps réel aux instruments anciens. Il contribue régulièrement à la réalisation de trames sonores, spectacles de danse et documentaires. Au sein des ensembles De Lònga et Cercamon, ses projets musicaux ont été récompensés à plusieurs reprises et Pierre-Alexandre a fait l’objet de capsules réalisées par Télé-Québec pour La Fabrique culturelle. Il fut récipiendaire en Musique aux Grands Prix de la Culture de Lanaudière en 2015 et finaliste pour la trame sonore Impulsions, en nomination pour l’œuvre de l’année dans Lanaudière en 2017, une commande du Musée d’art de Joliette. Co-fondateur d’Empreinte Vague, il conçoit des spectacles et courts-métrages émouvants intégrant musique, danse et vidéo depuis dix ans.