Nouvel horaire à l’écocentre de Bois-des-Filion

À compter du vendredi 1er mars 2024, les heures d’ouverture de l’écocentre seront modifiées ; Les Filionoises et Filionois ainsi que les résident.es de Terrebonne et de Lorraine pourront dorénavant s’y rendre du :

 

Lundi au jeudi de 11 h à 17 h

Vendredi de 13 h à 19 h

Samedi de 9 h à 17 h

Dimanche : fermé

 

Ce nouvel horaire sera en vigueur à l’année. Rappelons que les résident.es de Bois-des-Filion et de Terrebonne peuvent disposer gratuitement jusqu’à 5 mètres cubes chaque année de matériaux de construction, rénovation et démolition (CRD).

 

Voici la liste des matériaux acceptés à l’écocentre :

Matériaux de construction, rénovation et démolition (CRD)

Asphalte, aluminium, bardeau d’asphalte, béton, brique, branche, bois, céramique, cuivre, carton, gypse, métal, laine minérale, panneau isolant, papier, pierre, plastique, polystyrène, PVC, souche, sable, terre, verre, etc.

 

RDD (résidus domestiques dangereux)

Adhésif, aérosol divers, ampoules fluocompactes, antigel, ballast d’éclairage, batterie, bonbonne de propane, calfeutrant, chlore, cire à plancher, colle, combustible, coulis, décapant, dégraissant, débouche tuyau, diesel, diluant, encre, essence, goudron, graisse moteur, herbicide, huile, insecticide, lubrifiant, néon, pneu, peinture, pile, pesticide, produit nettoyant, scellant, térébenthine, etc.

 

Appareils électroniques (TIC)

Dispositifs d’affichage (téléviseurs, tablettes graphiques, moniteurs d’ordinateur), téléphones (conventionnels ou portables, répondeurs), cellulaires (téléphones intelligents, téléavertisseurs), ordinateurs (écrans, serveurs de bureau), périphériques (claviers, souris d’ordinateur, consoles, modems), appareils de bureau (imprimantes, numériseurs), systèmes audio/vidéo (appareil photo numérique, caméra vidéo, radios pour véhicules), etc.

 

Autres matériaux acceptés

L’écocentre accepte également les appareils de réfrigération et de climatisation, les vélos, les matelas, les sièges de bébé et les plastiques numéro 6 (styromousse).

 

Matières refusées

Ordures ménagères, résidus verts, compost, biens rembourrés (divans, tapis), engins à moteurs (tondeuse, tarière, souffleuse), barbecue, bonbonnes de polyuréthane

 

Ville pionnière des Basses-Laurentides aux dimensions humaines, fière de son caractère champêtre et de son splendide environnement riverain, Bois-des-Filion propose une qualité de vie reconnue et une économie prospère à ses 10 500 habitants.

Effritement du filet social : les groupes sociaux demandent à la CAQ de mettre fin au dérapage!

Baisses d’impôt qui favorisent les plus riches, privatisation accélérée du réseau de la santé et des services sociaux, manque de places dans les services de garde éducatifs, refus de s’attaquer à l’école à trois vitesses, recours au bâillon, refus de mettre en place des mesures structurantes pour faire face à la crise du logement, montée de l’itinérance et de l’insécurité alimentaire, menace de dénationalisation d’Hydro-Québec, etc. C’est pour dénoncer l’inaction de la Coalition Avenir Québec (CAQ) devant l’effritement du filet social des Québécois et des Québécoises que des organisations sociales de divers horizons se mobilisent dans le cadre de la Journée internationale pour la justice sociale. À Joliette, c’est à l’initiative du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL), du Conseil Central de Lanaudière (CSN) et de l’APTS Lanaudière qu’une action de visibilité a été organisée à la place Bourget.  Lors de cet événement qui a rassemblé une soixantaine de personnes, des tracts d’information, du café et du bouillon ont été distribués aux participants.

Les organismes de la région s’inquiètent du manque de financement public pour les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome ainsi que de la privatisation grandissante. Comme le dit Catherine Pouliot du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) : « Pendant que notre tissu social se désagrège et que nos organismes sont épuisés, une poignée de personnes s’en mettent plein les poches ».

À Montréal, Rouyn-Noranda, Trois-Rivières, Joliette, Sherbrooke, Saguenay, Victoriaville et Québec, des groupes communautaires, féministes et syndicaux se mobilisent aussi pour revendiquer un changement de cap de la part du gouvernement. Joignant notamment sa voix à la Coalition Main rouge, le MÉPAL, la CSN et l’APTS demandent d’importants réinvestissements en santé, en éducation, dans les groupes communautaires, dans les services publics, dans les services de garde éducatifs, en itinérance et dans le logement social dans le prochain budget. Il s’agit d’une question de choix politiques. Plusieurs mesures fiscales progressives permettraient selon les groupes sociaux de réinvestir dans les services publics et les programmes sociaux ainsi que dans la mission des groupes d’action communautaire autonome. Instaurer un impôt sur le patrimoine du 1% des plus riches ; réinstaurer la taxe sur le capital pour les banques ; augmenter le nombre de paliers d’imposition ; imposer davantage les dividendes et les gains en capital, au même titre que les revenus de travail ; augmenter les impôts des grandes entreprises plutôt que de les diminuer sont autant d’avenues que le gouvernement devrait emprunter pour lutter contre les inégalités sociales et éventuellement atteindre l’équilibre budgétaire sans recourir à des coupures et des compressions.  L’ensemble des mesures fiscales proposées par la Coalition Main rouge permettraient d’augmenter d’au moins 14 milliards de dollars les revenus annuels du gouvernement du Québec.

Des dizaines d’activités gratuites pour la relâche

Cette année, pas question de rester encabané! Du 25 février au 3 mars prochain, les amateurs[1] de sensations fortes, de randonnées contemplatives en nature ou d’activités créatives trouveront de quoi se divertir en Ville. Au menu : ateliers ludiques, spectacles, expositions, activités d’éveil à la lecture, il y en aura pour tous les goûts.

« À Repentigny, ce ne sont pas les idées qui manquent! La relâche scolaire est un moment privilégié pour passer du bon temps en famille. Une fois de plus, une dizaine d’activités gratuites seront offertes dans nos installations pour le plus grand bonheur des petits et grands », souligne Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

 

Sortie parfaite pour jeunes artistes

Jusqu’au 3 mars, on crée, on bouge et on s’amuse au Centre d’art Diane-Dufresne! Au programme : séance de yoga en salle d’exposition, ateliers créatifs et ludiques et plus encore. Le 25 février, ne manquez pas le Grand vernissage familial de trois nouvelles expositions : Maison de campagne, Paradis perdu et Devenir chez-nous. L’entrée est gratuite; venez en grand nombre!

 

Une bibliothèque animée

Entre deux escapades hivernales, quoi de mieux que de s’accorder une petite pause à la bibliothèque? Les activités proposées sont aussi variées qu’amusantes et comprennent des ateliers de création de jeux vidéo, des spectacles et des heures du conte. Il est également possible de faire des emprunts de livres, de films ou de jeux de société afin de se créer des souvenirs mémorables en famille.

 

Pour les amateurs d’activités physiques

Selon le bon vouloir de la météo, les patinoires de quartier sont accessibles, de jour comme de soir. Les plus frileux pourront pratiquer leur coup de patin dans les deux arénas de la Ville. Le parc de l’Île-Lebel et les Sentiers de la Presqu’Île sont prêts pour les adeptes de randonnée, de ski de fond ou de raquette. Quant aux poissons dans l’eau, l’équipe du Centre aquatique sera heureuse de les accueillir pendant les bains libres.

 

Pour connaître la programmation détaillée, les heures d’ouverture et l’état des patinoires, consultez le site au repentigny.ca.

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise le masculin dans ce communiqué de presse uniquement pour faciliter la lecture.

Saint-Lin-Laurentides met en place 20 nouvelles bornes de recharge sur l’ensemble de son territoire Une étape significative est franchie pour une mobilité durable et responsable

La Ville de Saint-Lin-Laurentides est ravie d’annoncer la mise en place de 20 bornes de recharge électrique, réparties à divers emplacements dans la Ville. Ces bornes, de type Flo, seront accessibles via l’application Circuit électrique, offrant ainsi aux résidents et aux visiteurs une solution pratique pour recharger leurs véhicules électriques.

La Ville s’engage à soutenir la transition vers une mobilité plus durable en proposant une tarification avantageuse de 1 $ l’heure pour l’utilisation de ces nouvelles bornes de recharge. Cette mesure vise à encourager l’adoption de véhicules électriques et à contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).

Cette annonce s’ajoute à la récente installation de 8 bornes de recharge destinées aux employés municipaux, ainsi qu’aux 4 bornes rapides situées au Centre sportif (aréna).

La Ville souhaite remercier Hydro-Québec pour sa contribution majeure au projet, avec un investissement de 240 000 $. Cette collaboration renforce l’engagement commun envers un avenir énergétique plus propre et durable.

« Nous réaffirmons notre volonté à promouvoir le développement durable, l’innovation et la qualité de vie de nos citoyens. En favorisant l’électrification des transports, la Ville aspire à devenir un modèle en matière de mobilité durable au sein de la région », déclare Mathieu Maisonneuve, maire de Saint-Lin-Laurentides.

La Ville de Saint-Lin-Laurentides demeure résolument tournée vers l’innovation et la préservation des ressources pour les générations futures. En franchissant cette étape vers une mobilité plus verte, elle est fière de contribuer à la construction d’un monde plus durable.

Les résidents et les visiteurs peuvent facilement localiser l’ensemble des bornes en consultant la carte interactive sur le site :  saint-lin-laurentides.com

 

À propos

Saint-Lin–Laurentides, située au bord de la rivière l’Achigan, se trouve au carrefour de la grande région métropolitaine, des Laurentides et de Lanaudière.  Elle compte aujourd’hui plus de 25 000 habitants sur un territoire de plus de 117 km2. Empreinte d’une fierté historique, la ville de Saint-Lin-Laurentides est résolument tournée vers l’avenir.  Elle met en place des actions concrètes pour transformer l’aménagement du territoire et assurer un avenir durable pour sa communauté.  Son leitmotiv :  Assurer une expérience citoyenne de qualité et devenir une ville Référence. Fière, attrayante, inspirante, Saint-Lin-Laurentides vibre au rythme de sa résilience et de ses ambitions avec courage, persévérance et ardeur. 

Mascouche agit pour protéger ses milieux humides

La Ville de Mascouche est fière d’annoncer qu’elle a modifié son règlement de zonage en vue de protéger les milieux humides de son territoire. Le tout en lien avec son engagement pour la préservation de l’environnement et la conservation des ressources naturelles.

« Mon équipe et moi sommes très heureux du pas important que nous faisons en matière d’environnement avec l’adoption de ce règlement. Cette action concrète nous permet d’ailleurs d’atteindre la cible de 30 % de protection des milieux naturels fixée à l’échelle internationale lors de la COP15 afin de protéger la biodiversité. Pour nous, il s’agit d’une action essentielle », souligne le maire Guillaume Tremblay en ajoutant que Mascouche est l’une des premières villes à agir ainsi à l’échelle provinciale.

Les modifications apportées au règlement de zonage limiteront les activités de développement (remblai, déblai, et construction) dans les zones sensibles. Ainsi, il ne sera plus possible de procéder à aucune construction sur les milieux humides ciblés.

 

Une partie importante du territoire protégé

Les milieux humides constituent une composante importante des milieux naturels mascouchois et couvrent 5,5 % de la superficie de son territoire. En modifiant le règlement de zonage, c’est donc 1/20 de la superficie de la ville qui sera protégée.

Les milieux humides jouent un rôle essentiel dans notre écosystème en fournissant des habitats vitaux pour une multitude d’espèces végétales et animales, en régulant le cycle de l’eau, et en contribuant à la qualité de l’air que nous respirons. Ils représentent également des zones de biodiversité riches et fragiles qui méritent d’être préservées.

 

Plantes à desserts : du jardin à la table – Conférence horticole avec Joëlle Venne

Maison et jardins Antoine-Lacombe présente, jeudi 28 mars à 19 h 30, la conférence Plantes à desserts : du jardin à la table animée par Joëlle Venne. La conférence aura lieu au Centre communautaire Alain Pagé, 10, rue Pierre de Coubertin à Saint-Charles-Borromée.

Au menu : la présentation des plantes, des recettes et une dégustation! Une occasion de découvrir les herbes, fleurs et petits fruits pouvant servir à la confection de desserts, pâtisseries et confiseries.

Joëlle Venne est agronome et détentrice d’une maîtrise en biologie végétale. Elle est copropriétaire de l’entreprise Les Jardins Gourmands située à Saint-Jacques. Cette jeune entreprise dynamique se spécialise dans la production et la commercialisation de plantes comestibles. Petite Pâtissière, Cocktails de filles, Collection Spicy et Maîtres Brasseurs constituent les Collections gourmandes disponibles à la jardinerie.

 

Horaire :

1re partie de la conférence : 19 h 30 à 20 h 30

Pause : 20 h 30 à 20 h 45

2e partie de la conférence : 20 h 45 à 21 h 45

 

Il est conseillé de réserver ses billets en ligne, par téléphone au 450 755-1113 ou à l’accueil de la Maison Antoine-Lacombe. Il sera aussi possible d’acheter des billets sur place le soir de la conférence, en argent comptant.

Pour plus de détails, consultez le site Web de Maison et jardins Antoine-Lacombe : antoinelacombe.com.

Maison et jardins Antoine-Lacombe tient à remercier la ville de Saint-Charles-Borromée pour leur précieuse contribution.

 

Ouverture exposition permanente L’Histoire avec un grand…T!

Un piano et des mots – La nouvelle revue musicale de l’été avec Marc-André Fortin et Audrey-Louise Beauséjour au Théâtre Alphonse-Desjardins à Repentigny dès le 27 juin 2024

Dès le 27 juin prochain, et ce, pour 18 représentations, le public est invité à plonger au cœur d’une expérience musicale inoubliable avec Un piano et des mots, une toute nouvelle revue musicale où la puissance des mots et la magie du piano se rencontrent ! Marc-André Fortin (Star AcadémieQuébec Issime, Disney – un rêve est un souhait) et Audrey-Louise Beauséjour (Star AcadémieLa mélodie du bonheur, 7), accompagnés de trois musiciens, y proposent un voyage à travers le temps, mettant en lumière les joyaux du répertoire francophone avec talent et émotion.

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« C’est dans la pénombre que la lumière est belle », « T’es la plus belle saison de ma vie », « Pour l’amour qu’il nous reste », « Toujours vivant », « S’il fallait », « En 67 tout était beau » ou encore « Crée-moi, crée-moi pas… », voilà des parcelles de chansons populaires qui habiteront tout l’été le Théâtre Alphonse-Desjardins de Repentigny. Des paroles évocatrices, des mélodies envoûtantes, des chansons qui font écho comme des marqueurs temporels, Un piano et des mots offre une ode à la nostalgie et à l’authenticité ; un moment privilégié tout en musique où chaque note et chaque mot résonneront avec vérité et virtuosité.

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jeudi 27 juin 2024 / 20 h
vendredi 28 juin 2024 / 20 h
samedi 29 juin 2024 / 15 h
jeudi 4 juillet 2024 / 20 h / PREMIÈRE MÉDIATIQUE
vendredi 5 juillet 2024 / 20 h
samedi 6 juillet 2024 / 20 h
dimanche 7 juillet 2024 / 15 h
jeudi 11 juillet 2024 / 20 h
vendredi 12 juillet 2024 / 20 h
samedi 13 juillet 2024 / 15 h
samedi 13 juillet 2024 / 20 h
jeudi 18 juillet 2024 / 20 h
vendredi 19 juillet 2024 / 20 h
samedi 20 juillet 2024 / 15 h
samedi 20 juillet 2024 / 20 h
jeudi 25 juillet 2024 / 20 h
vendredi 26 juillet 2024 / 20 h
samedi 27 juillet 2024 / 15 h

Création : Productions Grand V. (Valérie Boulianne et Janik V. Dufour) / Textes : Janik V. Dufour et Louis-Charles Sylvestre / Mise en scène : Janik V. Dufour / Direction musicale et piano : Gabriel Bertrand Gagnon / Musiciens : Maxime Reed (batterie) et Maxime Alarie (basse) / Éclairages : Mathieu Paradis / Son : Steve Branchaud

 

À PROPOS DE MARC-ANDRÉ FORTIN
Alors qu’il célébrera sous peu ses 25 ans de carrière, Marc-André a encore dans la tête, le cœur et la voix mille et un projets. Le public québécois l’a connu et élu grand gagnant de Star Académie en 2005, lui qui collaborait déjà aux mégas productions de Québéc Issime et qui remportait tous les concours de chant en province. À la suite de Star Académie, il participe à de nombreux événements autant à la télévision, sur disque que sur scène : il a entre autres animé la populaire émission Demandes spéciales à TVA, été en vedette dans American Story ShowJe reviens chez nousDeux, les plus grands duosLa caravane country, Chaque Noël et artiste invité de la Sinfonia de Lanaudière à plusieurs reprises. En plus de peaufiner la sortie d’un 4e album en carrière, il collabore à plusieurs spectacles lui permettant de poursuivre son unique passion : la chanson. Tout récemment, il foulait les planches de la Place des Arts pour les concerts Disney, un rêve est un souhait, avec l’Orchestre Philharmonique du Québec sous la direction d’Alexandre Da Costa. Il est nouvellement ambassadeur de la Fondation Louis-Philippe Janvier pour la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Ce sera autour d’un piano, avec ses musiciens ou devant un orchestre symphonique qu’il ira à votre rencontre.

À PROPOS D’AUDREY-LOUISE BEAUSÉJOUR

Sincère et déterminée, Audrey-Louise a naturellement tracé sa voie par son chant pur et son jeu de scène nuancé. Sa formation à la prestigieuse New York Film Academy, où elle obtient une bourse d’excellence, en témoigne avec éloquence. Les dernières années ont été ponctuées de nombreux doublages, alors qu’elle prête notamment sa voix dans le célèbre film Le Roi Lion de Disney et La Petite sirène. Du côté des comédies musicales, on a pu la voir dans le rôle-titre de La Reine des neiges le musical, dans la distribution de Fame où elle reçoit la bourse Juste pour rire, dans Sweeney Todd à New York. C’est toutefois en 2022, lors de son passage remarqué à Star Académie que le public la découvre réellement. Audrey-Louise a depuis enchaîné les spectacles, festivals et performances télévisées. L’année 2022 s’est d’ailleurs terminée par une série de représentations au Théâtre St-Denis dans la comédie musicale La mélodie du bonheur, où elle interprète le rôle de Liesl Von Trapp. On la retrouve ensuite dans diverses productions dont de Gregory Charles, une revue à grand déploiement des plus beaux films musicaux des 100 dernières années présentée à la salle Wilfrid-Pelletier. Par ailleurs, Audrey-Louise travaille présentement sur ses propres chansons, dévoilement à venir au cours de la prochaine année.

À PROPOS DE PRODUCTIONS GRAND V.

Présent dans le paysage culturel depuis 2014, Productions Grand V. a présenté plus de 7 revues musicales en création (Blue Suede Show, Cocktail, Je reviens chez nous, Deux, les plus grands duos, Radio-Cassette, Nos icônes, Un piano et des mots). En plus d’agir à titre de maison de disque (Les Bouches Bées, Flavie Léger-Roy, Gabrielle Destroismaisons, Je reviens chez nous – album), Grand V. assure la gérance du groupe Salebarbes depuis 2021 en plus d’être label pour leur plus récent album « À boire deboutte ».

Renouveau Lanaudière – Rassemblement citoyen pour l’indépendance du Québec

Le samedi 24 février 2024, les Organisations Unies pour l’indépendance (OUI Québec) tiendront un rassemblement festif et politique pour promouvoir la souveraineté du Québec. Ce rendez-vous indépendantiste aura lieu au Café culturel de la Chasse-galerie, à Lavaltrie, à compter de 19h00.

Cette célébration vise à revisiter le projet souverainiste à travers le regard rafraîchissant d’artistes, d’orateur-trices et de citoyen-nes lanaudois-es. Au menu : prises de parole engagées et performances artistiques. Les formations musicales néo-trad É.T.É, Héron et Mélisande Électrotrad y performeront.

Cet événement est orchestré par six jeunes militant-es de la région : Cinthya Murphy Vazquez, Émile Villeneuve, Julien Mei, Lorie Blouin, Reno Sincerny et Solaine Caron. « La jeunesse a soif de se mobiliser. Un vent de renouveau souffle sur le mouvement indépendantiste », s’enthousiasme Camille Goyette-Gingras, présidente des OUI Québec.

« L’indépendance du Québec est plus pertinente que jamais », affirme pour sa part Julien Mei, président de la table régionale des OUI Québec. Le jeune homme de 20 ans mentionne que plusieurs enjeux seront abordés durant la soirée, notamment l’environnement, le féminisme et la langue française. « Nous voulons rassembler notre communauté autour de ce qui compte vraiment et mettre en lumière des citoyen-nes inspirant-es », ajoute-t-il.

Crédit : Thomas Brassard, 2024. OUI Québec.

À PROPOS DES OUI QUÉBEC

Mouvement citoyen non partisan, les OUI Québec cherchent à réunir les indépendantistes de tous les horizons, avec un objectif fondamental : favoriser la convergence au sein du mouvement indépendantiste. Pour en savoir plus, visitez le https://ouiquebec.org/

Négociation des enseignants, le SERM confirme l’obtention d’un règlement sectoriel

Réunis en conseil le 14 février dernier, le Syndicat d’enseignement de la région des Moulins (SERM), la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) et l’Association provinciale des enseignantes et des enseignants du Québec (APEQ) ont adopté, à la majorité, la proposition de règlement sectoriel obtenu le 22 décembre dernier.

Parmi les milliers d’enseignants qui ont exercé leur droit de vote, 59,5 % se sont prononcés en faveur de cette proposition. Les résultats témoignent selon le président du SERM, Jean-Louis Bray, d’une insatisfaction évidente à la finalité de l’entente.

« Si une majorité de nos membres reconnait plusieurs avancées, la déception est vive et palpable quant à l’insuffisance des ressources accordées par le gouvernement pour s’attaquer au problème de la composition de la classe et de la lourdeur de la tâche des enseignants. », précise monsieur Bray.

Ce sentiment est partagé par les enseignants de tous les secteurs, autant du côté des jeunes, de l’éducation des adultes que de la formation professionnelle. « On comprend les limites découlant de la pénurie de main-d’œuvre, mais le personnel enseignant s’attendait, à juste titre, à retrouver davantage de signaux témoignant de l’intention gouvernementale de s’attaquer à long terme à ces problèmes fondamentaux », ajoute Karine Nantel, vice-présidente du SERM.

Selon le SERM, le travail doit se poursuivre pour trouver des solutions aux problématiques rencontrées en explorant des pistes qui vont au-delà des limites d’une convention collective et de l’ajout de personnel. On peut penser par exemple aux lois, aux politiques, aux règlements et à l’organisation du réseau scolaire. « On ne peut pas rebâtir en une seule négociation un réseau négligé depuis 20 ans. Ça va prendre du temps et ça va prendre une volonté de travailler ensemble dans une perspective de dialogue social », ont précisé madame Nantel et monsieur Bray.

À cet effet, la FSE-CSQ et ses syndicats affiliés amorcent une offensive professionnelle pour obtenir des améliorations dans le travail quotidien des enseignants, notamment sur le plan pédagogique. Que ce soit la question de l’école à trois vitesses, de la différenciation pédagogique ou l’évaluation des apprentissages, ils proposeront au ministre Drainville des solutions concrètes pour ses problématiques de fond.

 

Les grandes lignes du règlement

Composition de la classe :

  • L’ajout de sommes récurrentes totalisant 74 M$ en lien avec la composition de la classe, dont la vaste majorité sera gérée dans les centres de services scolaires, par les comités paritaires pour les élèves en difficulté, afin de répondre aux différentes problématiques vécues dans les milieux (pas de seuils ni prime);
  • L’ajout d’une ressource additionnelle à mi-temps en maternelle 5 ans (autre que l’aide à la classe) attribuée en priorité aux groupes dont le maximum du nombre d’élèves est atteint.

 

Pour la tâche :

  • L’obtention pour les enseignants de tous les secteurs d’un nombre de journées pédagogiques protégées quant au lieu (25 %) et l’augmentation du nombre de celles protégées quant au contenu (20 %);
  • L’augmentation graduelle de la possibilité d’effectuer du télétravail, passant des 2 heures actuelles pour éventuellement atteindre 5 heures par semaine, et ce, pour les enseignants de tous les secteurs;
  • L’ajout de 4 000 aides à la classe (équivalents temps plein) dès l’année scolaire 2024‑2025;
  • Le retrait progressif de la surveillance collective pour atteindre, à terme, le retrait de l’ensemble de la surveillance effectuée par les enseignants du primaire, lorsque possible;
  • La reconnaissance automatique d’une heure d’encadrement minimum par semaine dans la tâche éducative pour tous les enseignants du primaire, non inscrite à l’horaire.

 

Pour la rémunération :

  • La bonification des échelons 1 à 15 de l’échelle salariale des enseignants, à laquelle il faudra ajouter les paramètres généraux de 17,4 % sur 5 ans négociés à la table centrale par le Front commun, sous réserve des résultats des votes, sans oublier la clause de protection de l’Indice des prix à la consommation (IPC);
  • La bonification des taux de suppléance pour tous les statuts d’emploi permettant, notamment, une certaine reconnaissance des heures supplémentaires effectuées pour les enseignants qui ont une tâche effective à 100 % et qui font de la suppléance.

 

Le point sur l’entente de principe intersectorielle conclue en Front commun se fera plus tard en février.