Exposition-concours annuelle du Club Photo Joliette à la Maison Antoine-Lacombe

Quelque chose… de lumineux, coloré, vieux, esseulé!

Maison et jardins Antoine-Lacombe présente du 1er au 26 novembre 2023, l’exposition-concours annuelle du Club Photo Joliette sur les thèmes de la lumière, la couleur, la vieillesse et la solitude. Le vernissage aura lieu le samedi 4 novembre de 13 h à 17 h, allocutions à 13 h 30. Bienvenue à tous, l’entrée est gratuite.

Depuis 10 ans, le Club Photo Joliette organise des concours avec des thèmes qui varient chaque année. L’exposition regroupe des photographies prises par des amateurs et des professionnels qui ont fait appel à leur imagination débordante.

Une invitation à découvrir les photographies de 30 membres : Michèle Amyot, François Brousseau, Daniel Collette, Nicole Dufresne, Gaël Dumais-Veilleux,  Carole Fontaine, Nicole Forget, Robert Fortier, Charles Gautier, Isabelle Gendron, Lison Gervais, Christian Landry, Gérard Laperrière, Bruno Laporte, Murielle Larochelle, Francine Lasalle, Daniel Lebel, Pierre Leclaire, Renée Ledoux, Fanny Lévesque, Chantal Marcil, Guillaume Morin, Diane Paquette, Richard Paradis, Benoit Pichette, Madelyne Rondeau, Diane Roy, Martin Simard, Janik Spattz et René Tieleman.

Fondé en 2014, le Club Photo Joliette est un organisme à but non lucratif, qui se dédie à offrir un lieu d’échange et de partage entre photographes de différents niveaux, sur la technique et l’art de la photographie. Le Club Photo Joliette fête cette année ses 10 ans d’activités.

 

Maison et jardins Antoine-Lacombe tient à remercier la ville de Saint-Charles-Borromée et la Caisse Desjardins de Joliette et du Centre de Lanaudière pour leur précieuse contribution.

 

Pour plus de détails, consultez le site Web de Maison et jardins Antoine-Lacombe : antoinelacombe.com.

SEMAINE QUÉBÉCOISE DE RÉDUCTION DES DÉCHETS 2023 – Terrebonne mise sur l’expérience de Grégory Pratte pour sensibiliser ses citoyens

À l’occasion de la Semaine québécoise de réduction des déchets (SQRD), la Ville de Terrebonne est heureuse d’annoncer que Grégory Pratte joindra pour les mois à venir sa voix à celle des membres de l’équipe du Bureau de l’environnement et de la transition écologique. Il contribuera entre autres à éclairer les citoyens, les organismes et les commerçants en vue d’une gestion optimisée des matières résiduelles.

Excellent vulgarisateur, Grégory offrira différentes formes d’accompagnement qui viseront en priorité la réduction à la source de la consommation individuelle et collective. Après tout, comme la campagne Non merci aux objets à usage unique le rappelle bien depuis mars dernier : le meilleur déchet demeure celui qu’on ne produit pas! Grégory partagera également des trucs pratico-pratiques qui permettront aux gens d’optimiser le tri de leurs matières résiduelles selon la hiérarchie des 3RV (réduction, réemploi, recyclage et valorisation). Sa mission? Accompagner les Terrebonniens à travers les différents changements de comportements qui sont plus que jamais incontournables pour assurer une planète saine aux générations à venir.

« Avec notre Politique de transition écologique, nous avons pris l’engagement de valoriser l’adoption d’habitudes écoresponsables, notamment en misant sur l’information, la sensibilisation et l’éducation quant aux impacts environnementaux des gestes quotidiens que nous posons tous. Une saine gestion des bacs nous permet de réduire la quantité de déchets enfouis tout en favorisant le réemploi, le recyclage et la valorisation de nos matières. La Ville de Terrebonne ne peut donc que se réjouir de cette nouvelle collaboration qui mènera autant les citoyens que les employés vers de meilleures pratiques », a souligné le maire Mathieu Traversy.

Grégory Pratte, plein d’enthousiasme, a pour sa part déclaré : « J’ai hâte de mettre à profit mon expertise et mon expérience pour contribuer à renforcer les initiatives en faveur de l’environnement à la Ville de Terrebonne. J’ai déjà plusieurs idées pour sensibiliser tous les acteurs locaux à l’importance d’une gestion optimisée des matières résiduelles ».

 

À propos de Grégory Pratte

Avec une carrière impressionnante et un parcours jalonné de succès dans le domaine de la gestion des matières résiduelles, Grégory Pratte est reconnu comme une figure qui se démarque dans le milieu depuis plus de 17 ans, particulièrement grâce à ses talents de communicateur et de vulgarisateur spécialisé. Chroniqueur, conférencier et créateur de contenu, on peut fréquemment entendre Grégory sur les ondes de Radio-Canada et à l’émission Salut Bonjour. Celui-ci souhaite agir comme courroie de transmission entre les organisations et les citoyens afin de mieux gérer collectivement ce que nous consommons.

Passez vert, réclamez $ – La Ville de Repentigny lance son nouveau programme de subventions vertes

Puisque chaque geste compte en matière d’environnement, la Ville de Repentigny lance son tout nouveau programme d’aide financière à la transition écocitoyenne, encourageant ainsi les citoyens1 à privilégier des choix écoresponsables dans toutes les sphères de leur vie.

S’inspirant des meilleures pratiques environnementales, le programme met de l’avant 48 écogestes à adopter au quotidien et, pour y parvenir plus facilement, 24 subventions vertes avantageuses et accessibles. Ces dernières incluent celles qui étaient auparavant offertes et particulièrement appréciées, ainsi que plusieurs nouveautés. À cela s’ajoutent une foule de renseignements supplémentaires sur des pratiques écologiques de même que quelques exemples d’initiatives écoresponsables réalisées par la Ville. Afin de faciliter la recherche, les subventions et les écogestes sont divisés en six catégories :

–           Biodiversité et verdissement;

–           Gestion de l’eau;

–           Gestion des matières résiduelles;

–           Mobilité durable;

–           Gestion de l’énergie;

–           Accessibilité et maison saine.

« La Ville de Repentigny est un joueur important dans la lutte aux changements climatiques avec sa population de plus de 88 000 habitants. Pour que nos efforts soient plus efficaces, on se devait de revoir notre offre d’aide financière afin de la rendre plus complète et plus simple pour les Repentignoises et les Repentignois. Ensemble, nous pouvons réduire notre impact environnemental tout en renforçant notre résilience aux changements climatiques. C’est donc avec cette vision de coresponsabilité que la Ville a conçu cette nouvelle version qui offre également à la population un meilleur accompagnement à la transition écocitoyenne et une occasion d’économiser en même temps », a déclaré Normand Urbain, président de la Commission environnement et résilience climatique et conseiller municipal.

En août 2020, Repentigny participait au programme Habitation durable (projets de construction et de rénovation écoresponsables) mis sur pied par la Ville de Victoriaville. Toutefois, afin de répondre de manière plus personnalisée aux besoins et à la réalité de sa population, la Ville a choisi de créer son propre programme d’aide financière à la transition écologique.

En support au nouveau programme, une vaste campagne de promotion se déploiera aux quatre coins du territoire sous la thématique Passez vert, réclamez $. Cette campagne sera également l’occasion de réfléchir à nos habitudes de consommation et d’amener à cheminer vers un mode de vie zéro déchet (ou presque) en réduisant, réutilisant et valorisant avant d’éliminer (3RV-É).

La population peut se renseigner sur les critères d’admissibilité de chaque subvention, sur l’ensemble du nouveau programme et remplir les formulaires d’aide financière au repentigny.ca/ecocitoyen.

Le Living Lab Lanaudière, un projet innovant soutenu par toute une communauté

L’écosystème était invité à souligner le travail accompli du Living Lab Lanaudière (LLL) depuis les quatre dernières années au Musée d’art de Joliette. L’événement Cocréer – Innover – Expérimenter – REMERCIER a permis de rendre hommage aux différents membres, dont les partenaires financiers, milieux testeurs, innovateurs, collaborateurs et tous ceux qui ont contribué de près ou de loin au succès du Living Lab Lanaudière. Des témoignages d’entreprises ayant eu recours aux services ont aussi permis de mieux comprendre la valeur ajoutée du Living Lab Lanaudière dans leur intégration technologique ou processus de développement de produits innovants.

Un temps d’arrêt pour remercier ses nombreux partenaires

Le Living Lab Lanaudière peut compter sur un réseau de nombreux partenaires. Ce fut d’ailleurs un des éléments centraux de l’événement, soit de souligner l’apport des très nombreux partenaires du LLL.

Nicolas Préville-Ratelle, président de la Corporation de développement économique de la MRC de Joliette (CDÉJ) qui porte le projet du Living Lab Lanaudière, soulignait d’ailleurs que c’était ça l’essence d’un laboratoire vivant, soit la collaboration de tous les acteurs de l’écosystème, incluant l’utilisateur final, au développement d’une solution qui répond à un besoin spécifique. Pour se faire, le LLL compte pas moins de 21 partenaires techniques, que ce soient des incubateurs d’entreprises, des centres de recherches ou des entreprises prêtes à effectuer des tests. Bien entendu, l’existence du LLL ne serait pas possible sans la contribution financière de plusieurs partenaires d’importance dont la MRC de Joliette, Desjardins, le Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE) et le Ministère des Affaires Municipales et de l’Habitation (MAMH).

Lanaudière transformée en zone d’expérimentation technologique

Depuis maintenant quatre ans, l’équipe du LLL effectue principalement des maillages entre des startups innovantes qui souhaitent finaliser le développement technologique d’un produit et, des entreprises lanaudoises prêtes à tester en environnement leur innovation tout en donnant de la rétroaction. Selon Noémie Blanchette Forget, conseillère aux maillages technologiques, « cette formule est très payante pour les deux parties. Pour la startup, le LLL lui ouvre les portes d’un milieu réel qui lui permettra de mieux comprendre les besoins d’un client potentiel. Pour l’entreprise qui teste l’innovation, c’est l’opportunité d’essayer une solution technologique qui pourrait éventuellement répondre à un besoin. Durant tout le projet, qui peut s’étaler sur trois mois, le LLL accompagne les deux parties et peut y intégrer au besoin d’autres joueurs de l’écosystème ». Cela dit, pour la startup on augmente donc les chances que le produit développé soit vraiment en phase avec les besoins du marché. Pour Lanaudière, la multiplication des tests au sein des entreprises favorise une meilleure compréhension de ce que les technologies peuvent accomplir.

La santé, un secteur où les projets se multiplient

Bien que le Living Lab Lanaudière réalise des projets de maillage dans tous les secteurs d’activité économiques, plusieurs d’entre eux se sont fait dans le secteur de la santé.

Sous l’impulsion des Habitations Bordeleau, du groupe de santé Arbec, des résidences Arthur B., de la SADC de D’Autray-Joliette et de la CDÉJ, une démarche a même pris forme pour explorer un projet plus structurant de centre d’innovation en vieillissement. Une première marche a d’ailleurs été franchie avec le déploiement d’un Living Lab en vieillissement en région, projet de recherche déployé dans la région en collaboration avec l’Université du Québec de Trois-Rivières.

La MRC de Joliette a d’ailleurs annoncé au printemps une aide supplémentaire à la Corporation de développement économique de Joliette (CDÉJ) d’un peu moins de 500 000 $ pour aider à la réflexion et à la réalisation d’un centre d’innovation à définir. « Le vieillissement de la population est un enjeu sur lequel la MRC de Joliette réfléchit depuis plusieurs années. Quand on a vu qu’il y avait un intérêt de plusieurs acteurs d’en faire une thématique pour laquelle trouver des solutions innovantes et, que la CDÉJ avait réussi à les mobiliser, il était tout naturel de l’appuyer », a affirmé Alain Bellemare, préfet de la MRC de Joliette et maire de St-Paul. Il conclut en félicitant l’équipe de la CDÉJ et du LLL pour tout le travail accompli depuis les quatre dernières années et d’avoir réussi à mieux faire comprendre l’apport des nouvelles technologies dans notre société.

À propos Living Lab Lanaudière

Le Living Lab Lanaudière, mis en place par la Corporation de Développement Économique de la MRC de Joliette (CDÉJ), vise à transformer la région de Lanaudière en zone d’expérimentation réelle où les acteurs de l’écosystème de l’innovation peuvent travailler ensemble à cocréer, expérimenter et innover les technologies de demain. Cette stratégie d’innovation permet un maillage entre un Microlab et un Innovateur afin qu’ils cocréent et adaptent une solution technologique grâce à des tests en situation réelle et aux rétroactions des utilisateurs finaux. Le Living Lab contribue à l’avancement technologique des organisations de Lanaudière en les plaçant au centre du processus d’innovation, favorisant le développement d’une culture de cocréation à travers tous les acteurs de l’écosystème. Le Living Lab Lanaudière cherche ainsi à favoriser l’émergence et l’attraction de talents sur le territoire de Lanaudière.

Annonce des cinq finalistes du Prix Monique-et-Robert-Parizeau dédié à l’innovation en arts imprimés

Le Musée d’art de Joliette (MAJ) dévoile aujourd’hui les cinq finalistes du Prix Monique-et-Robert-Parizeau, dédié à l’innovation en arts imprimés.

« Nous tenons à féliciter les finalistes ainsi que l’ensemble des 21 artistes qui ont déposé un dossier cette année. La variété et la profondeur des démarches artistiques témoigne de la très grande vitalité du secteur des arts imprimés, » souligne Julie Armstrong-Boileau, co-directrice générale par intérim du Musée d’art de Joliette.

Le Musée d’art de Joliette tient à remercier chaleureusement les membres du jury pour leur excellent travail d’analyse :

  • Jean-François Bélisle, directeur et PDG du Musée des beaux-arts du Canada
  • Mark Bovey, artiste et professeur en estampe de l’Université NSCAD
  • Yael Brotman, artiste et professeure émérite de l’Université de Toronto Scarborough
  • Madeleine Forcier, historienne de l’art et directrice de Graff
  • Jean-Michel Parizeau, représentant de la famille Parizeau
  • Julie Alary Lavallée, conservatrice des collections du Musée d’art de Joliette
  • Julie Armstrong-Boileau, co-directrice générale par intérim du Musée d’art de Joliette
  • Marianne Cloutier, conservatrice de l’art contemporain par intérim du Musée d’art de Joliette

 

Voici la liste des cinq finalistes du Prix Monique-et-Robert-Parizeau 2023 :

  • Cassandre Boucher
  • Chloë Lum et Yannick Desranleau
  • Mitch Mitchell
  • Dominique Pétrin
  • Oli Sorensen

Le nom du lauréat ou de la lauréate sera annoncé le 25 octobre prochain.

 

À propos du Prix Monique-et-Robert-Parizeau

Administré par le MAJ, ce prix a été créé cette année en l’honneur de Monique Parizeau, artiste ayant principalement dédié sa carrière à l’estampe. Afin de laisser son empreinte dans le temps et d’en assurer la pérennité, ce prix annuel est financé grâce à la création du Fonds de dotation Monique-et-Robert Parizeau. Pendant les quatre premières années d’un cycle de cinq ans, chaque année, un ou une artiste recevra un prix de 15 000 $. Au cours de la cinquième année, les quatre récipiendaires prendront part à une exposition collective au MAJ. Cette année, l’annonce de la lauréate ou du lauréat aura lieu au début du mois d’octobre. Ce concours sur invitation s’appuie sur les recommandations d’un jury et d’un nombre important d’organismes spécialisés en estampe et en arts imprimés.

Le MAJ remercie chaleureusement la famille Parizeau pour cette riche collaboration dont l’objectif est de supporter à travers les années l’écosystème des arts imprimés québécois, canadien et international.

 

Le Fonds Monique-et-Robert-Parizeau

Fondé en 2022 par la Fondation du Musée d’art de Joliette, le Fonds Monique-et-Robert Parizeau pour l’excellence a pour objectif de fournir un soutien financier au Prix-Monique-et-Robert-Parizeau, un grand prix canadien qui met en lumière chaque année l’innovation dans le domaine des arts imprimés au Canada. La création de ce fonds a été rendue possible grâce aux généreuses contributions de M. Robert Parizeau, M. Jean-Michel Parizeau et Mme Marie-Noëlle Gagnon, en hommage à Mme Monique Parizeau.

Si vous souhaitez contribuer à ce fonds et soutenir l’innovation dans les arts imprimés, nous vous invitons à utiliser le lien suivant :

https://jedonneenligne.org/fondationmaj/FONDSROBERTPARIZEAU/

 

Le Musée d’art de Joliette

Fondé en 1967, le Musée d’art de Joliette a pour mission d’acquérir, de conserver, de mettre en valeur et de diffuser des œuvres anciennes et contemporaines d’artistes québécois, canadiens et étrangers au moyen d’expositions et d’activités culturelles et éducatives. Avec son architecture lumineuse et son emplacement de choix devant l’Outaragawe sipi (rivière L’Assomption), le Musée d’art de Joliette est l’un des premiers bâtiments qui accueille les visiteurs et les visiteuses à l’entrée de la ville de Joliette. Sa collection de 8 000 œuvres d’art est l’une des plus importantes au Québec. Variée et inclusive, la programmation culturelle du Musée varie à chaque saison.

 

La Fondation du Musée d’art de Joliette

La Fondation du Musée d’art de Joliette (FMAJ) a pour mission d’accélérer le développement du MAJ, par la sollicitation, l’administration et la redistribution des fonds recueillis selon différents axes de développement du Musée, de l’acquisition d’œuvres d’art, à l’accessibilité en passant par l’éducation.

La Ville de L’Assomption présente sa Politique culturelle 2023-2028

La Ville de L’Assomption est fière de présenter sa toute nouvelle Politique culturelle et son plan d’action 2023-2028 incarnant la vision de la municipalité pour le développement culturel à L’Assomption.

En 2002, la Ville adoptait sa première Politique culturelle, qui avait déjà une vision avant-gardiste de la culture en tant que moteur de développement portée par une notion identitaire bien définie. Souhaitant raffiner les bases de cette vision, la Ville entreprit donc une refonte complète de sa Politique culturelle afin d’y refléter son positionnement comme levier de développement socio-économique et touristique.

Le processus de création de cette nouvelle politique résulte d’un effort concerté de plusieurs partenaires sur près d’une année de travail. Bénéficiant de la précieuse collaboration de nombreux acteurs culturels, intervenants et artistes du territoire, les idées et réflexions recueillies au cours de ces rencontres, consultations publiques et sondages ont joué un rôle essentiel dans l’élaboration et l’orientation de la Politique culturelle 2023-2028 et de son plan d’action.

« À L’Assomption, la richesse culturelle repose sur la communauté et son milieu. Il était donc essentiel d’écouter les voix de nos citoyens et de les impliquer activement dans ce processus. Cette politique reflète donc l’engagement de la municipalité envers la culture et le patrimoine et la volonté de la mettre au cœur de nos actions. Elle est le fruit d’un processus participatif inclusif donnant la parole aux citoyens et aux acteurs culturels locaux reflétant ainsi la vision porteuse de notre précieuse devise : L’Assomption Ville de culture et de patrimoine » a ajouté le maire, Sébastien Nadeau.

 

Principes directeurs

 

Le préambule de la démarche entreprise par la Ville de L’Assomption s’articule autour de trois principes directeurs qui guident cette vision, à savoir :

  1. L’Assomption, maître d’œuvre
  2. L’Assomption, partenaire du développement culturel
  3. Une approche structurée et intégrée

 

Cette vision se traduit ainsi par un plan d’action se déclinant en trois axes majeurs, chacun étant associé à des orientations qui en découlent :

 

  1. Participation citoyenne et citoyenneté culturelle
  • Accroître l’accès des citoyens à la culture
  • Favoriser la participation culturelle
  1. Vitalité artistique et patrimoine
  • Poursuivre le développement des infrastructures culturelles
  • Soutenir la vitalité artistique
  • Continuer la préservation et la mise en valeur du patrimoine
  1. Concertation et rayonnement
  • Faire de la concertation et des partenariats les principaux modes d’intervention
  • Recourir à la culture pour renforcer le caractère distinctif de L’Assomption et en faire un outil de son rayonnement

 

Ces principes directeurs et axes d’action sont conçus afin de positionner le développement culturel sur le territoire en favorisant la participation citoyenne, la vitalité artistique, la préservation du patrimoine bâti et le rayonnement culturel de la Ville.

 

La Politique ainsi que le résumé du Plan d’action 2023-2028 sont disponibles sur le site Web de la Ville, dans la section Loisirs, culture et tourisme : www.ville.lassomption.qc.ca/loisirs-culture-et-tourisme/

Réduction des produits à usage unique – La MRC de L’Assomption soutient les commerçants du territoire

La MRC de L’Assomption entame une démarche d’accompagnement et de sensibilisation à la réduction des produits à usage unique. Ce projet a pour objectif de favoriser la mise en place des mesures qui stimuleront, autant chez la population que les gestionnaires de commerces, l’adoption de comportements voués à la réduction de l’utilisation de produits à usage unique et au gaspillage des ressources.

 

Une démarche en trois volets

Au printemps 2023, la MRC a mené un sondage auprès des gestionnaires de commerces et de la population afin de connaître leurs motivations et leurs freins à offrir ou utiliser un service de réduction à la source des produits à usage unique. Cet automne, elle accompagne directement les commerces souhaitant participer au projet. Ensuite, une campagne de sensibilisation et d’éducation sera déployée sur l’ensemble du territoire à compter de cet hiver.

Les gestionnaires de commerce qui ont de l’intérêt à participer au projet zéro déchet bénéficieront d’un accompagnement gratuit du partenaire ConsulTerre et de la MRC de L’Assomption.

 

Réduction de produits à usage unique

Dans les commerces, les actions de réduction à la source et la consommation responsable peuvent se présenter sous diverses formes : politique d’acceptation des contenants réutilisables des clients pour les aliments, les produits de soin et d’entretien ménager, retrait de la vente d’articles à usage unique non recyclables, offre de produits en vrac, priorité aux produits régionaux, gestion optimale des matières résiduelles issues des opérations, notamment les invendus, etc.

 

La MRC offrira plusieurs outils et services en lien avec cette démarche

  • Site internet dédié incluant une carte interactive identifiant les commerces écoresponsables et des trucs et astuces pour la population;
  • Autocollant à afficher pour identifier les commerces faisant partie du mouvement;
  • Élaboration conjointe d’une procédure personnalisée permettant à la clientèle d’apporter ses contenants;
  • Identification d’ambassadeurs et d’ambassadrices (propriétaires de commerces « modèles ») partageant leurs bonnes pratiques;
  • Accompagnement personnalisé pour améliorer le bilan en gestion des matières résiduelles des commerces.

La trousse des gestionnaires sera disponible gratuitement en format numérique au

http://www.mrclassomption.qc.ca/reduction.

 

 

Bannissement de certains objets à usage unique au Canada

Le gouvernement fédéral a adopté en 2022 un règlement interdisant les plastiques à usage unique. Selon ce règlement, les sacs d’emplettes, ustensiles, récipients alimentaires, bâtonnets à mélanger, pailles et anneaux pour emballage de boissons seront graduellement interdits de fabrication, importation, exportation et vente d’ici décembre 2025.

 

Pour en savoir plus sur le règlement, nous vous invitons à consulter la page         « Règlement interdisant les plastiques à usage unique » dans le site internet du Gouvernement du Canada.

 

 

Merci à notre partenaire

Ce projet est financé par RECYC-QUÉBEC dans le cadre d’un appel de propositions visant la réduction de l’utilisation de produits à usage unique.

 

Une nouvelle édition de la carte des circuits touristiques gourmands Goûtez Lanaudière! en préparation

Le 16 octobre dernier, Le Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière (CDBL) et Tourisme Lanaudière ont fièrement présenté les normes pour intégrer la carte des Circuits touristiques gourmands Goûtez Lanaudière! Édition 2024. Les entreprises lanaudoises en agrotourisme et tourisme gourmand ont jusqu’au 6 novembre 2023 pour en prendre connaissance et compléter leur formulaire d’inscription.

Quelques nouveautés sont à souligner dans les normes 2024. Mentionnons entre autres : L’arrivée des restaurateurs du terroir sur la carte, des heures d’ouverture minimales assouplies qui répondent à des demandes du secteur faisant face à des défis de main d’œuvre, deux types de visibilité proposés en fonction des services offerts à la clientèle excursionniste et la formation Expert Lanaudière à compléter par au moins un membre du personnel à l’accueil.

Karine Charpentier, directrice générale du CDBL souligne : « 47 personnes étaient présentes à la rencontre et 14 autres y ont assisté en mode virtuel, cela témoigne déjà de l’enthousiasme que suscitent les circuits qui sont un moyen extraordinaire de faire connaître les richesses de notre région, tant les produits des producteurs, transformateurs, que l’expérience qui y est vécue sans oublier nos restaurateurs qui ont à cœur de cuisiner et offrir ses produits uniques ».

Repentigny – Cure de jeunesse pour la rue Saint-Paul

La Ville de Repentigny est heureuse d’annoncer que les travaux de réfection de la chaussée sur la rue Saint-Paul, entre le chemin de la Presqu’Île et la Ville de Mascouche, sont maintenant terminés. Le pavage des accotements a également été effectué afin d’aménager des corridors piétons et cyclables unidirectionnels, favorisant ainsi le transport actif ainsi que les déplacements sécuritaires des usagers.ères, que ce soit à pied, en vélo ou en auto.

Rappelons que ces travaux – rendus nécessaires pour corriger la chaussée ayant atteint sa fin de vie utile – étaient prévus au Plan triennal d’immobilisations 2023-2025 et se sont déroulés de juin à septembre derniers. Cet important projet, qui représente un investissement de 2,7 M$, a pu être réalisé grâce à une subvention de 1,35 M$ du ministère des Transports et de la Mobilité durable, octroyée dans le cadre du Programme d’aide à la voirie locale.

 

Panacéa : parce que la santé mentale n’attend pas

Face à la gravité de la situation de la santé mentale dans notre société actuelle, trois artistes d’ici unissent leurs efforts et leur talent pour agir, immédiatement et concrètement, afin de contribuer à soulager et traiter les maux qui y sont reliés.

Panacéa : pour la santé mentale par les couleurs, les formes, et l’expression, c’est une exposition de toiles des artistes-peintres Ani Müller (Repentigny), Lynne Shand (Montréal) et Caroline Dion (Victoriaville) qui débute ce dimanche, 22 octobre, à la Galerie d’art montréalaise Coups de pinceaux, coups de ciseaux. Panacéa, c’est un projet d’art visuel révolutionnaire à vocation thérapeutique qui vise à sensibiliser à la fois le public et le personnel médical sur les bienfaits réels de l’art sur la santé mentale.

La Lanaudoise Ani Müller insiste sur le caractère urgent d’une telle initiative. « Nous sommes conscientes, mes collègues et moi, que l’art à lui seul n’est pas une priorité avec les bouleversements que vit présentement notre planète, l’humanité. Mais voilà, les enjeux de santé mentale sont partout autour de nous. C’est précisément ça qui nous interpelle. L’exposition démontre comment l’art, la peinture peut être utilisée comme un outil puissant pour le bienfait de la santé, et de la guérison émotionnelle et psychologique des personnes souffrant de problèmes de santé mentale, soit la dépression, l’anxiété, le stress ou l’isolement. »

Les statistiques le démontrent : au Québec, la proportion de la population qui considère avoir une excellente ou une très bonne santé mentale diminue dramatiquement depuis 2015. À Montréal, 9% de la population et 16 % des personnes âgées de 65 ans et plus ont reçu un diagnostic de trouble mental en 2019-2020 (source : santementale.qc.ca).

 

L’exposition Panacéa : pour la santé mentale par les couleurs, les formes, et l’expression aura lieu du 22 octobre au 18 novembre à la Galerie d’art Coups de pinceaux, coups de ciseaux à Montréal. Ensuite, du 20 novembre au 5 décembre à l’hôpital Santa-Cabrini. Le vernissage se tiendra le dimanche 22 octobre, de 13h à 16h, chez Coups de pinceaux, coups de ciseaux.