Montréal, le 20 janvier 2025 | Après avoir lancé une première chanson originale en français en mai dernier à l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie intitulée C’est toi et avoir offert juste avant les Fêtes une relecture bien à elle de Sunglasses at Night, le classique de Corey Hart, Rita Baga divulgue aujourd’hui davantage de détails sur son premier album en carrière.

C’est donc aux côtés de Maxime Landry, son grand ami et fidèle acolyte rencontré lors de la première saison de Big Brother Célébrités, que Rita Baga a passé les derniers mois en studio afin de concrétiser un rêve qu’elle caresse depuis plus de 20 ans, celui d’avoir son propre album. Intitulé FLASH, ce disque aux sonorités électro-pop qui ont fait la renommée de l’époque 80’s – la décennie de prédilection de Rita – paraîtra le 28 février 2025 en format physique et sur toutes les plateformes numériques. L’album FLASH regroupera ainsi dix chansons originales, majoritairement francophones, dont sept ont été écrites et composées par Rita Baga (et son créateur Jean-François Guevremont  !). Sa reprise de Sunglasses at Night, sa chanson préférée entre toutes des années 80, s’y retrouve également. Parmi les collaborateurs de FLASH, on compte entre autres Laurence Nerbonne et Claude Bégin, qui ont respectivement réalisé une pièce de l’album, de même qu’Amay Laoni, Étienne Chagnon, Maxime Proulx (Star Académie 2009) et LaRude.

LA TOURNÉE SPRAYNET DÉBUTE LE 7 FÉVRIER PROCHAIN !
Conjointement à la sortie de l’album FLASH, Rita Baga s’apprête aussi à donner le coup d’envoi d’une vaste tournée du Québec avec son nouveau spectacle Spraynet, près de 2 ans après avoir conquis plus de 75  000 spectateurs et spectatrices avec son premier one-drag-show Créature. Pour l’occasion, la flamboyante drag-queen, maintes fois proclamée reine de Montréal, sera accompagnée par son band de cinq musicien.nes sous la direction musicale de Jacob Roberge (La mélodie du bonheur, Star Académie 2021) et revisitera «  live  » — exit le lipsync  ! — plusieurs bijoux, francophones et anglophones, des années 80, offrant également quelques chansons originales que l’on retrouvera sur son album FLASH. Spectacle pour un public de tous âges, Spraynet mettra en valeur la voix puissante de Rita Baga, sans oublier les costumes à couper le souffle, la scénographie et les éclairages éblouissants, tout comme l’humour et le charisme qui lui sont propres. Bref, une soirée éclatante où il sera franchement difficile de ne pas chanter, danser et rire ! Rappelons que la première médiatique du spectacle Spraynet aura lieu le 26 février prochain à L’Olympia de Montréal dans le cadre de la 26^e édition de Montréal en Lumière.

Il n’y a pas à dire, la célèbre drag-queen québécoise, qui fait également partie de l’équipe de la Génération Y de l’émission Zénith sur les ondes d’ICI TÉLÉ, se prépare à une année 2025 des plus musicales, aussi passionnante que colorée… à l’image des années 80 !

L’album FLASH sera disponible sous étiquette Productions Le Veilleur dès le 28 février 2025.
Pour toutes les dates de la tournée Spraynet et pour l’achat de billets : ritabaga.ca

Marc-André Fortin dévoile une nouvelle version épurée de Tu m’aimes-tu

Marc-André Fortin montait sur la scène lors du premier variété de Star Académie hier soir, 20 ans après avoir remporté les honneurs du concours, pour y interpréter avec l’incomparable Richard Desjardins, Tu m’aimes-tu. Cette pièce tient une place importante pour Marc-André, qui estime qu’elle a, d’une certaine manière, changé sa vie.

En 2005, Marc-André Fortin enregistre une reprise de cette œuvre intemporelle pour l’album de Star Académie et l’ajoute à son premier album éponyme en 2007. Deux décennies plus tard, il nous dévoile une nouvelle version épurée, remplie d’émotions, où le piano et les mots ne font qu’un.

Reprendre Tu m’aimes-tu est un privilège et une responsabilité. C’est une chanson qui a marqué notre histoire collective. La ré-enregistrer 20 ans plus tard est un réel cadeau. J’ai voulu la mettre en musique de façon minimaliste afin de mettre en lumière toute la force et la vulnérabilité de son texte. J’espère que ma version pourra toucher les gens autant qu’elle m’a touchée.
– Marc-André Fortin

Désormais disponible sur toutes les plateformes, cette nouvelle version de Tu m’aimes-tu met en valeur la voix puissante et maîtrisée de l’interprète, tout en demeurant fidèle à l’œuvre et à la poésie de Richard Desjardins. La chanson est pour lui un symbole de nostalgie et de fierté, qui lui permet de rendre hommage à un monument de la culture québécoise.

Celui qui laissait paraître en novembre dernier son interprétation du morceau Noël à Paris de Charles Aznavour, prépare de nouveaux projets pour 2025. Il sera en spectacle au Théâtre Hector-Charland de l’Assomption, avec la Sinfonia de Lanaudière, en duo avec Caroline Riverin le 30 mars prochain et en spectacle à l’Amphithéâtre Fernand-Lindsay de Joliette, à nouveau avec La Sinfonia de Lanaudière, pour le spectacle Légendes éternelles avec Marc Hervieux, Maxime Landry et Rick Hughes le 29 juin prochain.

À PROPOS DE MARC-ANDRÉ FORTIN
Le public québécois a connu et élu Marc-André Fortin grand gagnant de Star Académie en 2005, lui qui collaborait déjà aux mégas productions de Québec Issime et qui remportait tous les concours de chant en province. À la suite de Star Académie, Marc-André a participé à de nombreux événements autant à la télévision, sur disque que sur scène : il a entre autres animé la populaire émission Demandes spéciales à TVA, été en vedette dans American Story Show, Je reviens chez nous, Deux, les plus grands duos, La caravane country, Chaque Noël et artiste invité de la Sinfonia de Lanaudière à plusieurs reprises.Tout récemment, il foulait les planches de la Place des Arts pour les concerts Disney, un rêve est un souhait, et Céline Symphonique avec l’orchestre Philharmonique du Québec sous la direction d’Alexandre Da Costa. Il est nouvellement ambassadeur de la Fondation Louis-Philippe Janvier pour la région du Saguenay-Lac-St-Jean.

 « Banlieue Nord » 7e single de son nouvel album

Terrebonne, le 16 janvier 2025 — L’auteur-compositeur-interprète Olivier Lamarre lance « Banlieue Nord », le 7^e single de son nouvel album « Le fracas des âmes innocentes » à paraître à l’hiver 2025. Demi-finaliste au Grand Concours Hydro-Québec du Festival international de la chanson de Granby en août dernier, l’artiste entame une autre grosse année !

« Banlieue Nord, je te dévore ! » (Extrait de la chanson)

LA CHANSON
La chanson « Banlieue Nord » exprime un combat onirique entre la liberté de l’artiste et la retenue que lui impose le quotidien, ici incarné par la banlieue. Réalisée par Jeff Grenier (Vilain Pingouin, David Jalbert) avec Simon Beaucaire à la batterie, cette chanson à saveur post-punk déborde de fougue et d’audace.

LE VIDÉOCLIP
Ayant fait ses études en cinéma, Olivier Lamarre prend plaisir à réaliser, filmer et monter ses propres vidéoclips. Chaque fois, il se met au défi de différentes manières. Dans « Banlieue Nord », il ne craint pas d’aller au bout de son expressivité pour refléter le sens du texte.

À PROPOS DE L’ARTISTE
Olivier Lamarre est en rotation régulière sur SiriusXM avec ses chansons « Kim et Tom », « Miami » et bientôt « Je sors de la polyvalente » ainsi que sur différentes radios canadiennes, françaises et belges. Il forme aussi le duo Chic Macadam avec Valérie Bizier, qui connaissent aussi un succès sur SiriusXM avec leurs titres « Tyrannoman » et « Tu me dis love ».

Cet artiste multidisciplinaire œuvre en musique, en arts visuels et initie des projets de cocréation et de médiation culturelle avec des citoyens de tous horizons. Il fait actuellement parti du projet Mouvement de passage au sein duquel il joue du handpan en compagnie de danseur.ses dans des CHSLD et fera partie d’un projet de recherche de l’Université McGill avec cette équipe avec des résidents en fin de vie.

LIEN VIDÉOCLIP : https://youtu.be/lpE8rt2W_8Y

Site Internet : www.olivierlamarre.com

Basia Bulat dévoile « Disco Polo » un troisième extrait touchant inspiré par ses racines polonaises

Basia Bulat partage aujourd’hui « Disco Polo », le troisième extrait de son nouvel album Basia’s Palace, qui sera lancé le 21 février. Chanson dont le titre est le nom d’un genre de musique dansante polonaise dont était friand son défunt père, la pièce honore la dichotomie caractérisant l’héritage musical de ce dernier et de la mère de Bulat. « Voici un hommage à ce que je considère être les deux facettes de mon héritage musical : ma mère était une professeure de piano et de guitare à la formation classique, alors que le genre préféré de mon père était le Disco Polo. Pratiquement la seule chose à propos de laquelle nous étions d’accord était la station de radio rétro qui nous permettait de faire la paix à la maison quand j’étais enfant », raconte-t-elle. « Je voulais écrire quelque chose comme un récit folklorique à propos de ces genres et de comment ils m’influencent encore après tout ce temps. Encore aujourd’hui, quand je m’assois au piano, tous ces mondes musicaux différents tourbillonnent et tentent de danser ensemble dans mon esprit. »

Écoutez « Disco Polo » en cliquant ici.
Visionnez le vidéoclip officiel de « Disco Polo » en cliquant ici.
Précommandez l’album Basia’s Palace en cliquant ici.

La chanson « Disco Polo » est accompagnée par un vidéoclip évocateur réalisé par Nora Rosenthal, qui a également créé les clips interconnectés pour les extraits précédents « Baby » et « My Angel ». « Dès le départ, Basia et moi parlions d’avoir trois générations de femmes qui apparaîtraient dans “Baby”, le premier vidéoclip de cette série, mais pour “Disco Polo” nous souhaitions que Louise, la femme de la génération de la mère de Basia dans “Baby”, soit aux côtés de dames de son âge, dans toute leur élégance et leur vivacité, comme une troupe de danseuses », explique Rosenthal. « Pour une raison ou une autre, on n’a jamais considéré de faire référence au “Disco Polo” en tant que genre de musique polonaise des années 1990 avant qu’on soit sur le plateau de tournage, mais j’aime croire que le ventilateur qui souffle dans les cheveux de Basia est une subtile référence à cette époque. » Coréalisé par Bulat et son fidèle collaborateur Mark Lawson (avec qui elle a précédemment travaillé sur ses albums Tall Tall Shadow et The Garden), et mixé par le légendaire ingénieur Tucker Martine (Beth Orton, Neko Case, The National) — Basia’s Palace est maintenant disponible en précommande et en présauvegarde.

Les extraits précédents “Baby” et “My Angel” ont été accueilli chaleureusement par BBC Radio 6 Music, KCRW, Flood Magazine, Rolling Stone France, Exclaim!, Brooklyn Vegan, CBC Music, Indie 88 et plus encore. Elle fera une session sur l’émission allemande “Bikini” de Radio Eins, avec des chansons du nouvel album en janvier.

Après avoir joué en première partie de Michael Kiwanuka à Toronto en septembre 2024 et à la suite d’une tournée européenne en première partie d’Efterklang ce mois-ci, l’artiste montréalaise – trois fois finaliste au Prix de musique Polaris et cinq fois nommée aux prix JUNO – entamera sa tournée nord-américaine pour faire la promotion de l’album le 14 février à Calgary, au Canada. L’itinéraire actuel est ci-dessous.

La propriété au cœur de Basia’s Palace est à la fois son appartement douillet, son local de répétition délabré, et l’intérieur de sa tête. C’est un endroit débordant d’amour et de souvenirs, de rêves et d’espoir, de mauvais câblage, de poils de chat, et de papier peint ouest-allemand. Basia’s Palace est un paradis qui prend vie aux petites heures de la nuit, un moment idéal pour les jeux vidéo, lorsqu’on prend le temps de s’asseoir et de réaliser tout le bordel dont on a hérité. La genèse de Basia’s Palace remonte à 2022, alors que Bulat s’est posée pour la première fois depuis une éternité, n’étant finalement plus en perpétuel mouvement. Un nouveau chez-soi, une nouvelle famille, une pause : la chanteuse a finalement trouvé le temps d’être seule et d’entendre ses propres pensées, de repenser à de vieilles histoires, de ressortir une console Nintendo originale et de jouer à Dragon Warrior 4. Cela lui a fait penser à des choses qu’elle avait entendues à propos de Leonard Cohen — l’habitude qu’il avait d’écrire à trois ou quatre heures du matin, avant que ses enfants se réveillent; l’habitude qu’il avait de s’installer et de jouer avec les préréglages de son Casio. C’était maintenant au tour de Bulat de jouer à des jeux vidéo de type RPG ou de créer de la musique sur son MacBook la nuit, prêtant l’oreille au monde des esprits à un moment où il semblait plus accessible que jamais. Les chansons qu’elle a écrites dans ce contexte ne ressemblaient à rien de ce qu’elle avait enregistré auparavant : des paysages sonores MIDI qui flottaient et scintillaient, comme les niveaux cachés sous (ou au-dessus de) l’action. Et alors qu’elle examinait les reliques et les objets précieux de la vie, elle revisitait ses souvenirs d’un angle différent; comme si les albums de photos de son enfance cachaient d’autres images, de nouvelles façons de comprendre ce qui lui était arrivé au fil des ans.

Le disque qui a émergé de tout ça est le plus empreint de douce curiosité de sa carrière. Basia’s Palace est comme la trame sonore d’un voyage dans le temps, l’auteure-compositrice-interprète imitant l’aventurier intrépide de Chrono Trigger et retournant dans le passé pour façonner les événements du futur. Après des années à lancer des albums où la performance organique primait — culminant sur The Garden, où Bulat réinterprétait certaines de ses chansons les plus appréciées avec l’aide d’un quatuor à cordes — l’auteure-compositrice-interprète souhaitait s’exprimer d’une façon complètement différente, avec le protocole MIDI au lieu d’un piano ou une guitare. Elle s’est retrouvée à déambuler à travers un monde onirique de chuchotements, de synthés et d’anciennes chansons d’Eurovision, ainsi que les vinyles de Maryla Rodowicz et Marek Grechuta qui appartenaient à son grand-oncle. Bulat rend hommage à la magie de la création et au caractère envoûtant des performances scéniques. Il n’y a pas de meilleure façon de résumer Basia’s Palace. Ce n’est pas que le local de répétition du Mile-End où a vu le jour la majorité de cet album; ce n’est pas que son domicile, sa famille, ou son esprit inquisiteur. C’est l’ensemble de ces moments — sur scène, ou lors du processus créatif — où une chanson quitte le cœur de Basia et atteint ses lèvres.

Dates de tournée de Basia Bulat
1/17/25 – Hamburg, DE – Christianskirche Altona*
1/18/25 – Antwerp, BE – De Singel*
1/19/25 – Maastricht, NL – Muziekgieterij*
1/20/25 – Utrecht, NL – TivoliVredenburg*
1/22/25 – Oberhausen, DE – Ebertbad*
1/23/25 – Wiesbaden, DE – Kesselhaus*
1/24/25 – Munich, DE – Strom*
1/27/24 – Stockholm, SE – Pet Sounds Bar
1/29/25 – Paris, FR – Alhambra*
2/14/25 – Calgary, AB – Block Heater
2/15/25 – St. Albert, AB – Arden Theatre
2/16/25 – Regina, SK – Darke Hall
3/7/25 – Ottawa – NAC
3/8/25 – Burnstown, ON – Neat Cafe
3/14/25 – Montréal, QC – Théâtre Fairmount
3/15/25 – Sherbrooke, QC – La Petite Boîte Noire
3/19/25 – Boston, MA – City Winery
3/20/25 – New York City, NY – Joe’s Pub
3/21/25 – Washington, DC – Pearl Street Warehouse
3/22/25 – Philadelphia, PA – World Cafe Live
3/28/25 – Québec – Théâtre Petit Champlain
4/2/25 – Chicago, IL – Old Town School of Folk Music
4/3/25 – Madison, WI – Majestic Theatre
4/4/25 – Minneapolis, MN – Cedar Cultural Center
4/5/25 – Milwaukee, WI – Vivarium
4/30/25 – Vancouver, BC – Hollywood Theatre
5/2/25 – Seattle, WA – Triple Door
5/3/25 – Portland, OR – Mission Theater
5/5/25 – San Francisco, CA – The Chapel
5/7/25 – Los Angeles, CA – The Masonic Lodge at Hollywood Forever
5/22/25 – Toronto, ON – The Great Hall
5/23/25 – London, ON – Aeolian Hall

*en première partie de Efterklang