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Alors que les parlementaires fédéraux ont ajourné leurs travaux à la Chambre des communes pour l’été, l’Union des municipalités du Québec (UMQ) saisit l’occasion pour réitérer au gouvernement fédéral la nécessité de contribuer fortement à l’effort collectif en matière d’habitation, de lutte contre les changements climatiques, de financement de transport collectif et d’investissement en infrastructures.

Au cours de cette dernière session parlementaire, l’Union a formulé plusieurs demandes au gouvernement fédéral, notamment :

• Bonifier de manière significative l’enveloppe dédiée au Programme d’aide aux immobilisations aéroportuaires (PAIA), afin de soutenir davantage de projets de réhabilitation visant à améliorer la sécurité dans les aéroports et aérodromes régionaux.
• Reporter la date des élections fédérales 2025 prévue au projet de loi C-65, afin de minimiser la période de concomitance avec l’élection générale municipale au Québec.
• Augmenter de 3,5 milliards de dollars par an le financement fédéral pour le logement, et mettre en place rapidement une concertation entre les gouvernements fédéral et provincial sur l’utilisation des fonds pour les campements.

Parallèlement, l’UMQ se réjouit de la conclusion récente d’une entente concernant le renouvellement du programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec (TECQ), bien qu’elle aurait dû être conclue l’année dernière. Ce programme est vital pour le financement des infrastructures municipales. Cependant, la volonté du fédéral d’ajouter des conditions au financement inquiète le milieu municipal québécois.

« L’UMQ a constamment défendu les intérêts des gouvernements de proximité lors de cette dernière session parlementaire à Ottawa. L’équipe de l’UMQ a démontré un engagement actif, assurant la continuité des relations avec nos partenaires institutionnels et les divers ministères. » a déclaré le président de l’UMQ et maire de Varennes, monsieur Martin Damphousse.

La voix des gouvernements de proximité
Depuis plus de 100 ans, l’UMQ rassemble les gouvernements de proximité de toutes les régions du Québec. Sa mission est d’exercer un leadership fort pour des gouvernements de proximité autonomes et efficaces. Pour plus de détails, consultez le site Web de l’UMQ.

La Ville de Terrebonne et la Coopérative de solidarité La Ruche ont conclu une entente de trois ans pour l’implantation, le maintien et la gestion de 80 jardinets communautaires dans quatre parcs de la municipalité. Les citoyens peuvent dès maintenant manifester leur intérêt pour se voir attribuer un jardinet.

« Nous sommes heureux d’offrir ces espaces collectifs aux citoyens de Terrebonne, ce qui permettra aux jardiniers amateurs d’avoir accès à des fruits et des légumes à petit prix, mais aussi de tisser des liens avec les résidents de leur quartier », a mentionné le maire de Terrebonne, Mathieu Traversy.

« La Coopérative de solidarité La Ruche est fière de concrétiser ce projet communautaire. Une fois les travaux d’implantation terminés, les citoyens auront accès à tout le matériel requis pour l’entretien de leur jardinet et des conseils seront offerts gratuitement », a ajouté François Lavoie, membre du conseil d’administration de La Ruche.

80 jardinets

L’entente prévoit un total de 80 jardinets, incluant ceux au parc Charles-Bruneau, déjà implantés :

• 20 jardinets au parc Charles-Bruneau, situé au 1731, rue Rochon. Ce jardin sera bonifié dans le cadre de cette entente;
• 20 jardinets au parc Vaillant, en bordure du boulevard des Seigneurs;
• 20 jardinets au parc Donat-Bélisle, situé au 50, rue Saint-Pierre;
• 20 jardinets au parc Joseph-Sergius-Archambault, situé au coin de la rue François-Paquin et du boulevard J.-S.-Archambault.

« Pour la réalisation du projet, la Ville a reçu une subvention de 8000 $ de la Fondation TD des amis de l’environnement. De plus, un partenariat avec l’Office municipal d’habitation de Lanaudière Sud permettra aux résidents limitrophes du jardin au parc Vaillant d’avoir des espaces réservés à leur usage », a conclu Michel Corbeil, président de la Commission des loisirs et du développement social et sportif et conseiller municipal.

Pour s’inscrire

Les jardinets sont attribués exclusivement aux citoyens de la Ville de Terrebonne, en privilégiant dans la mesure du possible les personnes qui résident dans un rayon de 400 mètres de distance des emplacements. Les places seront attribuées selon le principe du premier arrivé.

Les citoyens doivent être membres de la Coopérative et avoir acquitté les frais d’inscription (10 $), en plus des frais annuels pour demeurer membre (20 $).

Pour toutes questions ou pour manifester son intérêt, les citoyens doivent écrire à jardins.laruche@gmail.com ou contacter le 514 889-2374.

Avis d’ébullition de l’eau potable dans Terrebonne-Ouest

Une fuite d’eau majeure causée par un entrepreneur externe est présentement en cours dans Terrebonne-Ouest. La Ville émet un avis d’ébullition d’eau pour la totalité de ce secteur, et ce, jusqu’à nouvel ordre.

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Entente de principe conclue entre la Ville de Terrebonne et le Syndicat canadien de la fonction publique (cols blancs) section locale 2326

La Ville de Terrebonne et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) section locale 2326 ont conclu une entente de principe visant à renouveler la convention collective des employés cols blancs, incluant ceux de niveau professionnel, échue depuis le 31 décembre 2021.

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Fermeture complète du chemin Saint-Charles : réparation d’une fuite d’aqueduc

Une fermeture complète est prévue à partir du vendredi 12 juillet à 20 h jusqu’au samedi 13 juillet à 7 h, afin de procéder à la réparation d’une conduite d’eau potable survenue à la suite d’une fuite du réseau d’aqueduc située près du 2289, chemin Saint-Charles. La fermeture complète est prévue entre les adresses du 2249 et du 2291 chemin Saint-Charles. Un chemin de détour a été mis en place vers le rang Charles-Aubert et la montée Dumais.

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Chaises d’allaitement dans les lieux publics

La Ville de Terrebonne, en collaboration avec Nourri-Source Lanaudière, a installé des chaises d’allaitement dans les 4 bibliothèques, au complexe aquatique de même qu’aux parcs Pierre-Le Gardeur et du Souvenir.

L’univers de la bande dessinée pour faire découvrir l’offre de services en bibliothèque

Découvrez un projet passionnant qui vous invite à explorer la richesse et la diversité de l’offre en bibliothèque de manière ludique et audacieuse. L’artiste André Martel, illustrateur des bandes dessinées Les dragouilles, a créé un jeu de type Cherche et Trouve en collaboration avec l’équipe de la Division Arts, culture et bibliothèques. Si vous souhaitez en savoir plus sur la démarche artistique de l’artiste ou en savoir davantage, contactez-nous ! De plus, retrouvez cet espace dans les zones “Les bibliothèques hors les murs”, qui se déplacent durant la saison estivale. Vous pourrez les trouver dans les cinémas en plein air, lors des fêtes familiales, à la Place publique et dans plusieurs Brins de jasette.

La Ville de Terrebonne lance un appel de projets artistiques Art nature, inspiré du Land Art.

Les artistes individuels et les collectifs sont invités à soumettre leurs propositions créatives pour créer des œuvres éphémères harmonisées avec la beauté naturelle du parc Aristide-Laurier à Lachenaie. Le Land Art est un mouvement artistique qui privilégie l’utilisation de matériaux naturels et l’intégration de l’environnement dans les créations artistiques. Les installations évoluent avec le temps, offrant une expérience immersive unique. La cocréation et la médiation culturelle sont encouragées, impliquant des groupes scolaires et communautaires. La date limite pour soumettre leur projet est le 15 août 2024.

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La Ville de Terrebonne recherche des volontaires pour l’installation d’un compteur d’eau

La Ville de Terrebonne a l’objectif d’installer un compteur d’eau dans 380 résidences de la municipalité afin d’obtenir des statistiques sur la consommation d’eau moyenne des Terrebonniennes et des Terrebonniens. Les citoyens sont invités à se porter volontaires pour recevoir ce dispositif.

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– L’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) de Lanaudière a pris connaissance du bilan 2024 de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), intitulé « Quand la violence conjugale est au cœur de la vie de l’enfant ». Alors que ce rapport met en lumière les enjeux, l’APTS Lanaudière souhaite commenter l’état actuel du réseau des centres jeunesse.

« Encore une fois cette année, l’APTS dresse un constat inquiétant l’état du réseau de la DPJ. C’est frustrant de devoir présenter nos doléances sur la place publique en clamant que la protection de la jeunesse doit occuper les priorités gouvernementales. Ce devrait être fait d’emblée! La bonne volonté des responsables du gouvernement et de la haute fonction publique n’apporte rien de concret pour nos gens sur le terrain ni pour les jeunes dont le Québec devrait prendre soin avec beaucoup plus d’ardeur. Il faut des mesures concrètes et applicables rapidement », a lancé Steve Garceau, Représentant national de l’APTS

Si le thème du bilan de cette année est la violence conjugale au cœur de la vie de l’enfant, l’APTS Lanaudière est convaincue que les personnes sur le terrain manquent justement de moyens pour accomplir leurs tâches au quotidien et qu’elles ont besoin de plus de temps pour réfléchir à certains enjeux, dont celui de la violence conjugale, qui touchent ses jeunes de près. C’est le seul moyen de leur venir en aide adéquatement.

« L’APTS Lanaudière sait à quel point les jeunes Québécois·es peuvent compter sur le dévouement du personnel de la DPJ et que les personnes intervenantes font des miracles sur le terrain. Alors que beaucoup de directions de la protection de la jeunesse à travers le Québec font l’impossible pour ne pas faillir à leur mission, sur qui peuvent compter les intervenant·e·s lorsque vient le temps d’avoir des ressources sur le terrain? Quand le gouvernement prendra-t-il de véritables mesures pour attirer de nouveaux·elles collègues? De véritables mesures pour épauler le personnel et encourager à rester les personnes qualifiées qui quittent le réseau tous les jours? », précise monsieur Garceau

Selon l’APTS Lanaudière, il est essentiel de bonifier les conditions de travail des intervenant∙e∙s : dans les grands centres comme en région, il est pratiquement impossible de trouver des équipes qui ne sont pas en manque d’effectifs.

« Dans la majeure partie du Québec, la situation est déplorable. On a juste à regarder ce qui se passe sur la Côte-Nord. Il manque 29 intervenantes sur 36! Il n’y en a que 7 pour l’application des mesures et l’évaluation-orientation pour toute la région! Le gouvernement et la directrice nationale de la protection de la jeunesse peuvent-il·elle·s arrêter de dire que tout va bien aller et se décider à agir? Dans les conditions actuelles, on ne se demande plus si un∙e intervenant∙e va tomber en congé de maladie, mais quand », a ajouté Steve Garceau

Le 29 mai dernier, nous soulignions l’adoption de la loi créant le poste de commissaire au bien-être et aux droits des enfants par l’Assemblée nationale, une des recommandations phares du rapport de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse (rapport Laurent). L’APTS Lanaudière soutient que beaucoup d’autres recommandations restent à appliquer, dont celles qui touchent directement les ressources mises à la disposition du personnel en poste.

« Il faut prendre au sérieux la baisse alarmante des effectifs en protection de la jeunesse. Je serais vraiment heureux de dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que trois ans après le dépôt du rapport Laurent, les choses se sont améliorées. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Si le Québec veut prendre soin de ses enfants, il doit valoriser ceux et celles qui leur viennent en aide. Faute de quoi, les intervenant∙e∙s continueront de quitter le navire à une vitesse déconcertante », a conclu Steve Garceau, Représentant national de l’APTS pour la région de Lanaudière

À propos de l’APTS

L’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) regroupe et représente plus de 65 000 membres qui jouent un rôle indispensable au bon fonctionnement des établissements du réseau, dont plus de 3300 dans la région de Lanaudière. Nos gens offrent une multitude de services en matière de diagnostic, de réadaptation, de nutrition, d’intervention psychosociale et de soutien clinique et de prévention, autant de services qui s’adressent à l’ensemble de la population.

La MRC de Montcalm tient à mettre en lumière le travail exceptionnel de trois de ses pompiers, qui ont récemment sauvé la vie d’un nouveau-né dans la municipalité de Saint-Esprit.

Grâce au service de premiers répondants intégré au Service de sécurité incendie de la MRC de Montcalm et à la rapidité d’intervention des pompiers Michael Boudreault, Jocelyn Pichette, et du lieutenant Maxime Boudreault, un nouveau-né, né à domicile le 10 juin dernier, a pu être stabilisé avec succès.

L’appel initial signalait un enfant en détresse respiratoire. À leur arrivée, les pompiers ont rapidement pris en charge une jeune maman d’une vingtaine d’années qui venait d’accoucher. Le nouveau-né présentait des signes de cyanose (peau bleutée), était flasque, et ne respirait pas spontanément, avec un pouls brachial très faible.

L’intervention rapide et efficace des pompiers a sans doute sauvé la vie du bébé. Les ambulanciers ont ensuite pris le relais pour transporter la mère et l’enfant vers l’hôpital.

La jeune mère a décliné notre demande de rencontre avec l’équipe de sauvetage, mais nous lui adressons tous nos vœux de bonheur.

Bien que porter secours aux citoyens soit le cœur du métier de pompier, il est particulièrement gratifiant de constater de tels sauvetages. Cela confirme que les Montcalmois et Montcalmoises ont la chance de pouvoir compter sur une équipe aussi compétente, capable de faire une réelle différence.

À propos du Service de sécurité incendie de la MRC de Montcalm

Le service de sécurité incendie de la MRC de Montcalm assure la protection de 6 municipalités membres, soit : Saint-Alexis, Saint-Esprit, Saint-Calixte, Saint-Jacques, Sainte-Julienne et Saint-Roch-de-l’Achigan et est composé de près de 95 pompiers et pompières.