Terrebonne et Mascouche disent haut et fort : « non merci aux objets à usage unique »

Terrebonne et Mascouche lancent une grande campagne publique de sensibilisation autour du thème Non merci aux objets à usage unique. Celle-ci vise à informer et à conscientiser la population quant aux objectifs de réduction à la source sur lesquels s’appuie le nouveau cadre réglementaire entourant la distribution de ce type d’objets sur le territoire moulinois.

« En fait, notre message à nos concitoyennes et concitoyens, c’est qu’à Terrebonne et à Mascouche, nous disons collectivement « non merci aux objets à usage unique », des objets qui, rappelons-le, ne sont utilisés que quelques minutes et prennent ensuite des centaines d’années à se décomposer. Avec ce non clair et limpide, ce qui est souhaité, c’est d’éviter carrément la création de certains déchets en s’attaquant à l’origine du problème. C’est aussi avec cet objectif de réduction à la source en tête que nous invitons tout un chacun, mon homologue mascouchois et moi inclus, à repenser leurs propres habitudes de consommation », souligne Mathieu Traversy, maire de Terrebonne.

Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, poursuit : « On devrait toujours se demander si on a vraiment besoin d’un produit avant de l’utiliser ou de l’acheter. Les médias rapportaient récemment que les ménages et entreprises du Québec avaient envoyé près de 5,8 millions de tonnes de déchets à l’élimination en 2021. Juste pour les ordures ménagères dans la MRC Les Moulins, on parlait en 2020 d’une moyenne de 315 kg de matières résiduelles enfouies par habitant. Pensez-y, c’est l’équivalent du poids de plus de 100 boules de bowling par personne! Nous devons agir dès maintenant! ».

Des solutions de remplacement existent

La campagne de communication Non merci aux objets à usage unique s’appuie sur de telles statistiques afin de démontrer clairement pourquoi il est important d’agir sans tarder sur la quantité de déchets que nous générons. À travers leurs outils de communication, les deux municipalités ont aussi pour objectif de promouvoir les solutions de remplacement faciles et accessibles aux objets à usage unique. Ainsi, mieux informés, les citoyens seront mieux outillés pour prendre de meilleures décisions au quotidien.

À propos du règlement adopté à l’automne 2022

À la suite d’échanges sur le terrain avec les commerçants concernés, le règlement stipule qu’à partir du 1er mars 2023 :

· la distribution de certains objets à usage unique en plastique, comme les pailles, les ustensiles et les sacs d’emballage et d’emplettes, sera interdite;

· seule la vaisselle réutilisable sera autorisée dans les salles à manger des restaurants;

· des sacs d’emballage réutilisables devront être disponibles dans la section des fruits et légumes des épiceries;

· les sacs d’emballage en plastique recyclable pourront être fournis uniquement aux caisses ainsi que dans les rayons de la boucherie et de la poissonnerie;

· les récipients réutilisables des clients devront être acceptés pour rapporter leurs restes de repas ou pour les produits vendus en vrac.

Une période de transition jusqu’au 1er septembre est accordée aux commerçants moulinois afin de permettre une adaptation de leurs pratiques et l’écoulement de leurs inventaires.

Tous les détails sur le règlement, notamment la liste détaillée des objets concernés et les exceptions prévues, sont disponibles au non-merci.ca.

Le changement, ça commence maintenant!

Un soutien fort utile de la part de RECYC-QUÉBEC

En vue d’optimiser la mise en application de leur règlement respectif, Terrebonne et Mascouche bénéficient d’un financement dans le cadre de l’Appel de propositions visant la réduction de l’utilisation de produits à usage unique de RECYC-QUÉBEC.

Du côté de la Ville de Terrebonne, la subvention obtenue pour l’année 2023 est de 100 900 $. La Ville de Mascouche a quant à elle reçu une subvention de 80 500 $ pour 2023. Grâce à ces subventions, l’accompagnement des commerçants moulinois sur le terrain se verra bonifié et la vaste campagne de communication et de sensibilisation pourra être enrichie.

Quelle sera la suite sur le plan de la réglementation?

Tel qu’elles l’avaient précisé dès le début de leur démarche, Terrebonne et Mascouche souhaitent par ailleurs aller plus loin que la simple interdiction de distribution pour certains objets. Ainsi, le cadre réglementaire visant la réduction à la source sera cette année bonifié par un deuxième règlement. Celui-ci s’appuiera sur le principe des écocontributions. Les écocontributions sont des frais peu élevés que l’on ajoute au prix de vente d’un objet à usage unique dont la distribution n’est pas interdite, mais pour lequel il existe des solutions plus écologiques.

Avant d’adopter ce deuxième règlement, les deux municipalités entameront cet hiver des échanges avec les commerçants afin de bien cerner leurs réalités et de proposer des stratégies de mise en œuvre réalistes et mobilisatrices.

Le syndicat des autobus R. M. déclenche une grève générale illimitée

En ce matin du 15 février, les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs des autobus R.M.–CSN ont déclenché une grève générale illimitée. Sans contrat de travail depuis le 31 août 2021, le syndicat avait adopté un mandat de grève générale illimitée à 97 % le 21 janvier dernier.

« Les autres clauses étant déjà négociées, il ne reste que celles à incidence financière à régler. À la suite d’une offre globale et finale sur ces clauses qui a été déposée par l’employeur le 27 janvier dernier, le syndicat a également déposé son offre globale et finale le 3 février. Les relations sont tendues et nous sommes encore loin d’un règlement, précise Robert Dubois, président du syndicat. Puisque notre employeur a reçu les mêmes sommes que les autres transporteurs scolaires de Lanaudière, nous connaissons sa capacité de payer et nous sommes déterminés à aller chercher notre juste part. »

« L’employeur ne peut ignorer les nouvelles données salariales en vigueur dans le secteur du transport scolaire. Celles-ci reconnaissent enfin le difficile travail des conductrices et des conducteurs. Tous les employeurs ont reçu une bonification variant entre 15 et 30 % de la valeur de leurs contrats et cet argent doit se rendre dans les poches de celles et de ceux qui conduisent les autobus, ajoute Stéphanie Gratton, présidente par intérim de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN. Si l’employeur veut régler ses problèmes d’attraction et de rétention de ses travailleuses et de ses travailleurs, il sait très bien ce qu’il a à faire. »

« En moins de 48 heures, deux syndicats de la région de Lanaudière ont obtenu des majorations salariales de plus de 40 % sur la durée de leur nouveau contrat de travail. Il y a donc un mouvement clair, net et précis de bonification majeure des salaires dans le secteur. Malgré cette évidence, la direction des autobus R. M. tient actuellement tête au syndicat. Vu le contexte de rareté de main-d’œuvre, l’employeur met en péril sa propre capacité à garder ses salarié-es à son emploi et donc, à respecter les contrats qu’il a signés avec ses clients », conclut Patricia Rivest, présidente du Conseil central de Lanaudière–CSN.

À propos

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des autobus R.M.–CSN regroupe 62 membres. La FEESP–CSN compte plus de 425 syndicats affiliés représentant 65 000 membres œuvrant dans le domaine des services publics et parapublics. Le Conseil central de Lanaudière–CSN regroupe 81 syndicats représentant plus de 14 000 membres sur l’ensemble du territoire de Lanaudière.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle regroupe plus de 330 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans 8 fédérations, ainsi que sur une base régionale dans 13 conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

Écocentre de la municipalité de Saint-Calixte maintenant gratuit 2 fois par année

La Municipalité de Saint-Calixte est heureuse d’annoncer l’ouverture gratuite de son Écocentre, et ce, 2 fois par année par adresse pour les résidents de la Municipalité.

En effet, l’accès à l’Écocentre permettra pour chaque résidence du territoire de se démunir de matières résiduelles telles que des matériaux secs, le métal, les appareils refroidissant contenant du fréon, les branches (sans les souches) dans une remorque 4’ X 6’ X 3’, gratuitement, 2 fois par année. Grâce à ce tri à la source de ces matières résiduelles plus difficilement récupérables par une collecte porte-à-porte, la majeure partie sera récupérée et recyclée afin que les matériaux qui les composent soient valorisés, donc détournée de l’enfouissement.

La Municipalité de Saint-Calixte se consacre à soutenir la population et à promouvoir la réduction des empreintes écologiques, le recyclage et la réutilisation des matières, au moyen d’une action communale, responsable et efficace. Cette nouvelle mesure encourage le développement durable et contribue à sensibiliser la communauté aux enjeux environnementaux et à la propreté résidentielle.

« Au sein du conseil municipal, nous participons activement à la recherche d’initiatives liées à l’environnement, je pense ici aux démarches concrètes amorcées en lien avec l’eau. Nous sommes ici convaincus que cette nouvelle gratuité est un pas en avant dans le respect de la protection des ressources et nous espérons qu’elle encouragera d’autres initiatives semblables. Il est temps de participer au mouvement en faveur d’une société plus durable, plus propre et plus respectueuse de la nature. ». – Michel Jasmin, maire de la Municipalité de Saint-Calixte

Nous invitons chaque Calixtienne et Calixtien à profiter de cette gratuité.

Pour plus de détails, rendez-vous sur notre site Internet au : https://saint-calixte.ca/services/environnement/ecocentre

Léa D’Astous remporte la finale locale de Cégeps en spectacle du Cégep de Lanaudière à Terrebonne

C’est le 1er février dernier que se tenait la finale locale du concours Cégeps en spectacle au Cégep de Lanaudière à Terrebonne.

À travers la danse, le chant, le piano et le cirque aérien, les artistes ont donné le meilleur d’eux-mêmes afin de faire vivre un spectacle haut en couleur à une foule de plus de 200 personnes. C’est sur les planches du Théâtre du Vieux-Terrebonne que Léa D’Astous, étudiante en Sciences humaines, profil Administration, a remporté les honneurs grâce à sa création de danse contemporaine, remplie d’émotions.

Elle mérite ainsi une bourse de 250 $ remise par l’Association étudiante.

Samuel Adam, étudiant en Sciences de la nature, a quant à lui remporté le Prix Coup de cœur ainsi qu’une bourse de 150 $ de l’Association étudiante, pour son original numéro de gigue.

Nous souhaitons remercier le jury, composé de Camélia Letendre, d’Alexandre Leblanc et de Normand Lamy, qui avait la lourde tâche de sélectionner le numéro qui représentera le Cégep lors de la finale régionale de Cégeps en spectacle qui se tiendra le samedi 25 mars au Cégep Gérald-Godin.

Le lancement des festivités du 25e anniversaire du Cégep de Lanaudière à Terrebonne L’évènement concordait également avec le lancement des festivités du 25e anniversaire du Cégep de Lanaudière à Terrebonne.

Dans ce cadre, nous souhaitons également remercier M. Mathieu Traversy, maire de Terrebonne et M. Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, tous deux diplômés du Cégep de Lanaudière à Terrebonne, qui, lors de cette occasion, sont venus sur scène partager quelques souvenirs de leur passage au Cégep.

En terminant, l’ensemble de la communauté du Cégep de Lanaudière à Terrebonne souhaite féliciter et reconnaitre l’audace et le talent de tous les participants qui ont osé cette aventure unique. Merci à l’équipe d’animation qui a relevé le défi haut la main, à l’Association étudiante pour son soutien financier, et à l’équipe de la Vie étudiante pour son travail colossal afin de rendre cet évènement possible.

Nous aurons par ailleurs l’honneur de recevoir la grande finale nationale du concours le 29 avril prochain.

C’est un rendez-vous!

Défi 28 jours sans alcool – Lanaudière en 5e position

Pendant que le Défi 28 jours sans alcool de la Fondation Jean Lapointe bat son plein, les participants de partout au Québec essaient de ne pas boire une goutte d’alcool pour soutenir la cause de la prévention des dépendances qui est chère à la Fondation.

Dans Lanaudière, vous êtes près de 747 participants ayant récolté plus de 39 556 $ pour la cause à ce jour, ça représente 3 596 jeunes potentiellement rencontrés. Puisque pour chaque tranche de 28 $ en don, l’équipe de la prévention peut rencontrer 2 jeunes.

Vous êtes d’ailleurs la cinquième région ayant le plus de participants et dons récoltés à ce jour! La Montérégie est en tête avec 109 770 $, suivie de la région de la Capitale nationale avec 92 210 $.

Il reste encore 2 semaines au Défi 28 jours sans alcool de la Fondation Jean Lapointe. Il est encore possible de faire un don ou de parrainer un participant. www.defi28jours.com

Une peine d’emprisonnement et des amendes de plus de 375 000 $ pour une résidente de Saint-Lin-Laurentides

Revenu Québec annonce qu’une résidente de Saint-Lin-Laurentides, Mme Lise Gaudet, a été condamnée à purger une peine d’emprisonnement concurrente de 24 mois au provincial et 9 mois au fédéral et à payer des amendes totalisant 375 710,89 $. La femme de 61 ans a plaidé coupable à des accusations de fraude fiscale le 12 mai 2021, au palais de justice de Joliette.

Depuis 2002, Mme Gaudet a agi à titre de responsable du marketing indépendant (RMI) pour faire la promotion des produits de la société Melaleuca of Canada Inc. Mme Gaudet recevait une commission mensuelle en fonction des achats générés par son réseau. Or, selon une publication de l’entreprise diffusée en 2017, Mme Gaudet a gagné plus de 2 530 150 $ de revenus depuis qu’elle agit comme RMI. Des vérifications faites par Revenu Québec ont démontré qu’elle n’a déclaré aucun revenu provenant des commissions de la société ni remis aucune taxe qu’elle a perçue au cours des années 2012 à 2018.

Mme Gaudet avait porté sa sentence en appel après avoir plaidé coupable à des accusations de fraude fiscale, notamment d’avoir omis de déclarer des revenus, d’avoir volontairement omis de remettre ou de verser des taxes qu’elle a perçues ou aurait dû percevoir en vertu de la Loi sur la taxe de vente du Québec et d’avoir volontairement, de quelque manière, éludé ou tenté d’éluder les dispositions de la partie IX de la Loi sur la taxe d’accise. L’appel de la sentence pour emprisonnement a été rejeté le 20 décembre dernier.

Revenu Québec est un acteur important dans la lutte contre la criminalité économique et la fraude fiscale. C’est la raison pour laquelle il déploie énormément d’efforts pour les contrer.

La pleine récupération par le Québec des revenus fiscaux qui lui sont dus représente une priorité pour Revenu Québec. C’est une question d’équité à l’égard de la grande majorité des citoyens et des entreprises qui paient leur juste part de taxes et d’impôts.

Faits saillants du conseil municipal de Repentigny du 14 février 2023 – La Ville adopte un règlement pour encadrer la démolition d’immeubles

Le 14 février, en marge de son assemblée ordinaire, le conseil municipal de la Ville de Repentigny a annoncé l’adoption du Règlement de démolition concernant les immeubles du territoire et, par le fait même, la création d’un comité ayant pour principales fonctions d’évaluer et d’approuver toute demande, conformément à ce règlement.

Le Règlement de démolition a pour principal objectif d’assurer un contrôle des travaux de démolition complète ou partielle d’un immeuble, de protéger un bâtiment pouvant constituer un bien culturel ou représenter une valeur patrimoniale, mais également d’encadrer la réutilisation d’un sol dégagé à la suite d’une démolition. Il entrera en vigueur en avril 2023. Mentionnons que la Ville était tenue d’adopter ce règlement en vertu de la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme.

Le conseil municipal désignera par ailleurs trois de ses membres pour former un Comité de démolition ayant pour fonction d’évaluer et d’approuver – conformément aux critères établis dans le cadre du règlement – toute requête ou opposition visant la démolition d’un bâtiment qui se trouve sur le territoire de la ville. À noter que tous les bâtiments principaux sont assujettis au règlement, alors que la plupart des bâtiments accessoires (cabanon, remise, etc.) ne le sont pas. Dans un souci de consultation de la population, toute demande de démolition devra faire l’objet d’un avis public et d’un affichage visible pour les passants, identifiant clairement l’immeuble concerné. Toute personne pourra manifester son opposition à une démolition avant la décision du Comité (soit dans les dix jours suivants l’affichage ou l’avis public), ou encore demander une révision dans les 30 jours suivant sa décision en transmettant un avis écrit au greffier de la Ville.

Dans le cadre de l’application de ce règlement, la Ville compte également adopter des mesures visant à favoriser la réutilisation des matériaux ainsi que la disposition adéquate des résidus de démolition, de façon à limiter significativement la quantité de déchets envoyés à l’enfouissement.

Séances du conseil ouvertes au public

La captation vidéo intégrale de cette séance sera accessible au repentigny.ca à la section « Vie démocratique ». Rappelons que les séances du conseil sont ouvertes au public. Les personnes souhaitant y assister peuvent se présenter à l’hôtel de ville le jour même, dès 18 h 15. Celles qui désirent soumettre des questions au conseil peuvent également le faire par écrit à greffe@repentigny.ca. Les questions seront acceptées à compter du jeudi précédent la séance.

La Formation continue du Cégep de Lanaudière est à la recherche de personnes motivées qui souhaitent débuter une carrière dans le domaine de l’éducation à l’enfance!

Depuis plusieurs années, le Québec fait face à une pénurie de main-d’œuvre dans le secteur de l’éducation à la petite enfance. Pour contrer cette pénurie, un ensemble de mesures ont été mises en place, plus particulièrement depuis le début de la pandémie et dans le cadre de l’Opération main-d’œuvre lancée par le gouvernement du Québec en 2021. Parmi ces mesures, on retrouve différentes formations ayant pour but de faciliter l’accès à des emplois de personnel éducateur en éducation à l’enfance. Dans le but de contribuer à la cause, la Formation continue du Cégep de Lanaudière offre un parcours adapté à ceux qui souhaitent débuter une carrière dans le domaine. Nous sommes d’ailleurs en pleine période de recrutement pour le démarrage de notre toute première cohorte qui se tiendra du 20 mars au 14 avril 2023.

NOUVEAUTÉ! Certification collégiale « Premiers pas vers l’éducation à l’enfance »

Le but de la formation de 90 heures

En participant à la formation, vous serez initié aux notions de base essentielles pour travailler et occuper rapidement des emplois de personnel éducateur non qualifié. La formation s’étale sur 4 semaines de 22,5 heures d’études, au terme desquelles les personnes participantes obtiennent une certification collégiale. Du travail personnel est également requis, à raison de 2,5 heures par semaine.

Les bénéfices de suivre la formation

  • Une excellente occasion d’acquérir des connaissances et des compétences pratiques.
  • Mieux comprendre les besoins de l’enfant et outils pour une intervention de qualité.
  • Avoir une bonne idée du rôle et de mieux connaître les différents intervenants dans le milieu.
  • Vous permettre d’occuper rapidement un emploi d’éducateur en petite enfance.

À qui s’adresse la formation ?

Nul besoin d’avoir une expérience professionnelle en éducation à l’enfance pour s’inscrire, comme cette formation a une vocation d’initiation avant l’emploi en service de garde éducatif à l’enfance. La formation s’adresse à des personnes de 18 ans et plus qui ont un peu ou pas du tout d’expérience professionnelle dans le milieu.

Les conditions d’admissibilité

  • Être âgé de 18 ans et plus.
  • Détenir au minimum un secondaire 3 de formation générale.
  • Avoir un niveau 6 ou plus de francisation au test du CCDMD (échelle des compétences langagières québécoises).
  • Être sans expérience professionnelle dans le milieu de l’éducation à l’enfance.
  • Être sans emploi ou pouvant occuper ou ayant occupé par le passé des emplois d’entrée (restaurant, supermarché, etc.) et souhaitant changer de domaine.

Prochaine cohorte

Début de la formation : 20 mars au 14 avril 2023

Formule à distance, seuls la rencontre de départ et les cours de RCR seront offerts en personne à Repentigny.

Calendrier de formation

Découvrez les autres possibilités d’étudier en éducation à l’enfance

Attestation d’études collégiales (AEC) Techniques d’éducation à l’enfance

Avec l’attestation d’études collégiales, vous serez dès votre entrée sur le marché du travail, capable d’exécuter les tâches liées à la mission éducative et d’offrir les soins de base aux enfants.

Devenez éducateur!

  • Prochaines cohortes, automne 2023, Terrebonne et Repentigny.
  • En savoir plus.

La démarche de reconnaissance des acquis et des compétences (RAC96)

La grande idée :  offrir au personnel expérimenté non qualifié un contexte favorable à l’obtention d’un diplôme collégial.  Débutez votre démarche dès maintenant et bénéficiez d’un soutien financier!

Faites reconnaître votre expérience!

 

Il est à noter qu’en plus de toutes ces options offertes par la Formation continue, le programme Techniques d’éducation à l’enfance est également offert par le Cégep à L’Assomption, à la formation régulière. Ce dernier mène à un diplôme d’études collégiales (DEC).

À PROPOS

Forte de son expertise en éducation à l’enfance, la Formation continue du Cégep de Lanaudière diplôme en moyenne trois cohortes par année dans ce domaine.

Nous avons pour mission d’offrir une formation collégiale répondant aux besoins du milieu, d’accompagner les étudiants vers la réussite scolaire et éducative en développant leur potentiel, en plus de former des citoyens impliqués et ouverts sur le monde.

La Formation continue fait partie de la grande famille du Cégep de Lanaudière qui compte trois collèges (Joliette, L’Assomption, Terrebonne) offrant de la formation collégiale ainsi qu’un siège social à Repentigny.  Ce dernier regroupe tous les services administratifs du Cégep.

 

Nathalie Sinclair-Desgagné en appelle à la population pour demander le rapatriement du plus grand poumon vert du Grand Montréal

La députée fédérale de Terrebonne Nathalie Sinclair-Desgagné demande à la population de se mobiliser en faveur du rapatriement du champ de tir Saint-Maurice.

Active dans le dossier depuis des mois, Nathalie Sinclair-Desgagné parraine maintenant une pétition en ligne sur le site de la Chambre des communes demandant au gouvernement de céder ce territoire au Gouvernement du Québec et/ou à la Ville de Terrebonne.

Le champ de tir Saint-Maurice est un immense territoire de la défense nationale situé au nord de l’autoroute 640 sur le territoire de la Ville de Terrebonne, utilisé pour tester des munitions lourdes. D’une superficie de plus de 650 hectares (910 terrains de football américain), il est, aujourd’hui, inutilisé et abandonné depuis 50 ans. Le terrain composé de terres humides, de forêt et de tourbières abrite également près d’une vingtaine d’espèces fauniques et floristiques à statut particulier.

« Nous devons faire de ce territoire une aire protégée pour la biodiversité et le rendre accessible pour les citoyens et les générations futures. C’est un joyau environnemental captif et abandonné par le gouvernement fédéral. Dans cette pétition, nous demandons que le gouvernement décontamine et cède le terrain. À Terrebonne, offrons-nous ce cadeau pour le 350e de la Ville de Terrebonne et signons en grand nombre. », affirme Nathalie Sinclair-Desgagné.

La protection de ce terrain serait congruente avec les objectifs de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) qui a réitéré, en décembre dernier, sa volonté de protéger 30% de son territoire d’ici 2030. À ce titre, un territoire aussi gros donnerait un fort coup de main.

« J’invite l’ensemble des Terrebonniennes et des Terrebonniens à signer la pétition en grand nombre. Le destin de ce territoire ne devrait plus être scellé par des clôtures. Notre terrain, nos aspirations.», ajoute la députée.

La députée fédérale de Terrebonne croit que la réponse sera positive chez les citoyens du Grand Montréal et que le gouvernement fédéral pourrait répondre positivement à la demande. Pour accéder au contenu de la pétition, vous pouvez aller sur le site web suivant :

https://petitions.noscommunes.ca/fr/Petition/Details?Petition=e[1]4296&fbclid=IwAR3PrQdW2V9dac_3ElJYXGXhNHg1X1Eeb0JnVVchVwWGay-EJ41LDvdPo5Q.

Le conseil municipal de Mascouche reçoit une Chaise des générations

Des élèves impliqués dans le comité vert de l’école Le Rucher ont remis une chaise symbolique aux membres du conseil municipal de Mascouche lors de la séance du conseil municipal du 13 février. La Chaise des générations, projet porté par le mouvement Mères au front, sera installée de façon permanente dans la salle du conseil dans le but de rappeler aux élus que les décisions qu’ils prennent ont un impact sur l’environnement et, par le fait même, sur l’avenir des enfants.

« Mon équipe et moi recevons avec enthousiasme ce cadeau. L’initiative cadre tout à fait avec nos valeurs environnementales et celle-ci nous rappellera l’impact de nos actions sur la qualité de vie de générations qui nous suivront. Merci aux élèves, à madame Beaudoin, enseignante, et à Geneviève Fournier-Goulet, de Mères au front, pour la réalisation ce projet », mentionne le maire Guillaume Tremblay.

Au cours des dernières semaines, les élèves, accompagnés de l’enseignante Émilie Beaudoin, ont décoré la chaise. Ils ont usé de créativité pour illustrer leurs attentes.

Les enfants ont signé le livre d’or de la Ville lors d’une rencontre avec les membres du conseil municipal, dont les conseillères Patricia Lebel et Lise Gagnon qui ont collaboré au projet.

Mères au front

Mères au front est un mouvement mené par quelque 7 000 mères et grands-mères animées par l’urgence d’agir pour protéger l’avenir des générations futures contre l’inaction climatique. Le mouvement compte plus de 30 groupes à travers la province, dont un dans la MRC Les Moulins.