Brève de Repentigny – Fin des travaux sur les rues Notre-Dame et Richard

La Ville de Repentigny est heureuse d’annoncer la fin des travaux sur la rue Notre-Dame, entre les rues Prud’homme et Saint-André. Prévu au Plan triennal d’immobilisations (PQI) 2024-2028, ce projet d’envergure représente un investissement de 6,5 M$, et s’inscrit dans le cadre du grand chantier de renouvellement des infrastructures et d’embellissement de cette artère principale, amorcé en 2013.

De mai à octobre, les équipes ont procédé à la réfection des infrastructures (aqueduc, égouts sanitaires et pluviaux, fondation et pavage), ainsi qu’à la construction d’un trottoir (côté sud) et d’une piste cyclable (côté nord), de même qu’à la modernisation de l’éclairage sur ce tronçon. En prolongeant le réseau actuel, la Ville souhaite faciliter les déplacements en vélo sur cette importante voie de circulation, tout en misant sur la sécurité.

Mentionnons que les travaux de réfection des infrastructures de la rue Richard sont également terminés. Aussi prévus au PQI, ces derniers ont été réalisés avec la participation financière du gouvernement du Québec.

Elle remercie les automobilistes, les résidents.es du secteur ainsi que les commerçants.es touchés.es de leur précieuse collaboration tout au long de ces travaux.

Sur la photo : Luc Rhéaume, conseiller municipal, district 4 – Du Fleuve et Bernard Landreville, président de la Commission administration publique et grands projets (tous deux au centre), en compagnie de Réjean Vigneault, directeur (à gauche) et Maxime Roy, chef de division (à droite) du Service de la gestion des infrastructures de la Ville de Repentigny.

Le Centre d’art Diane-Dufresne présente Vers des Mondes de Besner

Repentigny, le 22 octobre 2024 – Du 5 novembre 2024 au 26 janvier 2025, le Centre d’art Diane-Dufresne (CADD) présente Vers des Mondes, une exposition mettant en vedette 35 œuvres, dont 15 inédites, de l’artiste de la démesure Dominic Besner, un peintre autodidacte multidisciplinaire.

Vers des Mondes

L’exposition favorise l’immersion dans le monde mystérieux, parfois inquiétant, de Besner. Aux côtés des toiles de grands formats qui caractérisent sa production artistique, une série de collages propose un alliage dynamique entre la poésie des mots et celle de la coloration. C’est d’ailleurs ce corpus récent, présenté en exclusivité au CADD, qui donne tout son sens au titre Vers des Mondes.

« Nous sommes ravis d’accueillir cette exposition au Centre d’art Diane-Dufresne, où tous pourront découvrir la poésie ainsi que l’imaginaire qui animent ses œuvres. C’est une magnifique occasion de plonger dans son univers et de célébrer la richesse de l’art contemporain », souligne Karine Benoit, conseillère municipale et présidente de la Commission de la culture, du tourisme et du redéploiement du centre-ville.

 

Peintre de la démesure

Besner expose ici, sans limite ni tabou, sa vision critique de la société en remodelant ses formes dans un esthétisme alliant la figuration et l’abstraction. Ses créations, intuitives et réflexives, témoignent d’une ivresse gestuelle, généreuse et intemporelle. Depuis trente ans, le peintre de la démesure réalise des œuvres singulières avec une plasticité tactile qui défie la bidimensionnalité de la toile.

« Après trente ans de carrière, je suis capable de dire que je vois ma production artistique comme un poème que j’écris une toile à la fois et que je lègue en pièces détachées aux collectionneurs et amateurs d’art. »

 

Alliage de voix créatrices

À l’origine de la série de collage, présentée pour la première fois devant public, se trouve une collaboration privilégiée avec madame Diane Dufresne, figure emblématique de la scène artistique québécoise. Séduite par le lyrisme des titres des œuvres de Besner, elle décide de lui composer des quatrains originaux.

« Je me suis amusé à repenser ce qui m’interpelle lors de la création d’une œuvre. Ce sont les possibilités qui s’ouvrent à moi. Des milliers de mondes aux milliers de fenêtres et c’est beau et terrifiant à la fois. »

 

Une expérience inspirante

Composée tel un quatrain, l’exposition appelle les visiteurs[1] à se laisser voguer au cœur de quatre zones thématiques : Origines, Alacrité, Cavalcade, Armistice. Le style rédactionnel des textes – en vers – éveille la sensibilité et transporte littéralement dans un monde de possibilités.

Vers des Mondes permet une rencontre qui révèle bien la poésie, la finesse et l’opulence de l’œuvre de Besner.

« Entrer dans l’espace vital de ce créateur ne fait pas qu’éblouir; certains personnages encore en friche qui me fixent de leurs regards inflexibles me font tomber amoureuse du temps présent. Chaque minute dans l’antre de Besner est un voyage au pays des merveilles. »

 

Activités complémentaires

Cet automne, poursuivez votre exploration, en compagnie de l’artiste de Vers des Mondes, en participant en famille et entre amis à des activités créatives originales qui permettent de s’initier à différentes techniques artistiques.

  • 10 novembre :
    • Visite commentée avec Dominic Besner
    • Dimanches créatifs – Animal nocturne
    • L’Atelier 11-15 – Gravure sur métal
  • 17 novembre :
    • Dimanches créatifs – Animal nocturne
    • L’Atelier 11-15 – Gravure sur métal
  • 24 novembre : Dimanches créatifs – Oeuvre d’or!
  • 28 novembre : Apéro créatif, immersion dans l’œuvre de Besner, en présence de l’artiste

À noter qu’une visite guidée de l’exposition est offerte tous les samedis. Pour plus d’informations sur les événements et les activités complémentaires, le public est invité à consulter le site Web au espaceculturel.repentigny.ca.

Pour réserver une sortie culturelle en groupe, écrivez à l’adresse suivante : cadd@repentigny.ca.

 

À propos de Besner

Dominic Besner est né en 1965, à North Lancaster en Ontario. Détenteur d’un baccalauréat en architecture de l’Université de Montréal obtenu en 1992, il fonde son approche d’un milieu de vie sur l’humain, avec une préoccupation pour le passé, le présent et l’avenir. Peintre autodidacte prolifique, il transforme son bagage formel en une esthétique picturale de la figure et de l’espace, le tout à travers un regard mi-réaliste, mi-fictif.

 

À propos du Centre d’art Diane-Dufresne

Avec son architecture contemporaine et sa programmation audacieuse, le Centre d’art Diane-Dufresne est un centre de diffusion en arts visuels et en métiers d’art unique dans la région de Lanaudière. Il propose, aux visiteurs et aux excursionnistes, de découvrir les expositions en cours, à travers des ateliers d’interprétation et des rencontres d’artistes offrant une incursion au cœur même du processus artistique.

 

Tarifs : 7, 00 $ pour les résidents de Repentigny

10,00 $ pour les non-résidents

Gratuit pour les moins de 18 ans, et les membres du CADD

Réservez vos billets en ligne au espaceculturel.repentigny.ca

Coordonnées : Centre d’art Diane-Dufresne

11, allée de la Création, Repentigny (Québec) J6A 0C2

450 470-3010

espaceculturel.repentigny.ca/fr/centre-art-diane-dufresne

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise le masculin dans ce communiqué de presse uniquement pour faciliter la lecture.

 

21e édition des Matinées Lanaudoises – L’humain au centre des décisions

Nous sommes heureux de lancer la 21e édition des Matinées Lanaudoises!

Vous trouverez en pièce jointe le communiqué de presse

Sur la photo de gauche à droite : Gilbert Masse, Ministère de l’Emploi et de la Solidarité Sociale (MESS); Lysa Bergeron, Harnois Énergies; Zachary Tessier et Delphine Siblot, Bridgestone; François St-Louis, Député de Joliette; Alexia Landreville (MESS); Nicolas Framery, Corporation de développement économique de la MRC de Joliette (CDÉJ); Rachel Dufresne, Desjardins Entreprises; Angie Dejo-Galvez, MESS; Véronique Tessier, Les produits Kruger et Simon Potvin, Les Entreprises Généreux.

 

Après 30 ans, L’AJRJ devient l’OTRE et déménage!

La suite dans le communiqué PDF joint

 

Sarahmée : Pleure pas ma Fille, sinon Maman va pleurer

Sarahmée : Pleure pas ma Fille, sinon Maman va pleurer – À l’animation du Premier Gala de l’ADISQ le 30 octobre prochain

Rentrée montréalaise le 14 novembre aux Foufounes Électriques dans le cadre de Coup de cœur francophone

L’album Pleure pas ma Fille, sinon Maman va pleurer, lancé aujourd’hui, marque le début d’un nouveau cycle musical pour Sarahmée. Les pièces de ce nouvel opus, réalisé par ses acolytes habituels soit Tom Lapointe et Diego Montenegro, seront présentées pour la première fois sur scène lors de la rentrée montréalaise de l’artiste le 14 novembre prochain.

https://www.youtube.com/channel/UC5Ham-k18TzIcwU5rmMZPZw

C’est une aventure chronologique que Sarahmée invite à vivre en écoutant l’album du début à la fin. Véritable réflexion personnelle, cette œuvre qui souligne l’importance des liens familiaux et culturels est le fruit d’une vision précise où chaque élément, des arrangements musicaux à l’esthétique visuelle, a été pensé avec soin.

J’ai ressenti le besoin de me plonger entièrement dans ce projet, sans retenue, collaborant avec des artistes avec qui j’entretiens une connexion profonde et sincère. C’est probablement l’album qui me ressemble le plus, à tous les points de vue. – Sarahmée

L’album s’ouvre sur un hommage familial et à son frère Karim, posant ainsi les fondations d’une trame narrative profondément émotionnelle. Au Sénégal il y a une tradition lors des mariages, des décès, ou des fêtes, où une griotte ou un griot (poète, chanteur et musicien ambulant) est invité pour venir chanter en l’honneur de la personne. La griotte qui ouvre l’album chante le deuil, l’espérance, l’amour et la peine aussi. Pour Sarahmée, il s’agit de la plus belle façon de rendre hommage à son frère. Chaque note résonne avec l’écho de ses racines et de sa culture, créant une alchimie entre le passé et le présent.

Sur la chanson À la dur, on peut entendre des chants des femmes pêcheuses de Joal, que la rappeuse a rencontré à Dakar en 2022 lors du tournage de Elles, série documentaire sur des collectifs de femme à travers le monde, ce qui ajoute une dimension authentique et poignante. La pièce est un reflet des deux dernières années de l’artiste et exprime ce qu’elle a dû traverser. Sarahmée a d’ailleurs remporté le Prix Gémeaux de la Meilleure animation : documentaire ou affaires publiques pour la série Elles (Picbois Productions) lors du dernier gala.

La vie d’avant avec Rymz est une réflexion que Sarahmée porte sur sa relation à distance. Elle constate qu’elle ne regrette pas son passé amoureux, même s’il a été tumultueux. Quand elle a enfin trouvé la bonne personne, cette dernière était loin. Ce morceau exprime l’ennui de l’absence et le désir d’être ensemble. L’artiste chante « dama la nopp », qui signifie « je t’aime » en wolof, soulignant ce besoin simple d’être proches et complices malgré la distance qui nous sépare.

Pour de l’argent est une chanson qui parle d’elle-même. Sarahmée exprime ses émotions et sa réaction face aux aléas de la vie. Elle affirme que, même si des obstacles surgissent, elle suit son propre chemin et ce n’est pas l’argent qui la motive. Elle continue de faire ce qu’elle aime avec le cœur. C’est une chanson très directe qui montre que l’argent ne devrait pas mener le monde.

Inspirée de faits réels, C’est pas toi, c’est moi explore les expériences amoureuses de Sarahmée, marquées par des moments d’incertitude sur ce qu’elle voulait. J’ai souvent blessé des femmes que j’aimais, pensant agir au mieux. En me regardant dans le miroir, j’ai fait un constat honnête sur mon rôle de partenaire. Le dernier couplet raconte une relation toxique qui m’a ouvert les yeux sur ce que je ne voulais plus, raconte Sarahmée. La chanson montre que la toxicité peut venir de différentes perspectives, et j’apprécie son côté brut et sincère.

Sarahmée avait enregistré une maquette il y a quatre ans de la chanson Reines et a été agréablement surprise de voir à quel point les paroles résonnaient encore avec elle. Cette chanson est un hommage aux femmes, en particulier aux femmes noires, et aborde des thèmes comme la reconnaissance tardive et la violence faite aux corps féminins. Sarahmée a aussi invité sa mère à jouer de la kora, instrument qu’elle maîtrise depuis plus de 30 ans. Sa présence sur le morceau le rend d’autant plus touchant. Pour moi, ma mère est ma reine, et partager ce titre avec elle est une expérience profondément émotive.

Fallait qu’on vive est née de sessions en studio avec Eman, un ami de longue date qui était proche de Karim. La chanson exprime l’idée qu’après avoir vécu des moments difficiles, il est temps de s’amuser et de profiter de la vie, même si certains ne sont plus là. Le refrain souligne ce message d’espoir. On peut entendre une chorale nigériane qui apporte un côté de soul et de lumière. Musicalement, le morceau mêle des influences baile funk et rythmiques brésiliennes.

S’inspirant de l’afrobeat, la chanson Donne-moi la main est une chanson d’amour qui prend une autre dimension avec la voix de Ya Cétidon. La chanson est une invitation à s’amuser et à s’aimer. À la fin, on y entend un solo de kompa, musique populaire haïtienne, qui fait un clin d’œil à la grande communauté haïtienne de Montréal, intégrant ainsi une partie de la culture québécoise.

Sonia Benezra est une chanson axée sur l’ego trip, pleine de punchlines où Sarahmée expose ses désaccords et revendications. Je me donne des fleurs, car qui d’autre le ferait? Il est souvent difficile de reconnaître les femmes dans le rap, et j’ai choisi ce titre en hommage à Sonia Benezra, une figure respectée qui a marqué la culture québécoise. Son retour cette année m’a inspiré : elle est une OG de l’entrevue, et je voulais faire un parallèle un peu audacieux. Je ne me considère pas comme une nouvelle venue, mais je suis là depuis longtemps et je suis plus présente que jamais. Sarahmée

Créée lors d’une session live avec le pianiste Alexis Elina, la chanson Juste du love capture l’esprit du gospel, une célébration de l’amour. Dominique Fils-Aimé a rapidement écrit des paroles pour la chanson, ajoutant sa magie. La chanson se clôt sur des remerciements dans une énergie de pasteur, parlant d’amour et de lumière, pour conclure l’album sur une note positive.

Sarahmée sera à l’animation du Premier Gala de l’ADISQ le 30 octobre prochain.

La rentrée montréalaise Pleure pas ma Fille, sinon Maman va pleurer aura lieu aux Foufounes Électriques dans le cadre de Coup de cœur francophone le 14 novembre prochain.

Ouverture prochaine de la bretelle aérienne de l’A-440 ouest vers l’A-15 nord

Laval, le 21 octobre 2024. – Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, est fier d’annoncer, au nom de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, l’ouverture, dans les prochains jours, de la nouvelle bretelle aérienne menant directement de l’autoroute 440, en direction ouest, à l’autoroute 15, en direction nord.

Cette nouvelle bretelle d’accès, dont la construction a commencé en 2023, fait partie du vaste chantier de sécurisation et d’amélioration de la mobilité dans l’échangeur des autoroutes 440 (Jean-Noël-Lavoie) et 15 (des Laurentides), l’un des plus achalandés au Québec. Ce projet, qui comprenait divers réaménagements, a nécessité des investissements de 133 M$, ce qui est en deçà des coûts initialement prévus qui étaient estimés à 189,4 M$.

 

Citations

« Les Lavallois et les Lavalloises peuvent pousser un grand soupir de soulagement, car la bretelle aérienne tant attendue sera bientôt ouverte à la circulation. Après le grave carambolage survenu en 2019, il était devenu nécessaire d’améliorer la configuration de ce secteur. Je suis vraiment fier que l’on ait pris la seule décision qui s’imposait, soit de rendre ce secteur plus sécuritaire. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval 

« Grâce aux actions prises par notre gouvernement pour l’accélération de certains projets, ce chantier d’envergure a pu se réaliser plus rapidement et à moindre coût. Les nouveaux aménagements, dont la bretelle menant directement d’une autoroute à l’autre, viennent réduire les mouvements d’entrecroisement et les files d’attente, ce qui rend les déplacements des usagers de la route plus sécuritaires. »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

 

Faits saillants

  • Le projet de sécurisation et d’amélioration de la mobilité dans l’échangeur des autoroutes 440 et 15 comprend deux phases :

Phase 1 (2021-2022) :

  • l’ajout d’une entrée menant de la voie de desserte de l’autoroute 15, en direction nord, aux voies rapides de l’autoroute 15, en direction nord (mise en service en septembre 2022);

Phase 2 (2023 à 2025) :

  • le réaménagement de la sortie n24 Industriel de l’autoroute 440, en direction ouest, par la mise en place de deux sorties distinctes comprenant deux voies chacune : l’une menant au boulevard Industriel et l’autre vers la voie de desserte (terminé à l’été 2024);
  • la construction d’une bretelle aérienne menant directement de l’autoroute 440, en direction ouest, vers l’autoroute 15, en direction nord, en remplacement de la sortie no22 qui passait par les voies de desserte (ouverture prévue dans les prochains jours);
  • le parachèvement des travaux et des aménagements paysagers sera réalisé en 2025 et complètera le projet.
  • Ce projet est inscrit à la Loi concernant l’accélération de certains projets d’infrastructure, qui vise à stimuler la relance économique du Québec, et à accélérer certains projets pour une mise en chantier plus rapide, ce qui a permis de le réaliser plus rapidement.
  • Environ 305 000 véhicules circulent chaque jour dans l’échangeur des autoroutes 440 et 15.

Lien connexe

Page Web du projet : Échangeur des autoroutes 440 et 15 à Laval – Sécurisation et amélioration de la mobilité

 

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable sur les médias sociaux :

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Maxime Landry et Annie Blanchard présentent la chanson Pas assez d’une vie – Nouvel extrait d’un album à paraître le 7 mars prochain

Montréal, 18 octobre 2024 — Après deux albums de reprises à succès en duo, Maxime Landry & Annie Blanchard proposent aujourd’hui leur toute première chanson originale, la pièce « Pas assez d’une vie ». Écrite et composée par Maxime, la chanson propose une rythmique traditionnelle qui embrasse pleinement le style country et évoque le lien qui les unit depuis leur toute première rencontre! Il s’agit du premier extrait d’un nouvel album à paraître en mars prochain.

Les relations d’amitié sont sources de bonheur, d’épanouissement et de partage. Elles constituent un véritable rempart contre la solitude et peuvent marquer une vie, tant par leur richesse que par les blessures qu’elles peuvent engendrer et les tempêtes qu’elles peuvent traverser. Ce sont des relations significatives, profondes et si intenses « qu’on n’aurait pas assez d’une vie pour arriver à les e-acer de notre mémoire » dit Maxime Landry. C’est de cette union particulière qu’il s’est inspiré pour cette ballade country assumée, avec des influences et des sonorités folks qui lui procurent un élément bien distinctif. La chanson se veut également un hommage à la relation avec leur public qui les suit depuis les derniers opus « Jolene & The Gambler » ainsi que « Le country de nos idoles ». Fort de plus d’une centaine de spectacles ensemble au cours des deux dernières années, ils ne sont pas près d’oublier le rêve éveillé qu’ils vivent en ce moment. Actuellement en tournée sur de nombreuses scènes québécoises, la tournée a déjà obtenu un billet d’argent ADISQ pour plus de 30 000 billets vendus et elle se poursuivra jusqu’en 2025.

Le nouvel extrait « Pas assez d’une vie » se retrouvera sur le nouvel album du duo qui sera disponible le 7 mars prochain sous l’étiquette Universal. Tout juste à temps pour la rentrée montréalaise des deux artistes qui se tiendra le 8 et 9 mars prochain au Casino de Montréal. Entre temps, la tournée se poursuit partout en province et le nouvel extrait est disponible dès maintenant sur toutes les plateformes numériques. Pour suivre Maxime Landry, toute son actualité musicale dont ses prochaines dates de spectacles avec Annie Blanchard, vous pouvez visiter le maximelandry.com

À propos

Fort de plus d’une centaine de spectacles ensemble au cours des deux dernières années, ils ne sont pas près d’oublier le rêve éveillé qu’ils vivent en ce moment. Après deux albums à succès en duo, ils présentent aujourd’hui leur toute première chanson originale, écrite et composée par Maxime Landry. Il y a des rencontres et des relations intenses et puissantes qu’on n’aurait Pas assez d’une vie pour arriver à les effacer de notre mémoire.

https://www.youtube.com/channel/UC0B3dZdzAdhM5ltW8up72xg

 

Le droit à l’alimentation vous tient à cœur ? Lancement de la campagne

Montréal, le 18 octobre 2024 – Le Regroupement des cuisines collectives du Québec (RCCQ), ses membres et ses partenaires ont profité de la Journée mondiale de l’alimentation pour lancer leur démarche en faveur de la reconnaissance du droit à l’alimentation au Québec.

Le droit à l’alimentation, reconnu dans plusieurs textes internationaux tels que la Déclaration universelle des droits de l’Homme et le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC), vise à garantir à toute personne, sans discrimination et dans le respect de sa dignité humaine, un accès physique et économique stable à une alimentation adéquate et respectueuse de la biodiversité.

Le Canada et le Québec ont reconnu ce droit en 1976, en signant le PIDESC. 

Pourtant, il est clair que ce droit est loin d’être garanti au sein des collectivités. Au Québec, une personne sur huit est en situation d’insécurité alimentaire, le prix des aliments ne cesse d’augmenter alors que les agriculteurs et agricultrices s’appauvrissent, et les changements climatiques mettent en péril la capacité de se nourrir.

Pour dénoncer les incohérences entre les engagements des gouvernements envers le droit à l’alimentation et son absence dans notre législation, le RCCQ a remis une facture d’épicerie représentant les coûts invisibles de notre alimentation au gouvernement québécois.

En effet, les coûts de notre alimentation ne se limitent pas au montant payé à la caisse. Ils incluent les impacts environnementaux, comme la pollution liée au transport et à la surexploitation des terres agricoles, ainsi que les coûts humains tels que la précarité des travailleurs agricoles et la surcharge mentale liée à l’accès aux aliments.

Face à ces constats, le RCCQ demande au gouvernement québécois, avec le soutien des gouvernements de tous les paliers, de reconnaître formellement le droit à l’alimentation dans notre législation afin de garantir un accès digne à une alimentation adéquate pour tout.es les Québécois.es.
Il compte y parvenir grâce à l’adoption d’une loi-cadre sur le droit à l’alimentation, qui encadrerait l’ensemble du système alimentaire, du champ à l’assiette, pour que chaque élément impliqué dans la production, la transformation, la distribution, la consommation et la gestion des déchets alimentaires soit soumis aux exigences du droit à l’alimentation.

Il est temps de faire valoir nos droits. Rêvons ensemble d’un Québec où chaque personne, quel que soit son parcours ou son statut socioéconomique, bénéficie d’un accès digne à une alimentation qui respecte ses besoins, ses valeurs et la planète.

Nouvelle série d’émissions culinaires « Cuisine du monde » : un voyage à travers les saveurs et les cultures

TERREBONNE, le 17 octobre 2024 – La MRC Les Moulins, en collaboration avec TVRM et AMINATE, est fière d’annoncer le lancement d’une toute nouvelle série d’émissions culinaires intitulée « Cuisine du monde ». Ce projet est réalisé avec le soutien du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), dans le cadre du programme d’appui aux collectivités.

La série, composée de huit épisodes captivants, offre un véritable voyage culinaire à travers les cultures du monde, tout en mettant en lumière la richesse et la diversité culturelle des personnes immigrantes bien ancrées dans la région Les Moulins.

Chaque émission présente le parcours unique de personnes immigrantes qui partagent leurs traditions culinaires en préparant des mets inspirés de leurs pays d’origine, avec des ingrédients locaux. Ce mariage de saveurs et de savoir-faire illustre non seulement la diversité des communautés, mais également leur contribution essentielle à la vitalité de notre région.

« Cuisine du monde » ne se limite pas à la gastronomie : c’est aussi une série d’histoires humaines, riches de témoignages chaleureux et inspirants. À travers ces récits, les téléspectateurs découvriront comment l’immigration enrichit non seulement notre assiette, mais aussi notre tissu social, en favorisant des échanges interculturels et en soulignant les valeurs de partage et de solidarité » souligne Marie-Ève Couturier, membre du conseil de la MRC Les Moulins et conseillère à la Ville de Terrebonne.

 

Début de la diffusion :

La diffusion de la série débutera le lundi 28 octobre, à midi. Les émissions pourront ensuite être visionnées sur le site Internet de TVRM. Un recueil des recettes en format PDF est également offert en téléchargement sur le site Web de la MRC, à l’adresse suivante : https://www.mrclesmoulins.ca/unir/.

« Cette initiative reflète l’engagement de la MRC Les Moulins à promouvoir la diversité culturelle et à encourager l’inclusion dans tous les aspects de la vie communautaire. Nous sommes fiers de soutenir ce projet qui contribue à créer des ponts entre les cultures tout en valorisant le patrimoine culinaire de nos citoyens issus de l’immigration » mentionne Darllie Pierre-Louis membre du conseil de la MRC Les Moulins et conseillère à la Ville de Mascouche.

 

À PROPOS DE LA MRC LES MOULINS

Regroupant les villes de Mascouche et de Terrebonne, la MRC Les Moulins a pour mission de planifier de façon harmonieuse l’aménagement du territoire, d’exercer ses compétences en matière environnementale, d’être le catalyseur de son développement économique et touristique, ainsi que d’assurer une coordination des dossiers à l’échelle moulinoise en lien avec ses mandats. La population de la MRC s’élève à 177 722 personnes sur un territoire de 266 km2.

27e édition des Rendez-vous de la Francophonie !

Les Rendez-vous de la Francophonie dévoilent leur édition 2025!

Ottawa, le 16 octobre 2024 – C’est avec une immense fierté que la Fondation dialogue, organisatrice des Rendez-vous de la Francophonie (RVF), dévoile les principaux éléments de l’édition 2025. Comme d’habitude, du 1er au 31 mars, les RVF célébreront la vitalité de la francophonie d’un bout à l’autre du pays.

Thème

La 27e édition des RVF se déroulera sous le thème Cultive tes racines! Ce thème met en lumière une culture vivante, propre à chacun, qui se construit et se renouvelle à travers les expériences et les connaissances. La culture permet de créer des liens forts entre familles, communautés et générations, à l’image d’un réseau de racines vivantes, interconnectées et en pleine expansion.

Porte-paroles

La programmation sera empreinte de la quête d’apprentissage et de reconnaissance des différentes communautés qui composent la francophonie canadienne. La comédienne et première femme noire diplômée de l’École nationale de l’humour, Garihanna Jean-Louis, propagera son énergie fulgurante dans les communautés du pays. Pour l’accompagner, le musicien et conteur de la Nouvelle-Écosse Guyaume Boulianne communiquera son amour de la francophonie canadienne et transmettra ses connaissances dans le cadre de différentes activités des RVF.

Tournées pancanadiennes

La fameuse tournée d’humour des RVF est de retour, et promet des soirées mémorables, pleines de rires et de surprises! Ces spectacles, pour la plupart animés par Garihanna, seront l’occasion de découvrir des humoristes de la francophonie canadienne et de votre coin de pays, dont Ryan Doucet (N.-É.), Jérémie Larouche (Qc) et Evelyne Roy-Molgat (Ont.).

Guyaume, quant à lui, se rendra dans différentes provinces pour présenter la tournée Trécarré en musique, composée de deux parties : le visionnement du documentaire Trécarré : à la source du son de la Baie Sainte-Marie, produit par l’Office national du film (ONF) et réalisé par Natalie Robichaud, de même qu’un spectacle où la musique caractéristique de cette région sera à l’honneur. Guyaume animera également des ateliers scolaires dans lesquels il discutera de sécurité linguistique et dirigera des ateliers d’écriture de chansons et de poésie. Hâtez-vous de faire votre réservation, car le nombre de dates pour accueillir le spectacle est limité.

Ces deux tournées sont rendues possibles grâce au soutien de nos partenaires et notamment celui d’Air Canada, commanditaire platine des RVF.

Programmation

En plus des tournées en présentiel, les RVF offrent une multitude d’activités virtuelles sur le site RVF.ca

L’ONF offre gratuitement six programmes de documentaires et de courts métrages pour petits et grands. Réservez dès maintenant le programme que votre école ou votre organisme souhaite projeter en mars!

Visitez également la section « Scolaire » du site, où vous trouverez des activités pédagogiques, de la musique, des jeux et des émissions de télé en français.

Restez à l’affût, car l’annonce d’autres activités et de nouveaux partenariats enrichissants, de même que le dévoilement de l’affiche officielle, auront lieu au cours des prochains mois. Suivez-nous sur les réseaux sociaux ou abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer.

Concours

Comme chaque année, l’édition 2025 comprend aussi une multitude de concours. Un nouveau concours est lancé dès aujourd’hui! Il était un poème invite le grand public et les groupes scolaires à montrer leur passion pour la poésie et le slam en rédigeant un texte original. L’objectif du concours est de célébrer l’expression artistique et culturelle, de promouvoir la diversité des styles littéraires et d’expression orale, de sensibiliser à la sécurité linguistique et de faire connaître les artistes en herbe des communautés francophones du Canada. Vous avez jusqu’au 20 décembre pour participer!

Programme de microsubventions

Les RVF offriront une cinquantaine de microsubventions destinées aux organismes à but non lucratif qui souhaitent organiser une activité pour célébrer la francophonie entre le 1er et le 31 mars. Des montants de 1 500 $ à 2 000 $ seront versés aux organismes admissibles ayant rempli le formulaire de demande avant le 25 novembre 2024. Passez le mot dans votre réseau!

Citation

« Grâce aux efforts soutenus et passionnés de toute l’équipe de la Fondation dialogue, nous avons cultivé une édition des Rendez-vous de la Francophonie 2025 qui s’enracine dans les besoins et les aspirations des communautés. Nous nous efforçons constamment de faire pousser de nouvelles idées et d’innover pour offrir des initiatives qui non seulement célèbrent, mais nourrissent la diversité et la vitalité de la francophonie canadienne. », souligne Chedly Belkhodja, président de la Fondation dialogue.

À propos des RVF

Les RVF font partie des événements culturels entourant la Journée internationale de la Francophonie. Rendus possibles grâce à l’appui financier du gouvernement du Canada, ils sont organisés par la Fondation dialogue.

La Fondation dialogue et l’équipe des RVF 2024 souhaitent remercier leurs principaux partenaires, soit le ministère du Patrimoine canadien, Air Canada, le Portail linguistique du Canada (une initiative du Bureau de la traduction de Services publics et Approvisionnement Canada), l’Office national du film, NAV CANADA,VIA Rail Canada, la Fédération de la jeunesse canadienne-française, Parcs Canada, Postes Canada, le Secrétariat du Québec aux relations canadiennes, TFO, le collège La Cité, l’Université d’Ottawa, Unis TV, le Conseil des écoles publiques de l’Est de l’Ontario, le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est, l’Université Simon Fraser, l’Université Sainte-Anne, l’Université de l’Alberta – campus Saint-Jean et Canadian Parents for French.