Guillaume Arsenault lance son nouvel EP

Montréal, le 31 janvier 2025 – L’auteur-compositeur-interprète Guillaume Arsenault présente son nouvel EP, Les plantes continuent de pousser même quand tu dors – Face B. Suite logique de la Face A lancée en mai dernier, ce mini-album lumineux vient clore le défi que l’artiste gaspésien s’était lancé en 2024, soit de lancer une chanson par mois tout au long de l’année.

Les plantes continuent de pousser même quand tu dors : ce titre, qui est venu à Guillaume lors d’un rêve, deviendra son mantra tout au long du projet. « Je me suis répété cette phrase pour me donner la patience et la confiance de trouver les idées, de les déployer et d’aboutir à des chansons en ayant des dates limites. De comprendre et d’accepter que même si je tire sur la fleur, elle ne poussera pas plus vite. Rien n’est pressé d’éclore, mais même quand on dort, les choses avancent », révèle-t-il.

Le maxi propose pas moins de sept pistes, cinq d’entre elles ayant été composées par Guillaume dans la deuxième moitié de l’année dernière. S’y ajoutent une reprise bluesy à souhait de Marie-Jo Thério (Matavenero) ainsi que Le beat de la béatitude, une chanson que l’artiste avait dévoilée en 2023.

Guitare acoustique, banjo, contrebasse et guitare à résonateur sont les principaux protagonistes de ce nouvel effort à forte saveur country-folk, rehaussé çà et là d’harmonies vocales, de percussions bien placées et d’envolées électro panoramiques. Si les fans de longue date seront en terrain connu, quelques chansons sortent toutefois des sentiers battus du genre choisi : sur Le beat de la béatitude, Guillaume rythme une poésie ferroviaire et vagabonde, tandis que Bill est un récit captivant aux allures de western spaghetti, alternant entre narration et chanson. Riches en histoires et généralement optimistes, les textes expriment avec candeur l’amour de Guillaume pour le voyage (Blague à tabac), la nature (Je n’étais qu’une roche) et sa tendre moitié (Au-delà du grand bleu).

Les plantes continuent de pousser même quand tu dors – Face B a été enregistré en grande partie dans le studio maison de Guillaume Arsenault à Saint-Siméon-de-Bonaventure, avec des prises de son additionnelles au Studio Tracadièche de Carleton-sur-Mer.

https://guillaumearsenault.bandzoogle.com/

https://found.ee/GA-Les-plantes-continuent-de-pousser-meme-quand-tu-dors-Face-B

À propos de Guillaume Arsenault

L’auteur-compositeur-interprète Guillaume Arsenault est né en Gaspésie, où il tient une shop à chansons depuis plus de 20 ans. Fort de six albums, maintes fois primé (Festival en chanson de Petite-Vallée, Révélation Radio-Canada Espace musique, Prix de la création au CALQ) et nommé (ADISQ, Prix de musique folk canadienne), il propose une œuvre sensible, poétique et profondément ancrée dans son vaste territoire.

Paroles et musique : Guillaume Arsenault, à l’exception de Matavenero, écrite et composée par Marie-Jo Thério

Maison de disques : Les Faux-Monnayeurs
Production : Les Productions de L’Arbre

Réalisation : Guillaume Arsenault
Prises de son : Guillaume Arsenault, Éric Dion, Vincent Carré et Jean-Guy Leblanc
Mixage et matriçage : Richard Dunn au Studio Tracadièche de Carleton-sur-Mer

Guillaume Arsenault : voix, guitares, banjo, piano, flutes, harmonica, clavier, programmation, percussions, accordéon, thérémine, violoncelle, violon, ukulélé
Jean-Guy Leblanc : contrebasse, chœurs
Richard Dunn : contrebasse
Éric Dion : guitare à résonateur, chœurs
Vincent Carré : percussions
Éric Proulx : batterie
Aelin Zachaël : violon
Pierre-André Bujold : voix de Bill
Steeve Ouellet : chœurs

Un média qui assure la défense de nos communautés

Victoriaville, 3 février 2025 – Les médias locaux se fragilisent et les ressources se raréfient. L’avenir de l’information de proximité est en péril, trop souvent sacrifié, ce qui représente une menace réelle pour la cohésion sociale. Les citoyens et citoyennes doivent impérativement se rendre compte que les télévisions communautaires autonomes (TCA) du Québec jouent un rôle essentiel dans le maintien du lien social, de l’identité régionale et de la démocratie locale.

Sans ces médias de proximité, les enjeux locaux sont occultés, la participation citoyenne diminue et le tissu social se désagrège. Qui portera la voix des régions si ces dernières sont oubliées ?

Malgré tout, plusieurs personnes se mobilisent pour sauvegarder et renforcer ces médias de proximité. Il est urgent que les décideurs reconnaissent leur valeur et adoptent des mesures concrètes pour garantir leur pérennité. Les gouvernements, les institutions et la société civile sont appelés à unir leurs forces pour assurer la continuité des TCA.

L’information locale est un bien commun qu’il faut protéger, car elle est au cœur de notre identité collective et de la vitalité démocratique de nos communautés.

Joins-toi à nous… Ose ta télé communautaire!

Bruits d’archives : mémoire des berges lavalloises

LE C.I.EAU DÉVOILE L’EXPOSITION BRUITS D’ARCHIVES : MÉMOIRE DES BERGES LAVALLOISES PAR DANIELLE RAYMOND

Une immersion poétique entre le passé et le présent pour célébrer et préserver les berges lavalloises.

Du 13 février au 25 mars 2025, le Centre d’interprétation de l’eau (C.I.EAU) accueille l’exposition temporaire Bruits d’archives : mémoire des berges lavalloises, une création immersive de l’artiste multidisciplinaire lavalloise Danielle Raymond. L’exposition sera présentée à la salle André-Perrault du musée du C.I.EAU du 13 février au 25 mars 2025, puis au Centre d’archives de Laval (CAL) plus tard ce printemps. Le projet est soutenu financièrement par le Conseil des arts et des lettres du Québec et la Ville de Laval.

À travers des photomontages subtils mêlant archives et paysages actuels, l’exposition invite à redécouvrir l’histoire récréotouristique des berges des rivières des Mille Îles et des Prairies, tout en sensibilisant à leur préservation.

En juxtaposant l’effervescence d’antan et la quiétude actuelle des berges, Danielle Raymond souligne l’importance de valoriser ces espaces naturels, accessibles aux Lavallois grâce aux récents aménagements. « Je souhaite que ces images inspirent une prise de conscience : ces lieux ne sont pas que des paysages, mais des témoins vivants de notre histoire », explique-t-elle.

Pour réaliser ce projet, Danielle Raymond a fait appel au C.I.EAU, dont la mission souligne l’importance de préserver la ressource eau et le milieu naturel de l’eau. Madame Raymond a également collaboré avec des partenaires clés : le Centre d’archives de Laval et la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus. Ces partenariats ont permis de marier le passé et le présent avec une profondeur historique et artistique remarquable.

EXPOSITION
Date : Du 13 février au 25 mars 2025
Horaire : Aux heures d’ouverture du C.I.EAU
Tarif : 5$ (gratuit avec l’entrée régulière au musée)
Lieu : Centre d’interprétation de l’eau – 12 Rue Hotte, Laval, QC H7L 2R3

VERNISSAGE
Le C.I.EAU invite les médias, partenaires et invités spéciaux à découvrir l’exposition « Bruits d’archives : mémoire des berges lavalloises » en avant-première lors d’un vernissage qui se tiendra le mercredi 12 février 2025 à 17h00 sous une formule conviviale 5 à 7.

Les participants pourront échanger avec l’artiste Danielle Raymond et admirer ses œuvres dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Une visite de l’exposition permanente du C.I.EAU sera également offerte aux invités, qui seront encouragés à partager leur expérience sur les réseaux sociaux. Cet événement reflète l’engagement du C.I.EAU à promouvoir la culture et la protection de l’eau.

  • Date : 12 février 2025
  • Horaire : 17h00 à 19h00
  • Tarif : 10$ par personne
  • Horaire :
    • 17h00 : Accueil
    • 17h15 : Mot d’ouverture

17h30 : Dévoilement de l’exposition dans la salle André-Perrault

À propos de l’artiste

Artiste multidisciplinaire originaire de Laval, Danielle Raymond explore depuis des années les liens entre mémoire collective, paysages et technologies. Spécialiste des photographies en mouvement, elle fusionne vidéo, son et archives pour créer des œuvres où le passé dialogue avec le présent. Ses installations, qualifiées de « poétiques », évoquent des souvenirs d’enfance — comme ses baignades à la plage Idéale ou Jacques-Cartier — et questionnent la manière dont les traces historiques habitent nos espaces contemporains.

En 2023, elle a présenté Saunascènes/Saunascapes en Finlande. Ses travaux ont également été diffusés lors d’événements internationaux, dont les Rendez-vous du cinéma québécois, le festival Montréal/Nouvelles Musiques, et des expositions en France et en Norvège. Elle a également produit des installations vidéo et sonores à Sainte-Rose en Blanc et à la Salle Alfred-Pellan. En 2015, son coffret La Route de l’art public a soutenu la Fondation lavalloise des lettres.

Pour en savoir plus sur ses créations contactez l’artiste

Courriel : raymonddanielle@yahoo.ca
Viméo : https://vimeo.com/user42623678
Fiche : https://signelaval.com/fr/repertoire-culturel/danielle-raymond 

À propos du Centre d’interprétation de l’eau
Le C.I.EAU est un lieu unique et incontournable dans le domaine de l’eau au Québec. Situé à l’intérieur même de la station d’eau potable Sainte-Rose à Laval, cet organisme de bienfaisance a pour mission de promouvoir la protection et l’utilisation responsable de l’eau. Il accomplit sa mission à l’aide de son exposition permanente, de son offre pédagogique en Lab’eau et de toutes ses autres activités. Le C.I.EAU s’adresse à un public curieux d’en apprendre plus sur la merveilleuse ressource qu’est l’eau.

À propos du Centre d’archives de Laval
Le Centre d’archives de Laval (CAL) est une institution dédiée à la préservation et à la diffusion du patrimoine archivistique lavallois. Depuis sa création en 2010, le CAL contribue à la sauvegarde de la mémoire collective de Laval.

À propos de la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus
Fondée en 1963, la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus (SHGIJ) préserve et diffuse le patrimoine historique et généalogique de Laval à travers expositions, conférences et ateliers. Elle conserve aussi des archives privées et objets anciens. Partageant le même site, la SHGIJ et le CAL unissent leurs efforts pour préserver et diffuser le patrimoine historique et archivistique de Laval.

Site web
C.I.EAU : https://www.cieau.org
SHGIJ-CAL : https://archives-histoire-laval.org/ 

 

 

La FQM propose des avenues pour permettre aux municipalités

La FQM propose des avenues pour permettre aux municipalités d’évincer les biens et services d’origine américaine

Imposition de tarifs douaniers par les États-Unis La FQM propose des avenues pour permettre aux municipalités d’évincer les biens et services d’origine américaine de leurs achats et appels d’offres

Québec, le 3 février 2025 — La Fédération québécoise des municipalités (FQM) dénonce fermement l’imposition unilatérale de tarifs douaniers de 25 % par le gouvernement américain, qui met en péril les entreprises et les régions du Québec.

Dans une lettre adressée à la présidente du Conseil du Trésor, Mme Sonia Lebel, et à la ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, la FQM réclame une intervention rapide pour permettre aux municipalités de participer pleinement à l’effort de solidarité proposé par les premiers ministres du Québec et du Canada, qui appellent à pénaliser les entreprises américaines faisant affaire avec l’État québécois. La lettre est disponible en cliquant ICI.

« Les tarifs imposés par les États-Unis sont inacceptables et nuisent gravement à nos régions. Le gouvernement du Québec doit permettre aux municipalités d’évincer les biens et services d’origine américaine de leurs appels d’offres », a déclaré Jacques Demers, président de la FQM, maire de Sainte-Catherine-de-Hatley et préfet de la MRC de Memphrémagog.

La FQM propose deux avenues :

  1. Le gouvernement peut adopter rapidement une modification règlementaire selon les articles 936.0.4 du Code municipal et 573.1.0.4 de la Loi des cités et villes afin de prévoir une majoration de l’appréciation du prix pour les biens et services d’origine américaine dans le cadre d’un tel appel d’offres. Cette majoration pourrait être de 25 % conformément à l’orientation suivie par le gouvernement pour ses propres appels d’offres;
  2. Le gouvernement peut élargir la portée des articles 936.0.4.1 du Code municipal et 573.1.0.4.1 de la Loi des cités et villes pour tout type de contrat, et ce, peu importe la limite de dépenses applicable, et permettre aux municipalités de déterminer un pointage excédant le seuil actuel de pondération maximal de 10 % de l’ensemble des critères prévus dans un appel d’offres en lien avec des biens et des services provenant des États-Unis.

« Nous invitons le gouvernement à agir promptement pour permettre aux municipalités de joindre pleinement le mouvement de solidarité pour défendre le Québec », a ajouté M. Demers.

À propos de la FQM

Depuis sa fondation en 1944, la Fédération québécoise des municipalités (FQM) fait entendre la voix des régions du Québec. Convaincue que la force du nombre peut faire la différence, la FQM réunit plus de 1 030 membres répartis sur l’ensemble du territoire québécois. Elle leur accorde une priorité absolue et défend avec détermination leurs intérêts politiques et économiques. Elle favorise l’autonomie municipale, travaille activement à accroître la vitalité des régions et offre un large éventail de services aux municipalités et MRC. Le dynamisme, la créativité, ainsi que l’esprit de concertation et d’innovation qui animent les élus·es municipaux inspirent ses réflexions et façonnent ses actions au quotidien.

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La SODECT devient La nouvelle société !

La Société de développement culturel de Terrebonne devient… La nouvelle société ! Un changement d’identité qui arrive à point !

TERREBONNE, LE 3 FÉVRIER 2025 – La Société de développement culturel de Terrebonne (SODECT) dévoile aujourd’hui sa nouvelle identité de marque : La nouvelle société.  Un nouveau nom, un nouveau logo et un nouveau site Internet qui reflèteront les nouvelles orientations stratégiques de l’organisation. Près de 40 ans après sa création, celle-ci souhaite réaffirmer ses ambitions par son dynamisme, sa modernité et renforcer son positionnement dans la région.

La SODECT prend un virage plus actuel en changeant son nom et son image de marque afin d’être mieux identifiée et reconnue par la communauté! Cette envie de renouveau s’inscrit dans le cadre d’un plan stratégique qui souhaite réaffirmer la place de l’organisation comme leader incontesté en culture au Québec. Un tout nouveau site Internet fait également l’objet de ce dévoilement.

Un processus créatif inspirant
Aidée de plusieurs collaborateurs, et suivant un processus rigoureux, l’équipe des communications a su relever le défi de moderniser le nom de l’organisation tout en conservant une trace du passé. « Ce nom nous donnera l’envie d’être toujours en action, tout en regardant vers l’avenir et d’être au meilleur de notre histoire, puisque nous jouissons d’un riche passé d’organisation », mentionne Mylène Houle, directrice marketing, communication et développement des affaires. Conçu par l’équipe de création du Studio Le Bungalo, situé à Terrebonne, le nouveau logo représente le mouvement et le travail acharné de l’équipe renouvelée et dévouée que forme désormais La nouvelle société. Sans oublier le clin d’œil au bâtiment légendaire du Moulin Neuf, qui à la manière du Stade olympique pour Montréal, représente si bien la Ville de Terrebonne.

Un site moderne et convivial
Le tout nouveau site Internet (lanouvellesociete.com) marque le début du déploiement de cette nouvelle image. Il remplace les quatre sites qu’administrait autrefois l’organisation soit celui de la SODECT, du Théâtre du Vieux-Terrebonne, de l’Île-des-Moulins et de la Maison Bélisle. Vibrant et invitant, il permettra aux utilisateurs de naviguer de manière plus intuitive en rassemblant toutes les activités de La nouvelle société au même endroit. L’agence Stéréo a su comprendre les enjeux des utilisateurs tout en étant cohérent avec l’évolution de la marque.

La nouvelle société tient à remercier l’ensemble des équipes et des collaborateurs qui ont participé à cette transition. Elle remercie également tous ses partenaires qui permettent à La nouvelle société de prendre une envolée spectaculaire pour 2025.
 

L’emprunt(e) de Prairie Comeau – Nouvel album le 14 février

L’emprunt(e) de Prairie Comeau – Nouvel album disponible le 14 février

Montréal, 3 février 2025) – Le nouvel album L’emprunt(e), disponible dès le 14 février, marque un virage musical pour le duo Prairie Comeau qui cherche à puiser de façon plus délibérée dans les couleurs de la musique traditionnelle, la musique de ses racines, ainsi que dans les influences folk americana.

Cette formation, composée d’Anique Granger et de Benoit Archambault, réarrange et interprète des extraits du livre La bonne chanson. Des reprises exécutées avec autant d’amour que de désinvolture par des artisans qui ont à cœur la transmission de la mémoire chansonnière.

Le EP L’emprunt(e) volume 1 a été lancé en mars dernier. Le duo dévoile maintenant l’album complet avec grand bonheur! Après cinq ans de travail à réarranger des chansons qui datent d’avant les années 1960, la démarche se précise. C’est le répertoire de La bonne chanson qui interpelle les artistes. Certaines de ces pièces sont si ancrées dans notre inconscient collectif que les possibilités de les réinterpréter (voire, carrément les transformer), sans perdre de vue leur essence et leur familiarité, sont immenses. Il existe aussi dans ces livres des pièces moins connues, plus obscures, et leur cheminement comporte son lot d’histoires. Pour Prairie Comeau, c’est non seulement un terrain de jeu naturel et inspirant, mais aussi une mine d’or à exploiter.

L’importance culturelle et patrimoniale de ces chansons ne peut être niée, mais le duo a aussi voulu explorer comment ces chansons pourraient être vécues aujourd’hui, comment elles ont traversé les époques. En résulte des jumelages de chansons, des nouvelles couleurs, parfois même des nouveaux couplets ou des nouvelles mélodies.

L’album L’emprunt(e), enregistré au studio Pantouf de Jeannot Bournival, a été réalisé par Nicolas Boulerice (Le Vent du Nord – vielle à roue, harmonium). Avec sa signature sonore – deux guitares acoustiques et deux voix en harmonie – le duo est aussi appuyé par Olivier Demers (Le Vent du Nord – mandoline et podorythmie), Elisabeth Giroux (violoncelle) et Rick Haworth (pedal steel).

Anique Granger, originaire de la Saskatchewan, est autrice-compositrice-interprète, guitariste et réalisatrice de balados. Benoit Archambault, aussi membre du groupe Mes Aieux, écrit des chansons et des livres pour le jeune public depuis plus de 20 ans.
Prairie Comeau en spectacle :

8 février – CRAPO, Saint-Félix de Valois
15 février – URLU, Sainte-Thérèse *lancement de l’album
17 février – Labo Trad, La Petite Marche, Montréal
16 mars – Fabul’art, Sorel-Tracy
4 avril – Prestation au Canadian Music Folk Awards

Billets : https://ciedunord.com/artistes/prairie-comeau/

Lampadaires solaires à la halte Outaragasipi de Repentigny

Nouveaux lampadaires solaires à la halte Outaragasipi de Repentigny

Repentigny, le 3 février 2025 – Le Service des travaux publics de la Ville de Repentigny a complété ses travaux de remplacement de lampadaires par des modèles solaires le long du sentier de la halte Outaragasipi dans le district Le Gardeur. Ce projet s’inscrit dans une vision à long terme du développement durable.

« Cette initiative est un bel exemple de la façon dont Repentigny s’engage concrètement en faveur de l’environnement et du bien-être de sa population. Le remplacement des lampadaires par des modèles solaires reflète notre volonté de bâtir une ville plus verte et sécuritaire. En plus de renforcer le sentiment de sécurité des citoyens1, ces modifications permettront de réduire la consommation électrique et générer des économies importantes. Repentigny fait ainsi un pas décisif vers une gestion énergétique, tout en offrant un éclairage plus agréable et durable les Repentignoises et Repentignois. Grâce à leur longue durée de vie, ces nouveaux équipements s’inscrivent dans une démarche à long terme. Cette initiative allie innovation et efficacité au bénéfice de toute la communauté », a affirmé Martine Roux, présidente de la Commission mobilité et éclairage urbain et conseillère municipale.

Sur la photo : Martine Roux, présidente de la Commission mobilité et éclairage urbain et conseillère municipale, en compagnie de Kevin Buteau, également membre de cette commission et conseiller municipal.

1La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise le masculin dans ce communiqué de presse uniquement pour faciliter la lecture.

Les expositions 2025 : l’art s’invite à la bibliothèque de Mascouche

Les expositions 2025 : l’art s’invite à la bibliothèque de Mascouche

Mascouche, le 3 février 2025 – La bibliothèque Bernard-Patenaude de Mascouche vous invite à découvrir sa programmation annuelle d’expositions en art visuel pour 2025. Cette année, plusieurs artistes vous feront voyager à travers des univers variés et captivants. Peinture, sculpture, illustration… découvrez les talents locaux et d’ailleurs. Voici les expositions qui lanceront le bal.

RunWay série, par Josianne Gagnon (3 février au 27 mars)
Cette exposition rend hommage au premier amour de l’artiste : la mode.

Sculpture sur bois, moderne contemporain, par Louis Gagnon (3 février au 27 mars)
Lorsque Louis Gagnon était enfant, ses frères et lui fabriquaient leurs jouets. Ce n’est pas d’hier qu’il « gosse » le bois! Ses œuvres expriment une idée, une tendance ou une controverse.

Transparence, par Mélissa Dodon (3 février au 27 mars)
Une collection envoûtante d’œuvres d’encre et de verre qui joue sur la lumière et la fluidité.

Dans l’univers de…, exposition collective de l’organisme Carrefour jeunesse-emploi (7 février au 21 mars)
Collectif d’artistes ayant participé à la 1re édition d’un programme d’intégration en art.

Ces expositions sont une opportunité exceptionnelle de célébrer l’art sous toutes ses formes, tout en rendant hommage aux artistes de notre région et d’ailleurs. Au total, ce sont 13 artistes ou collectif qui présenteront leurs œuvres au fil de l’année.

Voyez la programmation complète au mascouche.ca/expositions.

Fermes de proximité – Les soldats ne sont pas tous tombés au front

JOLIETTE, le 3 février 2025 – Le Comité des fermes de proximité de l’UPA Lanaudière (FUPAL) souhaite réagir à la récente et triste nouvelle de la faillite de la Coopérative pour l’Agriculture de Proximité Écologique (CAPÉ).

Cette organisation aura effectué un remarquable travail en matière de promotion de l’agriculture de proximité écologique, qu’il importe de souligner. Nous, membres du Comité, sommes d’ailleurs heureuses et heureux d’apprendre que le Réseau des fermiers-ères de famille (RFF) pourra subsister et poursuivre ses activités.

Nous tenons cependant à nuancer le discours déplorant le vide qui serait laissé en matière de représentation des
fermes de proximité.

Il existe, au sein de la structure de l’Union des producteurs agricoles (UPA) et dans plusieurs fédérations régionales, des comités de fermes de proximité composés de productrices et producteurs agricoles élu-e-s [dans leurs syndicats locaux respectifs] qui ont en commun une mise en marché de proximité, c’est-à-dire directement à la ferme ou sans plus d’un intermédiaire, et qui se donnent pour mission de défendre les intérêts des fermes de proximité. Les fermes de proximité englobent une grande diversité d’exploitations, des petites fermes florales ou maraîchères biologiques aux fromageries développées par des fermes laitières familiales, en passant par les fermes de petits fruits qui offrent simultanément l’autocueillette et la vente en gros.

Dans les dernières années, le comité lanaudois, présidé par Simon Duval, apiculteur, a fait preuve d’un grand dynamisme, qui s’exprime notamment par des rencontres d’échanges régulières, l’organisation de conférences et de séances d’information destinées aux fermes de proximité et des demandes qui font leurs chemins sur plusieurs enjeux, tels que:

• La représentation au sein des instances de l’UPA;
• L’ajustement à la baisse de la contribution payable au plan conjoint des producteurs d’œufs pour les fermes exploitant de petits troupeaux et vendant directement sur place;
• La mise en place d’un crédit d’impôt à l’achat d’aliments locaux;
• L’instauration d’un programme de revenu minimum garanti pour les propriétaires d’entreprises agricoles

Le comité travaille également en partenariat avec d’autres organisations du monde agricole offrant des services aux fermes de proximité (MAPAQ, Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière, Service d’établissement et de transfert d’entreprise agricole, etc.)

« Les soldats ne sont donc pas tous tombés au front » rappelle Simon Duval. « Les productrices et producteurs de proximité ont encore une voix. Nous souhaitons d’ailleurs les inviter, par la présente, à se manifester auprès des responsables de leurs fédérations régionales pour participer à, voire créer, leurs comités de fermes de proximité locaux et, plus généralement, faire entendre leurs visions et besoins particuliers au sein de l’Union »

Syndicat des Métallos condamne les attaques du Président Trump

Le directeur national canadien du Syndicat des Métallos, Marty Warren, condamne les attaques du Président Trump contre les emplois et les collectivités du Canada.

 

Toronto, le 1er février 2025 – Le directeur national canadien du Syndicat des Métallos, Marty Warren, a fait la déclaration suivante :

« Aujourd’hui, Donald Trump a prouvé une fois de plus qu’il n’est pas l’ami des travailleurs des deux côtés de la frontière. L’imposition de tarifs douaniers globaux de 25 % sur les exportations canadiennes est une attaque directe contre les travailleuses et travailleurs, nos industries et nos collectivités.

Soyons clairs : Ces tarifs douaniers sont dangereux, injustifiés et néfastes pour les travailleuses et les travailleurs des deux pays. Ce n’est pas une question de commerce équitable, c’est une affaire purement politique qui se joue aux dépens d’emplois bien rémunérés.

En l’absence d’une action décisive et d’une résolution rapide, les conséquences pourraient être dévastatrices. Plus de 2,4 millions d’emplois canadiens dépendent directement ou indirectement du commerce avec les États-Unis. En 2024, quelque 1,8 million de personnes travaillaient dans des secteurs où au moins 35% des emplois dépendaient de la demande américaine pour les exportations canadiennes. Cette décision menace des centaines de milliers de ces emplois.

Chaque jour, 3,6 milliards de dollars de marchandises traversent la frontière canado-américaine, ce qui représente 1300 milliards de dollars par année. Ce partenariat commercial soutient 1,4 million d’emplois américains et 2,3 millions d’emplois canadiens. Ces tarifs douaniers ne nuisent pas seulement au Canada. Ils menacent la stabilité des industries de part et d’autre de la frontière.

Le Canada ne peut rester les bras croisés. Nous attendons de nos gouvernements qu’ils prennent des mesures de rétorsion immédiates et vigoureuses, afin que le Canada ne supporte pas seul le coût de cette guerre commerciale. Le gouvernement fédéral doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir et protéger les emplois et les travailleuses et travailleurs affectés, y compris un soutien d’urgence au revenu et un meilleur accès à l’assurance-emploi pour aider les familles à faire face aux retombées économiques néfastes de cette crise.

Ce n’est pas le moment de faire de la politique partisane. Les travailleuses et travailleurs et leurs familles ont besoin de voir tous les niveaux de gouvernement, quelle que soit leur couleur politique, travailler ensemble sur une stratégie claire et commune pour protéger les emplois et les industries du Canada. Notre réponse doit être à la hauteur de la gravité de cette crise, avec une action rapide familles des conséquences des politiques commerciales irresponsables du Président Trump. L’heure est au leadership, pas à la division.

Au-delà des réponses à court terme, le Canada doit prendre des mesures significatives pour réduire sa dépendance au commerce américain en renforçant son propre secteur manufacturier. Cela signifie l’adoption d’une stratégie industrielle attendue depuis longtemps, des politiques d’approvisionnement qui donnent la priorité aux produits canadiens, la garantie que les projets d’infrastructure publique utilisent de l’acier, de l’aluminium et d’autres matériaux canadiens et l’investissement dans des chaînes d’approvisionnement nationales qui créent de bons emplois syndiqués chez nous.

Nous avons déjà traversé une telle épreuve et nous savons comment la combattre. Les Métallos se tiendront aux côtés des travailleuses et des travailleurs, en faisant pression sur les gouvernements pour qu’ils prennent des mesures et en veillant à ce que personne ne soit laissé pour compte.

Les travailleuses et les travailleurs ont construit ce pays et nous ne laisserons pas Donald Trump ni aucun autre politicien soutenu par des milliardaires le démolir.
TORONTOLe directeur national canadien du Syndicat des Métallos, Marty Warren, a fait la déclaration suivante :

« Aujourd’hui, Donald Trump a prouvé une fois de plus qu’il n’est pas l’ami des travailleurs des deux côtés de la frontière. L’imposition de tarifs douaniers globaux de 25 % sur les exportations canadiennes est une attaque directe contre les travailleuses et travailleurs, nos industries et nos collectivités.

Soyons clairs : Ces tarifs douaniers sont dangereux, injustifiés et néfastes pour les travailleuses et les travailleurs des deux pays. Ce n’est pas une question de commerce équitable, c’est une affaire purement politique qui se joue aux dépens d’emplois bien rémunérés.

En l’absence d’une action décisive et d’une résolution rapide, les conséquences pourraient être dévastatrices. Plus de 2,4 millions d’emplois canadiens dépendent directement ou indirectement du commerce avec les États-Unis. En 2024, quelque 1,8 million de personnes travaillaient dans des secteurs où au moins 35% des emplois dépendaient de la demande américaine pour les exportations canadiennes. Cette décision menace des centaines de milliers de ces emplois.

Chaque jour, 3,6 milliards de dollars de marchandises traversent la frontière canado-américaine, ce qui représente 1300 milliards de dollars par année. Ce partenariat commercial soutient 1,4 million d’emplois américains et 2,3 millions d’emplois canadiens. Ces tarifs douaniers ne nuisent pas seulement au Canada. Ils menacent la stabilité des industries de part et d’autre de la frontière.

Le Canada ne peut rester les bras croisés. Nous attendons de nos gouvernements qu’ils prennent des mesures de rétorsion immédiates et vigoureuses, afin que le Canada ne supporte pas seul le coût de cette guerre commerciale. Le gouvernement fédéral doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir et protéger les emplois et les travailleuses et travailleurs affectés, y compris un soutien d’urgence au revenu et un meilleur accès à l’assurance-emploi pour aider les familles à faire face aux retombées économiques néfastes de cette crise.

Ce n’est pas le moment de faire de la politique partisane. Les travailleuses et travailleurs et leurs familles ont besoin de voir tous les niveaux de gouvernement, quelle que soit leur couleur politique, travailler ensemble sur une stratégie claire et commune pour protéger les emplois et les industries du Canada. Notre réponse doit être à la hauteur de la gravité de cette crise, avec une action rapide familles des conséquences des politiques commerciales irresponsables du Président Trump. L’heure est au leadership, pas à la division.

Au-delà des réponses à court terme, le Canada doit prendre des mesures significatives pour réduire sa dépendance au commerce américain en renforçant son propre secteur manufacturier. Cela signifie l’adoption d’une stratégie industrielle attendue depuis longtemps, des politiques d’approvisionnement qui donnent la priorité aux produits canadiens, la garantie que les projets d’infrastructure publique utilisent de l’acier, de l’aluminium et d’autres matériaux canadiens et l’investissement dans des chaînes d’approvisionnement nationales qui créent de bons emplois syndiqués chez nous.

Nous avons déjà traversé une telle épreuve et nous savons comment la combattre. Les Métallos se tiendront aux côtés des travailleuses et des travailleurs, en faisant pression sur les gouvernements pour qu’ils prennent des mesures et en veillant à ce que personne ne soit laissé pour compte.

Les travailleuses et les travailleurs ont construit ce pays et nous ne laisserons pas Donald Trump ni aucun autre politicien soutenu par des milliardaires le démolir.