Interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité

Le ministère des Ressources naturelles et des Forêts interdira les feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité à compter du 4 juin à 8 h en raison des conditions qui sévissent présentement. Cette décision a été prise en collaboration avec la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU).

La mesure d’interdiction de faire des feux à ciel ouvert s’applique sur le territoire suivant : 

NORD-DU-QUÉBEC : Jamésie (991), Eeyou Istchee (Waswanipi, Mistissini, Oujé-Bougoumou, Chisasibi, Eastmain, Nemiscau, Waskaganish, Wemindji) (993).

CÔTE-NORD : La Haute-Côte-Nord (95), Manicouagan (96), Sept-Rivières (971), Caniapiscau (972), Minganie (981) – excluant l’île d’Anticosti.

SAGUENAY–LAC-SAINT-JEAN : Le Domaine-du-Roy (91), Maria-Chapdelaine (92), Lac-Saint-Jean-Est (93), Saguenay (941), Le Fjord-du-Saguenay (942).

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE : Rouyn-Noranda (86), Abitibi-Ouest (87), Abitibi (88), La Vallée-de-l’Or (89).

OUTAOUAIS : La Vallée-de-la-Gatineau (83) pour sa portion se trouvant au nord de la latitude 47 °30’.

LAURENTIDES : Antoine-Labelle (79) – pour sa portion se trouvant au nord de la latitude 47 °30’.

MAURICIE : La Tuque – pour sa portion se trouvant au nord de la latitude 47 °30’.

LANAUDIÈRE : Matawinie (62) – pour sa portion se trouvant au nord de la latitude 47 °30’.

CAPITALE-NATIONALE : Charlevoix-Est (15).

BAS-SAINT-LAURENT : La Matapédia (07), La Matanie (08), La Mitis (09), Rimouski-Neigette (10), Les Basques (11), Rivière-du-Loup (12), Témiscouata (13), Kamouraska (14).

GASPÉSIE–ÎLES-DE-LA-MADELEINE : Avignon (06).

CHAUDIÈRE-APPALACHES : L’Islet (17), Montmagny (18).

 

Pour consulter la carte du territoire visé, rendez-vous au sopfeu.qc.ca.

Présentement, 2 incendies sont en activité au Québec en zone de protection intensive. Depuis le début de la saison de protection, 136 incendies ont touché 229.1 hectares de forêt.

Cette mesure d’interdiction a pour but de limiter les risques d’incendie de forêt. Rappelons qu’en vertu de l’article 239 de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier (chapitre A-18.1), quiconque contrevient à une ordonnance d’interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité de celle-ci ou de toute autre mesure rendue par la ministre est passible, outre le paiement des frais, d’une amende. La collaboration de tous est essentielle.

Une Odyssée réussie au Bal du MAJ

Le 25 mai dernier, la Fondation du Musée d’art de Joliette a tenu la 5e édition de son bal annuel. Plus de 300 convives, provenant de la communauté d’affaires et du monde culturel de Lanaudière et d’ailleurs ont pu vivre une magnifique Odyssée artistique dans les salles du Musée. L’événement a été un franc succès.

« Je suis heureux d’annoncer que les profits nets de la soirée s’élèvent à 430 000 $, a déclaré Yvan Guibault, président du conseil d’administration de la Fondation du Musée d’art de Joliette. Le succès de notre événement est attribuable à l’incroyable générosité de notre communauté qui participe à l’événement et à notre encan-bénéfice et qui nous offre des commandites et des dons importants. Soulignons que grâce aux montants amassés et au programme d’appariement gouvernemental, la Fondation est en mesure de placer des sommes importantes dans un fonds de dotation qui sert à assurer la pérennité du Musée. »

Pour Odile Brunelle Beauchemin, directrice de la Fondation du MAJ, il s’agissait d’un premier bal depuis son retour dans la région. « Je suis heureuse de constater que la communauté du Grand Joliette est encore aussi présente et généreuse envers le Musée. Dans le contexte actuel, où les institutions muséales comme le MAJ sont de plus en plus dépendantes des revenus autonomes, cet appui s’avère essentiel pour assurer une présence active et pérenne du Musée auprès des Lanaudoises et Lanaudois. »

Le comité organisateur du Bal du MAJ 2024 remercie chaleureusement les convives de leur présence, les coprésident·e·s d’honneur, madame Geneviève Guilbault, vice-première ministre du Québec et ministre des Transports et du développement durable et monsieur Pierre-Luc Bellerose, maire de Joliette et préfet de la MRC de Joliette, les membres des conseils d’administration du MAJ et de la FMAJ, le comité d’honneur, les indispensables commanditaires et partenaires ainsi que le duo d’artistes Wendt+Dufaux, les chefs Daniel et Raphaël Vézina du restaurant Laurie Raphaël, qui ont livré un repas gastronomique inoubliable ainsi que nos deux extraordinaires animateur et animatrice François-Étienne Paré et Salomé Corbo. Enfin, le bal n’aurait pas été possible sans la précieuse aide des employé·e·s et des bénévoles du Musée et de la Fondation.

 

À propos de la Fondation du Musée d’art de Joliette

La Fondation du Musée d’art de Joliette (FMAJ) a pour mission d’accélérer le développement du Musée d’art de Joliette, par la sollicitation, l’administration et la redistribution des fonds recueillis selon les besoins du Musée.

En plus d’orchestrer la campagne annuelle de financement, la FMAJ organise plusieurs événements-bénéfice chaque année, dont le Bal du MAJ. La FMAJ possède différents fonds de dotation qui visent à pérenniser le développement de l’institution. Le capital de ces fonds est protégé en tout temps et les revenus qu’ils génèrent sont versés au Musée pour l’aider à accomplir sa mission.

Pour en savoir plus : bit.ly/a-propos-FMAJ

Sept projets intergénérationnels récompensés !

Intergénérations Québec a dévoilé les lauréat.e.s du concours de la Semaine québécoise intergénérationnelle. Les prix ont été décernés à sept initiatives qui se sont démarquées au cours de la dernière année par leur originalité et leur impact dans la communauté.

Véritable tremplin pour les projets qui créent des liens entre les générations, la Semaine québécoise intergénérationnelle a permis à de multiples organismes de faire connaître leurs activités. Cette année, six projets lauréats ont reçu une bourse de 1000 $ grâce à la générosité de la Fondation Luc Maurice.

Choisis parmi les 99 projets soumis au concours, ces lauréat.e.s ont été annoncé.e.s le 22 mai dernier, à Montréal, à l’occasion du Sommet « Ensemble pour une société de tous âges », et sont actuellement présenté.e.s sur les réseaux sociaux d’Intergénérations Québec.

Infos: https://intergenerationsquebec.org/semaine-quebecoise-intergenerationnelle/#sqi 

Catégorie « activité artistique »

Ce qui nous unit par les HABITATIONS LE PÉLICAN (Montréal)

Un espace de dialogue et d’échange interculturel a été créé par le biais de dyades formées de jeunes immigrants et de personnes aînées natives du Québec. Ces duos se sont penchés, pendant quatre mois, sur le sujet « ce qui nous unit ». Leurs réflexions ont ensuite été présentées dans le cadre d’une exposition photographique, dévoilant l’universalité de l’expérience humaine au-delà des âges et des cultures. Ce projet a su promouvoir la transversalité de la pratique intergénérationnelle dans tous les effets qu’elle peut engendrer, comme la sensibilisation, l’aide à la francisation et l’intégration sociale.

 

Catégorie « activité littéraire »

Lire en cœur par APPRENDRE EN COEUR (Montérégie)

Avec l’accompagnement d’une auteure, des aînés ont écrit des contes pour les jeunes de leur milieu. Illustrées par des étudiants en graphisme et ensuite imprimées, ces histoires servent de déclencheur pour des activités de médiation culturelle intergénérationnelle. En plus de valoriser les aînés qui traversent tout le processus littéraire et éditorial, ce projet favorise l’éveil à la lecture et la création de liens sociaux.

 

Catégorie « activité ludique et manuelle »

La Belle Visite! par la FONDATION DR CLOWN (Montréal)
Des aînés vivant en CHSLD et des adultes étant en soins palliatifs reçoivent la visite quotidienne d’une famille d’antan interprétée par des artistes en art clownesque, qui sont âgés de 22 à 50 ans. En plus d’humaniser les établissements de soins, cette activité thérapeutique favorise la réminiscence des souvenirs de manière amicale et douce. Prétexte ludique pour entrer en relation, La Belle Visite brise la solitude et offre une oreille attentive à ceux qui en ont besoin. Plus de 37 000 rencontres ont eu lieu dans le cadre de ce projet.

 

Catégorie « communautaire »

Cohabitation intergénérationnelle par PAX HABITAT (Lanaudière)
Ce milieu de vie communautaire, construit grâce à la transmission du patrimoine religieux, unit à la fois des résidents aînés, un CPE, des personnes issues de la collectivité et deux communautés religieuses qui y cohabitent au quotidien. Cette mixité des statuts et des âges est le terreau idéal pour organiser de multiples initiatives intergénérationnelles qui donnent des airs de grande famille à cet organisme d’habitation. Ce projet innovant a suscité l’intérêt de chercheurs universitaires d’ici et d’ailleurs pour évaluer les effets d’un environnement intergénérationnel sur la communauté.

 

Catégorie « transmission »

Atelier de construction artisanale par LES ARTISANS DU SAINT-LAURENT (Capitale-nationale)
Dans une visée d’inclusion sociale, l’organisme rassemble des aînés et des jeunes en difficulté d’intégration, afin de concevoir de manière artisanale une voile-aviron. L’embarcation construite de A à Z par les participants sert ensuite pour des balades d’initiation sur le fleuve, démocratisant ainsi cette pratique pour les personnes moins favorisées ou ayant des besoins particuliers. Acquisition de savoirs manuels, développement d’un sentiment d’appartenance et promotion de la participation sociale sont au cœur de ce projet alliant transmission et vivre ensemble.

 

Catégorie « coup de cœur »

Mon histoire en héritage par LA TABLE DE CONCERTATION DES AÎNÉS DE PORTNEUF (Capitale-nationale)

Des adolescents sont allés à la rencontre de personnes aînées dans le but de réaliser des entrevues filmées portant sur leur récit, mais aussi sur leur vision du monde. Les échanges sur le féminisme, la crise climatique et divers sujets d’actualité ont mené à la reconnaissance de l’autre, à travers l’universalité des questionnements humains. En plus d’avoir permis l’apprentissage des techniques propres au cinéma, les capsules servent d’outil de sensibilisation communautaire, afin de créer des ponts entre les générations.

 

Nouvelle catégorie honorifique (pour les projets des municipalités et des entreprises privées)

Le potager des petits semeurs par LA VILLE DE SAINT-SAUVEUR (Laurentides)
Depuis 2015, des aînés bénévoles et plus de 180 jeunes du camp de jour plantent et entretiennent ensemble un potager de manière écoresponsable. De la semence aux fruits, ils tissent ainsi des liens qui perdurent au-delà de l’été. Ateliers éducatifs, cuisine et fête des récoltes mobilisent aussi la communauté dans cet espace public de rencontre, de connexion à la nature et d’apprentissage. Les surplus de leurs récoltes sont ensuite remis à un organisme œuvrant en sécurité alimentaire.

Lettre ouverte – Sabia au sommet de son art : le marketing de la privatisation !

Plan éolien – Sabia au sommet de son art : le marketing de la privatisation !

Jeudi dernier, nous avons été témoins d’une démonstration magistrale des compétences en marketing de Michael Sabia.  À quelques jours du dépôt du controversé projet de loi du ministre Fitzgibbon, censée ouvrir la porte à une privatisation accrue de l’électricité, il a présenté un Plan intitulé « Tracer la voie vers une réussite collective, Stratégie de développement de l’éolien ». Bien que ce plan soit habilement présenté comme une solution bénéfique pour tous, il dissimule une réalité inquiétante : la poursuite insidieuse de la privatisation de l’électricité.  En réduisant Hydro-Québec, les municipalités et les Premières nations à de simples actionnaires, M. Sabia réussit à les enfermer dans la logique marchande propre au secteur privé.  C’est un véritable tour de force de la part de celui qui a fourbi ses armes avec la privatisation du CN et du REM, de véritables fiascos pour les citoyens.

Hydro-Québec,  actionnaire comme le privé ou propriétaire à 100% public?

Sous le couvert de termes séduisants comme « réussite collective », le plan de Sabia renforce en réalité la privatisation progressive et l’influence du secteur privé. Hydro-Québec se voit reléguée au rang d’actionnaire aux côtés d’actionnaires privées. Ce changement de rôle est non seulement radical mais aussi problématique. En tant qu’actionnaire, l’objectif premier devient le profit, déviant ainsi du mandat initial d’Hydro-Québec qui est de servir le bien commun.

Cette situation crée un conflit d’intérêt indéniable. Prenons l’exemple du Projet Éolien Des Neiges.  Hydro-Québec, en tant qu’actionnaire avec Boralex et Énergir, cherchera à maximiser le prix du kwh. Comme acheteur, elle visera, au contraire, à acheter au plus bas prix.  Cette dualité de rôle est inconciliable. Hydro-Québec doit être propriétaire à 100% des futurs parcs éoliens et maître de ses décisions.

Retombées locales : par l’actionnariat comme le privé ou par les redevances?

Le plan de M. Sabia incite également les communautés locales à devenir actionnaires pour bénéficier des retombées économiques. Les communautés ne devraient pas être obligées de s’endetter pour participer aux bénéfices des projets éoliens. Une formule de redevances serait beaucoup plus avantageuse, permettant aux communautés de bénéficier des retombées sans les risques financiers associés à l’actionnariat. De plus, l’actionnariat, par sa nature privée, les détournerait de leur rôle premier qui consiste à la protection du territoire.

L’Autoproduction, une nouvelle forme de privatisation

Pour en ajouter, le Plan inclut l’autoproduction d’électricité, une première depuis la nationalisation. C’est une nouvelle forme de privatisation. C’est écrit spécialement pour TES Canada (Power corporation), un projet d’hydrogène dénoncé par de nombreux experts, véritable cheval de Troie de la privatisation rampante. L’autoproduction additionné à la vente « entre voisins » envisagée par le ministre Fitzgibbon, c’est le début de la fin du modèle public d’Hydro-Québec.

L’électricité est une ressource stratégique.  Qui contrôle l’électricité, contrôle l’économie. Ici c’est un contrôle public que nous avons choisi pour le plus grand bien des citoyens du Québec.

Martine Ouellet
Cheffe Climat Québec
Ancienne ministre des Ressources naturelles
Ancienne gestionnaire chez Hydro-Québec

 

ComediHa! acquiert des actifs de Juste pour rire

ComediHa! entend consolider sa place comme acteur important de l’humour au Québec, au Canada et à l’international en acquérant des actifs de Juste pour rire. C’est une toute nouvelle ère au Québec et à l’international qui s’ouvre pour l’entreprise de Québec dont le renommé ComediHa! Fest fête ses 25 ans cette année.

À l’issue du processus de sollicitation qui a été mené dans le cadre des procédures de restructuration de Groupe Juste pour rire, la proposition de ComediHa! a été retenue, ce qui a conduit à une entente entre les deux organisations. La transaction a franchi une étape cruciale avec la décision de la Cour supérieure du Québec d’entériner l’entente conclue le 29 mai dernier.

« Cette acquisition d’actifs nous permettra d’offrir des expériences de divertissement encore plus diversifiées à notre public québécois, canadien et mondial, tout en soutenant la croissance et le développement de nos artistes et de nos contenus à travers le monde. Nous devenons aussi assurément un joueur stratégique pour les artistes internationaux qui souhaitent se produire au Québec et au Canada », s’est réjoui Sylvain Parent-Bédard, président directeur-général de ComediHa!

Concrètement, la transaction prévoit notamment l’acquisition de certains actifs dont les marques Juste pour rire, Just For Laughs, ZooFest, ComedyPro, les Gags ainsi que le catalogue audio-visuel.

Accélération du plan stratégique et du réseau de plateformes de diffusion
L’acquisition des actifs contribuera à l’accélération du plan stratégique de ComediHa! qui entend redéfinir ses plans d’exploitation afin de soutenir sa croissance dans l’ensemble de ses secteurs d’activités dont les festivals, la production de spectacles vivants, la production télévisuelle, la promotion de tournées, la distribution et la monétisation de contenu. ComediHa! continuera à encourager l’émergence de nouveaux talents et renforcera sa présence au Québec, au Canada et à l’international.

Par ailleurs, ComediHa! prévoit poursuivre et accélérer le développement de son réseau de plateformes de diffusion avec en autres le positionnement de son service par abonnement ComediHa.tv qui deviendra l’incontournable de l’humour, ainsi que ses services de vidéo à la demande, ses FAST Channels et monétisation. Avec l’exploitation du catalogue de Juste pour rire, Amuz Distribution (filiale de ComediHa!) renforcera sa position de chef de file en distribution internationale.

« Nous sommes au jour 1 d’une nouvelle ère et d’un nouveau plan à mettre en œuvre. Nous souhaitons plus que jamais aller à la rencontre des fans, festivaliers, téléspectateurs, créateurs, artistes, artisans, producteurs, agents, gérants, partenaires publics, commanditaires, salles de spectacles, télédiffuseurs, du Québec, du Canada, de la francophonie et du monde entier, d’ajouter M. Parent-Bédard. L’acquisition des actifs de Juste pour rire, développés depuis plus de 40 ans, permettra sans aucun doute de poursuivre notre mission de faire rire le monde partout dans le monde et de contribuer fièrement à notre paysage culturel, touristique et économique. » 

Remerciements dans le cadre de la transaction
ComediHa! souhaite remercier toutes les personnes et organisations qui ont rendu possible la présente acquisition par des intérêts 100% québécois : ses actionnaires et son conseil d’administration, la Banque Nationale, la Banque d’affaires de la SODEC, ses précieux conseillers légaux et financiers Norton Rose Fulbright et Demers Beaulne, ainsi qu’Osler, Davies, PwC et les équipes de Juste pour rire et de ComediHa! qui ont participé aux différents processus.

Festival ComediHa! salue Montréal du 18 au 28 juillet
Rappelons que dans le cadre de son 25e anniversaire, ComediHa! a annoncé la tenue du festival ComediHa! salue Montréal, un événement qui se tiendra du 18 au 28 juillet prochain. Impatiente à l’idée de venir rencontrer les festivaliers montréalais, l’équipe dévoilera, dans les prochaines heures, des éléments phares de la programmation de cette édition spéciale.

À PROPOS DE COMEDIHA!
ComediHa! est une entreprise de divertissement de premier plan, fondée en 1997. Avec plus de 100 employés permanents et près de 4000 employés temporaires répartis entre Québec, Montréal, Paris et Hollywood, ComediHa! se consacre à « Faire rire le monde partout dans le Monde ». Chaque année, le ComediHa! Fest-Québec attire plus de 750 000 visiteurs, faisant de cet événement le plus grand festival d’humour francophone au monde. ComediHa! produit également des spectacles, émissions de télévision et films, apportant joie et rires à un public mondial.

À PROPOS DE JUSTE POUR RIRE
Fondé en 1983, le Groupe Juste pour rire est un leader mondial de la comédie et organise le plus grand festival d’humour au monde à Montréal. L’entreprise a lancé la carrière de nombreux humoristes de renom et divertit des millions de spectateurs chaque année à travers ses festivals et contenus diffusés dans plus de 150 pays. Juste pour rire produit également des spectacles et comédies musicales, et est l’organisateur de la conférence « ComedyPRO ».

Saint-Félix-de-Valois inaugure le parc du Faubourg !

Saint-Félix-de-Valois a officiellement inauguré le parc du Faubourg le 23 mai en présence de MM. Éric Généreux et Hugues Généreux des Entreprises Généreux, M. Jean-Paul Léger et Mme Véronique Léger de Construction Jean-Paul Léger et Fils; partenaires du projet. Des citoyens du quartier, ainsi que des amateurs de pétanque étaient également présents pour profiter des installations et marquer cette inauguration autour d’un café.

Aménagé à l’intersection de la rue Henri-L.-Chevrette et de la rue Girard, ce nouveau parc de quartier propose un module de jeu 5 à 12 ans, des balançoires, un air de pique-nique et une allée de gravier pour la pétanque.

« 2024 est une grande année pour le développement de nos parcs de quartier, mentionne Audrey Boisjoly, mairesse de Saint-Félix-de-Valois. Le parc du Faubourg s’est matérialisé rapidement grâce à l’appui significatif de Faubourg St-Félix inc. et leur contribution dans l’aménagement du site, ainsi que par la cession des terrains en contribution aux fins de parc. »

Ce projet répond également à des demandes des citoyens, ainsi qu’aux différents plans d’action de la planification stratégique de développement durable, de la démarche Municipalité amie des ainés (MADA), ainsi que de la politique familiale.

Faubourg St-Félix inc. est le promoteur du développement résidentiel du quartier et est formé des Entreprises Généreux, ainsi que Construction Jean-Paul Léger et Fils.

 

Citations :

« Nous sommes heureux d’avoir contribué à l’aménagement de ce parc. Il vient répondre à une demande des citoyens du secteur et contribue à la qualité de l’aménagement du quartier. » – Éric Généreux et Jean-Paul Léger – Faubourg St-Félix inc.

 

Guillaume Arsenault annonce un nouvel EP empreint de nostalgie et de nature : Les plantes continuent de pousser même quand tu dors – Face A

L’auteur-compositeur interprète Guillaume Arsenault présente un nouvel EP intitulé Les plantes continuent de pousser même quand tu dors – Face A. Offert dès le 31 mai sur étiquette Les Faux-Monnayeurs, le maxi réunit notamment les quatre chansons que l’artiste a fait paraître entre janvier et mai — rappelons qu’il s’était donné le défi de lancer une chanson par mois tout au long de cette année.

Le titre du EP est inspiré d’un rêve de Guillaume, au cours duquel il se trouvait dans un camp de chasse avec Philippe Bouchard, alias Philippe Brach. « Il me faisait découvrir des chansons et des artistes de sa collection de vinyles. Dans l’une des chansons, on entendait une voix féminine chanter cette phrase : “Les plantes continuent de pousser même quand tu dors” », raconte-t-il. Le titre colle d’ailleurs bien aux chansons, qui évoquent facilement la nature, que ce soit à travers leurs sonorités country-folk organiques ou certains textes qui parlent du bois et du bord de la mer.

En se laissant une grande liberté dans le choix des thèmes et arrangements, l’artiste gaspésien ouvre des fenêtres intimes sur son vécu. Tour à tour, il aborde le lien qui reste à l’autre après une séparation (En écho), souligne l’importance d’accueillir l’incertitude (Flou), se met dans la peau de son père en perte d’autonomie (Ne m’enlevez pas mes outils), exorcise sa déprime à coups de métaphores automobiles (Ça tourne pas rond) et rend un vibrant hommage, gorgé de cuivres et de soul, à celle qui l’a mis au monde (Maman, maman, maman). L’instrumentation minimaliste, parfois rehaussée de chœurs planants, soutient la poésie contemplative et imagée d’Arsenault.

« Regarde sur cette photo
C’est moi devant la mer
Étendu sur le dos
Avec les bras ouverts
Je sais, c’est imprécis
L’image autant que le souvenir

Où suis-je? Que fais-je? Qui l’a prise?
Rien n’est clair
C’est flou comme la nostalgie

[…]

Et je ressens une chose et son contraire
Comme le soleil, un jour de pluie
Le paysage m’hypnotise
Regénère
Le passé qui reprend vie »

Les esprits observateurs l’auront deviné : si l’on retrouve la mention « Face A » au titre de cette nouvelle offrande musicale, c’est qu’une « Face B » et une version vinyle du projet sont à venir.

 

CRÉDITS LES PLANTES CONTINUENT DE POUSSER MÊME QUAND TU DORSFACE A

Maison de disques : Les Faux-Monnayeurs

Paroles et musique : Guillaume Arsenault

 

Musiciens :

Guillaume Arsenault : voix, guitare, violoncelle, Fender XI, banjo, guitares, ukulélés, harmonica, claviers, lap bass

Jean-Guy Leblanc : basse, contrebasse

Éric Proulx : batterie

Aelin Zachaël : violon

Éric Dion : guitare à résonateur Dobro

André Lavergne : pedal steel

Guillaume Bourque : saxophone ténor

Jérôme Dupuis Cloutier : trompette

Benoît Paradis : trombone

 

Prise de son, mixage et matriçage : Richard Dunn – Studio Tracadièche (Carleton‑sur‑Mer)

Graphisme : Ophélie Arsenault

Photographie : Alexandre Cotton

 

À propos de Guillaume Arsenault

L’auteur-compositeur-interprète Guillaume Arsenault est né en Gaspésie, où il tient une shop à chansons depuis plus de 20 ans. Fort de six albums, maintes fois primé (Festival en chanson de Petite-Vallée, Révélation Radio-Canada Espace musique, Prix de la création au CALQ) et nommé (ADISQ, Prix de musique folk canadienne), il propose une œuvre sensible, poétique et profondément ancrée dans son vaste territoire.

 

10e édition du concours Coupe ça court – Les ados invités à tourner un minifilm d’horreur!

La créativité rencontre l’horreur alors que les villes de Terrebonne et de Mascouche s’associent pour présenter la 10e édition du concours pour ados de minifilms d’horreur, Coupe Ça Court. Célébrant une décennie d’ingéniosité artistique et de frayeurs cinématographiques, cette édition promet d’être plus époustouflante que jamais.

Le concours sera ouvert à tous les jeunes de 12 à 17 ans qui résident ou qui étudient sur le territoire de la MRC Les Moulins, élargissant ainsi le public cible et offrant une opportunité exceptionnelle à tous les talents émergents de la région.

De plus, cette année, Coupe Ça Court s’associe au Festival Frissons de Mascouche qui se déroulera du 17 au 19 octobre 2024. Les meilleures réalisations du concours seront projetées en continu lors de cet événement phare, garantissant une visibilité et une reconnaissance sans précédent pour les participants. L’année dernière se sont plus de 18 500 visiteurs qui se sont procuré des billets pour ce festival.

André Fontaine, conseiller municipal et président de la Commission de la culture et du patrimoine de Terrebonne, exprime son enthousiasme pour cette initiative qui met en lumière le talent remarquable des jeunes de la région. « Coupe Ça Court offre à nos jeunes la possibilité d’explorer leur potentiel artistique et de laisser libre cours à leur imagination. C’est une occasion, pour elles et eux, de se dépasser sur le plan créatif. Je suis fier de constater que cette initiative unique suscite un engouement grandissant année après année. Elle permet de faire connaître et de valoriser le talent remarquable des adolescentes et des adolescents de chez nous. »

« J’invite les ados à profiter de l’été pour réaliser une vidéo d’horreur et à prendre part au concours. Je suis fière que Mascouche se joigne à cette initiative de la Ville de Terrebonne d’autant plus que les vidéos gagnantes seront présentées dans le cadre du Festival Frissons », mentionne quant à elle Anny Mailloux, conseillère municipale à Mascouche et membre de la Commission des loisirs, de la famille, des aînés, de la culture et de la vie communautaire.

« Ce partenariat démontre l’engouement sans cesse grandissant que la fête de l’Halloween prend dans la région des Moulins. Ce sera un bel ajout à la programmation du festival qui viendra bonifier l’expérience des visiteurs et permettra à la jeune relève artistique de se faire valoir auprès de milliers de festivaliers », renchérit Louis-Philippe Lemay, directeur général du Festival Frissons de Mascouche.

 

Le concours Coupe Ça Court

Les jeunes cinéastes sont invités à laisser libre cours à leur imagination en créant des vidéos d’horreur. Que ce soient des histoires de fantômes hantant les rues de Terrebonne ou des créatures terrifiantes se cachant dans les recoins de Mascouche, toutes les visions macabres sont les bienvenues.

En plus de la satisfaction de voir leurs créations projetées sur grand écran, les participants auront la chance de remporter des prix en argent d’une valeur totale de près de 2 000 $. Une incitation de taille à plonger dans les profondeurs de l’horreur.

Les jeunes cinéastes de Terrebonne et de Mascouche ont jusqu’au 14 septembre 2024 pour soumettre leurs œuvres originales au concours.

Pour obtenir tous les détails, visitez le site terrebonne.ca/coupe-ca-court.

Ma première Place des Arts prolonge sa période d’inscription!

La Société pour l’avancement de la chanson d’expression française (SACEF) invite les artistes qui souhaitent enfin révéler leur talent d’auteur.trice-compositeur.trice-interprète (ACI) à s’inscrire à la 31e édition du concours Ma première Place des Arts, et ce, jusqu’au 14 juin !

Lors de la 30e édition, en janvier dernier, Sandra Contour a été nommée lauréate dans la catégorie Auteur-compositeur-interprète et le trio Blondes Naturelles dans la catégorie Groupe.

Cette année, le concours propose une seule catégorie Auteur-compositeur-interprète et s’adresse aux artistes de la chanson qui s’expriment en français dans une formule solo, duo ou de groupe. Une occasion unique pour 20 projets artistiques de se faire découvrir du grand public à la Place des Arts de Montréal.

En participant à Ma première Place des Arts, chaque artiste a la chance de perfectionner ses textes, ses arrangements, ses interventions, sa présence sur scène et plus encore, grâce à un accompagnement personnalisé avec des conseillers et des conseillères d’exception.

En plus de généreux prix remis sous forme de bourses, de services, de présentations scéniques et d’accompagnement professionnel, chaque artiste a l’occasion de prendre part à des ateliers-conférences animées par des porte-paroles du milieu de la chanson, en plus de se constituer une boîte à outils comprenant les captations vidéos et photos de leur(s) performance(s).

Pour connaître les règlements, les prix à gagner et les dates à retenir visitez le site mppda.ca.

 

Quelques dates à retenir 

14 juin 2024 : Date limite des inscriptions à la 31e édition du concours

22 juin 2024 : Spectacle des lauréates de la 30e édition aux Francos de Mtl

23 juin 2024 : Spectacle des lauréates de la 30e édition à la Fête Nationale de Saint-Jérôme

16 août 2024 : Spectacle de Sandra Contour aux Jardins Gamelin

6 septembre 2024 : Spectacle de Blondes Naturelles aux Jardins Gamelin

 

Le dévoilement des 20 projets artistiques qui participeront à la 31e édition de Ma première Place des Arts aura lieu en septembre, les quarts de finale auront lieu cet automne et la grande finale aura lieu en janvier 2025, à la Cinquième salle de la Place des Arts.

 

Ce concours est possible grâce à nos précieux partenaires.

Les télévisions communautaires autonomes, une ressource gratuite et accessible

Les télévisions communautaires autonomes (TCA) du Québec se distinguent en tant que ressource précieuse et gratuite, accessible à tous les citoyens de la province. En effet, en étant des actrices essentielles du paysage médiatique québécois et disponible en ligne gratuitement, elles jouent un rôle crucial en offrant une plateforme unique pour l’expression et la représentation de nos communautés.

Les TCA sont guidées par des valeurs fondamentales de démocratie, d’inclusion, de diversité et d’engagement communautaire. Elles se décrivent comme un outil d’information, d’animation socio-économique et de conscientisation de la population qu’elles desservent. La programmation communautaire originale donne l’accès et la parole aux gens ordinaires qui habituellement n’ont pas leur place dans les médias de masse. Grâce à leur nature autonome, elles ont la possibilité de pouvoir diffuser de l’information de manière complète. Chaque sujet est donc pertinent et mérite qu’on s’y attarde.

De plus, les TCA sont souvent les seules à couvrir les événements locaux. En écoutant et en supportant les TCA, vous contribuez à maintenir un paysage médiatique riche et diversifié, essentiel à une société démocratique. Votre soutien aide à garantir que les histoires et les préoccupations locales continuent d’être entendues et partagées.

Nous invitons toute la population du Québec à découvrir, écouter et soutenir les télévisions communautaires autonomes du Québec; un média à la portée de tous, accessible et proche des gens.