Repentigny adopte une nouvelle politique culturelle:

Une vision enracinée et mobilisatrice pour les dix prochaines années

Repentigny, le 17 juin 2025 – Hier, la Ville de Repentigny a dévoilé officiellement sa politique culturelle 2025–2035, intitulée « Oser, rassembler, inspirer – Repentigny, vibrante de culture ». Ce cadre renouvelé affirme l’importance de la culture dans la construction d’une communauté inclusive. Fruit d’une démarche rigoureuse, cette politique s’appuie sur un diagnostic territorial, une consultation publique, des réflexions interservices et des ateliers réunissant des actrices et acteurs issus de la culture, de l’éducation, du patrimoine, de la santé, du développement social et économique.

Cette politique s’inscrit en continuité avec le Plan stratégique 2023–2027 de la Ville, qui reconnaît la culture comme un levier de transformation au service du bien-être collectif, du vivre-ensemble et du développement durable. Elle vise à faire de Repentigny un lieu où la culture s’invite dans le quotidien, agit comme vecteur de dialogue, renforce les liens sociaux et contribue à la vitalité de notre milieu. Un plan d’action évolutif guidera d’ailleurs sa mise en œuvre à compter des prochains mois.

« La culture est un moteur de vitalité, d’inclusion et d’innovation pour notre communauté. Cette politique est le fruit d’un dialogue sincère entre la Ville, les artistes, les organismes et la population. Il encadre nos actions pour les dix prochaines années en misant sur ce que nous faisons de mieux: créer des liens, soutenir l’innovation, mettre en valeur notre patrimoine et offrir des expériences culturelles qui rassemblent. » a déclaré le maire de Repentigny, Nicolas Dufour.

« Nous croyons que la culture ne doit pas être en marge, mais bien au cœur de notre développement. La culture n’est pas un luxe : c’est un levier de transformation pour nos quartiers, notre économie locale et notre cohésion sociale, » a ajouté Karine Benoit, conseillère municipale et présidente de la Commission culture, tourisme et redéploiement du centre-ville.

Un engagement collectif pour une culture qui rassemble, inspire et transforme

Repentigny, vibrante de culture est la troisième politique culturelle de la Ville, après celles de 2002 et 2017. Elle s’appuie sur des acquis solides, dont un espace culturel au cœur du territoire, un réseau d’acteurs engagés, une population créative, pour propulser l’action culturelle dans une perspective d’innovation, d’équité et de développement durable. Cet engagement constitue une invitation à bâtir ensemble une ville où la culture est un langage commun, une source de fierté et un levier d’avenir.

Faits saillants de la politique :

Une culture accessible, vivante et profondément enracinée

Pensée comme un cadre mobilisateur, la politique repose sur six grandes orientations :

1. Milieu culturel : soutien à la création et à la diffusion
   → Favoriser la création, la production et la diffusion afin de nourrir un milieu artistique vivant et enraciné dans la communauté.
2. Culture de proximité : citoyenneté culturelle et développement social
   → Faire de la culture un levier de bien-être, de lien social et d’inclusion.
3. Le rôle structurant de la culture : attractivité et vitalité économique
   → Positionner la culture comme un levier du développement économique et de l’attractivité du territoire.
4. Culture et éducation : apprentissage et transmission
   → Faire des institutions culturelles des espaces vivants de savoir et de découverte.
5. Expériences culturelles exceptionnelles : innovation et audace
   → Encourager des expériences uniques et distinctives qui enrichissent le parcours des publics et marquent les esprits.
6. Territoire et patrimoine : culture et aménagement
   → Mettre en valeur l’histoire, le patrimoine et l’identité du territoire en les intégrant au développement local.

Pour consulter la politique culturelle 2025–2035 dans son intégralité: www.repentigny.ca

Du nouveau au stade Flavio-Prata

Repentigny inaugure un terrain de baseball synthétique et honore deux bénévoles de la communauté

Repentigny, le 17 juin 2025 – Le baseball était à l’honneur dimanche dernier au parc Champigny alors que la Ville inaugurait son tout premier terrain de baseball synthétique — une infrastructure moderne, durable et conforme aux normes du niveau élite — à l’occasion du match d’ouverture à domicile du Royal Chevrolet de Repentigny. La soirée a aussi été marquée par l’intronisation de deux bénévoles d’exception au Tableau d’honneur du baseball repentignois.

Une nouvelle surface de jeu au stade Flavio-Prata

Les joueurs[1] du Royal Chevrolet de Repentigny, qui évolue dans la Ligue de baseball junior élite du Québec (LBJÉQ), ainsi que ceux des différentes associations locales bénéficient désormais d’une surface de jeu complètement revampée au stade Flavio-Prata. Le terrain, autrefois en gazon naturel, est maintenant muni d’une surface synthétique. Ce type de revêtement, peu exigeant en entretien, prolongera la saison d’utilisation – du printemps jusqu’à l’automne – et permettra une plus grande polyvalence pour accueillir différents sports de balle.

Ce projet, inscrit au Plan directeur des parcs et espaces verts et réalisé en cohérence avec les orientations de la Politique des saines habitudes de vie, comprenait la préparation complète du terrain (démolition, nivellement, drainage, bétonnage), l’ajout des équipements nécessaires, l’aménagement des abords (clôtures, gazon) et la modernisation des systèmes d’éclairage. L’ensemble des travaux représente un investissement total de 3,3 M$.

« Investir dans nos infrastructures sportives, c’est offrir aux Repentignoises et aux Repentignois un milieu de vie sain où les opportunités de demeurer actifs sont nombreuses et tangibles. Les amateurs de sports de balle de tous âges bénéficient maintenant d’un terrain de qualité où ils pourront vivre leur passion sur une surface pleinement fonctionnelle et performante », a souligné le maire Nicolas Dufour.

Deux nouveaux intronisés au Tableau d’honneur

En ouverture de la rencontre, le maire a dévoilé les noms des deux personnalités qui font cette année leur entrée au Tableau d’honneur du baseball repentignois : Denis Séguin, dans la catégorie Bénévoles, et Italo Di Peco, qui rejoint Flavio Prata dans la catégorie Bâtisseurs.

Denis Séguin

Bénévole bien connu et très apprécié dans la communauté sportive locale, Denis Séguin s’implique depuis des décennies auprès du Royal Chevrolet de Repentigny, de Baseball Repentigny et de Baseball Charlemagne-Le Gardeur. Il est impossible d’avoir gravité autour d’un terrain de baseball sans avoir croisé son chemin. Sa présence constante et son dévouement font partie intégrante de la signature du baseball repentignois.

Italo Di Peco

Figure respectée de la grande famille du baseball régional depuis plus de 40 ans, Italo Di Peco a occupé divers rôles — entraîneur, directeur, administrateur — avant d’agir comme président des Élites de Lanaudière (Baseball Lanaudière) de 2010 à 2025. Il est reconnu pour son engagement indéfectible, sa loyauté et son leadership rassembleur.

Le Tableau d’honneur du baseball repentignois, érigé au parc Champigny depuis 2021, rend hommage aux personnes qui ont marqué l’histoire du baseball local. Il comporte cinq catégories : Bâtisseurs, Officiels, Entraîneurs, Athlètes et Bénévoles. Les nominations sont déterminées par un comité formé de représentants de la Ville et de membres d’associations œuvrant sur le territoire.

Bas de vignette : Le maire Nicolas Dufour entouré des deux nouveaux intronisés au Tableau d’honneur du baseball repentignois, Italo Di Peco et Denis Séguin, ainsi que des membres de leur entourage, sur la nouvelle surface de jeu du stade Flavio-Prata.

[1] La Ville de Repentigny prône des valeurs d’inclusion et d’égalité des genres, mais utilise le masculin dans ce communiqué de presse uniquement pour faciliter la lecture.

Inauguration officielle du Parc nature émélinois

Sainte-Émélie-de-l’Énergie, le 16 juin 2025 – C’est après une longue gestation de plus de cinq années que le Parc nature émélinois a officiellement été inauguré le 16 juin dernier à Sainte-Émélie-de-l’Énergie en la présence de Mme Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière accompagnée de nombreux autres dignitaires. Ce grand Parc de près de 18 km², voué à la pratique du plein air, est né de l’initiative visionnaire du conseil municipal de connecter, en déplacement actif, le noyau villageois avec les montagnes tout en rendant accessible les berges de la rivière Noire.

Mme Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, souligne que : « en bonifiant l’offre touristique lanaudoise sur quatre saisons et en offrant aux visiteurs une expérience unique, le Parc nature émélinois met en vedette les richesses naturelles de la région : les plans d’eau, les montagnes et les forêts. Il contribuera à attirer davantage de touristes chez nous, favorisant ainsi des retombées économiques importantes pour notre communauté. »

Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) a investi 100 000 $ dans le cadre du Fonds canadien de revitalisation des communautés (FCRC).

L’honorable Mélanie Joly, ministre de l’Industrie et ministre responsable de DEC affirme que : « L’aménagement du parc en bordure de la rivière Noire est une excellente nouvelle pour l’ensemble de la région et pour le tourisme de Lanaudière. La contribution du gouvernement fédéral permettra de raviver la vitalité de la collectivité en plus de permettre d’augmenter l’achalandage touristique vers Sainte-Émélie-de-l‘Énergie. Les visiteurs d’ici et d’ailleurs pourront maintenant profiter pleinement de toute la beauté de ce lieu unique! ».

Mme Isabelle Perreault, préfet de la MRC de Matawinie, affirme que « le Parc Nature Émélinois incarne la volonté de la MRC de mettre en valeur le territoire par des projets porteurs et accessibles. Ce nouvel espace contribue non seulement à la qualité de vie des citoyens, mais aussi à l’attractivité récréotouristique de la Matawinie. » La MRC a octroyé un montant de 166 037 $ au projet via le Fonds régions ruralité / volet 2 Développement territorial.

1. Martin Héroux, maire de Sainte-Émélie-de-l’Énergie, a réitéré son enthousiasme face à tous les aménagements réalisés qui donnent désormais à Sainte-Émélie une signature unique.

« Nous avons travaillé d’arrache-pied pour la mise en place de ce bijou et je m’associe aux membres du conseil municipal pour formuler le souhait qu’il suscite la fierté des émélinois pour plusieurs générations. »

2032. Bernard Thériault, président de Loisir et sport Lanaudière a tenu à remercier la Municipalité pour sa participation active au Plan de développement lanaudois en plein air 2020|2032.

« La grande collaboration de l’équipe émélinoise avec la nôtre confirme son rôle de leader dans la mise en place du grand chantier concerté de structuration et de restructuration de l’offre de plein air à la grandeur de la région. Le Parc nature émélinois est désormais un des éléments phares de l’offre lanaudoise. »

De son côté, Hydro-Québec est fière de collaborer à l’aménagement du Parc nature émélinois. En effet, dans le cadre de son Programme de mise en valeur intégrée, Hydro-Québec a versé un montant de 275 900 $ à la municipalité à la suite de la construction de la ligne à 735 kV prévue dans le cadre du projet de la Chamouchouane–Bout-de-l’Île. De ce montant, une somme de 250 500 $ a été utilisée pour l’achat du terrain requis pour aménager le camp de base du parc, où se trouvent l’accueil, des terrains de camping et des yourtes. Cet achat a agi comme la pierre angulaire qui a permis de bâtir, petit à petit, le Parc nature émélinois.

« Le Programme de mise en valeur intégrée permet d’aménager de nouveaux environnements et d’améliorer les infrastructures de loisirs au bénéfice des résidents et résidentes de Sainte-Émélie-de-l’Énergie. Depuis 40 ans, plus de 1 400 projets communautaires ont ainsi vu le jour à l’échelle du Québec », explique Marie-Annick Gariépy, conseillère – Affaires régionales à Hydro-Québec.

Le conseil municipal convie quiconque à visiter le Parc nature émélinois et à partir à la découverte de ses écosystèmes diversifiés passant des berges de la rivière Noire jusqu’aux caps rocheux surplombant la vallée de la Matawinie, en passant par les berges du lac Kaël. Tout un territoire accueillant, accessible et abordable d’où l’on revient rempli de beaux souvenirs! www.parcnatureemelinois.com

À propos de Sainte-Émélie-de-l’Énergie

Sainte-Émélie-de-l’Énergie est une municipalité de 1800 habitants située à 50 km au nord de Joliette. Sainte-Émélie-de-l’Énergie est reconnue en tant que communauté innovante ouverte et engagée dans son développement en tout respect de l’environnement. Facilement accessible par la route 131, elle offre une panoplie d’activités de plein air.

À Terrebonne, Sable Villeneuve amorce une réhabilitation écologique ambitieuse — un modèle pour l’industrie

Terrebonne, Québec, le 3 juin 2025, Sur une section de 50 hectares arrivée en fin d’exploitation, Sable Villeneuve a lancé en 2024 un projet de réhabilitation écologique en partenariat avec l’entreprise lanaudoise Ramo, spécialisée dans la culture des saules.

L’objectif : restaurer la santé des sols, stimuler la biodiversité et amorcer la transition des lieux vers une vocation verte, sans attendre la fin des activités sur l’ensemble du site.

Des premiers pas vers un nouveau paysage

Le projet a débuté avec la valorisation de 5 000 tonnes de matières résiduelles fertilisantes (MRF), suivie de la plantation d’un million de saules, reconnus pour leur croissance rapide et leur rôle structurant dans les milieux perturbés.

Un an plus tard, la végétation s’installe : stabilisation des sols, réduction des espèces envahissantes, verdissement d’une zone dégradée. Le projet captera environ 300 tonnes de CO₂ par an.

« Les saules sont encore jeunes, mais on voit déjà une transformation s’amorcer », souligne Francis Allard, président de Ramo.

« Notre collaboration avec Ramo s’inscrit pleinement dans notre approche responsable de la réhabilitation des sites, avec l’objectif affirmé de favoriser une remise en état durable et, dans la mesure du possible, une amélioration des fonctions biophysiques initiales », ajoute Jean Villeneuve, président de Sable Villeneuve.

Une boucle écologique et locale

Les saules, arrivés à maturité, seront récoltés tous les trois ans pour produire du bois raméal fragmenté (BRF) ou transformés en tiges pour murs antibruit et clôtures. Le projet suit une logique circulaire : des résidus régénèrent les sols, les saules poussent, puis sont valorisés en écoproduits.

Prochaines étapes

D’ici 2027, 256 000 arbres (érables, chênes) reboiseront 20 hectares supplémentaires, créant une zone tampon verte pour améliorer la qualité de vie des résidents voisins.

Un modèle à l’industrie

Alors que les exigences minimales imposent chaque année la remise en état de zones exploitées avant d’en ouvrir de nouvelles, cette initiative va plus loin, en générant des retombées écologiques et sociales.

À propos de Ramo

Ramo conçoit des solutions environnementales basées sur la nature : restauration des sols, réduction des eaux usées, captation du carbone, production d’écoproduits. Depuis 2006, l’entreprise a planté près de 24 millions de saules au Canada.

À propos de Sable Villeneuve

Spécialiste dans la fourniture de sable et le transport en vrac, Sable Villeneuve exploite plusieurs sites d’extraction dans la grande région de Montréal depuis trois générations.

Nouvelles interventions pour améliorer la sécurité à l’angle de l’autoroute 640 et du chemin des Anglais, à Terrebonne et à Mascouche

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Laval, le 13 juin 2025. – Le ministère des Transports et de la Mobilité durable informe la population de l’ajout de mesures pour améliorer la sécurité routière à l’intersection de l’autoroute 640 et du chemin des Anglais, à Terrebonne et à Mascouche.

À compter du 16 juin, les voies de virage à gauche seront reconfigurées pour passer de deux voies à une seule sur le chemin des Anglais, en direction sud, à l’approche de l’intersection pour accéder à l’autoroute 640, en direction est. Ainsi, il ne sera plus possible pour les usagers de tourner en double. Ce changement sera indiqué par un nouveau marquage au sol, des nouveaux panneaux de signalisation routière et affiché sur un panneau à message variable mobile. De plus, la programmation des feux de circulation du chemin des Anglais, en direction sud sera ajustée.

Ces mesures, combinées à celles mises en place en début d’année, amélioreront la sécurité des usagers dans ce secteur. Les effets de ces dernières seront analysés par le Ministère, afin de pouvoir apporter les ajustements nécessaires au besoin.

Faits saillants

• Les nouvelles mesures annoncées découlent d’actions concertées entre les villes de Terrebonne et de Mascouche, ainsi que le Ministère, à la suite d’une analyse de sécurité effectuée à l’été 2024.
• Celles-ci s’ajoutent aux interventions réalisées par le Ministère en début d’année, dont l’ajout de persiennes sur des feux de circulation.

– Ces dernières permettent d’éviter que les feux de circulation successifs et rapprochés soient visibles en même temps.

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable sur les médias sociaux :

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Sainte-Émélie-de-l’Énergie rejoint le réseau des Villages-relais du Québec

Danville, 1^er mai 2025 – La Fédération des Villages-relais travaille sans cesse à faire grandir son réseau, afin de desservir l’ensemble des régions du Québec. C’est avec fierté que nous annonçons aujourd’hui l’arrivée du 49^e membre du réseau, situé dans la belle région de Lanaudière : la municipalité de Sainte-Émélie-de-l’Énergie.

Cette municipalité est reconnue comme une communauté innovante, ouverte et engagée dans son développement, en tout respect de l’environnement. À 50 km au nord de Joliette, elle offre une panoplie d’activités de plein air pour des arrêts de quelques heures ou même quelques jours. Accessible par la route 131, son arrivée au réseau confirme la volonté de la Fédération des Villages-relais d’offrir des options d’arrêts sécuritaires pour tous les usagers de la route partout au Québec.

1. Martin Héroux, maire de Sainte-Émélie-de-l ’Énergie, a réitéré son enthousiasme face à l’intégration de sa communauté à la grande famille des Villages-relais :

« Aujourd’hui marque un point tournant vers l’accomplissement de la vision du conseil municipal pour le développement de la Municipalité. Grâce à cette appellation, la perspective de transformer les simples arrêts des gens de passage en une destination de découvertes de notre magnifique village devient réalité. »

Mme Isabelle Perreault, préfèt de la MRC de Matawinie, mentionne que l’obtention du label Village-relais confirme ainsi la place de Sainte-Émélie-de-l’Énergie comme un carrefour régional dynamique au cœur de la Matawinie :

« Cette désignation de Village-relais s’inscrit parfaitement dans notre vision de développement territorial; soit de valoriser les forces locales, soutenir les milieux de vie et favoriser une économie régionale durable. »

Mme Ghislaine M. Hudon, présidente de la Fédération des Villages-relais, se réjouit de l’ajout d’un nouveau membre dans la région de Lanaudière :

« C’est un grand plaisir d’accueillir une nouvelle municipalité dans notre réseau! L’arrivée de Sainte-Émélie-de-l’Énergie permet d’augmenter l’offre de services et les lieux d’arrêt sécuritaire pour l’ensemble du réseau. Ce qui donne une occasion de plus pour les usagers de la route de faire de nouvelles découvertes. »

Au nom de la Fédération des Villages-relais du Québec, nous souhaitons la bienvenue aux citoyens et commerçants de Sainte-Émélie-de-l’Énergie. Que cette nouvelle collaboration vous offre de nouvelles occasions pour réaliser des projets audacieux et structurants pour votre communauté.

À propos de la Fédération

Fondée en 2009, la Fédération travaille à la reconnaissance, au développement et à la promotion du concept de Village-relais. Elle représente ses membres auprès des différents partenaires. La Fédération favorise la circulation de l’information et le réseautage qui contribuent au dynamisme du réseau.

OPÉRATION NATIONALE CONCERTÉE VITESSE

Repentigny, le 9 juin 2025 – Les services de police du Québec, en collaboration avec la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), s’unissent afin de sensibiliser et conscientiser les conducteurs aux risques liés à la vitesse pour l’ensemble des usagers du réseau routier. C’est dans le cadre de l’opération nationale concertée (ONC) VITESSE, qui se tiendra du 9 au 15 juin prochains, que les policiers interviendront de façon intensive auprès des conducteurs qui contreviennent au Code de la sécurité routière, et plus particulièrement à l’égard des comportements reliés à la vitesse. Ils interviendront aussi en lien avec le respect des signaux émis par les signaleurs routiers et la lisibilité des plaques d’immatriculation.

Le respect des limites de vitesse est primordial pour assurer la sécurité de tous les usagers de la route. Cela est d’autant plus important avec le retour du beau temps, qui coïncide avec celui des usagers vulnérables sur le réseau routier, dont les piétons, les cyclistes et les motocyclistes. Il en va de même pour la reprise des chantiers de construction qui entraîne une présence accrue de travailleurs et de signaleurs aux abords de ceux-ci.

Respecter les limites de vitesse, c’est la base!

La vitesse est encore l’une des principales causes de collisions sur la route au Québec. Selon certaines études, une diminution de la vitesse moyenne de circulation de 5 km/h permettrait de réduire annuellement de 15 % le nombre de collisions. À titre d’exemple :

• 12 décès en moins pour une réduction de 1 km/h
• 60 décès en moins pour une réduction de 5 km/h
• 120 décès en moins pour une réduction de 10 km/h

Les données sont basées sur un total de 400 décès.

L’empressement d’un conducteur à atteindre sa destination peut l’amener à commettre des actions imprudentes comme effectuer des dépassements par la droite ou successifs en zigzag.

Si chaque conducteur réduisait sa vitesse moyenne, le nombre de blessures et de décès sur les routes du Québec diminuerait considérablement.

Le déploiement de l’opération Vitesse se poursuivra cette année sous le thème « Respecter les limites de vitesse, c’est la base! ». L’angle choisi vise à responsabiliser les conducteurs et à leur rappeler qu’ils peuvent faire partie de la solution et contribuer à l’amélioration du bilan routier en respectant les limites de vitesse. Modifier son comportement est l’élément clé d’une conduite sécuritaire et chacun a le pouvoir de sauver des vies !