La Ville de Repentigny est fière de dévoiler le bilan de la première phase de son budget participatif : la collecte d’idées. Pour cette première édition, lancée en janvier dernier, c’est une somme de 100 000 $ qui est dédiée à la réalisation d’un projet soumis par et pour la collectivité.

Bilan de la collecte d’idées

La collecte d’idées, d’une durée 5 semaines, a été un franc succès. En effet, un total de 202 propositions créatives et inspirantes pour l’amélioration de notre milieu de vie a été déposé, visant les installations sportives, les infrastructures récréatives, la mobilité active, l’accès aux berges et les activités sociales. Chacune des idées a été analysée par la Ville en fonction des critères d’admissibilité définis dans la Charte du budget participatif. En tout, ce sont 55 idées qui passeront à l’étape suivante.

Outre le dépassement des coûts, plusieurs idées soumises étaient déjà en cours d’exécution, les rendant inadmissibles, ce qui témoigne de l’adéquation de la Ville avec les besoins de sa communauté.

« Nous sommes fiers du taux de participation citoyenne dans le cadre de cette première étape du budget participatif. Cela démontre que les Repentignoises et Repentignois se sentent écoutés et désirent s’impliquer activement dans la transformation de leur communauté, afin qu’elle soit plus belle et accueillante. C’est là l’essence même du mandat de la Commission du vivre-ensemble et de participation citoyenne: placer la population au cœur du processus. » souligne Karine Benoît, conseillère municipale District 3 et membre de la Commission vivre-ensemble et participation citoyenne.

« Avec cette première édition du budget participatif, nous réaffirmons notre engagement envers la démocratie locale et l’implication citoyenne. Nous sommes convaincus qu’une démocratie saine implique un espace où la population peut librement exprimer ses opinions sur des projets ayant un impact positif sur l’ensemble de notre ville, et où chaque voix compte. » ajoute Nicolas Dufour, maire de Repentigny.

Prochaine étape : Ateliers de participation citoyenne

Les ateliers de participation citoyenne, qui se tiendront les 2 et 16 mai prochains, offriront à la population l’occasion d’échanger sur les idées proposées et de les peaufiner pour les développer en projets réalisable, en concertation avec la Ville. Les citoyens intéressés à assister à ces ateliers sont invités à s’inscrire au https://my.weezevent.com/ateliers-citoyens-budget-participatif. Les places sont limitées.

La suite de la démarche

À la suite des ateliers de participation citoyenne prévus en mai, la Ville procédera à l’évaluation de la faisabilité des projets sélectionnés à l’été 2024. Une liste finale des projets retenus sera finalement soumise au vote des Repentignois à l’automne 2024. Une période de deux ans suivant le vote est prévue pour la réalisation du projet choisi par la population.

La Ville est accompagnée par le Centre d’écologie urbaine (CEU) pour réaliser le processus.

Pour de l’information supplémentaire et suivre l’avancement de la démarche, la population est invitée à consulter le site web dans la section La Ville sous l’onglet Participation citoyenne.

Dans le cadre de la semaine nationale de la santé mentale, le Centre de F.A.M. des Moulins, est fier de vous inviter à son kiosque de sensibilisation qui se tiendra lundi 6 mai 2024 de 10h30 à 15h30 aux Galeries Terrebonne au 1185 Boulevard Moody, Terrebonne. Le kiosque sera situé devant le Urban Planet.

La semaine nationale de la santé mentale est une semaine de sensibilisation à la population sur l’importance de prendre soin de sa santé mentale autant que de sa santé physique.

Lors de cette journée, les travailleuses sensibiliseront et feront la promotion à la population sur le thème : S’accepter, c’est être soi-même, ensemble pour une bonne santé mentale. Au programme, il y aura des jeux, des questionnaires, des articles promotionnels et bien plus. Le tout sera fait dans une ambiance conviviale, chaleureuse et surtout, sans jugement.

Le Centre de F.A.M. des Moulins est un milieu de vie chaleureux géré par, pour et avec les femmes. Écoute, entraide, information, référence et mobilisation sont au cœur de notre mission. Nous offrons des services d’aide individuelle et de groupe ainsi que des activités éducatives qui favorisent notamment l’autonomie des femmes et l’atteinte d’une véritable égalité entre les sexes. Il se démarque par son approche féministe qui favorise la prise en charge et l’autonomie des femmes. La diversité de ses services gratuits en fait un lieu privilégié pour elles. Les travailleuses, avec des notions telles que le non-jugement, le respect, la confidentialité et l’éducation populaire, offrent une écoute de qualité, tant dans leur animation que dans le soutien aux femmes. Elles mobilisent, informent et sensibilisent sur la condition féminine et sur les enjeux sociaux politiques afin de revendiquer et maintenir les acquis des femmes. Cela permet de mettre à profit l’expérience des femmes, de leur laisser la parole et d’ainsi mettre de l’avant tout leur potentiel. Le Centre de F.A.M. des Moulins, bien enraciné dans la communauté, travaille à dénoncer les stéréotypes, le sexisme et la pauvreté des femmes auprès de la population et des élus-es.

C’est un rendez-vous lundi 6 mai prochain de 10h30 à 15h30 aux Galeries Terrebonne, pour venir rencontrer l’équipe du Centre de F.A.M. des Moulins. Pour toutes questions, vous pouvez nous contacter au 450-964-5827 ou par courriel au info@centrefam.ca

Site internet : http://www.centrefamdesmoulins.com/ 

Plus de 250 productrices, producteurs et relèves agricoles ont manifesté avec un convoi de plus de 150 tracteurs sur le boulevard L’Ange-Gardien, à L’Assomption, pour se rendre devant le bureau du député et premier ministre, M. François Legault, et devant les bureaux régionaux du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ). L’objectif était d’interpeller le gouvernement concernant la crise qui plane actuellement sur le monde agricole et partager leurs inquiétudes. Les productrices et les producteurs de la région étouffent sous la lourdeur administrative, le manque de soutien de l’État et leur santé mentale en paie le prix.

Environ mille agricultrices et agriculteurs avaient défilé dans les rues de Québec, le 6 décembre 2023, afin de déposer un manifeste historique pour la relève agricole et l’avenir des fermes de chez nous. Dans l’espoir d’obtenir un appui suffisant de la part du gouvernement, cette approche rassembleuse et solidaire s’est toutefois vue vaine, puisque le budget 2024‑2025 du Québec consacre moins de 1 % de ses dépenses à l’agriculture. Avec ce faible pourcentage, le Québec et le Canada sont parmi les endroits au monde où le soutien au milieu agricole est le plus faible.

« Le revenu net agricole n’a jamais été aussi bas, avec une chute de 49.2 % en 2023 et de 86.5 % prévue en 2024. C’est en entendant nos cris du cœur que notre premier ministre devra nous répondre. Son absence aujourd’hui dans son propre compté est remarquée et décevante, tout comme le dernier budget provincial, avec le peu de soutien dédié à l’agriculture. Avec moins de 1% du budget dédié à l’agriculture, on est loin du projet de société. Moins de 1% du budget pour nourrir 8 millions de bouches! « Nos fermes familiales étouffent », c’est le slogan que nous avons choisi dans Lanaudière pour vous imager l’ampleur de la problématique », soutient M. Marcel Papin, président de la Fédération de l’UPA de Lanaudière.

C’est donc avec un sentiment d’urgence d’agir pour soutenir le secteur agricole dans un contexte de resserrement économique et d’inflation, que les productrices et producteurs de Lanaudière se sont mobilisés. À l’occasion du rassemblement, le convoi de tracteurs a d’abord encerclé le bureau du premier ministre, le temps de remettre un cadeau symbolique à son attachée politique, Mme Lynne Harpin. Le tracteur, icône agricole, était rempli de produits locaux et des revendications faites au gouvernement. Aux bureaux régionaux du MAPAQ, Mme Lucie Lecours, députée des Plaines et présidente du caucus de la CAQ dans Lanaudière et Pascale Déry, députée de Repentigny et ministre de l’Enseignement supérieur, ont fait une allocution d’une dizaine de minutes pour écouter les messages des producteurs présents et échanger avec eux.

Parmi les aspects revendiqués, ceux-ci désirent avoir un soutien adéquat de l’État, notamment en ce qui concerne l’aide à la relève, l’actualisation des programmes de gestion des risques, la protection du territoire et des activités agricoles, un plafonnement des taux d’intérêt, du soutien face aux changements climatiques, des allègements réglementaires, une diminution de la paperasse, une réciprocité des normes avec les pays qui vendent leurs produits agroalimentaires en sol québécois et des programmes d’aide plus efficaces.

« Il est impératif que notre relève, nos terres agricoles, nos fermes familiales soient encore là dans 100 ans pour nourrir sainement les Québécoises et les Québécois. L’agriculture d’ici est l’une des plus performantes en Amérique du Nord, la plus structurée collectivement, la plus familiale, et elle répond toujours fidèlement aux exigences sociétales et environnementales. Je pense qu’en 2024, on est en droit d’espérer, nous les productrices et producteurs, de vivre dignement de notre métier », exprimait Pier-Luc Hervieux, représentant de la Relève agricole de Lanaudière, lors de son discours.

En gage de remerciement et de sensibilisation à la population pour son appui et sa patience, des produits locaux ont été remis à plusieurs endroits stratégiques durant le convoi, aux automobilistes ralentis et piétons curieux.

Le conseil d’administration du Cégep de Lanaudière (CL) profite des élections qui ont eu lieu lors de son assemblée tenue le 28 février dernier, pour mettre en lumière l’engagement, l’implication et le dynamisme ainsi que la diversité des expertises qui unissent tous les membres qui siègent au sein de cette instance. Grâce à eux, le cégep rayonne à travers la région et se démarque à l’intérieur du réseau collégial.

Un conseil d’administration enrichi par de nouveaux membres

Lors de cette assemblée, de nouveaux membres ont fait leur entrée au sein du conseil. Deux personnes parmi ceux-ci ont été élues au sein du comité exécutif du CL.

D’abord, monsieur Xavier Allard s’est officiellement joint au CA à titre de titulaire d’un diplôme d’études collégiales (DEC) en Arts, lettres et communication du Cégep à Terrebonne. Bachelier en Sciences politiques et présentement étudiant au certificat en Droit, pour lui, l’éducation est fondamentale au bon fonctionnement de la société. « Le cégep est ce qui nous différencie au Québec et nous devons être fiers de ce modèle unique. Je suis heureux d’avoir l’opportunité de contribuer à la formation des adultes de demain, en m’impliquant au sein d’un établissement d’enseignement supérieur qui partage mes valeurs », a-t-il souligné.

Également élue au comité exécutif du CL, madame Julie Riopel, membre à titre de représentante des centres de services scolaires, occupe le poste de directrice adjointe au Centre de services scolaire des Samares. « Je suis très heureuse de me joindre à la famille du Cégep de Lanaudière. C’était important pour moi de saisir cette occasion et d’ainsi contribuer à la valorisation de l’éducation dans notre belle région.  L’éducation de nos enfants est la plus belle des missions! » a-t-elle ajouté.

La réussite des étudiants : une priorité pour tous

Membre du CA depuis avril 2019 et président depuis août 2020, monsieur Stéphane Dignard, réélu à ce poste, continue de faire profiter le Cégep de Lanaudière de ses liens avec divers partenaires du milieu, de son expertise, de ses qualités d’entrepreneur, de son leadership et de son humanisme. « C’est un privilège pour moi de jouer ce rôle depuis près de quatre ans. Tous comme les autres membres du CA, j’ai à cœur la réussite des étudiants et chacune des initiatives et des décisions prises sont toujours guidées en ce sens » a-t-il mentionné.

Occupant le poste de président de Recrutement Intégral, une entreprise spécialisée dans la recherche de candidats de haut niveau, qu’il a lui-même fondée il y a plus de 15 ans, monsieur Dignard est très impliqué au sein de la communauté. Il est notamment administrateur au conseil régional des partenaires du marché du travail (CRPMT) pour la région de Lanaudière depuis plus de 10 ans et c’est d’ailleurs à ce titre qu’il a été nommé au conseil d’administration du CL en 2019. Il a également occupé les postes de vice-présidence du CA de la Chambre de commerce de la MRC de L’Assomption et de vice-présidence du CA du Comité régional pour la valorisation de l’éducation (CREVALE), où il a collaboré à la certification OSER JEUNES pendant plus de 10 ans.

Par ailleurs, monsieur Francis Grégoire, qui est titulaire d’un diplôme d’études collégiales (DEC) en Techniques juridiques au Cégep à L’Assomption et aujourd’hui avocat spécialisé en litige civil au sein du cabinet Dunton Rainville à Joliette, occupe le poste de vice-président du CA du Cégep de Lanaudière depuis près d’un an. Pour lui, ce rôle est tout naturel : « Étant natif de cette région, le Cégep de Lanaudière revêt une importance particulière pour moi, d’autant plus que j’y ai reçu ma formation. Son influence sur la communauté, à la fois sur le plan social et économique, est indéniable. En tant que Lanaudois, il est essentiel de veiller à ce que le cégep continue de se développer et de répondre aux besoins de la population en matière d’enseignement supérieur », a-t-il conclu.

Le Cégep de Lanaudière est fort heureux de pouvoir compter sur un conseil d’administration aussi bienveillant et remercie chacun de ses membres pour leur implication.

Pour connaître la composition complète du CA du Cégep de Lanaudière : tinyurl.com/27d6ymsk.

À propos du Cégep de Lanaudière

Sous la responsabilité d’un conseil d’administration et d’une seule direction générale, le Cégep de Lanaudière se compose de trois collèges situés à Joliette, à L’Assomption et à Terrebonne, d’un centre d’études collégiales à Saint-Zénon, de même que d’une direction de la formation continue et d’un siège social situés à Repentigny. Le Cégep de Lanaudière administre un budget annuel de 70 millions de dollars, compte près de 1 000 employés, offre 60 programmes et profils d’études et accueille près de 6 000 étudiants au régulier et près de 600 à la formation continue.

C’est lors d’une rencontre tenue en présentiel, le 16 avril 2024, au Complexe JC Perreault que Mme Martine Raymond, agr. a été réélue comme vice-présidente de la section régionale de Laurentides-Lanaudière. De plus, le conseiller pour les Laurentides M. Éric Massicotte, agr. et le conseiller pour Lanaudière M. André Langlois, agr. ont tous deux étés reconduits dans leurs fonctions.

L’assemblée générale annuelle de la section de Laurentides-Lanaudière vise à présenter le rapport annuel de la section, ainsi qu’à élire de nouvelles personnes au sein de son conseil d’administration. Cette année, la section de Laurentides-Lanaudière a notamment organisé plus de 10 formations innovantes dans le cadre de visites avec des producteurs experts dans leur domaine, et ce au bénéfice des agronomes de la région. Rappelons que depuis 4 ans, la formation professionnelle continue est obligatoire pour les agronomes, afin de garder leurs connaissances à jour et de maintenir leur permis de pratique.

La vice-présidente Mme Martine Raymond est une agronome avec une vaste expérience dans le domaine de la gestion et du financement agricole. Elle travaille notamment pour le mouvement Desjardins.

Elle indique qu’elle est enthousiaste à l’idée de continuer son travail avec la section régionale de Laurentides-Lanaudière, en tant que vice-présidente, afin de poursuivre une mission qui lui est chère : l’excellence professionnelle. « Le métier d’agronome est malheureusement assez méconnu. Pourtant, les agronomes travaillent directement avec les agriculteurs avec comme objectif commun : l’accessibilité à des aliments sains et produits localement pour les Québécois. Aussi, les agronomes ont un rôle crucial à jouer dans la lutte contre les changements climatiques et c’est en collaborant étroitement avec les agriculteurs qu’ensemble on développe des produits agroalimentaires durables et respectueux de l’environnement. », dit Martine Raymond.

Le 2 avril dernier, les agronomes du Québec ont élu à la présidence de l’Ordre des agronomes du Québec l’agronome Michel Montpetit à la présidence et l’agronome Caroline-Joan Boucher à la vice-présidence. Ces derniers s’étant engagés à visiter l’ensemble des sections du Québec, M. Montpetit et Mme Caroline-Joan Boucher prenaient part à l’assemblée générale annuelle de la section.

« Les sections de l’Ordre des agronomes du Québec jouent un rôle important pour maintenir le dynamisme agronomique régional. Pour y arriver, l’implication des agronomes est essentielle. Je souhaite féliciter Mme Raymond agr. ainsi que ses deux confrères pour leur engagement continu. Je suis convaincu qu’ils feront encore une fois un travail remarquable, et ce pour la durée de leur mandat. », souligne Michel Brosseau, agronome, président de la section régionale.

C’est le 1^er mai prochain que la réglementation concernant l’utilisation de l’eau et des périodes d’arrosage entrera en vigueur. Les règles entourant l’arrosage s’appliquent jusqu’au 30 septembre à l’ensemble des résidences, commerces et entreprises sur le territoire terrebonnien.

Le règlement a pour objectif de régir l’utilisation de l’eau potable fournie par le réseau municipal, et ce, en vue de préserver la qualité et la quantité de la ressource dans une perspective de développement durable

Périodes d’arrosage

Les heures permises sont les mêmes pour l’ensemble du territoire, soit le matin (de 6 h à 8 h) et le soir (de 21 h à 22 h 30), mais les jours d’arrosage permis varient en fonction de chaque zone. Concernant l’utilisation d’un système d’arrosage automatisé (programmable) avec gicleurs, celle-ci est seulement permise entre 4 h et 5 h 30, toujours selon les jours d’arrosage de chaque zone. L’usage de ces gicleurs est interdit en dehors de ces heures. Les citoyens doivent détenir un permis de longue durée valide pour utiliser ce type de système.

Également, tout propriétaire d’une installation de prélèvement d’eau ou d’un réservoir d’eau pluviale peut, en tout temps, arroser une pelouse, des arbres, des arbustes ou des haies avec l’eau provenant de cette installation. Cependant, il faut détenir un permis de longue durée valide pour ces éléments.

Par ailleurs, notez qu’en tout temps, il est interdit de procéder à l’arrosage de la végétation lorsqu’il pleut.

« Il est important que nous respections tous la réglementation entourant notre eau potable. Cette ressource essentielle n’est pas inépuisable. Avec les nombreuses périodes de grande chaleur auxquelles nous faisons face en raison des changements climatiques, des efforts individuels et collectifs sont nécessaires pour économiser et diminuer nos pointes de consommation. Cela assurera que nous ayons assez d’eau à distribuer à l’ensemble de la ville tout en continuant de pouvoir répondre aux besoins des services incendies », a rappelé Marc-André Michaud, président de la Commission de la transition écologique et de l’environnement.

Permis et piscine

L’installation d’une piscine creusée, semi-creusée, hors terre ou démontable nécessite un permis. Le remplissage des piscines est interdit de 7 h à 20 h, sept jours sur sept. Toutefois, il est permis d’utiliser l’eau de l’aqueduc lors de l’installation d’une nouvelle piscine pour maintenir la forme de la structure. À ce moment, vous pouvez mettre 0,3 m (un pied) d’eau dans le fond de votre nouvelle piscine. Le remplissage final doit être fait aux heures permises, soit entre 20 h et 7 h.

Dans un souci environnemental et d’économie de l’eau, lorsque vous préparez l’ouverture de votre piscine existante, il est conseillé de compléter le niveau de l’eau si nécessaire au lieu de la vider complètement et de la remplir à nouveau. Il est possible d’appliquer un traitement choc pour désinfecter l’eau et éliminer les bactéries et algues potentielles.

L’installation d’un puits ou d’une pointe d’eau nécessite une demande de permis. Les personnes doivent contacter le Bureau des citoyens au 450 961-2001 ou par le formulaire de contact au terrebonne.ca/nous-joindre. Également, il est possible de consulter l’information concernant les permis et les formulaires en ligne au terrebonne.ca/permis-reglements-et-conseils.

Patrouille de l’eau

Des patrouilleurs supervisés par la Direction des travaux publics parcourront le territoire et pourront donner des constats d’infraction aux contrevenants. Le montant des amendes varie entre 150 et 1 050 $ pour une personne physique et de 250 à 2 050 $ pour une personne morale. Des frais additionnels peuvent s’ajouter à ces montants.

Avant d’arroser, vérifiez!

Les citoyens sont invités à consulter le terrebonne.ca/eau afin de se familiariser avec le règlement sur l’utilisation de l’eau et les périodes d’arrosage. Ils pourront notamment y trouver l’information quant à leurs deux périodes d’arrosage permise en fonction de leur zone et y vérifier s’ils ont besoin d’un permis temporaire pour réaliser certains travaux. Afin d’éviter toute problématique, il est recommandé de communiquer avec le Bureau des citoyens avant de commencer tout projet d’aménagement paysager.