La Ville de Repentigny rend disponible un nouveau Guide d’implantation des enclos canins pour son territoire. Ces espaces, mis à la disposition de la population, sont partagés par plus de 7 000 chiens répertoriés.

Ce nouveau guide encadre l’aménagement des enclos canins à l’aide de critères précis dans le but de favoriser l’acceptabilité sociale de ce type d’aménagement et de déterminer un lieu qui fera l’unanimité des résidents¹ du quartier. Pour y parvenir, la Ville mise sur la participation citoyenne.  « Les Repentignoises et les Repentignois ont dorénavant la responsabilité de se mobiliser afin d’identifier un lieu consensuel où établir un enclos canin. Pour ce faire, nous mettons à leur disposition un guide complet qui les accompagnera dans cette démarche », a précisé Jennifer Robillard, conseillère municipale et présidente de la Commission vivre-ensemble et participation citoyenne.

Le Guide d’implantation des enclos canins permettra:

– de guider tout citoyen dans la préparation et le dépôt d’une demande d’implantation d’un enclos canin;

– de préciser les rôles et responsabilités du de la personne instigatrice de l’initiative ainsi que celles de la Ville;

– d’être au cœur de la planification, de la réalisation et du suivi du projet.

La Ville procèdera à l’analyse des demandes reçues et réalisera par la suite, en collaboration avec la personne instigatrice du projet, une séance d’information auprès des citoyens habitant à proximité du ou des sites identifiés. Cette consultation offrira l’occasion aux usagers des enclos canins, de même qu’à la population environnante, de prendre part aux décisions pour déterminer l’emplacement d’un nouveau parc canin.

« Nous sommes soucieux de maintenir un service adapté qui répond aux besoins des propriétaires de chiens sans compromettre la quiétude de nos quartiers. Avec cette initiative, nous nous assurons que les prochains enclos canins que nous aménagerons s’harmoniseront au paysage urbain et seront utilisés à leur plein potentiel », a affirmé Joubert Simon, conseiller municipal et président de la Commission saines habitudes de vie, sport et parcs.

Entre-temps, les travaux de bonification de l’enclos canin du parc Catherine-Bousquet se poursuivent et prévoient, si tout va bon train, d’être achevés vers la fin du mois de juin. Des informations à ce sujet suivront.

Le nouveau guide sera déposé pour consultation au repentigny.ca/enclos-canins.

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable informe les usagers de la route d’une période de travaux intensifs entraînant la fermeture complète d’une direction sur le pont de la route 335, enjambant la rivière Mascouche à Sainte-Anne-des-Plaines. Cette entrave, originalement prévue du 10 au 12 juin, a été reportée à la fin de semaine du 17 au 19 juin, en raison des conditions météorologiques défavorables. Ces travaux permettront à terme d’assurer la sécurité et la fonctionnalité de la structure.

Gestion de la circulation

Du 17 juin à 20 h au 19 juin à 4 h

• Fermeture complète d’une direction de la route 335 avec mise en place d’une circulation en alternance avec signaleurs.

Durant cette période, ce secteur sera à éviter. Des épisodes de congestion sont à prévoir.

En cas de contraintes opérationnelles ou de conditions météorologiques défavorables, ces travaux pourraient être annulés ou reportés. Afin de planifier adéquatement vos déplacements, informez-vous sur les entraves en cours et à venir en consultant le Québec 511.

Le Ministère remercie les usagers de la route pour leur collaboration. Pour la sécurité des usagers de la route et celle des travailleurs, le respect de la signalisation en place est essentiel.

La Ville de Mascouche informe ses citoyens que les avis publics seront désormais publiés (sauf exception) uniquement sur son site Web et à l’entrée de l’hôtel de ville.

Le règlement 1322 concernant les modalités de publication des avis publics pour fins municipales a été adopté le 8 mai dernier et est désormais en vigueur. Ainsi, les avis publics ne seront plus publiés dans le journal local, mais seront facilement disponibles pour consultation en ligne. Les personnes qui le désirent peuvent s’inscrire aux avis afin de recevoir un message par courriel ou par texto les avisant de la publication de nouveaux avis publics. Il suffit de visiter le citoyen.mascouche.ca pour s’abonner.

Cette décision vise notamment à augmenter l’autonomie de la Ville. En effet, la publication des avis publics dans les journaux imprimés impose des contraintes quant aux délais, à l’espace utilisé et à la quantité d’information diffusée.

À noter que la Ville peut tout de même publier un avis public dans le journal local ou à tout autre endroit ou par tout autre mode jugé approprié, selon les circonstances. Toutefois, la publication sur les canaux officiels (site Web et hôtel de ville) aura préséance et en cas de disparité, l’avis diffusé sur le site Web et à l’hôtel de ville primera.

Rappelons que les avis publics servent à informer la population sur la vie municipale et ses droits dans certains dossiers. Les avis publics sont disponibles au mascouche.ca/avis.

Le député de Terrebonne et ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, M. Pierre Fitzgibbon, le député de Masson, M. Mathieu Lemay et la députée des Plaines, Mme Lucie Lecours, soulignent les engagements tenus et le travail effectué depuis le début de la 43e législature. À ce jour, le gouvernement a déposé 32 projets de loi pour répondre aux préoccupations des Québécois.

Parmi ceux-ci, les députés sont particulièrement fiers du projet de loi n^o 29, Loi protégeant les consommateurs contre l’obsolescence programmée et favorisant la durabilité, la réparabilité et l’entretien des biens récemment présenté à l’Assemblée nationale. Les mesures proposées représentent des avancées majeures pour les Québécoises et Québécois, qui sont en droit d’obtenir des biens durables, de qualité et réparables.  Le projet de loi se décline en cinq mesures phares qui bénéficieront à tous les consommateurs: interdiction de l’obsolescence programmée, création d’une garantie de bon fonctionnement, renforcement du droit à la réparation, établissement de normes pour définir un chargeur universel et la mise en place d’une mesure anti citron pour les automobiles.

Dans le même ordre d’idée, le projet de loi n^o22, récemment présenté à l’Assemblée nationale, répond à une demande de nos municipalités et concrétise un engagement pris lors des dernières élections. Ce projet de loi a pour objectifs de préciser le processus d’expropriation, de réduire les délais quant à la prise de possession des immeubles et de contrecarrer les manœuvres spéculatives. Elle permettra également d’assurer une meilleure prévisibilité des coûts d’acquisition immobilière par expropriation et une plus grande équité, en remplaçant notamment le concept de la valeur au propriétaire, introduit par les tribunaux, par celui de la valeur marchande.

Les députés tiennent également à applaudir les mesures mises en place pour remettre de l’argent dans les poches des Québécois. Comme annoncé dans le discours sur le budget, les particuliers bénéficieront d’une baisse générale de l’impôt sur le revenu à compter de l’année d’imposition 2023. Concrètement, des modifications seront apportées au calcul des retenues à la source d’impôt devant être effectuées sur les rémunérations versées après le 30 juin 2023. Notons également à compter de l’année d’imposition 2022, le montant maximal du crédit d’impôt par particulier admissible âgé de 70 ans ou plus a été rehaussé pour atteindre 2 000 $, offrant ainsi un répit financier aux contribuables visés.

Les députés moulinois tiennent à souligner certains éléments en lien avec leurs fonctions parlementaires ainsi que l’avancement des différents projets dans leur circonscription.

Le député de Terrebonne et ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, M. Pierre Fitzgibbon, est particulièrement fier des travaux effectués pendant la dernière session parlementaire. Il a fait adopter le projet de loi n^o 2, qui vise notamment à plafonner le taux d’indexation des prix des tarifs domestiques de distribution d’Hydro-Québec à 3 % et à accroître l’encadrement de l’obligation de distribuer l’électricité. « Je suis très heureux d’avoir eu l’appui de mes collègues pour adopter rapidement le PL2. On a rempli notre engagement de limiter la hausse des tarifs d’Hydro-Québec pour les Québécois à un maximum de 3% », de préciser M. Fitzgibbon.

Plus localement, M. Fitzgibbon est satisfait de l’entente de 3 265 000 $ conclue avec la MRC Les Moulins pour favoriser l’innovation durable sur le territoire. « La MRC Les Moulins a bien compris qu’il fallait innover pour réussir. Avec cette entente, notre gouvernement s’assure de favoriser un milieu dynamique et prometteur », de mentionner M. Fitzgibbon.

L’avancement des travaux de l’agrandissement de l’école secondaire Armand-Corbeil est l’une des fiertés de M. Fitzgibbon dans sa circonscription. À terme, le projet permettra l’ajout de 416 places‑élèves et la mise en service est prévue pour août 2023. « Avec cet ajout, notre gouvernement répond à un déficit d’espace reconnu. On s’assure que l’établissement scolaire ait une capacité d’accueil suffisante pour les années à venir », d’ajouter M. Fitzgibbon.

À titre d’adjoint parlementaire du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, le député de Masson, M. Lemay, applaudit les mesures ambitieuses en environnement annoncées par son gouvernement au cours des derniers mois.

Soucieux de respecter ses engagements et de mieux protéger cette richesse naturelle qu’est notre eau, le gouvernement a annoncé son intention d’augmenter de façon importante le taux des redevances sur l’eau dès 2024. Cette hausse des redevances servirait à financer le nouveau Fonds bleu, qui serait doté d’un budget initial de 500 M$ sur 5 ans. M. Lemay rajoute qu’il est également « très heureux des investissements prévus dans le plan de mise en œuvre 2023-2028 du Plan pour une économie verte 2030 qui permettront d’électrifier nos transports, d’accélérer l’adaptation du Québec aux impacts des changements climatiques et bien plus ». Encore en lien avec ses fonctions d’adjoint parlementaire, M. Lemay rajoute qu’il est « honoré du mandat que lui a confié le ministre Charrette, soit de mener des consultations auprès des organismes de la société civile dans le but d’identifier les améliorations possibles à apporter au régime de protection des espèces fauniques et floristiques menacées ou vulnérables ».

Finalement, M. Lemay tient à souligner sa satisfaction quant à l’avancement des travaux du Centre hospitalier Pierre-Le Gardeur. Avec le retour du beau temps, trois zones de chantier sont actuellement actives : celles pour les blocs C et D ainsi que celle pour le stationnement étagé. Il n’y a pas à dire, les travaux progressent rapidement!

Dans son bilan, la députée des Plaines rend compte de nombreuses réalisations, notamment l’adoption le 6 juin dernier du projet de loi n^o 11 visant l’élargissement de l’aide médicale à mourir. « Je suis fière d’avoir présidé les travaux de la commission qui ont conduit à la sanction d’un projet de loi dont l’approche est centrée sur les patients. Il s’agit d’une grande avancée pour la société québécoise », de mentionner M^me Lecours.

Assurément, elle ne peut passer sous silence le début des travaux d’élargissement de la route 337 dans le secteur La Plaine. « Lors de mon élection en 2018, je me suis engagée et j’ai travaillé très fort pour la réalisation de cet investissement routier de 39 M$. Et j’ai tenu ma promesse. Aucun effort n’a été ménagé afin d’accélérer ce projet très attendu par les usagers de la route ».

Aussi, dans un but de soutenir les différentes initiatives visant à maintenir le tissu social et la qualité de vie, d’abord dans la circonscription qu’elle représente, un montant de 150 640 $, provenant du programme Soutien à l’action bénévole, a été remis à 153 organismes. « J’ai le privilège d’apporter mon soutien à de nombreux organismes qui travaillent quotidiennement au mieux-être des citoyens. Cette aide financière peut faire une grande différence pour eux et générer plusieurs fois sa valeur en termes d’impact dans la communauté », de conclure M^me Lecours.

Alors que le ministère de la Santé et des Services sociaux élabore un Plan d’action en périnatalité et petite enfance, le Comité de travail national sur les pères et la périnatalité, réunissant des organisations nationales soucieuses de la situation des familles et des tout-petits, profite de la Semaine Québécoise de la Paternité pour réclamer une pleine intégration des réalités paternelles et coparentales dans la trajectoire de services offerte aux parents québécois, et ce, dès le moment où ils apprennent l’arrivée de leur bébé.

Le collectif cible des obstacles structurels qui limitent souvent la participation des pères et des coparents en période périnatale, faisant porter la responsabilité de la grossesse et de la naissance principalement sur les épaules des mères, ce qui, allègue-t-il, contribue à un mauvais partage de la charge mentale dès le départ.

« Dans la trajectoire de services en périnatalité, les pères et les coparents ont, trop souvent, un rôle d’accompagnant, ils ne sont pas directement bénéficiaires des services. Dès le départ, c’est comme si on leur disait qu’ils jouent un rôle périphérique, et aux mères, que toute la charge repose sur elles. C’est un mauvais message à transmettre en 2023 », indique Raymond Villeneuve, directeur général du Regroupement pour la Valorisation de la Paternité (RVP) et initiateur du Comité de travail national sur les pères et la périnatalité.

Adopter une approche coparentale

Dans une déclaration commune signée par plus de 700 personnes intervenantes, professionnelles mères, pères et parents, celles-ci affirment que l’approche coparentale constitue un puissant levier de transformation sociale pour renforcer l’égalité entre les mères et les pères, favoriser la conciliation famille-travail-études de tous les parents, offrir aux enfants des modèles plus égalitaires et œuvrer à la transmission de ces valeurs au sein des familles et de la société. L’approche coparentale, rappelons-le, consiste à prendre en compte les besoins de chacun des coparents et à favoriser une meilleure collaboration entre eux.

Ce consensus est largement endossé par les parents eux-mêmes. Interrogés dans le cadre d’un sondage Léger en mars dernier, 96 % des parents estiment important que les services soient conçus pour soutenir les pères. Une proportion similaire, soit 94 % des pères et 97 % des mères, croient qu’un engagement accru des pères dès la conception constitue une bonne façon de mieux partager la charge mentale liée aux responsabilités envers l’enfant. Enfin, 94 % des pères et 95 % des mères sont d’accord pour dire qu’un engagement accru lors de cette période favorise un meilleur développement du bébé.

Resserrer les mailles du filet de protection

Une approche plus inclusive des besoins de tous les parents, notamment psychosociaux, permettrait en outre de dépister plus rapidement les situations susceptibles de causer de la vulnérabilité au sein des familles et d’intervenir en amont de celles-ci, afin d’en réduire les conséquences néfastes pour le développement du bébé.

« L’arrivée d’un bébé marque une transition majeure dans la vie des parents. Il est faux de croire que tous les parents s’adapteront facilement. Quand les difficultés surviennent, ils manquent souvent de repères », explique Marie-Claude Dufour, directrice générale du Réseau des centres de ressources périnatales du Québec. « On sait par exemple qu’entre 15 et 20 % des mères et près de 10 % des pères seraient touchés par la dépression postnatale. Une proportion de 8 % des bébés naissent prématurément, tandis qu’on estime qu’au moins 20 000 familles déplorent annuellement le décès d’un bébé. Les difficultés pendant la grossesse ou dans les deux premières années de vie de l’enfant sont plus fréquentes qu’on le croit et les services communautaires et institutionnels doivent être au rendez-vous », ajoute-t-elle.

Un projet de société

Le collectif mise sur l’action convergente des principaux leviers sociétaux qui permettent d’agir directement sur les pratiques : la trajectoire de services, les politiques publiques, la recherche, la formation et la promotion sociétale. Ses propositions prennent la forme d’un véritable projet de société visant à renforcer l’environnement dans lequel les tout-petits naissent et grandissent.

« Au Québec, en 2023, l’engagement de TOUS les parents est souhaité et, en conséquence, mérite d’être soutenu. N’est-ce pas le plus beau des projets de société que de faire en sorte que chaque bébé puisse bénéficier du plein soutien de chacun de ses parents ? », s’interroge Raymond Villeneuve.

Pour obtenir plus d’information sur le Comité de travail national sur les pères et la périnatalité et consulter le document de propositions :

https://www.semainedelapaternite.org/fr/nvelles20230612-plateforme-strategique/

À propos du Regroupement pour la Valorisation de la Paternité

Le RVP est un regroupement de 250 organismes et individus en provenance de toutes les régions du Québec dont le mandat est de faire la promotion de l’engagement paternel pour le bien-être des enfants, dans une perspective familiale et dans le respect de l’égalité entre les femmes et les hommes. Le RVP s’est donné comme objectif de permettre l’intégration des réalités paternelles dans les services à la famille et les politiques publiques québécoises.

www.rvpaternite.org

Faire équipe dès le départ 11^e édition de la Semaine Québécoise de la Paternité

Pour sa 11^e édition, la Semaine Québécoise de la Paternité est présentée du 12 au 18 juin 2023, sous le thème « Faire équipe dès le départ ». Cette thématique vise à sensibiliser la société québécoise à l’importance de l’engagement paternel et de la coparentalité en période périnatale. Suivez nos publications quotidiennes dans les médias sociaux!

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Les feux de forêts qui font des ravages dans le nord du Québec ont un impact important pour plusieurs hôteliers des régions de l’Abitibi-Témiscamingue, du nord de Lanaudière et de la Mauricie, de la Côte-Nord et du Saguenay-Lac-St-Jean. L’inquiétude commence à se faire sentir, même chez certains hôteliers de Québec et de Montréal, qui doivent rassurer les touristes anxieux craignant que leur séjour soit menacé.

C’est du moins ce qui ressort des premières données d’un sondage éclair effectué par l’Association hôtellerie du Québec pour soutenir son secteur.

La région de l’Abitibi-Témiscamingue est de loin la plus affectée avec plusieurs congrès annulés, de même que des réservations individuelles et corporatives. Le menace de fermeture de la route 117, la principale voie pour se rendre en Abitibi, inquiète également les hôteliers. Certains établissements ont d’ailleurs été fermés en raison de la fermeture des routes forestières, notamment dans le nord de la Mauricie et de Lanaudière. Quant à la Côte-Nord et au Saguenay[1]Lac-St-Jean, même si certains hôtels hébergent des familles évacuées, d’autres subissent les contrecoups de la médiatisation des feux de forêts avec une diminution des réservations.

Certains voyageurs provenant de l’Europe et des Etats-Unis ont même reporté leur séjour, saisissant mal l’étendue et la géographie du territoire québécois.

« Les dommages sont difficiles à évaluer pour l’instant, mais il est clair, que c’est un autre coup dur pour l’hôtellerie, alors qu’on se remet à peine d’une pandémie qui a été très difficile moralement et financièrement, sans oublier les impacts sur la main-d’œuvre. Une aide gouvernementale serait très appréciée pour les hôteliers plus lourdement affectés. » – précise Véronyque Tremblay, PDG de l’Association hôtellerie du Québec.

Un vent d’empathie

Les hôteliers du Québec qui ne sont pas affectés par les feux de forêts espèrent de tout cœur que la situation va se résorber rapidement. Plusieurs d’entre eux sont prêts à offrir un tarif spécial pour aider à héberger les personnes évacuées. L’Association hôtellerie du Québec collige en ce moment les propositions pour les transmettre à la sécurité civile. Le ministère du Tourisme vient également de mettre en place une cellule de crise et l’AHQ en fait partie.

« Il est important d’entendre les préoccupations du secteur en continu, dans le but de les accompagner et proposer des mesures proactives pour amortir les impacts négatifs. » conclut la PDG de l’AHQ.

À propos de l’Association Hôtellerie du Québec (AHQ)

L’AHQ est la principale voix de l’hôtellerie et de l’hébergement touristique au Québec et l’association sectorielle reconnue par le ministère du Tourisme du Québec. Elle a comme mandat de représenter, défendre, informer, inspirer et fournir des outils pour rendre l’industrie plus compétitive et durable.

Dans le cadre de son dîner-conférence à la Chambre de commerce et d’industrie Les Moulins, tenu ce 9 juin, le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, est fier d’annoncer que la Ville de Mascouche a conclu une entente avec le Groupe Montoni et un partenaire pour la réalisation d’un projet majeur au sein du CentrOparc qui, à terme, créera 225 emplois.

La troisième et dernière phase du CentrOparc, un parc d’affaires situé sur les anciens terrains de l’aéroport, représente un investissement de 225 M$. Cela portera l’investissement des trois phases du projet à près de 400 M$ et à la création de 1000 emplois, du jamais vu à Mascouche!

« Notre vision pour le CentrOparc était claire : attirer des entreprises et créer de l’emploi chez nous. Aujourd’hui, près de 5 ans plus tard, nous pouvons dire mission accomplie! Merci à tous les investisseurs d’y avoir cru. Les investissements dans le secteur généreront plusieurs millions par année en nouveaux revenus de taxation qui seront investis dans des projets porteurs pour la population », mentionne fièrement le maire Guillaume Tremblay.

Rappelons qu’au départ, une vision sur un horizon entre 10 et 15 ans était mise de l’avant pour le développement du nouveau quartier d’affaires. Au final, le projet a été plus rapide alors que 5 ans après la première pelletée de terre, les trois phases sont sur le point d’être terminées. Le secteur est en effervescence et il bénéficie aux Mascouchoises et aux Mascouchois.

À noter que l’identité de l’entreprise qui s’installera au CentrOparc sera révélée au cours des prochaines semaines.