Montréal, 8 octobre 2024 — Avec une série de plus de vingt spectacles à guichet fermé cet automne, Salebarbes s’apprête à enflammer le Centre Vidéotron le 7 décembre pour clôturer 2024 en beauté! Aujourd’hui, ils frappent fort avec la sortie de Casser la table, extrait de leur album À boire deboutte.
Le vidéoclip de la chanson fait vibrer au rythme des pas de danse de leurs fans d’un bout à l’autre du pays! Suite à un appel lancé sur les réseaux sociaux, invitant leur public à partager des moments festifs entre amis et famille, les gars de Salebarbes appellent à la fête avec la danse au cœur.
Casser la table
Briser les conventions
Prendre les chemins de traverse
Et se jeter dans l’inconnu
Question de r’trouver la vue
« Cette chanson s’est écrit dans le feu endiablé
Qui nous prend dans les pieds
Comme une envie folle de danser » – Salebarbes
Lien YouTube joint à l’article
La tournée se poursuit
Après plus de 80 spectacles de la tournée À boire deboutte, c’est le 7 décembre qu’ils fouleront les planches de leur premier aréna lors d’un grand spectacle-rassemblement festif en plein cœur de la ville de Québec. Une trentaine de billets dans les gradins sont encore disponibles via ticketmaster. Dès janvier, ils reprendront la route, et si vous n’avez pas de billets, il faudra se déplacer à La Tuque ou au Saguenay pour les voir performer, car le reste de la tournée affiche complet!
5 nominations au Gala de L’adisq
Grâce à l’album À boire deboutte paru l’automne dernier, le groupe récolte 5 nominations dans les catégories : Album de l’année – Succès populaire, Chanson de l’année (pour le titre Tite gomme), Groupe ou duo de l’année, Spectacle de l’année et Album de l’année – Country au prochain Gala de l’adisq qui aura lieu dans quelques semaines.
À propos
Salebarbes, le projet d’Éloi et Jonathan Painchaud, Kevin McIntyre, Georges Belliveau et Jean-François Breau, s’est harnaché l’énergie brute et festive du répertoire cadien, avec une dose d’humour teintée d’espoir. L’espoir de redonner un peu de fierté et le goût de fêter en français.
Une sorte de réappropriation culturelle. Une déportation à l’envers. Il y a comme une urgence de chanter, à l’unisson s’il le faut, ce maintenant qui s’effrite. Notre culture qui se souvient, à peine.
Le voyage de notre langue, vaisseau qui tangue comme bouteille à la mer, porteur d’un unique message : « On n’est pas mort !!! »